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Procréation naturellement assistée – Chapitre 3




Désormais bien installé dans sa région natale, Benjamin voulut renouer contact avec des amis denfance. La première personne qui lui vint à lesprit fut Charlène, avec qui il sentendait très bien au lycée. Benjamin lavait complètement perdu de vue depuis quil quitta la région pour fonder son entreprise. Cela devait faire presque une quinzaine dannées maintenant quils ne sétaient plus donné de nouvelles.

Il mena donc sa petite enquête pour retrouver son ex-maîtresse, mais ayant perdu son adresse et son numéro de téléphone, la tâche fut compliquée. Le Botin ne lui permit pas non plus de la retrouver. Finalement, ce fut au détour dune conversation avec Charlotte quil fit une avancée majeure :

_ Pourquoi tu ne parles plus à tes parents ? demanda Benjamin, un soir lors dun dîner.

_ Jai besoin de prendre un peu lair, mes darons étaient toujours sur moi et jen avais assez quils me surveillent tout le temps. En fait, je ne les vois que pour les fêtes

La voyant devenir morose, Benjamin enchaîna dun ton badin :

_ Ta mère doit être une très charmante femme, si tu as tout reçu delle

_ Oui jai tout pris delle. Tout le monde me dit que je ne ressemble pas du tout à mon papa.

_ Ah oui ? fais voir une photo ?

Charlotte lui montra un cliché enregistré. Benjamin eut un choc en regardant la photo, car sur celle-ci figuraient Charlène et Rémy. Ils avaient beaucoup changés, mais il parvint à les reconnaître. Charlotte était donc leur fille

_ Ben quoi ? Tu en fais une de ces têtes !, lâcha Charlotte.

_Heu cest juste que je connais ta mère Elle était une très bonne copine à moi quand javais ton âge, bredouilla Benjamin, Blême. Excuse moi, je je vais aux toilettes.

Il sattarda sur le visage de Charlotte avant de quitter la table. Ses yeux et son nez lui paraissèrent si familiers. En se regardant dans le miroir de la salle de bain, il neut plus aucun doute : ces traits de Charlotte étaient les siens.

Il se demandait auparavant ce qui pouvait bien lattirer dans le regard de la jeune fille. Il sentait quil avait un lien qui les unissait, quil y avait quelque chose en plus chez Charlotte qui faisait que Benjamin sattacha beaucoup plus à elle que toutes ses autres conquêtes.

Benjamin se rappela de cette fois où il avait sauvagement baisé Charlène, avant de se vider les couilles en elle pour lengrosser. Personne ne connut ce secret très bien gardé par Charlène et Benjamin qui, tous deux avec le temps, finirent par accepter que Rémy fut le vrai père de Charlotte, vivant alors dans le déni. Mais désormais, la dure réalité lui revint en pleine figure.

Le quarantenaire fut pris de vertige quand il songea que pendant maintenant une semaine, il bourra le délicat abricot de sa propre fille et quil se déchargea en elle à maintes reprises sans protection.

Comment se faisait-il quil ne leut pas vu avant ? Comment par un tel concours de circonstances a-t-il pu tomber nez à nez avec sa fille cachée ?

La réponse fut fluide, après réflexion : la fille de Charlène s’appelait Anne-Charlotte et ce prénom composé devait lui déplaire. Elle préférait donc quon lappelât Charlotte uniquement. La jeune femme travaillait dans le bar où Charlène et Benjamin fréquentaient souvent, lorsquils étaient étudiants. Charlène dut certainement aider Charlotte à trouver un job à temps partiel dans ce lieu, car elle connaissait bien le propriétaire. Benjamin ne saperçut de rien car, jusquà présent, létudiante névoqua presque jamais ses parents à cause de cette tension entre elle et eux. Bien évidemment, il eut pu deviner au physique quelle eut été sa fille Mais, à part des photos dun nourrisson, il neut pas une photo de Charlotte enfant ou adolescente. Elle était donc pour lui une parfaite inconnue.

Benjamin tergiversa longtemps dans la salle de bain : comment annoncer ce secret à Charlotte ? Fallait-il le faire ? Il neut quune envie : séclipser loin de cette ville, de cette région et se cacher de la terrible vérité.

_ Jai débarrassé la table, tu en mets du temps ? ça ne va pas ? cria Charlotte à travers la porte de la salle de bain ?

Après un moment dhésitation, il sortit et répondit : jai besoin de prendre lair avant de poursuivre en voyant lair déconcerté de la blondinette : Cest juste que jai tenté pendant si longtemps de retrouver Charlène, ta mère que ça ma un peu déboussolé dapprendre que durant tout ce temps, la solution était sous mes yeux

Après avoir marché et réfléchit pendant plusieurs heures, Benjamin se résolut à tout dire à Charlotte. Mais, celle-ci, lattendait en petite nuisette à son retour, dans une position plus que suggestive.

_ Viens là mon chéri, je vais te changer les esprits. Létudiante malaxa le membre de Benjamin à travers son pantalon, puis se mis à genoux pour sortir son engin et le pomper assidument.

_ Non, ah Charlotte ma chérie je dois te parler de quelque ch…

Il ne pouvait pas résister à cette bonne pipe prodiguée par Charlotte qui était devenue en peu de temps maitresse en la matière. La jeunette enfonça le Gland de Benjamin jusquau fond de sa gorge. Benjamin eut une gaule si intense quil en eut mal. Il voulut être dégouté par cet inceste répugnant. Toutefois, le fait de savoir que Charlotte était sa propre fille lexcita davantage.

Benjamin saisit la tête de létudiante pour lui bourrer la bouche de son énorme membre. Après quelques coups violent, il se dégagea juste au moment déjaculer pour nettoyer le visage de Charlotte dun jet de sperme sous haute pression. Malgré cela, il banda encore comme un cheval.

_ Je texcite tant que ça mon amoureux ? répliqua la jeune femme, tout en dégustant la semence avec son doigt comme une addicte de pâte à tartiner.

_ Je je ne suis pas ton amoureux Charlotte, je suis ton père bredouilla-t-il.

_ Oh alors tu veux jouer à ça ? Ca te donne la trique quand je tappelle papa ? murmura-t-elle avec une voix de coquine. Viens me prendre mon papa, mets là moi

Charlotte se mis à quatre pattes, son gros cul bien tendu vers son père.

_ Quest que tu attends papa ? jai envie de ta queue, baise-moi !

Benjamin saisi Charlotte par les cheveux et tira en arrière sa tête pour admirer son visage encore souillé par son sperme. Sa queue bien dure trouva rapidement comment se loger au fond de la fente dégoulinante de létudiante.

_ Ah, prends ça mon bébé ! cria Benjamin, déjà au bord de la jouissance.

_ oui, oui, oui, jadore comment tu me défonces mon papa !

Lancien entrepreneur redoubla defforts, sautant sans honte, ni retenue sa propre fille. Linterdit lexcita davantage et jamais il ne savoura autant déboiter le con dune jeunette.

_ je vais me vider les couilles ma puce

_ oui vas-y je veux ton sperme mon papa, remplis-moi, gémis Charlotte.

Durant plusieurs minutes,Benjamin continua de la prendre en levrette à son rythme, afin de profiter le plus longtemps possible de sa belle trique. Il alterna des mouvements puissants et des temps de pause.

_ Non, vas-y plus fort, tu vas me faire jouir, couina la belle jeune femme.

_ Et qui est-ce qui va te faire jouir mon bébé ?, grogna le quarantenaire.

_ Oui, fais-moi jouir mon papa…Oui, Oui, Ouiiiii !

Benjamin eut son orgasme quasiment en même temps que sa fille et lui déchargea le reste de sa semence dans son lutérus. Létroit con de Charlotte ne put contenir tout cet important flot de foutre qui dégoulina alors du vagin de létudiante.

Les deux amants restèrent collés lun à lautre un long moment, car leur jouissance fut si intense quils en eurent le souffle coupé.

Le père incestueux fut ensuite submergé dun sentiment de culpabilité et de dégoût envers lui-même. Pourtant, jamais il neut pris autant son pied de sa vie et il remarqua, à son plus étonnement et aussi celui de Charlotte, quil continuait de bander.

_ Oh je devrais plus souvent tappeler mon papa, dit Charlotte en admirant le sexe encore en érection de son amant.

_ Ca mexcite tellement de baiser ma propre fille, avoua Benjamin comme pour se libérer dun quelconque fardeau.

Charlotte le gratifia dun sourire coquin et branla frénétiquement Benjamin.

_ Mon papa chéri, jai été méchante aujourdhui, viens me punir, murmura la cochonne en écartant ses fesses et se caressant lanus dune main.

Benjamin nécouta que ses instincts les plus sombres et baisa à nouveau sa petite Charlotte.

_ Cest bien ma chérie, je tai bien éduqué, soupira le père qui décrassa sauvagement lintestin de sa petite avec son gland.

Comme lors du dépucelage de létudiante, le grand blond sadonna au plaisir du sexe jusquau petit matin.

Quelque temps plus tard, Benjamin disparut de la région sans rien dire à Charlotte. Il revendit sa maison rapidement et plia bagage avant même que la blondinette neut le temps de se rendre compte de quoi que ce soit. Rongé par la culpabilité, Benjamin décida de ne rien révéler à sa fille : il préféra quelle vive une séparation, plutôt que de lui apprendre quelle avait couché avec son père biologique.

Charlotte bien évidemment avait le coeur brisé, car Benjamin ne lui laissa que deux choses : un mot dadieu laconique et un bébé qui grandissait dans son ventre…

Note à mes lecteurs : J’adore vous frustrer pour ensuite vous donner davantage de plaisir ! Ce deuxième chapitre avait ce double objectif de vous faire attendre et d’introduire le personnage de Charlotte. Bien évidemment, comme toutes mes histoires, celle-ci s’avère aussi inspirée de faits réels (il suffit parfois de lire la presse pour avoir des histoires bien coquines).

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