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Maman et le gang-bang – Chapitre 1




Papa a une situation aisée mais part souvent en déplacement. Maman approche lâge de la cinquantaine, brune, une jolie silhouette et une forte poitrine. Elle est très belle et j’ai déjà surpris plusieurs conversations de copains fantasmant sur elle. Maman est d’une éducation assez stricte, aussi je souris en les entendant fantasmer.

Il y a plusieurs années, j’ai surpris mes parents qui se disputaient. Maman a menacé papa ;

Tu me touches plus, je suis obligée de me satisfaire toute seule, si ça continue je vais prendre un amant !

Tu peux même en prendre plusieurs si tu veux. J’ai toujours su que sous ton air de sainte-nitouche se cachait une salope.

Maman a alors éclaté en sanglots.

Tu n’es qu’un égoïste, tu ne sais pas ce que je suis capable de faire, hurle-t-elle.

Je suis sorti de la maison, ne rentrant que tard. Dans la nuit.

Le lendemain, les choses paraissaient s’être calmées et la vie a repris son cours normal et peu à peu la violente dispute de mes parents s’estompe de ma mémoire.

Quelques années plus tard, à vingt-deux ans, je poursuis mes études et ce vendredi, je rentre exceptionnellement à la maison, des profs absents et les cours annulés me donnent l’occasion de rentrer vendredi plutôt que le samedi. Je tente bien de prévenir maman, mais sans succès.

Lorsque je referme la porte, j’entends de la musique en fond sonore. C’est avec étonnement que je vois dans le salon trois hommes nus discutant tranquillement tout en sirotant du whisky. Ma mère est parmi eux, elle est seulement vêtue d’une guêpière seins nus, de bas et talons aiguilles. Je vois ma mère, tout sourire, déambuler parmi ces hommes tout en se laissant caresser par des mains baladeuses.

Maman prend alors la parole :

Bon ; les mecs, je ne vous ai pas invités ici pour vider la réserve de whisky de l’impuissant ! Mais pour vous vider les couilles !

Bien caché par la pénombre du couloir, j’ai le réflexe de prendre mon portable et de filmer. Je peux détailler maman, je remarque son sexe imberbe, ses gros seins aux tétons durcis… Un des hommes s’approche et se met à lui caresser les seins. Il lui pince les tétons.

T’es une vraie salope ! Dit l’homme en lui fessant le cul.

L’insulte fait sourire maman.

Oui, je suis une belle salope qui va s’occuper de vos grosses bites. Allons, Messieurs, qu’est-ce que vous attendez pour me baiser, j’ai hâte de me faire arroser par votre foutre.

Elle s’agenouille et commence à sucer la première bite à sa portée, tandis que des mains lui pelotent les seins et le cul. Sa langue lèche les bites et les couilles de ses invités.

Ma mère se met à quatre pattes et tandis qu’elle suce à tour de rôle deux gars, un homme se place derrière. Il pose ses mains sur les reins de maman et la pénètre brusquement. Maman pousse un cri : »Ah mon salaud tu me défonces avec ta grosse queue. Il fait des va-et-vient de plus en plus rapides et soudain il se retire, il attrape maman par les cheveux et lui éjacule sur son visage.

Un deuxième homme, à la bite toute aussi imposante se place derrière maman, il crache sur le cul de ma maman et il l’encule. D’un seul coup. Maman pousse un cri de douleur, immédiatement suivi d’un cri de satisfaction :

Aie, Oh oui elle est grosse, tu me défonces le cul.

Maman prend son pied. Elle accompagne les va-et-vient de son sodomite en gémissant de plaisir:

Vas-y, encule-moi, à fond ! Encore, va s’y, elle est bonne ta queue, je jouis.

L’homme se dégage brusquement et va éjaculer sur le visage de maman.

Au suivant, hurle maman.

Le troisième homme, lui est tellement excité qu’il éjacule aussitôt dans la bouche de maman qui avale tout. Le calme revient peu à peu.

Maman est allongée sur le sol, le visage et les seins pleins de sperme, elle sourit béatement, un des hommes lui dit :

Tu sais Martine, ma proposition tient toujours. Je pourrai organiser un sacré gang band dans mon hangar, réfléchis-y.

Comprends-moi Rémy, ça me tente, mais venir seule, ça craint quand même, il me faut une personne de confiance qui me soit assez proche. Répond maman.

Ben, viens avec ton cocu de bonhomme.

T’es pas bien, tu veux qu’il fasse une crise cardiaque.

Les hommes rigolent, se rhabillent, tapotent les fesses de maman et quittent la maison par la baie vitrée du salon. Maman se retrouve bientôt toute seule, allongée sur le sol, elle étale le sperme sur sa poitrine en se branlant la chatte.

Je m’avance dans le salon. Maman, à un geste de surprise, tente de masquer sa nudité. Je lui dis :

Non, reste comme cela, continue à te masturber.

Tout en lui parlant, je sors ma queue et m’approche en me branlant. Maman m’a obéi, je vois ses doigts s’agiter sur son sexe. Elle a les yeux rivés sur ma bite que je branle.

Tu veux la sucer ?

Je fais un pas de plus. Maman s’agenouille et prend ma bite en main, elle avance son visage et commence à le lécher le gland.

Humm, t’es vraiment une femme à bites, salope, vas-y suce !

Dis je, en pelotant ses seins pleins de sperme.

Comme elle est bonne ta bouche, je vais te la baiser. Suces, salope.

Je la prends par les cheveux et commence à enfoncer complètement ma bite.

Waouh, tu m’as complètement avalé, t’es vraiment une sacrée suceuse, je vais juter.

N’y tenant plus, je jouis dans sa bouche. Maman avale tout et ne recrache ma bite qu’une fois à moitié débandée.

Tu permets que j’aille me rafraîchir ? Me demande-t-elle.

Oui, va prendre une douche, je vais remettre le salon en ordre. Rejoins-moi à poil dans ma chambre, je te baiserai et ensuite on discutera de tes envies de gang band.

Maman se lève, m’embrasse sur la joue et quitte le salon en chantonnant.

Donne-moi le tel de ton ami Rémy qu’on s’arrange pour un gang-bang.

Il est dans mon carnet d’adresses, prends-le dans mon sac, mon chéri : me lance-t-elle en tortillant du cul…

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