J’étais un peu effrayé, mais j’étais la, debout devant cette porte rouge. Je n’aurais jamais cru que quelqu’un capable de se payer un manoir cherchait ce que j’étais venu lui apporter sur le net, après tout avec tout son fric il aurait pu se payer une prostituée.
Bien sur j’étais effrayé, c’était la première fois que j’allais dans ce trip la, je veux dire d’habitude c’est un simple plan suce, mais ça fait un bon moment que je suis excité par le sadomasochisme, donc effrayé mais aussi excité, la bosse dans mon pantalon en était témoin. Je me décide enfin à toquer, j’entends des pas qui s’approchent de la porte, et on me crie d’attendre quelques secondes après qu’il ait déverrouillé la porte pour entrer, j’entendis le bruit de la clé tourner je commençais donc à compter jusque 10 tout en me demandant à quoi ça pouvait bien servir mais bon c’est lui le maître, je me contenterais de faire ce qu’il me dit.
Les dix secondes passées j’entre, me voila dans une pièce sombre, pas fort grande, encore une porte en face et c’est de celle-ci que la voie retentit "fous toi à poil et place le bandeau qu’il y a sur le meuble sur tes yeux, ensuite entre". Je m’exécutais, je retirais assez vite mon pull, mon jeans et le boxer que j’avais, j’étais nu, je me dirigeait vers le meuble et plaçât le bandeau.
Lui, je ne l’avais pas vu encore je ne connaissais que son pseudo "Th3_masT3r" que c’est original ! Je l’espérais plus vieux que moi mais pas trop, et bien sur sexy, même si la personne ne comptait pas vraiment c’est surtout le fantasme qui me branchait, Moi j’avais 21 ans, environ 1m80 et niveau muscle disons que mes abdos sont tracés mais je ne suis pas musclor, j’ai les cheveux brun souvent en bataille, une barbe de trois jours, les yeux verts et pour ce qui est de mon entre-jambe je suis un peu plus que dans la moyenne 17cm et 4 cm de diamètre en ce qui concerne ma pilosité, je ne me rase pas je taille les poils pubiens à environ 0.5cm je n’aime pas être complètement rasé de ce coté là ça me rappelle trop quand j’étais gosse enfin soit.
A peine rentré dans la pièce, je sens deux mains qui me touchent, je les devine grandes et pas très fines, elle descendent le long de mon dos et arrivent sur mes fesses, et paf mon hôte vient de me mettre ma première fessée, je n’ai pu m’empêcher de sursauter, et il n’y était pas allé de main morte, je sentais encore des picotements. Ses mains glissèrent sur mes hanches, je m’attendais a ce qu’elles s’attaquent à mon sexe, mais non elles remontaient mon torse désormais arrivés à mes tétons, je sentis une douleur, il devait y avoir mis une sorte de pince tétons, je ne m’attendais pas à ça, mais bon ça fait mal un moment puis on s’y habitue, ses mains avaient quitté mon corps après le coup des pinces, j’entendais qu’il chipotait à quelque chose, et sentis un souffle près de mon cou " ouvre la bouche" venait-il de me murmurer à l’oreille. Je n’exécuta et me prit une encore une fessée cette foi plus forte que la première, je ne pus m’empêcher de laisser échapper un "aïe", l’homme s’exclama alors que je n’avais pas dit "oui", sur ce je répétais "oui" et encore une claque pour mes fesses toujours plus forte, "oui qui ?" se mit-il à crier dans mon oreille, je lui répondais alors "oui maître", prononcer ses mots m’excitais, je ré ouvris la bouche, et il me fit sucer un des ces doigts, l’index sans doute. Une foi que ce fut fait. Ses mains se remirent à voyager sur mon corps toujours dans le même ordre, épaule, dos et fesses, sauf qu’au lieu de me fesser, il se mit a me les pétrir assez violemment, je sentais maintenant son pouce se promener dans la raie de mes fesses. Il s’arrêta d’un coup, je sentais qu’il m’attachait un truc au cou, à peine ce fut finit que je sentais une pression s’exercer pour me faire avancer ça devait être une laisse "Allez sale chienne, suis ton maître". Je fis ce qu’il me dit et avança dans sa direction.
Je fis une vingtaine de pas, puis c’était des escaliers, je descendis… Une foi en bas, mon maître me fit me coucher sur une table en forme de "X", se saisit de mon bras gauche, le tendit et le déposa. "Ne bouge pas" il me lâcha, j’entendis qu’il trifouillait quelque part, je sentis alors des sangles me serrer les poignets et les chevilles. "Alors esclave, tu désires voir à quoi ressemble ton maître ?" "Oui maître" il défit alors mon bandeau et la quelle ne fut pas ma surprise, je connaissais "Th3_masT3r".
C’était un gars, Florent, il était en journalisme avec moi très joli garçon, grand, plus musclé que moi, on s’était déjà parlé, il faisait de la natation, c’était un blond aux yeux bleus à l’air angélique à un point qu’on lui donnerait le bon dieu sans confession comme quoi… Oh mon Dieu dans quoi je venais de me lancer, voyant mon expression de surprise, il sourit. Il retourna vers un meuble doté de trois tiroirs, la pièce était toute noire: murs, sol, plafond, éclairé à la bougie et avec une ampoule sans même un abat-jour, la pièce était assez vide, à part la table et le meuble à tiroir, il y avait aussi un autre meuble un peu plus loin… Ce qu’il sortit du tiroir, ne me plaisait pas du tout: un appareil photo, il prit des clichés de moi ainsi soumis attaché et complètement nu je bandais qui plus est, il faut dire que même si elle était gênante cette scène était aussi excitante. "Ainsi je suis sur que tu feras bien tout comme je dis Jimmy, et puis si jamais tu fais un truc qui me plaît pas tes photos se retrouveront directement placardées dans l’unif et sur internet bien-sur. J’ai d’autres idées de photos mais on les prendra au fur-et-à-mesure, j’ai aussi envie de profiter de toi à fond. Alors par quoi allons nous commencer ?"
Il se promenait dans la pièce et pris une bougie, évidemment la suite était prévisible, mais avant il arracha les pinces-tétons d’un coup sec j’ai du crier tellement ça faisait mal, lui, ça l’a fait rire. Il plaçât la bougie au dessus de mon torse et versa un peu de cire sur chacun de mes tétons, c’était très chaud au début, il attendit un peu le temps que la cire durcisse "Est ce que tu veux que je t’en verse sur la queue ?" A dire vrai, je ne préférais pas, j’ai donc décline sa proposition. Il me crache alors au visage "Mauvaise réponse, tu aurais du dire, ce n’est pas à moi de décider mais au maître" et il versa la cire non pas sur ma queue mais sur mes couilles. J’ai trouvé ça encore pire qu’aux tétons. Mon visage portait une grimace de douleur "Ce que tu es excitant avec cette tête- la", il pencha son visage sur le mien et m’embrassa au début je n’y répondais pas, mais le temps que la douleur passe, je lui rendis aussi son baiser. il se retira "Garde la bouche ouverte" "Oui maître" et il me lâcha un mollard dans la bouche "avale" et j’avalais. Il retournait à l’appareil photo et prit de nouveaux clichés de moi mais cirés cette foi-ci. Il se rendait à nouveau dans le meuble à tiroir "Alors Jimmy avec quoi allons nous faire joujou maintenant ?"
Cette fois, mon tortionnaire revenait avec un gode il devait faire une vingtaine de centimètres pour cinq de diamètre de couleur chair et avait pris l’appareil photo de l’autre main. "Alors Jimmy, ça te dit ?", ayant retenu ma leçon je lui répondis que c’était au maître de décider "Très bien alors", en mémé temps qu’il prononçait cette phrase il s’approchait de l’espace vide de la table entre mes jambes, "Je sais pas si tu es encore vierge du cul mais ça ne va pas durer si c’est le cas" Et ça l’était je veux dire j’avais déja sucé quelques mecs rencontrés en boite de nuit mais je n’avais pas été jusqu’à me faire pénétrer, Florent fit bouger mon corps de façon à ce qu’il puisse avoir accès à mon trou, il écarta mes fesses et promenait son jouet dans ma raie. Il dirigeait l’appareil photo dans ma direction mais aucun flash il prenait donc une vidéo , "T’es prêt ? 1… 2 et " il venait de me rentrer le gode sans aucune préparation ni même lubrifiant je n’ai su retenir ni mon cri ni mes larmes, Mon anus me brûlait c’était extrêmement douloureux je me suis même demandé s’il n’allait pas déchirer mes intestins. En plus le bougre n’y allait pas de main morte je souffrais horriblement et pleurais ce qui ne fit que satisfaire mon bourreau d’avantage, ses mouvements devenait de plus en plus rapide et profond, je pense que je n’ai jamais eu si mal, le godage dura une dizaine de minutes, et la douleur ne s’estompait pas après ces dix minutes j’avais le gode entièrement dans le cul et la cadence ne diminuait pas puis il le retira enfin. "Ce sera une de mes plus belles vidéos, tu es étais si sexy, en tous cas tu m’as donne une trique d’enfer", mais il ne lâcha pas son appareil pour autant, il avait sans doute arrêté la vidéo.
Mon regard se dirigeât donc vers son entre jambe effectivement, il y avait une bosse et pas une petite, qui déformait son jeans, il ôta sa chemise il avait un torse parfait c’est-à-dire musclé mais pas trop le juste milieu, il n’était imberbe mais comme il était blond ses poils ne se voyaient pas de trop, et défit le bouton de son jeans, il approcha de mon visage et me demanda de lui retirer son pantalon avec les dents, je pris alors la tirette entre mes dents, et il s’appuya sur la pointe de ses pieds ce qui eut pour effet la chute du jeans sur ses chevilles, Florent était maintenant en slip blanc déformé par sa queue. On voyait qu’il avait été gâte par dame nature, c’était plus grand que le gode en tous cas du moins c’est ce qu’il me semblait, il approchât sa bouche de mon oreille et me murmura "Je me suis dis que ce serait pas mal si je ne me lavais pas la bite depuis deux-trois jours et tu vas devoir t’en charger" effectivement quand son pantalon est tombé et que j’avais son entre-jambe encore près du nez il y avait eu une forte odeur, il retira son dernier vêtement, je vis alors sa bite et comme je l’avais deviné elle était très grande et assez épaisse elle devait bien faire 25 cm de long pour 6 de large bref c’était énorme et redirigea à nouveau l’appareil photo vers moi "Et voila, 24 cm pour toi et je te préviens que je vais pas te ménager" son gland n’était pas encore décalotté et pour le faire il le fit juste sous mon nez, l’odeur était très forte, je me suis même demandé si ça ne faisait plus d’une semaine qu’il ne s’était pas douché, que je dus faire un effort pour ne pas vomir, il avait un beau gland et il était rougit par l’excitation malgré l’odeur abjecte qui s’en dégageait "Ouvre la bouche" "Oui maitre"
Je n’eus rien d’autre à faire, il enfonça d’un coup sec sa bite puante dans ma bouche "Et salive bien, je veux que ma queue soit propre" je m’exécuta il baisait alors ma bouche donnant des coups de reins parfois violents, mais rarement car à chaque foi je faillis vomir sa bite est très longue et la crasse qu’il y avait dessus la rendait infecte et pourtant ce fut la pipe la plus bandante que j’ai jamais faite. Je suis reste là encore une dizaine de minutes à me faire baiser la gueule tandis qu’il filmait, ses mouvements se firent plus violent et je sentis une décharge de foutre me couler dans la bouche "Avale tout si ça coule je te ferais lécher" j’avalais alors son sperme qui avait un gout fort prononcé après que je lui eu nettoyé la queue, il libéra ma main droite et me permis de me masturber, j’étais tellement excité que cela ne dura pas longtemps avant que j’éjacule et ce fut sans doute une de mes plus puissante éjaculation le premier jet arriva à environ 5 cm au dessus du niveau de mes tétons, une fois que je me fus vidé, il récoltât ma semence sur son index et me le fit sucer.
"T’es une très bonne chienne Jimmy, je te mettrais dans le top cinq facilement" m’annonçait il pendant qu’il se rhabillait tandis que j’étais toujours nu et attaché sur sa table "Je vais te proposer quelque chose que je ne fais pas souvent, moi tu vois ce qui m’intéresse c’est l’initiation, je fais le plan une foi puis je jette, mais je sens qu’avec toi, je peux faire bien mieux" Il était maintenant revêtu de ses habits "Il va de soi que ton corps m’appartient, je t’interdis de te masturber sans mon autorisation, et tu devras faire absolument tout ce que je dis sinon…, il désignait l’appareil photo qu’il avait dans les mains, en parlant de ça je t’enverrais les photos et les vidéos si tu veux, Bon je vais détacher mais avant" il retourna à nouveau dans ses tiroirs et il sortit une ceinture de chasteté, j’en avais entendu parler mais jamais vu "c’est pour m’assurer que tu ne feras rien sans moi" il mit alors mon sexe dans la courbure métallique qui m’empêcherait de bander et la scella avec un cadenas qu’il ferma à l’aide une clé qu’il portait en collier autour du cou il me détacha les jambes et l’autre bras j’avais toujours les couilles et les tétons couvert de cire séchée
"Alors esclave voila ta première difficulté, je garde tes vêtements tu peux rentrer chez toi, on se revoit lundi en cours, j’aurais d’autre chose rigolote à te faire faire" Dans quoi je venais de m’embarquer. Heureusement il habitait dans un quartier calme et il devait être environ une heure du mat personne ne me verrait. Je sortis donc de sa cave équipé de mon nouvel accessoire, il me suivait et me raccompagna jusque la porte "Attend, tu sais je suis exigent mais tu peux me parler, tu n’as pas dis un mot depuis que tu m’as sucé même pas pour marquer ton accord " "Très bien maitre c’est juste que je jugeais que mon accord était superflu après tout l’esclave ne peut contester les décisions de son maitre" "Pas mal tu deviens bon à ce jeu la" J’allais ouvrir la porte pour partir quand il me retint par le bras, me plaquât contre la porte et m’embrassa mais pas comme la première foi, ce n’était pas violent au contraire c’était doux et plutôt romantique lorsqu’il se retira je lui lançais un timide à lundi je me suis pris une dernière claque sur les fesses "à lundi qui ?" "à lundi maitre" je sortis de la maison et heureusement il n’y avait personne, je regagnais ma voiture et retournait chez moi.
Une fois devant chez moi, je regardais s’il n’y avait personne dans la rue et après vérification je rentrais chez moi et me dirigeait vers la cuisine prit un couteau et gratta la cire collée, ensuite direction la salle de bain j’y ai pris une douche une foi lavé j’allais au lit et en repensant à cette nuit je commençais à bander mais il se trouve que la ceinture de chasteté n’était pas de cet avis et pourtant me sentir retenu dans mon érection m’excitait encore plus, c’était un cercle vicieux je me suis endormis en pensant à ce qui allait m’arriver lundi, j’allais devoir attendre samedi et dimanche pour le savoir.