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LES CONFESSIONS DE CÉLINE – Chapitre 2




Jécoutais le chant des oiseaux à lextérieur de la maison. Le soleil venait de se lever et les premiers rayons perçaient les volets. Je navais pas du tout envie de quitter mon lit. Malgré une bonne nuit de sommeil je me sentais encore fatiguée, sans doute à cause de ce rêve étrange.

La scène sétait déroulée ici même, dans lobscurité la plus totale. Je me trouvais sur mon lit, complètement nue et les cuisses grandes ouvertes. Un homme était penché au-dessus de ma tête, son pénis glissait à tort et à travers dans mon vagin. Je subissais les assauts maladroits de mon partenaire, hélas, sans ressentir le moindre plaisir malgré mes efforts pour le guider. Je feignais quelques cris avant dactionner la lampe de chevet pour voir son visage. Je poussais alors un grognement de mécontentement en découvrant quil sagissait de mon ancien petit ami. Tu parles dun rêve ! Je tentais de me dégager mais il men empêcha, me clouant au lit. Furieuse, je lui adressais de grands coups de bassin mais il semblait apprécier cela et senfonça dans mon ventre avec encore plus dempressement.

Jessayais de me tirer de ce mauvais pas mais je ne parvenais à aucun résultat, apparemment prisonnière de mes songes. Je me résignais à mon triste sort quand quelque chose dincroyable se produisit. La tête de mon ex venait de disparaître, aussitôt remplacée par celle dun cheval. Dans le genre loufoque on ne faisait pas mieux. Je me suis pincée très fort avant de me souvenir quil ne sagissait pas de la réalité. Waouh ! Du cheval il ny avait pas que la tête ! Je sentais à présent un sexe énorme se frayer un chemin entre mes petites lèvres. Il était encore plus gros que celui de Caramel. Chose que je croyais impossible mais comme il sagissait de mon rêve Mon compagnon administrait des grands coups de butoir, cognant dans le fond de ma grotte et me procurant des cris de jouissance dune rare intensité.

Enfin, javais ma part de plaisir ! Je croisais les pieds autour de ses reins pour imprimer le rythme, cependant, il allait si vite que je narrivais pas à suivre. Je jouissais à nen plus finir, telle une démente. Je gémissais à chaque pénétration, le dos arqué, un feu dartifice retentissant dans mon ventre. Je brûlais de désir, au propre comme au figuré.

Par la suite, mon partenaire a replié mes cuisses contre ma poitrine, mouvrant la chatte en deux. Au bout dun moment, il se retira. Sa bite sagita nerveusement sous mon nez, prête à lâcher toute la sauce. Diable, elle était incroyablement longue ! Lhomme à tête de cheval poussa un cri strident lorsquil minonda le visage. Jouvrais la bouche en grand afin de recueillir le plus de nectar possible. Et cest à ce moment précis que je me réveillais (Zut)

Je restais immobile, bien décidée à ne pas bouger du lit. Le réveil posé sur la table de chevet affichait 10h00. Julie serait là dune minute à lautre. Je repoussais donc les draps sur le côté avant de prendre la direction de la salle de bain. Ce rêve étrange occupait toujours mes pensées. Je me débarrassais de mon pyjama pour filer sous la douche et me décrasser. Le gant de toilette entra en contact avec ma chatte toute poisseuse, les lèvres gonflées dexcitation. Je venais de jouir lorsque la sonnette retentit.

***

Julie attendait sur le seuil de la maison, débordante dénergie, comme à l’accoutumée. Elle portait une mini-jupe et un haut très sexy exposant sa plastique de rêve. Elle avait les cheveux blonds coupés courts, hérissés dans tous les sens. Je manquais de tomber à la renverse quand elle se précipita dans mes bras pour me saluer.

  – Hé, doucement ! rigolais-je en tentant de la repousser.

  – Désolé, je suis trop contente de te voir. On commence par quoi ?

  – Je pensais faire un tour au centre commercial

  – Oh non, il fait si beau, rétorqua Julie. Il serait idiot de ne pas profiter du soleil. On pourrait faire un tour chez tes grand parents et dire bonjour à Caramel.

Elle me fixa droit dans les yeux, me défiant de refuser sa proposition.

  – Pas question de te défiler, insista Julie en agitant son index sous mon nez. Autrement, je raconte ton petit secret à tout le monde.

Je faisais mine de moffusquer, prête à la gronder. Bien sûr, elle nétait pas sérieuse. On se taquinait régulièrement.

  – Daccord, répondis-je en feignant un long moment dhésitation.

  – Cest génial !

Julie se jeta sur moi et membrassa sur la joue, folle de joie. À vrai dire, javais également hâte de rendre visite à Caramel. Je pensais à la vidéo de la veille, désireuse de reproduire la séquence en compagnie de Julie. Ma chatte coula à lidée dinitier mon amie à de nouvelles pratiques. Oh oui ! Je serrais autant que possible mes cuisses pour dissimuler mon état.

  – En selle, claironna-t-elle en enjambant sa bicyclette.

Je limitais, la laissant passer devant. Nous avons emprunté la grande route pour quitter la ville et rejoindre le domaine de mes grand parents. Durant le trajet, je remarquais que ma camarade ne portait pas de culotte. Sa jupe se soulevait à plusieurs reprises, dévoilant ses fesses particulièrement rebondies.

  – Jaime sentir le vent souffler sur mon cul, expliqua Julie après avoir croisé mon regard, en levant un peu plus son postérieur pour qu’il soit bien visible. Cest tellement agréable. Tu devrais essayer.

Je sentais mon visage sempourprer sous leffet de lémotion, sidérée quelle sexhibe de la sorte sans montrer le moindre signe de pudeur.

  – On pourrait te voir, bredouillais-je en regardant autour de moi.

Julie pouffa de rire et augmenta son allure avant de prendre un petit sentier de terre, mexposant une fois de plus sa magnifique croupe. Nous avons pédalé un moment à travers la campagne pour enfin arriver à destination. Lemplacement où se trouvait dordinaire la voiture de mes grand-parents était vide. Tant mieux, nous naurons pas à nous inquiéter de leur présence.

Jabandonnais mon vélo derrière lécurie, finissant à pied. Julie me collait de très près, plutôt agitée. Oh, comme je la comprenais ! Pour ma part, je navais pas encore franchi le seuil que mon estomac se contractait déjà. Ressaisis-toi ma grande ! Je sentais des petits picotements remonter le long de ma colonne vertébrale quand Julie respira de plus en plus fort dans mon dos. Je parvenais malgré tout à rejoindre le box de Caramel. Celui-ci redressa la tête en nous voyant venir et poussa un hennissement de contentement. Javais limpression que nous étions séparés depuis une éternité ! Enfin, jouvrais la porte de lenclos pour lui caresser le visage. Il apprécia beaucoup. Julie se posta à mes côtés, les yeux flamboyants.

  – Ah, voici le don Juan de mademoiselle. Comment vous sentez-vous aujourdhui?

Caramel fit tournoyer sa queue dans les airs.

  – Il est en pleine forme, répondis-je en longeant lanimal.

  – Je peux le toucher ?

  – Bien sûr. Il est très affectueux.

Julie promena sa main sur le flanc avant de prendre une profonde inspiration. Elle eut un léger frisson lorsquelle sentit la chaleur de Caramel se propager dans la paume de sa main.

  – Il est brûlant, fit-elle remarquer, enthousiaste.

Je lui adressais un sourire complice, ayant de plus en plus de mal à dissimuler mon excitation. Dans ma tête, je voyais déjà Caramel nous saillir comme des juments ! Impatiente, jajoutais :

  – As-tu envie de toucher quelque chose de plus brûlant encore ?

Je pouvais lire la réponse sur le visage de mon amie. Elle le désirait ardemment. Aucun doute possible à ce sujet quand je la voyais sagiter dans tous les sens, le regard fiévreux. Je me glissais alors sous le ventre de Caramel pour le stimuler un peu. Jétais plutôt ignorante en la matière mais je suppose quil fallait faire comme sil sagissait dun homme. Je posais ma main sur ses testicules et les caressa longuement. Au bout dun moment, son sexe émergea du fourreau en devenant de plus en plus gros.

  – Waouh ! sexclama Julie.

Je lui faisais signe de venir auprès de moi. Elle sexécuta presque aussitôt sans perdre une miette du spectacle. La savoir à mes côtés me rendait fébrile. Je saisissais le sexe de Caramel pour le masturber le plus doucement possible. Julie ne tarda pas à me rejoindre, plaçant sa main au-dessus de la mienne.

Par la suite, je prenais le gros membre de mon étalon à pleine bouche pour lui faire une fellation bien baveuse. Je continuais de le branler tandis que ma langue titillait louverture de son gland. Il avait encore meilleur goût que la veille. Julie se joignit finalement à la fête, embrassant le sexe de Caramel sur toute sa longueur. Elle poussait des petits gloussements lorsque nos regards se croisaient. De mon côté, je relevais mon tricot afin de libérer mes seins tendus à lextrême. Mes tétons fièrement bandés furent rudement passés à tabac par lénorme gland de mon amant.

Entre-temps, Julie écartait les cuisses pour plonger les doigts dans son puits damour. Elle lâchait des gémissements en gardant sa main sur la verge de Caramel. Pour ma part, je prenais beaucoup de plaisir à la regarder. Quel phénomène ! Elle navait vraiment pas froid aux yeux Et toute cette agitation me rendait encore plus folle. Javais une envie urgente de sentir cette grosse bite dans mon ventre.

Je me déshabillais en un éclair, approchant le sexe de Caramel tout près de ma chatte. À peine mavait-il effleuré que je goûtais à mon premier orgasme. Quelle sensation merveilleuse ! Je serrais les cuisses pour le presser contre mes lèvres, affichant un sourire de béatitude.

  – Oh, cest si bon Julie

  – Je suis là, répondit cette dernière en se collant contre moi.

Je poussais un cri très bref quand le membre senfonça dans mon ventre. Je le sentais grossir à nen plus finir, ne tardant pas à être soumise à des vertiges contre lesquels je ne pouvais lutter. Le bonheur tambourinait à ma porte. Pendant ce temps, Julie profitait de la situation pour faire rouler mes mamelons entre le bout de ses doigts, marrachant des rugissements de plaisir.

  – Aaaah, je jouis ! criais-je au bout de quelques secondes.

Jécartais en grand les cuisses pour avoir de meilleures sensations, encaissant les coups et produisant des gémissements vraiment forts tellement cétait divin.

Finalement, Julie prit ma place après que jeus été saisie dun ultime grand frisson. Je me glissais derrière elle pour saisir le chibre du cheval et le guider entre les jambes de ma copine nymphomane. A cet effet, elle commença à bouger son corps puis à pousser des hurlements de bien-être lorsquelle sentit son vagin se dilater à lextrême.

  – Tu prends bien ton pied ? toi qui voulait tant le voir lui soufflais-je à loreille.

Julie continuait de crier tandis que le sexe hors normes la limait sans relâche, manquant de la faire sécrouler dans la paille. Cela dura plusieurs minutes avant quelle nobtienne un bel orgasme.

Pour terminer, jinvitais Julie à me rejoindre sous lanimal pour recevoir notre dose de sperme. Je buvais jusqu’à plus soif, tâchant de ne pas perdre une goutte de ce doux nectar. A son tour, ma compagne sempressa de me nettoyer le visage, bien décidée à avoir sa part du gâteau. Je lembrassais le plus naturellement du monde, fouillant sa bouche à la recherche dune quelconque trace de semence. Elle avait lair dapprécier car elle me rendit la pareille en calant deux doigts dans ma chatte.

  – Cétait vraiment géniale, répondis-je au bout dun moment, après avoir revêtu mes habits.

  – Tu métonnes ! Promets-moi que nous remettrons ça dans pas longtemps.

  – Bien sûr. Après aujourdhui je pourrais difficilement me passer de Caramel même si je désirais le contraire.

  – Je te comprends, fit Julie en me lançant un regard complice.

  – Tu as entendu ?!

Mes grands-parents étaient de retour. Je pouvais entendre leur voiture approcher. Nous avons enfourché nos bécanes, filant à langlaise et riant aux éclats.

Un sentiment de bien-être mhabitait soudainement. A présent, je nétais plus seule. Je partageais quelque chose dunique avec Julie. Mon secret était entre de bonnes mains.

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