Il s’agit d’un nouvel auteur que j’ai découvert sur "Stories on line"
Il s’agit d’un homme qui professionnellement et pour son plaisir a énormément vécu et voyagé en Afrique.
Ces histoires bien que fortement romancées et outrées se veulent un témoignage de certains milieux africains.
Leeane
Coulybaca / Expatdad
CopyrightrC 2006 Expatdad
Leeane se tortillait dans les bras de Osagyefo Kuntunkununko il la tenait étroitement serrée contre son corps, elle se sentait impuissante.
Cette attitude était tout à fait déplacée.
Elle cherchait à le repousser, il était pire qu’un collégien aux mains vagabondes et à l’haleine chaude, il avait été assez grossier pour glisser un concombre ou une grosse carotte dans sa poche pour la frotter contre elle.
C’était le type de comportement des adolescents boutonneux qu’elle côtoyait lorsqu’elle fréquentait le lycée de Watford lors de ses 16 ans.
Mais pas celui d’un homme mature directeur d’un département dans la nouvelle compagnie de son mari.
Tout cela avait commencé assez innocemment, ils avaient été invités à une petite fête de bienvenue, la plupart des directeurs de départements étaient présents, tous Africains, ce qui ne constituait pas vraiment une surprise.
La plupart des chefs d’équipes étaient blancs, ils se trouvaient tous là accompagnés de leurs épouses et leurs filles en âge d’assister à ces réunions.
Bien que certaines semblent très jeunes, en réalité elles avaient tous plus de 18 ans.
La sale de danse était vaste, l’atmosphère à l’insouciance, tout se passait très bien. Elle avait dansé avec tous les directeurs africains, cela semblait la meilleur chose à faire.
Mark buvait beaucoup comme à son ordinaire, mais il n’avait pas encore perturbé la soirée comme cela arrivait parfois.
Après six ans de mariage, il avait la réputation d’être un bon vivant, un grand buveur.
Vers la fin de la soirée, l’orchestre s’était mis à jouer de la musique plus intime et elle n’avait pas résisté lorsque l’Africain avec lequel elle dansait l’avait serrée contre lui, elle regrettait vivement maintenant de ne pas être retournée immédiatement auprès de son mari.
Le slow avait tourné au corps à corps avec un Africain aux mais baladeuses et à la libido d’un adolescent qui découvre le sexe pour la première fois.
Elle chercha des yeux son mari parmi l’assistance quêtant son aide, Mark sirotait un verre de "Pimm’s N° 1", elle grimaça dans son fort intérieur, combien en avait-il déjà bu? ….
Elle avait perdu le compte du nombre de "Pimm’s N° 1" que son mari avait éclusé au cours de la soirée.
Depuis qu’ils avaient découvert ce cocktail à base de limonade, d’orange, de banane, d’eau de vie et de divers fruits exotiques, dont elle ne connaissait pas le nom, ils l’avaient adoré.
Par malheur c’était assez fort et Mark ne brillait pas par la modération, il avait déjà, très certainement dépassé ses limites, cela ne le gênait pas, dans le premier mois de leur arrivée au Zimbabwe ils n’avaient vu qu’une voiture de police et le chauffeur de cette voiture était ivre-mort.
Cela les avait rempli d’effroi de négocier avec des policiers dans une voiture qui zigzaguait sur la route.
— "Ohhhhhhh! …."
Elle leva la main pour gifler le visage d’Osagyefo.
Le souriant Africain venait de lui peloter fermement un de ses nichons bien ferme.
Il reçut la gifle avec une grimace et tira avantage de son geste pour glisser sa main autour de sa taille de quelques centimètres de plus vers la gauche.
Elle chercha de nouveau à repousser son torse.
Elle se heurtait à un véritable mur de briques.
Ses poussées semblaient n’avoir aucun effet sur lui tant qu’il la maîtrisait un bras autour de la taille.
Osagyefo était ravi d’avoir cette jeune femme entre ses bras.
Prenant une forte inspiration il savoura son parfum rafraîchissant, une chaude arôme de chair blanche bien fraîche.
Les femelles blanches avaient une odeur corporelle tout à fait différente des femmes Africaines, et Osagyefo adorait cette odeur.
Elle semblait n’arborer aucun parfum, mais ses flagrances naturelles étaient enivrantes.
Il jeta un oeil sur sa chevelure fauve qui cascadait sur ses épaules.
Ses mains descendirent le long de ses bras se régalant de la douce texture de sa peau soyeuse.
Leeane se tortillait cherchant à se libérer de ses mains baladeuses, mais il les reposa sur sa taille, il la maintenait avec force.
Il la maintenait fermement contre lui tandis qu’il glissait une des mains sous son corsage la caressant à même la peau.
Il aimait sa façon de se trémousser et de se tortiller pour se libérer de son emprise.
Cette jeune femelle blanche était vraiment mignonne, il la tira fortement contre lui et se frotta contre son corps.
Il guettait dans son regard l’éclair de résignation qui la lui livrerait.
Elle cherchait à rester polie ne voulant surtout pas avoir une scène avec l’employeur de son mari.
Il sourit à pleines dents, il adorait ces moments privilégiés.
Ses mains glissèrent plus bas. Il empauma fermement le somptueux petit derrière de la femme de leur nouvel ingénieur.
Sa croupe était ferme et bien galbée.
Leeane se tortillait à nouveau alors que ses mains remontaient sur sa taille.
Sa bite était entièrement déployée alors qu’il se frottait contre elle, elle essayait toujours de se dégager sans faire d’esclandre.
Leeane sentait ce concombre qui frottait rugueusement contre son ventre, de bas en haut.
Quel stupide idiot! ….. Pouvait-il vraiment penser que ce truc d’adolescent plaidait vraiment en sa faveur? ….
Elle recula ses hanches tout en le repoussant des bras.
Malheureusement, en reculant ses hanches pour se tortiller plus facilement, le haut de son corps s’avança et ses nibards s’aplatirent contre son torse.
La main qui avait empaume un de ses nichons glissait maintenant sur son épaule la pressant encore plus contre lui.
Ses miches s’écrasaient contre ses pectoraux, elle le gifla de nouveau.
Le sourire d’Osagyefo s’élargit encore en voyant la réaction violente de cette jeune femme qu’il étreignait fermement.
C’était impossible, où se trouvait donc son mari…..
Osagyefo savourait le contact des nichons ronds et bien fermes serrés contre sa poitrine, il n’y avait pas beaucoup d’Africaines qui pouvaient se vanter d’avoir des nibards aussi voluptueux que ceux de la femme de Mark.
Il était de plus en plus excité à les sentir frotter contre son torse. Il se représentait déjà les triturant, les étirant avant de les sucer et de les mâchouiller.
Même au travers de leurs vêtements il profitait de la rigidité de ses mamelons.
Elle était excitée en dépit de ses protestations, il la ferait miauler de désir lorsqu’il triturerait ses tétons dardés.
Il l’entraîna de quelques pas de plus vers le vestibule bordé de chambres accueillantes.
Les autres danseurs se trémoussaient à, leurs cotés alors qu’il entraînait inexorablement l’adorable jeune femme vers les chambres.
Tous les assistants connaissaient ses intentions, à part son mari et elle-même bien sur! ……
Sarah, Tania, et Laura envieuses regardaient avec jalousie, Leeane entraînée en travers de la pièce.
Bob, John et Gary observaient tout excités à la pensée de ce qu’allaient faire ces Africains à la femme de Mark cette nuit même, se vautrant entre ses cuisses et ses fesses.
La pensée de cette somptueuse jeune femme maintenue en place tandis qu’un autre Africain introduirait sa bite noire entre ses lèvres les rendait fous d’excitation.
Leeane allait vivre une expérience que leurs femmes et files avaient vécues auparavant.
Mark ce collègue si fier de sa femme allait être cocufié dans le plus pur style Africain, de nombreux Africains allaient se vautrer entre les cuisses de sa femme pour satisfaire leurs appétits lubriques.
Susan et Rebecca, toutes deux âgées de 18 ans, boudaient à la vue de cette jeune femme focalisant l’attention de tous les hommes aux dépens de leurs jeunes formes et de leurs corps assoiffés de plaisir.
Elles étaient toutes deux très chaudes, follement excitées, impatientes de ses faire baiser ce soir même.
Leeane était charmante, à 26 ans elle était en pleine fleur de sa féminité, elle était grande pour une femme, 1, 70 m environ et surtout exceptionnellement bien faite, ses longs cheveux blonds cascadaient sur ses épaules nacrées.
Ses nichons bien ronds, d’une fermeté exemplaire attiraient tous les regards alors que ses longues jambes fuselées faisaient ressortir les forme opulentes de sa croupe, un véritable délice pour des mains averties.
Les directeurs Africains sirotaient leurs boissons enviant Osagyefo dont c’était le tour de subordonner la nouvelle expatriée. Sa bite serait la première à distendre la chatoune sa chatte indubitablement trop étroite pour des bites noires.
Ils vidèrent leurs verres tout en reluquant Sarah, Tanya, Susan et Rebecca se préparant à passer le temps avec elles avant que ce soit leur tour de posséder la ravissante Leeane.
Maintenant cet ensorcelant brin de féminité était serré dans les bras d’un Africain fort déterminé à faire d’elle ce qu’il voulait, et il était sur le point d’obtenir entière satisfaction.
Mark se releva brusquement, il sentait que l’atmosphère de la réunion avait changé.
De l’autre coté de la salle il vit sa femme dans les bras du directeur de production. Elle semblait se débattre.
Il secoua sa tête pour éclaircir ses idées et regarda de nouveau.
Cette fois il l’étreignait fermement, ils semblaient danser lentement. Tous les couples dansaient de même, les femmes étroitement serrées dans les bras de leurs danseurs.
Il se servit un autre verre et regarda de nouveau sa femme et Osagfefo, au travers d’une légère brume il vit que la large main noire d’Osagfefo se promenait sur la taille de sa femme.
Elle glissait plus bas et il caressait maintenant carrément son opulent fessier, sa main noire se découpait franchement sur la blancheur éclatante de son jean.
Hey, ce genre de caresse lui était réservé! …..
Il se dirigea vers Osagfefo et sa femme, mais dut faire une pause, saisi d’un vertige, pour une fois il regretta d’avoir trop bu.
Reprenant le contrôle de soi, il reprit sa marche en avant… Pour découvrir qu’ils n’étaient plus là! ……
Médusé, il jeta un coup d’oil circulaire.
En regardant par-dessus l’épaule du Directeur des ressources humaines, Agboli Agbo qui se tenait dans le chambranle de la porte, il remarqua soudain que Leeane et Osagfefo se tenaient à l’extrémité du vestibule.
Leeane se débattait en tentant de le repousser à deux mains de ses petits bras musclés.
Il avait verrouillé ses mains autour d’elle et l’entraînait vers la porte la plus proche.
Il lutta pour surmonter nausée montant de son estomac, ce n’était vraiment pas le moment d’être malade.
— "C’est ma femme! ….."
Il agitait ses bras pour vaincre un nouveau vertige qui le terrassait.
— "Patron, dites-lui d’arrêter….. Il va la violer! …."
Agboli jeta un oil derrière lui et revint vers l’ingénieur anglais ivre mort.
Il espérait qu’il ne serait pas aussi saoul, pendant les 23 mois de contrat qu’il lui restait à effectuer.
Il espérait ne pas avoir recruté un soûlard.
Il attendait un résultat probant du travail de ses employés quand bien même ses amis et lui baisaient allègrement leurs femmes et leurs filles.
— "Arrêtez le patron! …. Je vous en prie! …."
Agboli adorait entendre les blancs le supplier.
Il aimait encore plus entendre leurs femmes et leurs filles le supplier, c’était réjouissant de voir ces experts professionnels réduit à quémander.
Il répondait toujours aux plaintes des femmes.
Toutefois Mark n’aurait pas cette chance.
— "Ne soyez mas idiot Mark….. Vous avez trop bu….. Ne faites pas de scandale….."
— "Mais….. Mais… "
La masse d’Agboli bloquait le passage.
— "Elle… Il… "
Tania, la femme de John s’approcha et jeta un oeil au-dessus de l’épaule d’Agboli.
— "Ca va Leeane? ….. Vous vous sentez bien? ….."
Leeane jeta un oil sur l’autre bout du corridor, mais elle ne pouvait pas apercevoir son mari caché derrière Agboli. Elle vit Tania qu’elle toisa du regard. Elle se débattit pour libérer ses bras et lui faire signe.
Essoufflée, hors d’haleine après sa lutte, elle ne parvenait pas à proférer un mot, Tania se retourna sur Mark et posa sa main sur son bras.
— "Tout va bien….."
— "Mais il la force à le suivre vers cette pièce! …."
— "Non, je ne crois pas… Vous a-t-elle appelée? …. A-t-elle réclamé votre aide? …… Elle ne se bat pas, ne donne pas des coups de pieds, ne hurle pas au secours….. Je pense que vous avez un peu trop bu et que de ce fait vous interprétez mal ce qui se passe! …."
Mark jeta un oeil au-dessus de l’épaule d’Agboli, Osagyefo avait ouvert la porte de la pièce au fond du corridor.
D’un mouvement rapide sa main gauche s’était plaquée sur sa croupe et d’un coup de poignet il la propulsait dans la chambre.
Mark vit disparaître Leeane comme aspirée par la porte.
Osagyefo sourit de toutes ses dents et le suivit dans la chambre refermant la porte dans son dos.
Agboli sourit à Mark et Tania, il posa sa main gauche sur la taille de Tania alors que sa main droite plongeait profondément dans son décolleté.
Mark regardait incrédule alors qu’il extrayait un de ses blancs nichons de son corsage.
Il avait les yeux rivés sur la large main noire qui empaumait et caressait son nibard au téton dardé.
Hébété, il se tourna pour apercevoir la réaction du mari de Tania qui approchait un verre de Pimms frais à la main.
Mark pris le cocktail fort étonné que John ne manifeste ni fureur ni commentaire alors qu’Agboli caressait les miches de sa femme en public.
Il était confondu.
Leeane haletait totalement hors d’haleine, Osagyefo lui avait claqué les fesses et l’avait clouée contre le mur.
Il avait empoigné ses longues tresses et tirait dessus pour lui tirer la tête en arrière.
Il étouffa les couinements de Leeane en posant ses lèvres sur les siennes.
Elle était choquée de voir sa bouche rechercher un contact intime avec les siennes alors qu’une vive douleur irradiait de son crane.
Avant même de réaliser ce qu’elle faisait, elle répondit à ses baisers. Ses lèvres s’écrasèrent sur les siennes à son grand plaisir. Son ardente demande l’électrisait.
Elle couina à nouveau alors que sa main plongeait entre ses cuisses.
L’animal.
Il était si grossier, si rude.
Si énergique.
Son comportement d’adolescent attardé faisait place aux assauts sexuels d’un homme fait, ses genoux faiblissaient.
Il tira plus fort sur ses cheveux, elle soupira tout contre ses lèvres, et l’embrassa franchement, il darda sa langue dans sa bouche asservie.
Elle tenta faiblement de repousser sa main qui fouillait son entrejambes, sans aucun succès.
Il empauma sa vulve et entreprit de triturer sa chatoune.
Elle gémissait entre ses lèvres.
Sa main quitta son entrejambes et des doigts puissants déboutonnèrent la braguette de son jean blanc.
Le son de la fermeture éclair que l’on descend provoqua des myriades d’étincelles dans l’esprit et les reins de Leeane.
— "Mark… Mark… " elle se débattait en pensant à son mari.
La large main noire s’inséra dans sa braguette de jean, pénétrant profondément dans sa petite culotte.
Elle se tortilla désespérément pour l’empêcher de porter la main sur son intimité, elle avait une peur panique qu’il ne découvre son niveau d’excitation.
Elle était si honteuse de se sentir excitée par un autre que son mari.
Sa révolte ne faisait que retarder l’inéluctable.
Un doigt noir épais s’introduisit dans sa fentine détrempée. Il l’accrocha à nouveau par sa chevelure soyeuse et la repoussa en arrière.
Elle gémissait dans sa bouche.
Lorsque leurs lèvres se séparèrent, elle le regarda droit dans les yeux.
Des yeux souriant ironiquement, railleurs qui semblaient deviner ses émois.
Son doigt explorait ses babines les parcourant de long en large, sa cramouille était trempée, elle lutait maintenant pour ne pas glisser au bas du mur, ses genoux tremblaient, le doigt dessinait des petits cercles dans son intimité épanouie.
— "Ohhhhh quelle pute! …"
Ces termes crus la choquèrent profondément.
— "Non… Nonnnnnn… "
Son index continuer à tracer de petits cercles dans sa grotte enfiévrée alors qu’il venait de dénicher du pouce son clito dardé.
— "Oooooooooh…."
— "Pute… Pute…."
— "Nonnnnnn….."
Il sourit et hocha la tête tout en continuant à l’exciter de l’index et du pouce.
— "T’aimes ça adorable petite salope anglaise? …."
Leeane était follement choquée, comment pouvait-il se permettre de s’adresser à elle en ces termes triviaux? …..
— « De quel droit la traitait-il ainsi? ….. »
Son doigt s’enfonça encore plus profondément dans sa caverne marécageuse, elle se sentit défaillir de plaisir.
Il retira son doigt de sa chatoune et Leeane se surprit à espérer son proche retour au creux de son intimité affolée.
Ses mains se posèrent sur sa taille descendant son jean, elle tortilla des hanches pour l’aider à l’enlever, sa petite culotte partit avec son jean.
Puis il la cloua à nouveau contre le mur entre ses bras en commençant à lui rouler des patins enfiévrés.
Sa main s’était glissée dans son corsage.
Elle ne lui offrit aucune résistance alors qu’il caressait de ses mains puissantes ses opulents nibards aux mamelons érigés.
Elle était abasourdie de constater que ses mains étaient si rudes, pleines de callosités, des mains de travailleurs.
Des mains de laboureur qui aurait travaillé dur.
Pas les mains douces de son intellectuel de mari ou celles qu’elle s’attendait à trouver chez un directeur de département.
Elle se sentait légèrement coupable de se livrer à cette comparaison.
Elle se libéra vivement et il la gifla soudainement.
Choquée, elle gardait ses yeux rivés sur les siens, il la gifla encore.
— "On ne joue plus! ….."
Il la serra plus étroitement contre lui.
En un instant il déchira son corsage.
Leeane était terrifiée.
Mark lui avait offert ce corsage lors de leur premier anniversaire de mariage à Paris.
Elle était nue.
Osagyefo tendit la main qu’il en entortilla des mèches autour de ses doigts.
Il l’enlaça fermement, puis utilisant sa prise dans sa chevelure il l’entraîna vers le grand lit.
Hébétée, elle criait sa douleur.
Il la traîna par les cheveux pour traverser la pièce et elle s’effondra sur le lit.
L’animal! …..
La traiter aussi brutalement! ……
Elle roula sur le dos et braqua ses yeux sur lui.
Il se tenait face à elle, serein.
Incroyable, pensa-t-elle, cet homme qui venait de la dépouiller de ses vêtements, exciter, et jeter sur le lit la regardait impavide, comme si tout était normal.
Elle ne fit aucun effort pour quitter le lit.
Fascinée, elle le regardait déboucler sa ceinture, puis il ôta sa veste et sa chemise, son pantalon, elle le regardait sidérée… Le concombre… Ce n’était pas un concombre…… C’était du réel! ……
Elle se recula au fond du lit, effrayée.
Il rit aux éclats et empoigna ses fines chevilles de ses main puissantes et lui releva les jambes.
Il l’écartela, puis la pénétra rudement lui distendant la chatte à l’extrême… Mais c’était si bon! ……
Elle se sentait mieux que bien.
C’était terrifiant.
Elle se tordait et se tortillait sous lui.
Son puissant corps noir montait et descendait entre ses cuisses, il se retirait puis donnait de violents coups de boutoir.
Elle l’étreignit fermement et s’agrippa à son dos.
Elle adorait les incroyables sensations auxquelles lui faisaient goûter son énorme concombre noir.
Elle n’avait jamais rêvé qu’une bite puisse être aussi grosse! ……
Qu’elle puisse être si longue et si épaisse! ……
Qu’une bite d’une telle taille puisse la pénétrer! ……
Qu’elle puisse lui faire autant de bien! …..
C’était bien meilleur que de faire l’amour avec son mari pourtant si attentionné, attentif à lui donner du plaisir! ……
Elle couinait et gémissait, haletante, éperdue.
Elle l’encourageait à la sonder encore plus profondément! …..
Lorsqu’il éjacula au fin fond de son utérus, ce fut semblable à un geyser crachant des jets chauds et vaporeux dans les airs.
L’orgasme qui la terrassa brusquement l’emporta aux portes de l’inconscience.
Elle gisait satisfaite et rassasiée sur le lit, alors qu’il se rhabillait.
Elle serait bientôt choquée, d’apprendre qu’Osagyefo fêtait ce jour même son soixantième anniversaire, mais c’est bien plus tard qu’elle découvrit son âge.
Elle était encore abasourdie de ne pas avoir su résister à ses avances.
Comme il quittait la pièce, un autre Directeur, Samuel Osabu, entrait.
Embarrassée, Leeane voulut attraper ses vêtements pour se rhabiller.
Samuel lui sourit et rangea ses vêtements hors de sa portée. Elle le regarda en pleine confusion. Elle se réfugia au fond du lit alors qu’il s’approchait d’elle.
Ses grosses mains noires lui empoignèrent les épaules et il l’allongea à plat dos sur le lit.
Choquée, elle le fixait effrayée alors qu’il se déshabillait rapidement.
Machinalement ses yeux s’attardaient sur la bosse qui déformait le devant de son pantalon. Elle écarquillait les yeux en constatant à quel point cette bosse était grosse.
Allongée sur le dos elle resta appuyée sur les coudes le temps de son effeuillage.
Lorsqu’il grimpa sur le lit elle écarta d’elle-même ses cuisses en grand pour l’accueillir.
Il lui semblait invraisemblable que ces hommes puissent avoir des bites aussi grosses et longues.
Trois autres Directeurs participaient à cette soirée.
Leeane ne fut nullement désappointée à la vue de leurs bites respectives ni par leurs performances et les réponses de son corps.
Mark se réveilla le lendemain avec une sévère gueule de bois, et peu de souvenirs de la soirée de la veille.
Son subconscient, agissant comme un filtre, avait éliminé les événements scabreux de sa mémoire! …..
Leeane gisait repue à ses cotés, elle attendait déjà avec impatience la prochaine soirée organisée par la compagnie…….
Traduit de l’anglais par CoulybacaAvec l’aimable autorisation de l’auteur Expatdad qui me demande de préciser qu’il n’a pas lu cette transcriptions de son histoire en françaisdominique.dubuissez.orange.fr Tous les commentaires seront les bienvenus (de préférence en langue anglaise)Expatdad ([email protected])