Sur ces entrefaites Joris est arrivé et a filé se changer ; jai remis mon soutien-gorge et nous avons plongé dans la piscine pour refroidir nos idées. Puis nous avons joué avec un ballon, des boudins gonflés, tout ce qui nous passait sous la main ; à larrivée de papa, nous étions sagement allongés côte à côte tous les trois à écouter de la musique sur une station dipod. Le soir, ce fut plancha de légumes (aubergines, tomates, poivrons) puis de fruits (ananas) accompagnée dun rosé léger et fruité bien frais. Tout le monde est parti se coucher en même temps ; je me suis douchée en vitesse, jai mis mon pyjama short et je suis allée toquer à la porte dAmaury. Il ma ouvert tout de suite, une serviette de bain nouée autour des hanches. Avec un grand sourire, mais les yeux empreints dune certaine gravité.

Je peux entrer ? Pas longtemps, je veux pas te déranger.

Tu ne me déranges pas ; et tu ne me dérangeras jamais. Viens.

Il a tendu sa main pour me tirer contre lui et refermer la porte dans mon dos. Jétais si bien que jai poussé un petit gémissement. Jai fermé les yeux et passé mes bras dans son dos en soupirant. Il sentait bon, une odeur de vanille et de citron vert avec, en dessous, cette odeur musquée typique de mâle. Jentendais son cur battre fort, sa respiration lente. Ses mains étaient posées sur mes reins, immobiles et chaudes ; jai glissé les miennes sous la serviette qui a dû se détacher car je lai sentie tomber sur nos pieds. Jai caressé ses fesses musclées et il a frémi contre moi, sa verge sest pressée contre mon ventre en se déployant.

Léa, tu es bien dissipée, je trouve, me prévint-il dune voix rauque.

Je suis bien, tu ne peux pas savoir.

Tu as envie de faire lamour ?

Jen crève denvie, oui. Sil te plaît.

Main dans la main, nous somme allés jusquau lit. Trois pas seulement, un périple digne de lodyssée pour mon petit cur. Jai enlevé mon haut de pyjama, exposant ma poitrine gonflée ; il a fait glisser mon short, dévoilant mon pubis bombé à la toison blonde. Mes yeux restaient rivés sur sa virilité, si grosse que je me demandais quand même comment jallais pouvoir recevoir son épaisseur sans être déchirée, à tout le moins incommodée. Amaury ma fait allonger et sa tête a plongé sur mon intimité offerte. Rapidement, il a écarté et remonté mes cuisses tellement que mes lèvres vaginales se sont ouvertes. Quand sa langue a glissé une première fois sur mes nymphes, jai frémi de tout mon corps en attente.

Jamais mon boyfriend ne mavait fait ça, cétait dément ! Mon bas-ventre a décollé tout seul du lit, Amaury restait soudé à ma fente et aspirait mes lèvres intimes, mon jus ; jai empoigné mes seins et pincé les bouts jusquà la douleur, poussant un cri rauque de jouissance. Mais il a continué, impassible, buvant mon nectar à la source, bloquant mon bas-ventre qui tressautait de manière incontrôlable. Essayant de retenir mes cris de plaisir, je mordais mes lèvres, serrais les dents. Jai été fauchée par un nouvel orgasme qui ma laissée pantelante, la respiration lourde et le cur à 130 pulsations minute.

Il ma laissée retomber doucement sur le lit et jai ouvert les yeux, la vision un peu voilée par la jouissance. Jai aperçu son sexe dressé, gonflé à fond, qui sapprochait et se posait sur mes nymphes trempées, mon ventre sest ouvert sans peine à lintrusion, mais jai grimacé, entre gêne et douleur, quand mon vagin trop étroit a commencé à prendre la mesure de lintrus. Cétait épais, mes chairs souvraient difficilement pour prendre la mesure du gland. Je nai pas eu besoin de mettre mes mains en opposition car Amaury sest arrêté, seul le gland était en moi.

Merci de faire doucement, jai un peu peur.

Tu verras, tu vas ty habituer rapidement ; à ton âge, tu es forcément très souple, et dici quelques jours, ton vagin comme ton anus seront assouplis et tu me réclameras !

Heu. Doucement ! Pour mon anus, je nai jamais fais ça, je ne crois pas… Oh ! Mon Dieu ! Continue, cest trop bon, vas doucement… Que tu es gros, cest trop

Sidérée, je regardait la verge énorme disparaître peu à peu en moi, je ne savais pas que je pouvais accueillir si gros, si long. Le contraste était saisissant entre lépieu violacé et mes nymphes rose pâle, je me sentais emplie, distendue, et jadorais ça. Jai pris les hanches dAmaury et lai tiré vers moi, les derniers centimètres ont pénétré et jai senti le gland appuyer tout au fond de mon ventre, marrachant un hoquet. Jai souri et fait un clin dil à Amaury, qui ma embrassée tendrement avant de se mouvoir en lents va-et-vient qui provoquaient une houle de mon bassin.

Il a empoigné mes seins gonflés, faisant saillir les mamelons quil a tétés à tour de rôle, tout en amplifiant le rythme de pénétration. Maintenant, mon ventre allait à sa rencontre dans un choc sourd de nos pubis, javais encerclé ses hanches de mes jambes, bien offerte.

Alors, ma petite chérie, tu veux que je continue ?

Oh oui, continue, par pitié

Il sest retiré complètement, me laissant béante et totalement impudique. Son visage était froid, calculateur.

Si tu as envie, demande-moi, donne-toi plus.

Prends-moi plus fort, vas-y, sois sans crainte, je ne suis pas en sucre.

Il a soulevé mes cuisses et je lai guidé en moi pour quil me pilonne encore et encore, longuement, de plus en plus vite et de plus en plus fort. Jai commencé à jouir et jouir encore sous ses assauts vigoureux, tous mes sens, tous mes nerfs étaient connectés à mon vagin et mon bouton engorgé alors quil me prenait sans faiblesse, juste attentif à mes gémissements. Il avait empoigné mes hanches pour pouvoir me tirer à lui en même temps quil senfonçait en moi, et nos ventres claquaient sèchement à chaque fois. Enfin, il sest planté aussi loin quil pouvait pour éjaculer en épaisses rasades et jai joui si fort quun voile noir a obscurci ma vision.

Il est tombé sur moi, mécrasant un peu ; nous avons repris notre souffle peu à peu et jai réalisé que nous étions couverts de sueur ; jai embrassé son cou humide et léché le liquide salé en souriant. Jétais un peu écrasée par sa masse mais jétais bien, je sentais son engin toujours planté en moi, il navait pas lair de diminuer de volume. Jai poussé lépaule gauche dAmaury et lai fait basculer sur le dos, mon bassin a accompagné le mouvement et je me suis retrouvée le chevauchant. Mouvement si bien synchronisé que la verge était sortie seulement pour moitié peut-être, mais je me suis assise de façon quelle se retrouve à nouveau bien plantée en moi.

Alors, beau brun, tu as aimé ? Parce que moi, jai adoré.

Cétait génial, Léa. Tu es géniale. Tu es mon petit amour, ma jolie blonde que je serai fier de présenter, de promener à mon bras.

Jaime bien quand tu me parles comme ça, tu sais.

Je te parlerai souvent comme ça. Et je te traiterai aussi de salope, de chienne quand je te sauterai, quand je tenculerai.

Oui, bon. Je ne dis pas que je refuse la sodomie, mais tu feras attention, je nai jamais fait ça ; je comprends que jaurai mal, mais si tu y vas doucement

Je te promets de te préparer pour que ça rentre comme dans du beurre ; je veux pouvoir te prendre par tous tes orifices, mais pas te démolir, ma petite chérie.

Parce que tu es quand même vachement gros, tu sais ; je te sens en moi, cest tout dur, chaud, ça palpite.

Bon, cest pas tout, travaille un peu, remue ton cul sur ma grosse queue, quelle soit bien raide, puis tu vas me montrer comme tu tailles une pipe.

A vos ordres, chef !

Il était raide, dur comme du bois, et rapidement je me suis relevée, laissant échapper la grosse verge de mon sexe trempé pour maccroupir juste à côté. Javais les yeux à quelques centimètres du gland décalotté, luisant de mouille et de semence, super appétissant. Je me suis mordue la lèvre inférieure en le prenant dune main qui nen faisait pas le tour. Jai léché le gland, goûtant le mélange de sperme et de cyprine qui le recouvrait, puis je lai gobé et tété aussi fort que je pouvais, les yeux dans les yeux dAmaury ; il aimait ça. Jai essayé davancer un peu ; je nessayais pas de passer ma luette, pas trop sûre de moi et de mes réactions.

Faudra que je tapprenne à faire des gorges profondes ; pas facile au début mais très chouette ensuite. Pour aujourdhui, je me contenterai de ta chatte, mais je veux que tous tes orifices soient à moi, où et quand je le veux.

Moui, mon chéri, mais ta verge est tellement longue que ça va pas être facile.

Il ma prise longtemps cette fois-là, mobligeant à mordre le drap pour ne pas hurler ma joie ; quand il était prêt à exploser il sortait vivement de mon vagin distendu pour se faire lécher, puis il reprenait son pilonnage en règle ; je moffrais sans pudeur, prenant les positions quil voulait. Et je jouissais, par vagues énormes qui memportaient loin et me laissaient pantelante, les membres gourds ; quand il sest vidé en moi, jétais allongée sur le ventre, cambrée, et il tenait mes hanches pour me verrouiller à sa verge démoniaque qui memplissait la matrice de semence.

Plus tard, nous avons pris une douche commune en nous savonnant tendrement, et cette nuit est la première que jai passée dans les bras dun homme. Lhomme que jaimais et qui maimait. La suite ? Nous nous sommes mariés deux ans après, jai eu, nous avons eu, deux enfants, un garçon et une fille. Le bonheur, dans toute sa banalité et sa simplicité. Amaury madore, mais quand il dit quil va aller chez les putes, je le regarde en battant des cils, et je lui réponds :

Reste, mon chéri, tu en as une à la maison. Et pas chère. Pour un croissant, tu as droit à une pipe ; et javale, je ne parle pas du croissant. Pour un pain aux raisins, tu me baises la chatte autant que tu veux. Pour un assortiment de viennoiseries, cest sodomie.

Nous sommes jeudi, ma chérie.

Alors le jeudi, cest assortiment de viennoiseries.

FIN

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