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La boîte à outils – Chapitre 10




La boîte à outils 10 Pris en flagrant délit dadultère

A plusieurs reprises, par ruse, par chantage Al a imposé des rapports sexuels à Marie, épouse de Pascal. Doù tient-il le pouvoir de la soumettre à son bon plaisir? Comment Pascal pourra-t-il lutter et résister à cette emprise dAl sur Marie. Celle-ci a été imprudente, Al a forcé sa porte, la battue et a anéanti sa volonté, la transformée en femelle livrée aux envies de son vagin.

Dans la chambre Al continue à instruire Marie: elle sera putain et parjure volontaire.

— C’est tout simple; réfléchis, fais vite, je crois que ma queue commence à relever la tête pour t’envoyer en l’air ? Tu nattends que ça, hein ma salope. Pourquoi suis-je banni ?

— Tu le sais ; parce que tu m’as fait jouir quand je travaillais au foyer, parce que Pascal a raconté à mon père ta tentative de me prendre en revenant du mariage.

— Que faisons-nous dans ce lit actuellement ? Nous nous aimons et nous faisons l’amour. Est-ce que je te viole quand je te fais l’amour ?

— Je suis d’accord, adulte consentante, donc tu ne me violes pas : Je t’aime, tu m’aimes, il est normal qu’on fasse l’amour. Allez viens sur moi. J’ai encore envie, mon ventre tremble de désir. Fourre-moi ton manche, grouille avec ta quéquette, défonce-moi. Baise-moi.

— Voilà, on s’aime et on s’est toujours aimé en réalité. Je voulais te demander en mariage, c’est la preuve qu’on s’aimait déjà la première fois qu’on a fait l’amour dans ma voiture. Si on est ici, maintenant, c’est parce que nous étions faits l’un pour l’autre. En somme, tu fais l’amour avec moi, bien éveillée et tu me dis que tu veux le faire encore aujourd’hui et pendant toute notre vie, comme si on était mariés et comme si j’étais le père de tes enfants. Pourquoi as-tu prétendu que je t’avais surprise quand tu dormais ? Au fond de ton cur tu m’aimais déjà et secrètement tu souhaitais que je te fasse l’amour : Ce n’est pas un viol ça ! Tiens, si tu avais pu savoir tout ce que tu sais maintenant: que tu n’aimes que moi pour la vie, est-ce que tu te serais mariée avec lautre ? Dis, c’est moi que tu aimes, c’est avec moi que tu voudrais être mariée ? C’est bien ce que tu m’as dit?

-Oui Al, c’est avec toi que je voudrais être mariée.

-Tu reconnais que je ne t’ai pas violée dans ce cas. La solution de notre problème est simple, réconcilie moi avec ton père .Toi seule le peux puisque nous n’étions que deux. Et si ton père te demande pourquoi tu m’as accusé, tu diras que c’est parce que ton mari t’y a obligée. Sil te demande pourquoi tu lui as obéi, tu diras qu’il menaçait de divorcer si tu ne le faisais pas ? Si tu veux toujours faire l’amour avec moi, que suffit-il de faire, ma chérie ? Dis vite, car moi jai envie de toi, mets ta main là.

— Coquin tu es tout tendu. La belle queue. Je sais ce que je vais faire, vite, prends-moi. J’ai envie. Ma cramouille est en feu, ça démange, déverse ton jus pour calmer mes sens.

— Pousse ton ventre. Que vas-tu faire ? Ton ventre rasé, c’est si doux.

— J’irai chez mon père dire que tu ne m’as pas violée ; c’est tout simple!

Et moi, le mari cocu, je serai déconsidéré dans la famille.

-Parfait, nouvelle leçon, lutilisation de jouets. Quand je ne suis pas près de toi, tu dois pouvoir te donner du plaisir toute seule. Dans ma mallette jai de quoi taider. Attends. Noublie pas, Pascal cest fini.

Jai juste le temps de me cacher derrière la porte du salon.

-Je te montrerai le fonctionnement de ce vibromasseur. Auparavant, tourne-toi sur le ventre, mets un coussin sous tes hanches et ne bouge plus.

Marie a les fesses relevées, Al verse de la vaseline sur un cône en plastique ou en verre. Il se penche sur la croupe, pouce sur une fesse et quatre doigts sur lautre il déniche lanus, ouvre un chemin vers la rose. La pointe touche le petit trou.

-Quest-ce que tu me fais?

-Du bien, ma cocotte, naie pas peur. La pointe arrondie est dans ton cul. Le reste suit

-Ca fait mal, jai limpression que tu me pètes la rondelle. Aïe!

-Calme, ma petite chérie, cest à peine plus gros quAlbert, mon copain de lautre jour. Tu es enculée par un plug, son pied lempêche davancer plus. Garde-le quelques minutes chaque jour. Ta rose sépanouira et quand un homme te plantera son pieu à cet endroit, tu néprouveras que du plaisir.

-Mais

-Tu as juré de mobéir, oui ou non?

-Oui, Al chéri. Cest dur, cest plus rigide que ta pine

-Tant mieux. Plus tard je le remplacerai avec mon zizi. Ca sera plus dur encore. Je le secoue, cest bon?

-Oh! Oui mon Al. Fais le remuer, comme un homme, comme Albert. Hooo!

Al sest reposé en jouant avec son élargisseur danus. Il tire sur le large pied insubmersible. Après la gorge, larrondi le plus large sort en retournant la peau du cul puis vient la partie de moins en moins épaisse et dune poussée Alex renvoie lensemble à lintérieur des fesses en écartant au maximum le sphincter. La répétition du mouvement est un supplice, cest lannonce de la douleur future si un gourdin sintroduit par là et les cris de Marie réjouissent le sadique amant. Sous le ventre il a su énerver le clitoris pour élever la température et amener la jouissance. A lexcès. Marie supplie, il retire le plug, le dépose sur une table de nuit. Marie se couche sur le dos et réclame impudiquement une récompense pour son obéissance, sa main droite frotte en cercles le dessus de sa vulve excitée, ses index ouvre sa fente, elle est prête.

-Mais vite, lheure passe, Pascal ne tardera plus. Quand il sera pris, je te promets une nuit de rêve. Jai un engin plus gros dans la caisse.

Pendant quAl enfile Marie en position classique, lui raide au-dessus delle, bras et jambes tendus, avec comme seul contact le manche enfoncé dans le ventre en chaleur, j’enfile mes gants très fins en polyamide, j’ouvre un des mes petits tubes, inverse le bouchon pour percer l’opercule, le revisse. Et j’entre sur la pointe des pieds. Ils sont trop affairés pour que je dérange leurs ébats. Marie a passé ses deux bras sous ceux de l’amant et s’accroche à ses épaules. Lui se couche de tout son long sur elle. Les jambes de Marie décrivent deux crochets autour de celles de son mâle, à hauteur des genoux ; elle l’enserre par le haut et par le bas. Et ses plaintes en ha, he, ho, hong, ffut disent à quel point il la rudoie. Imaginez un poids de cent kilos sur une femme qui fait régime pour descendre de cinquante cinq kilos à cinquante. La masse lécrase. C’est Al qui mène le bal, ses fesses se lèvent et retombent en coups lourds tandis qu’il enfonce son pénis jusqu’à la racine contre la vulve.

Dans ses remontées il arrive qu’il entraîne le bassin de Marie. J’ai l’occasion de revoir le grain de beauté illustré sur une certaine photo ! Il martèle avec des « Han » de bûcheron. Marie expire fortement à chaque fois que la cognée l’écrase. Ca dure, ça dure Al change de technique. Son torse pris en griffes par les mains de Marie écrase le sein droit raplati, sa tête me cache celle de ma femme. Le bassin d’Al reste collé au pubis de cette femme qui fut mienne et décrit des cercles pour frotter et broyer comme une meule la zone placée au-dessus du clitoris. Marie geint de façon continue, jambes ballotées sur les draps, une main froisse le drap.

Ce mouvement circulaire provoque un sursaut des cuisses de la femme, elle s’ajuste avec plus de précision et remonte plus haut sur les jambes de l’artiste qui la taraude, la côche et la coache simultanément. Le mouvement les déboite mais tous leurs muscles travaillent à leur faire retrouver le contact le plus excitant. En silence, ils observent la montée du plaisir. Seule l’accélération des souffles trahit l’orgasme prochain. Al cale ses coudes au-dessus des épaules de Marie dont la main droite vient désormais appuyer sur les reins du mâle pour l’aider à la pénétrer plus profondément. Elle en réclame, avide. Il moud, meule, gire et perce. C’est visiblement satisfaisant. Marie commence des onomatopées que je connais bien, je sais que sa tête va se renverser, qu’elle va fermer ses paupières et se détendre en un long râle entrecoupé de sanglots. Je connais si bien ses réactions. Le moment arrive, l’orgasme va éclater, lui retirer lucidité et conscience, c’est la fameuse petite mort. Si je n’étais pas concerné au premier chef, j’applaudirais

Je donne trois coups sur l’épaule gauche du héros. Instinctivement, il tourne la tête vers moi, ses yeux font face à mon arme factice, trop proche pour quAl découvre la supercherie. Ses fesses font un bond, il jaillit hors du four et il crie :

— Non !

A quoi Marie répond :

— Si, encore, reviens.

Elle envoie une main à la recherche de la verge perdue. L’autre me fixe, il croit que je vais l’abattre. Marie lavait averti. Je rabats sa tête dans le creux de l’épaule rougie par la jouissance. Je saisis son membre visqueux, le dirige vers le vagin en feu et je hurle, ramenant mon arme dans mon dos, maintenant qu’il a eu le temps de voir et de seffrayer :

— Continue puisqu’elle te le demande! Baise, salaud, elle le veut.

Jappuie mes paroles dune série de coups de cravache sur les fesses du séducteur pris en flagrant délit. Jy vais de bon cur, comme lorsquil fessait Marie.

Al s’y remettrait. La pluie de coups sur son cul est décisive, il serre les dents pour ne pas hurler de douleur, trop fier pour admettre que je lui fais mal.

— Mourir en baisant, cest une belle mort somme toute.

Il ne crie pas mais il lime. Mon cri a ramené ma femme sur terre, coincée sous le mâle. Elle tente de le repousser, mais le butor a la trouille; il va et vient, se maintient de force, mû par linstinct de survie. Marie est muette, terrorisée bien qu’elle ne voie pas limitation du pistolet automatique. Dans ses yeux, je lis ce qu’elle ne réussit pas à prononcer :

— Ciel, mon mari. Il va nous tuer!

Sa question me surprend:

— Pascal, toi, par où es-tu entré ?

— Tu penses que c’est ce qui est important en ce moment ? Baise, tu las assez réclamé. Continuez je vous dis. Et taisez-vous. Je tue le premier qui ouvre la bouche.

Jentretiens la peur paralysante. Je vais me placer dos à l’armoire et je dis, la voix mal contenue, car ma colère se libère :

— Al, tu vivras aussi longtemps que tu la baiseras. Tu mourras dès que tu arrêteras. Allez, enfonce, sors, rentre, sors, pousse, retire, dedans à fond, dehors. Ne te presse pas, fais durer le plaisir. Tu voulais m’attacher aux pieds du lit pour me faire profiter du spectacle. Inutile de m’attacher, je suis bien présent, je ne me sauve pas, je regarde. Allez fainéant défonce, pioche, rame, touille et fais jouir. Tu garderas la position aussi longtemps que tu voudras vivre. Ta seule chance de ne pas mourir serait de la faire jouir vingt fois jusquà minuit.

Je passe sur le côté droit du lit, jusqu’à hauteur d’Al :

— Sages, bougez juste vos ventres, si vous ne voulez pas mourir immédiatement

Al évite de me regarder, sans doute pour ne pas me provoquer. De la main gauche, j’appuie le canon froid sur son cul. Lui sait ce que Marie ne sait pas et pour le persuader du danger je demande.

— Tu préfères un pruneau dans le trou de balle ou une balle dans le pruneau ? Allez vrille dans son ventre, ne t’arrête pas. Fais la jouir mieux que moi. Ma chère femme, te voici comblée.

Le coach côchant a perdu son vocabulaire, il ne connaît plus qu’un mot qu’il décline sur toutes les nuances de la supplication « NON ». Il craint vraiment les effets de mon neuf millimètres. Il ne tente aucun geste de défense de peur de la mort promise. C’est un robot, il lime, lime sans fin, transpire, tremble mais lime. La vulve malmenée est toute rouge, les petites lèvres collent à la bite, suivent la hampe qui se retire, rouges des excès.

— Place tes mains sous les fesses de ta maîtresse, remonte un peu. Maintenant serre la de toutes tes forces sinon elle t’échappera pendant votre dernier voyage. Allez serre et bouge ton cul, rentre lui dedans qu’elle jouisse pour ton salut.

La cravache dans mes mains vaut mieux que les discours. Le bougre a les mains accrochées aux hanches, main droite dAl sur hanche droite de Marie, main gauche sur hanche gauche. Marie a laissé retomber ses genoux sur le couvre-lit. Malgré mon ordre, leur démonstration ne convainc pas. On dirait que ma présence qui devait mhumilier pendant leur baise, quAl appelait de ses vux, les gêne maintenant.

En douceur je vais saisir les deux paires de menottes, sans quitter des yeux ce couple diabolique. Le marteau frappe toujours l’enclume à mouvements ralentis mais continus. La grosse bite sextrait du con puis y replonge. Ca manque de conviction, Al ne sépoumone plus pour le plaisir. L’homme, l’athlète, le séducteur patenté sait comment ménager ses forces pour durer. Marie a perdu son enthousiasme, planche quasi inerte et elle pleure, pleure, pleure. Drôle de façon de faire lamour. Oublié le plaisir, ce coït devient une corvée. Jen ressens une intense satisfaction. Ils mont abandonné linitiative, jimpose lunion, cest moi le maître, jordonne, je donne de la cravache sur le cul dAl, je lui rappelle quil doit durer et faire jouir ma salope de femme, la traîtresse prête à me livrer, disposée à me contraindre à assister à laccomplissement de son adultère. Autour des pieds de limposant baiseur je fixe des menottes. Il ne courra plus.

-Place tes mains sur les épaules de ma femme.

Les mains sont menottées. Un fil de fer court des menottes des mains à celles des pieds, je réduis la distance, les mains dAlex repassent sous le dos de Marie et ses pieds remontent en lair vers les genoux de Marie, le grand corps est ramassé, raccourci mais toujours uni à la traitresse par le sexe surmené. Lamant recroquevillé écrase et emprisonne celle qui devait me livrer à lui. Le chaud lapin est pris au collet. Il n’a su dire que "Non". Il me faudrait une pince pour consolider la torsade. J’empoigne la boîte à outils, la renverse au pied du matelas. Surprise, je répands une collection de jouets sexuels! Godmichés, canards, plugs. Et quelques sachets minuscules de poudre blanche, de sucre glacé apparemment.

— Al, ne t’arrête surtout pas, pompe, pompe encore. N’oublie pas que je dois assister au bonheur, à la jouissance de celle que tu nommes toujours si affectueusement « Ma chérie, putain, grosse vache, salope ». Remue-toi un peu, elle pleure déjà, de plaisir sans doute, courage, conduis-la sur les sommets promis. Sauve ta vie. Tu aimes la trique, tu en recevras si tu paresses. Bourre que diable, tu as promis un feu dartifice à ma femme pour cette nuit.

Le canon sur le trou du cul lui redonne vigueur, c’est magique. Mais rien ne vaut quelques cinglants coups de sa cravache. Il avait tout prévu, sauf dêtre lui-même battu. Couché sur le ventre, les pieds entravés, les mains sous le corps secoué de sanglots, Al est inoffensif, vexé à mort mais incapable de se sortir de la prison de chair. Le plaisir se mue en travail pénible, lesclave rame sur sa galère et la galère se plaint, craque et, peut-on lécrire, Marie « pète » sa souffrance. Je ramène un deuxième fil de fer; je consolide le dispositif dimmobilisation. Celui-là ne me ficellera pas comme il l’avait prévu.

Il ne doit pas être facile de bander dans cette position. Je l’encourage de la voix en multipliant des menaces que Marie reçoit pour elle et jentretiens son allure de la lanière de cuir tressé. Je glisse l’arme factice, dans ma ceinture, je vais chercher dans la cuisine une canette de bière, au fond sur l’étagère dans le frigo. Jy verse deux sachets d’un laxatif puissant. J’entends les amoureux liés par le sexe murmurer des invectives, mais ils n’ont pas quitté la position, c’est touchant comme ils s’aiment, comme ils craignent de se séparer!

— Al tu dois avoir soif après une chevauchée aussi fantastique sur mon ex femme. Relève la tête et bois au goulot.

Il avale une gorgée, proteste :

Ce n’est pas de la bière. Qu’est-ce que c’est ?

Vide ça et ferme-la ! Vlan, vlan. Tu aimes la cravache.

— Marie affolée ose un mot :

— C’est du poison ?

L’arme des femmes. Je n’y aurais pas pensé, je mens :

— Oui un poison terrible mais qui agira très lentement. Les effets seront surprenants. Il aura des spasmes dans les intestins, se tordra de douleur, pissera le sang, videra en toi ce sang mêlé de son sperme et tengrossera avant de crever sur ton corps de femme infidèle.

Jinvente nimporte quoi. A chacun sa jouissance, ma douleur me fait perdre raison, je deviens sadique, une voix en moi crie vengeance. Lidée de la douleur est déjà une torture, je la renforce nimporte comment pour les effrayer. Ca prend!

Elle est en train d’imaginer qu’elle aussi mourra empoisonnée.

— Désormais, interdiction absolue de vous embrasser sous peine d’exécution immédiate.

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