Pour faire suite au récit précédent, j’aimais beaucoup "jouer" avec Moky pour au moins trois bonnes raisons: Moky ne parlais pas, son membre ne prenait tout son volume qu’une fois en place, et puis il y avait surtout cette profusion de matière chaude et gluante dont il me remplissait le derrière et qui m’excitait plus que tout. Ce sperme canin si abondant, était dans le registre "attirance/répulsion" l’élément le plus essentiel de mes désirs et l’indispensable compagnon de mes jouissances.

J’avoue avoir été toujours été très anal et très jeune déjà quand on me prenait la température, une fois le thermomètre en place j’aimais sans qu’on s’en aperçoive le faire bouger un peu entre mes fesses, et la bite de Moky c’était comme un très gros thermomètre bien lubrifié et qui bougeait tout seul.

Sans être régulières, mes relations "amoureuses" étaient devenues assez fréquentes, et de mieux en mieux informé des comportements et attitudes de mon "partenaire" j’y trouvais maintenant un plaisir presque parfait.

Quand il me prenait, Moky le faisait aussi différemment, il était moins brouillon, plus endurant, moins brutal, et quand après m’avoir piqué les fesses pour localiser sa cible il la pénétrait, c’était toujours avec autant de vigueur mais sans brutalité, et de mon côté quelque soit mon état d’excitation, surtout je prenais garde qu’il n’introduise pas son nud du moins pour le moment, car même si ma rosette était devenue suffisamment souple pour peut-être pouvoir l’absorber, cette grosse boule de chair m’effrayait toujours un peu.

Ses visites spontanées devenaient de plus en plus fréquentes mais en dehors de ça, nos ébats étaient surtout le fruit du hasard, car si lui était toujours disposé, pour moi c’était différent puisque ça ne me venait que par pulsions.

Jeune garçon normal dans la vie courante, lorsque j’étais seul et surtout le soir, il me prenait parfois une envie soudaine et c’est très exactement ce qui arriva ce soir là.

La pulsion se manifesta alors avec tant de force, que moins de cinq minutes plus tard j’étais dans la rue.

Vêtu d’un léger blouson pour le haut et du fameux petit short en satin pour le bas, le cur battant à tout rompre je parcourais le quartier en tous sens mais pas de Moky!

Ma déception exacerbait mon désir et juste au moment où je décidais d’abandonner ma recherche et de rentrer à la maison bredouille….. je le vois débouler d’une allée obscure.

Dès qu’il m’aperçoit, un peu comme s’il me cherchait aussi, il court dans ma direction et me fait une fête royale.

Il me renifle, me lèche et me serre de très près comme pour me dire "super on va bien s’amuser, et ton petit cul va encore en reprendre une bonne dose !".

Son instinct animal sentait bien mon excitation et il comprenait que j’étais non seulement disponible, mais impatient.

Il était aux environs de 21h et dans ce quartier tranquille les rues étaient désertes, les familles réunies autour de la table ou devant la télé et moi j’étais seul…. enfin presque.

Accompagné d’un Moky apparemment hyper chaud et plus pressant que jamais, mon envie est si forte ce soir que j’ai vraiment hâte d’arriver à la maison, et en imaginant ce qui va suivre, je presse le pas, la tête pleine de choses bien sales et bien cochonnes.

Le chemin de retour est longé par un très vaste terrain vague que je connais bien pour y avoir souvent joué, et où Hervé (le jeune maître de Moky) m’entraîne aussi quelques fois pour des jeux moins innocents, dans une sorte de cabane de branchage qu’il a fabriquée exprès pour ça.

Pas très intellectuel mais en revanche bon bricoleur et très débrouillard, il avait d’abord repéré un endroit très peu fréquenté du fait d’une frange de végétation assez dense, et en liant entre elles les branches de plusieurs buissons, il avait fini par former un vaste dôme intérieur dont l’accès par l’arrière était à peine visible.

Pour parfaire le tout, il avait garni le sol d’un épais tapis de fougères, lui même recouvert d’un grand morceau de plastique épais pour isoler.

Bref c’était super confort et on aurait presque pu se croire sur un lit douillet.

Au détour d’une rue, alors que nous commençons à longer cet endroit désert surtout la nuit, pris de je ne sais quelle lubie soudaine, Moky traverse brusquement la rue et s’engouffre dans la friche me laissant seul sur le trottoir.

A-t-il senti les effluves d’une chienne en chaleurs ? peut-être mais moi aussi je le suis en chaleurs et drôlement même, et sans hésiter je pars sur ses traces.

Le terrain vague est plongé dans une profonde obscurité et pour poursuivre ma progression venant de la rue éclairée, un petit temps m’est nécessaire pour adapter ma vue à ce nouvel environnement.

Comme je l’ai dit je connais bien l’endroit, mais je n’y suis jamais venu de nuit et ne suis pas vraiment rassuré.

Assez fortement surélevé par rapport à la route, une fois sur place, il faut gravir de mauvais chemins pour arriver à la partie plate qui couronne le tout, et tout au fond de laquelle se trouve la fameuse "cabane à vices".

Maudissant Moky qui m’a faussé compagnie, poussé par le désir plus fort que tout de le retrouver pour assouvir mon besoin de sexe, à bout de souffle j’arrive enfin au sommet où…….. il m’attend tranquillement.

Le temps de reprendre haleine et une idée soudaine me traverse l’esprit : Pourquoi à la maison ? Il fait doux, l’endroit était désert, il y a la cabane là-bas et si…….

Oui la cabane c’était bien ! c’était même une excellente idée ! elle n’était pas trop loin et si je branlais un peu Moky pour le motiver à me suivre, dans quelques minutes la fête allait commencer.

Aussitôt pensé aussitôt fait, et mon Moky ravi se prête au jeu en se couchant sur le dos de tout son long.

Je branle sa bite très légèrement à travers l’étui quand soudain il se remet brusquement sur ses pattes et cherche à me monter.

Je ne demande bien sûr que ça, mais l’endroit ne me convient pas vraiment, aussi je l’entraîne à ma suite vers la cachette qui se trouve un peu plus loin.

Cette cachette, c’est vraiment le lieu idéal pour faire des "choses", elle permet même en plein jour de ne pas être vu, par contre du fait de sa position en surplomb, et à travers les branches qui la composent, on peut tout voir, ce qui évite lorsque j’y viens avec Hervé, tout risque d’être surpris…..la main dans la culotte.

Arrivés sur place, à quatre pattes je m’engouffre le premier dans l’abri, serré de près par un Moky tout aussi impatient que moi.

Je ne sais pas si c’est à l’idée de faire ça ici, comme ça, dehors, mais jamais je n’avais été aussi excité qu’à cet instant et après un rapide coup d’il aux alentours pour m’assurer que tout est calme……….. je prend le membre de Moky à pleine main et le branle énergiquement.

Il a une belle bite Moky, pas trop grosse au début mais belle, toute rouge avec son bout pointu qui crache déjà, oui elle est belle et j’en ai envie, une envie folle ce soir.

Sortant peu à peu du fourreau protecteur, son pénis se dresse agité de mouvements convulsifs qui sont autant d’invitations à la débauche et quand sous mes caresses Moky se met à donner de petits coups de reins dans le vide….. à la vue de ce sexe que je désire et qui ne demande qu’a entrer en action…. d’un geste j’enlève ma culotte et présente mon petit cul à son dard frémissant.

Immédiatement Moky m’enfourche et commence son travail d’approche, accroché à moi il danse d’une patte sur l’autre tandis du bout pointu de sa bite, il cherche l’ouverture convoitée.

Ce n’est pas la première fois que je me fais prendre par lui, mais chaque fois je suis surpris de sentir avec quelle facilité, quelle rapidité une fois le repérage terminé, il m’introduit son membre entre les fesses.

Quelques petits coups de piquage……….. un coup de reins vigoureux et je suis embroché ! Pas de résistance ou presque, c’est rentré tout seul et ça commence à gonfler. Ce phénomène si particulier qui m’avait tant effrayé la première fois, est aujourd’hui pour moi le prémisse de tous les plaisirs. Ce que j’aime moins en revanche c’est le "ramonage" énergique qu’il pratique au tout début car c’est un peu douloureux, surtout quand l’os pénien s’engage trop profondément.

C’est précisément à cette phase du coït que nous en sommes, mais je sais par expérience que ça ne dure que peu de temps et qu’il ne va pas tarder à se calmer.

Moky s’essouffle en effet et brusquement s’immobilise en faisant mine de se retirer, ça ne dure à peine que depuis quelques minutes et je n’ai pas envie d’en rester là, et je n’ai juste que le temps de le saisir par les pattes arrière pour le maintenir en place.

Il semble que quelque chose l’ai dérangé, mais quoi ?

Aucun bruit alentours, rien ! La pause dure quelques instants et Moky plus posément cette fois, reprend son ouvrage.

Son pénis à la peau si fine et si douce est à présent en pleine expansion et dans mon ventre rempli de sa chaude présence, chacun de ses mouvements sont autant de plaisirs intenses et renouvelés.

J’adore ces instants, j’ai l’impression bizarre de planer, d’être en apesanteur, et puis après le liquide clair se sentir peu à peu rempli, inondé d’un sperme épais et gluant qui gicle fort et presque en continu, cela justifie amplement pour moi l’immoralité de la chose.

Ce soir était un soir particulier du fait d’un l’environnement très proche de la nature, où en plus du plaisir de me faire prendre par Moky, s’ajoutait une profonde ivresse directement liée aux circonstances.

Son souffle chaud dans mon cou, sa bite brûlante dans mon derrière et un petit air tiède sur mes fesses…… c’était indescriptible.

Ce qui ce soir là m’excitait aussi énormément pendant qu’il me limait, c’était de voir passer des voitures au loin, et derrière les fenêtres éclairées des appartements, imaginer des gens occupés à des choses banales, tandis qu’à quelques dizaines de mètres d’eux, tapi dans l’ombre je me faisais sodomiser par un chien.

Ils ignoraient et ne pouvaient même pas se douter de ce qui se passait, et de cette situation moi le gamin cul nu sous une cabane de branchages, une grosse bite s’agitant dans son derrière, j’en tirais une jouissance inouï.

Pour en revenir au présent, très vite submergé de plaisir et sous l’effet de cette ivresse particulière, je ne prend pas garde à ce qu’il se passe tout à coup quelque chose d’inhabituel….. une épaisse protubérance appuyée sur ma rosette est en train de forcer le passage ! A peine le temps de réaliser ce qu’il m’arrive qu’il est déjà trop tard !

Sous une brusque et forte poussée, mon anus s’ouvre largement et gobe littéralement la chose, qui aussitôt entrée se met à gonfler….. je suis en train de me faire verrouiller !

J’avais jusqu’à présent réussi à éviter ça, mais là c’était bon… enfin "bon" c’est une façon de parler,car pour l’heure ne pouvant que subir, je vivais cette expansion interne avec quand même un peu d’angoisse.

C’est vraiment une sensation bizarre que je ressens, et c’est à vrai dire plus surprenant que douloureux, je perçois très nettement mes chairs qui se distendent à chaque nouvelle expansion, mais c’est assez progressif et supportable, et si ça ne va pas trop loin, je devrais franchir ce nouveau pas sans trop de dommages, en tous cas rien de commun avec la toute première fois où j’avais eu l’impression que tout se déchirait en moi.

Je m’efforce de respirer fort et lentement comme les font les femmes en couches et la chose après quelques derniers soubresauts…….. s’arrête enfin de grossir.

Littéralement collé à moi Moky s’active en poussant de curieux petits jappements…. il jouit !

Ce n’est plus la monte frénétique du début mais un pompage lent, bien appuyé, avec de forts spasmes du membre qui à l’intérieur éjacule en abondance.

Mon cur bat à tout rompre, et inondé, gavé de cette semence animale qui se déverse en lui, mon ventre se met à gonfler.

A cause du gros bouchon qui s’est formé et qui obstrue l’orifice anal, cette fois pas d’écoulement de trop plein, et sous la pression interne de plus en plus forte, je sens peu à peu monter en moi un orgasme incontrôlable……

Il arrive, il est là et explose juste au moment où Moky lâche son étreinte et entame une curieuse manuvre.

Encore sous l’emprise de la jouissance, je me retrouve cul à cul avec lui sans vraiment comprendre comment ça s’est passé.

Généralement après avoir joui, ce qui ne se traduit encore chez moi que par un spasme très violent sans éjaculation, je ne veux plus que l’on me touche, mais là c’est différent…..

Pendant un temps qui me semble interminable, je subis donc la présence en moi de cette chose dont je ne veux plus, mais dont je ne peux pas non plus me débarrasser, puis le plaisir se manifeste à nouveau de façon sournoise, progressive, inattendue.

Je le sens inexorablement monter, ce sont d’abord des frissons, puis des spasmes de plus en plus violents qui partant du bas-ventre me remontent dans tout le corps puis….. puis c’est l’explosion, une explosion ravageuse, dévastatrice, d’une intensité dix fois supérieure à la première, je jouis en me tortillant comme un ver au bout de l’hameçon. Moky se remet à couiner, il jouit lui aussi en libérant ses dernières gouttes de semence, et très vite entre mes fesses la boule se dégonfle….. la libération commence !

Débarrassée de ce verrou et poussée de l’intérieur, la bite de Moky ressort d’un trait, libérant un flot de matière épaisse et visqueuse qui jaillit avec force et…. bruyamment.

J’en ai le derrière tout gluant et ça me coule à l’intérieur des cuisses…..une véritable déluge de sperme !

Je suis épuisé, pantelant, et après deux orgasmes successifs, à l’exception de la langue de Moky qui comme chaque fois me fait une toilette intime, je ne sens plus rien.

Moky me lèche, puis se lèche et s’en va non sans marquer son territoire au passage.

Je suis de nouveau seul et un peu triste comme toujours après ce genre de séance, mais cette fois et plus que d’ordinaire, j’ai du mal à retourner à la vie du jeune garçon que je suis en dehors ces comportements là, car je n’ignore pas que c’est très mal de faire des choses comme ça, et que si par malheur ça se savait ma jeune vie serait foutue, mais je n’y peux rien, quand j’ai envie, j’ai envie, c’est plus fort que moi !

Il faut rentrer maintenant, prendre une douche, soigner les griffures aux jambes que je suis censé m’être faites en jouant dans les broussailles, bref oublier tout jusqu’à la prochaine fois.

La lune s’est levée et sorti de la cachette, je peux voir devant moi la vaste étendue déserte qui à si bien caché "mes amours".

C’est plein de pièges pour redescendre mais la providentielle lueur venue du ciel va me faciliter la tâche et je m’aventure à faire quelques pas, quand un impératif besoin de libérer ….mon ventre se fait brusquement sentir !

Je n’ai que le temps de baisser ma culotte déjà mouillée et de m’accroupir, que de mon anus tout chaud et distendu, jaillit à nouveau du sperme de Moky qui s’étire en longs filets gluants jusqu’au sol.

Je ne peux pas rentrer comme ça, il me faut au moins quelque chose pour m’essuyer, et brusquement je me souviens que dans l’aménagement de la cabane, Hervé qui lui jutait quand je le branlais avait tout prévu.

Un paquet de mouchoirs jetables était caché quelque part sous la bâche qui recouvrait le sol mais où ?

Dans l’obscurité de la cabane, à quatre pattes je suis en train d’en explorer les coins quand…… j’entends un léger bruit……

A SUIVRE

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