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Justine à Paris – Chapitre 4




Un vrai poète, ce Jonah. Le rouge aux oreilles, je marche vite en m’approchant de son immeuble. Je dois être folle quand je sais ce qui m’attend. C’est là que je réalise qu’en fait je ne sais même pas ce qui m’attend. Mais une chose est sûre : mon entrejambe est mouillé et mes tétons pointent sous ma robe légère. Je me jette tête baissée dans la gueule du loup et j’en ai envie. Je suis devant la porte d’un vieil immeuble. Huit boutons de sonnette, je repère un petit autocollant marqué Jonah en haut à droite. J’appuie, pas de réponse mais la porte s’ouvre avec un déclic.

Quatrième étage donc, sans ascenseur. Je monte rapidement l’escalier, Jonah m’accueille sur le pas de la porte d’entrée. Il est mécontent, me montre l’heure et grogne.

Il est plus de 6 heures, tu vois. Quarante minutes de retard. Ta punition sera à la hauteur de ton retard.

Je te l’ai dit, Jonah ; je ne suis que stagiaire et…

Tu la fermes, petite salope. Tu la fermes ou tu te casses, et dans ce cas je ne te reverrai jamais. Tu comprends ça ?

Je reste bouche bée sans oser répliquer. Je me sens humiliée, je ne me rappelle pas d’avoir jamais été traitée de salope dans ma courte vie. Le colosse s’écarte et j’entre à petits pas, matée. Et même un peu oppressée quand il ferme la porte derrière moi.

Je sais pas comment tu fais avec tes clients, petite pute. Mais tu ne me tutoies jamais, jamais ! Et tu m’appelles « monsieur ». Compris ?

Oui Monsieur, dis-je d’une petite voix, à deux doigts de gémir, mais le ventre de plus en plus lourd de désir.

Je suis dans le séjour, une grande pièce carrelée meublée de deux canapés et de nombreux fauteuils dépareillés. Je tressaille en me rendant compte qu’il y a huit hommes assis, huit Noirs qui me toisent en silence. Dont un que je reconnais, Marco. Ils semblent tous avoir le même gabarit, entre boxeur poids lourd et catcheur.

La voici enfin, les gars, la salope que j’ai levée dans le métro. Allez, à poil, montre-nous comment tu es foutue. Tu entends ?

Un coup d’il vers Jonah m’apprend qu’il ne rigole pas. Après tout, je l’ai laissé me peloter tous les matins dans le métro, le laissant prendre l’ascendant sur moi. Maintenant, je récolte les fruits de mes abandons. Sans chercher à discuter, je fais passer rapidement ma robe par-dessus ma tête. Nue, je suis soudain intimidée, percevant la tension qui emplit la pièce. Des sifflements approbateurs retentissent, accompagnés de commentaires salaces.

La pute a de ses nibards !

Et un petit cul bien rond et ferme qui n’attend que ma bite !

N’oubliez pas une bouche à tailler des pipes !

Puis le silence se fait, seulement troublé par les respirations lourdes. C’est pas vrai, je vais me faire sauter par tous ces hommes, ils sont… neuf ! Je sais bien que mon bas-ventre est trempé, mais je sens que je vais déguster. Heureusement, Jonah me pousse dans une chambre dont il referme la porte derrière lui.

Voilà ; je serai tranquille pour te baiser.

Il se déshabille posément sans me lâcher des yeux. Je déglutis quand il fait glisser son pantalon noir et que j’aperçois la bosse énorme qui déforme son boxer. Mon ventre réagit instantanément et devient liquide, mes tétons se dressent douloureusement, je retiens de justesse un gémissement. Bien sûr, il se rend compte de mon état et sourit dangereusement.

Je vais prendre successivement tes trois orifices et les marquer de ma semence. Puis quand j’aurai bien démoli ton cul et ta chatte, je te donnerai à Marco et son frère. Ensuite, mes amis viendront tous les six et te rempliront de sperme. Ils sont un peu brusques, mais tu apprendras à aimer.

Il baisse son boxer et sa bite jaillit, gigantesque serpent plus proche du boa que de la couleuvre. Jonah semble avoir envie de moi, il bande sévère, sa queue se redresse, cambrée, largement plus épaisse que mon poignet, et aussi longue que mon avant-bras. Mon ventre est si chaud et trempé que je serre les cuisses involontairement. J’examine avec inquiétude cet engin appelé à me prendre, je sais déjà que je vais le sentir passer.

Tu es prête à te faire défoncer ?

Oui… Oui Monsieur.

Tu en as envie ?

Oui, j’en ai envie…

Caresse-toi, écarte largement les cuisses, bascule ton bassin pour me montrer ta chatte de salope. Fourre trois doigts dans ta chatte, montre-les… Putain, tu es trempée. Lèche tes doigts.

Fébrilement, je lui obéis, gouttant mon propre plaisir. Il s’approche alors, me soulève par les aisselles ; naturellement, je noue mes mains sur sa nuque et encercle sa taille de mes jambes. Ce faisant, je sens sa virilité se loger entre mes fesses et palpiter. Jonah pose ses lèvres sur les miennes et insère sa langue. Bonne fille, j’accède à sa demande et ouvre la bouche. Alors il prend possession des lieux avec détermination, se comportant en mâle dominant. Ce qu’il est sans conteste. Je gémis devant sa fougue et son autorité, mes seins se collent contre son torse puissant, ils semblent avoir doublé de volume tellement ils sont lourds et durs.

Il ne me tient presque plus, je suis accrochée à lui comme une moule à son rocher. D’une main, il guide son épieu, l’imprègne de la cyprine qui ruisselle de mon vagin, l’insère entre les replis nacrés de ma vulve. Il s’enfonce à peine dans mon antre trempé que je défaille déjà tellement son gland est épais. Mais je suis si mouillée qu’il glisse facilement en moi, distendant mon intimité à l’extrême. Ça se complique un peu quand la colonne de chair suit sur un coup de reins puissant, puis mon poids fait le reste. Je m’empale jusqu’à sentir l’épieu dur comme l’acier appuyer contre le col de mon utérus, tout au fond de mon ventre. Une légère douleur me traverse quand le gland force à cet endroit.

Je réalise à mon grand désarroi que ma vulve n’est pas au contact de son pubis. J’ai une sensation de plénitude comme jamais je n’ai connu, il est trop épais, trop long, trop tout. Pourtant je suis bien, je ne voudrais être ailleurs pour rien au monde. Je ruisselle sur lui, mes muscles vaginaux sont distendus, je les contracte pour traire la colonne de chair.

Jonah rit en sentant les contractions vaginales que je provoque. Il me soulève et me lâche, je m’empale avec vigueur et pousse un cri aigu quand le gland percute à nouveau le fond de mon vagin. J’embrasse à pleine bouche mon partenaire qui me soulève encore, me lâche… Je m’ouvre à lui en gémissant de douleur, il m’emplit plus loin que je ne croyais possible, encore et encore, mon ventre semblant s’adapter pour accueillir toujours plus loin son mandrin de dingue.

Tu as mal ? interroge-t-il.

Oui, un peu. Parce que tu comptes… Pardon, vous comptez vous retirer ?

Non, c’est trop génial de te démolir la chatte. On va continuer sur le lit.

Il me laisse tomber en souplesse sur le matelas, dans le mouvement sa bite sort de mon ventre, matraque géante trempée de mouille, qui me fixe de son il de cyclope.

Écarte bien les jambes, montre ton trou à bites. Putain, tu as envie que je revienne, toi !

Oui, viens me défoncer, je t’en supplie !

D’accord. Mais tu as encore oublié de me vouvoyer. Demande-moi comment je te prends, doucement ou fort.

Vous sauriez faire doucement ? Vous paraissez plutôt du genre brutal.

Non, tu as raison. Alors tu as le choix entre brutal ou très brutal.

Qu’est-ce que vous croyez ? Je ne suis pas en sucre.

Tu devrais être plus prudente, je vais te déglinguer.

Je ne réponds pas mais soulève les cuisses bien écartées et ramène mes genoux vers mes épaules, offrant ma vulve luisante de cyprine aux lèvres gonflées.

Je comprends très vite que je n’aurais pas dû le narguer. Il guide sa bite entre mes nymphes gonflées et se plante à moitié en moi, me faisant pousser un petit cri. Il est énorme, son machin. Mes muscles intimes sont à nouveau distendus et mon corps tremble dans l’attente de l’inévitable : il va donner un grand coup de boutoir pour aller au plus profond. Je n’ignore pas que, dans cette position, pliée en deux et offerte au maximum, il va aller très loin dans mon ventre.

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