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J'étais un roi barbare – Chapitre 3




Pour le soir le Duc donna des ordres pour que furent préparées deux de ses préférées du moment : Josiane, 56 ans, aussi large que petite, et Kristina, grande et imposante blonde de 44 ans.

Il sétait fait préparer un dîner pour trois quil avait fait livrer dans sa chambre dapparat, une suite digne des plus grands hôtels de luxe.

Quand il entra dans sa chambre vers 20H30, la table était dressée, le champagne glaçait dans le seau, et ses deux grâces lattendaient. Josiane en déshabillé vaporeux à manches courtes sous lequel ses sous-vêtements sombres ressortaient, Kristina vêtue dun élégant body en dentelles blanches, en jupe courte doù jaillissaient ses larges cuisses luisantes, un voile de mousseline gris pâle sur les épaules.

Elles se levèrent dun bond pour laccueillir joyeusement. En effet, elles savaient quelles comptaient actuellement parmi ses préférées et elles navaient pas à se plaindre de leur sort. Outre que cela leur valait dêtre choyées comme si elles avaient été ses « filles chéries », il les traitait toujours avec une grande tendresse, et les aimaient toujours charnellement avec amour. Même si son goût prononcé pour la domination faisait quelles se retrouvaient à un moment ou à un autre de leurs agapes menottées ou bâillonnées, leur docilité et la tendresse réciproque quelles lui prodiguaient ne lui donnaient jamais envie dêtre sévère envers elles.

Et quand bien même au harem, elles auraient attiré les foudres de la gardienne à cause dun écart au règlement, il est plus que probable que le Duc serait intervenu auprès de celle-ci pour quelles bénéficient de clémence.

Il avait dautant plus de tendresse envers Josiane, que celle-ci, avant de rentrer au château navait pas eu une vie facile : femme de ménage elle avait eu un travail pénible et s’était usée plus prématurément que Kristina par exemple, secrétaire bilingue.

Josiane avait pu se rendre compte quil était autrement moins pénible et beaucoup plus agréable de se prêter au jeu des plaisirs, des caprices et autres fantaisies sexuelles du Duc que de travailler à des tâches ingrates, malsaines et difficiles, pour un salaire de misère ; dautant quelle savait quelle pouvait compter sur la générosité de son maître et protecteur tout puissant : celui-ci en effet nétait pas avare de prodigalités comme de douceurs de toutes sortes.

Quant à Kristina, sa gentillesse et sa générosité naturelle en faisait une concubine plus quagréable, et elle savait se rendre irremplaçable. Et puis, les malheurs de cette adorable femme – qui avait perdu tous ses enfants (trois fils) et son mari dans le terrible fléau (quon avait appelé le syndrome de Barjavel qui avait décimé quasiment tous les humains mâles de la terre) avait apitoyé le Duc qui avait eu envie de le prendre sous son aile, la protéger, de ladopter comme concubine et de sen occuper avec affection.

Bien entendu, au gré de ses envies, de ses fantasmes, de ses besoins de variété, le Duc, selon les périodes, convoquait dautres femmes moins avenantes et moins douces. Mais il faut bien reconnaître que le tour de ces deux-là revenait plus souvent que celles de la centaine dautres femmes de son harem.

Le Duc entoura Josiane de ses bras, lembrassa, caressa ses bras dodus quil affectionnait particulièrement, tant ils étaient replets et doux. Ses caresses descendaient sur la nuque, les bras, les flancs, le ventre rebondi, la racine des cuisses. Elle souriait, aux anges, tandis quil la bécotait avec entrain.

De lautre bras, il enlaça Kristina qui sétait rapprochée, et enserrant sa taille avec force, lembrassa avec fougue, aspirant sa langue au goût framboisé. Il caressa sa croupe bien cambrée avec satisfaction.

Pris dune frénésie de caresses, ses deux mains sactivaient sur leurs bras ronds, leurs fessiers bombés, leur cou gracile, farfouillaient dans leurs cheveux, sa bouche passait dune à lautre, suçant leur langue, leurs lèvres.

Enfin, il leur prit la main, les fit sasseoir sur les fauteuils qui les attendaient autour de la petite table ronde à la nappe blanche immaculée, soupirant, rêvant déjà aux draps identiques qui les attendaient tous les trois dans le grand lit confortable. Il déboucha la bouteille de champagne, les verres et les yeux pétillèrent. Il senquit de comment elles allaient tandis quils entamèrent leur dîner, leur fit raconter leurs journée.

Avant la fin du repas, il était assis sur le bord du lit, Josiane pesant de tout son poids sur ses genoux, pendant quil leur faisait raconter leurs souvenirs, lui donnant son dessert à la cuillère comme il aurait fait avec un bébé son gros bébé, pensa-t-il. Sa main gauche reposait sur les fortes cuisses de la grosse fille, dont il appréciait le moelleux et la fermeté rassurante, la puissance, marque de la travailleuse.

Il lui fit ôter son déshabillé vaporeux, et il avait désormais sous les yeux le bourrelet du ventre qui débordait du slip. Sa main caressait cette peau douce, dun mouvement répété et régulier tandis quils buvaient tous trois une nouvelle coupe du vin pétillant.

Kristina sétait mise delle-même à genoux à son côté, et ayant fait tomber depuis un moment la mousseline, il caressait les épaules, la nuque, le dos nu, cette peau parsemée de taches de soleil, si douce au toucher.

Lui faisant comprendre ce quil voulait elle se tourna et il dégrafa le haut du body. Elle poussa un « ouf » de soulagement car sa poitrine fut partiellement décomprimée ; on voyait désormais le haut des seins charnus flotter hors du tissu.

Le Duc nen pouvait plus de la vision de ses deux naïades affriolantes, il les fit lever, ordonna à Kristina denlever les sous-vêtements de Josiane, ce quelle fit de suite, en appuyant contre elle la grosse fille, avec des mains sensuelles. Il sempara des seins lourds devenus libres, les soupesa, les malaxa, les pétrit comme sil pensait les faire tenir tout entiers dans ses mains, alors que la tâche était mathématiquement impossible.

Kristina fit glisser la jolie culotte bordeaux le long des cuisses grasses et le Duc ne put sempêcher de pétrir le mont de Vénus rebondi et glabre, dune blancheur de nacre, qui se révélait à ses yeux ébahis.

Kristina la tenait enlacée contre elle, troublée par la chaleur des fesses imposantes et souples appuyées contre son pubis, tandis que les mains et la bouche du Duc se livraient à un ballet furieux sur les belles chairs désormais libérées.

La grosse fille, troublée également par ces frénétiques caresses, mais aussi par les grandes mains de sa benjamine qui se laissaient aller sur son corps, respirait le souffle court, haletant presque.

Le Duc sinstalla à nouveau entre elles et les embrassa fougueusement à pleine bouche, palpant les grosses fesses de Josiane, tandis quil trouva le bouton pression du body entre les cuisses de Kristina et louvrit dun coup, le remonta sur ses reins : ses deux mains pétrissaient désormais avec fureur quatre larges et adipeux hémisphères, il était aux anges !

— « Mettez-vous toutes les deux à quatre pattes sur le lit ! Je veux vous voir à quatre pattes, côte à côte ! Je veux voir vos deux croupes ensemble, bien offertes ! »

Les deux belles femmes, sensuellement, sinstallèrent et prirent position, à quelques centimètres lune de lautre, comme elles savaient quil avait envie de les voir.

— « Ah les belles pièces, les beaux objets, quels merveilleuses uvres dart ! » se répandit-il en couvrant de caresses lun et lautre fessier, monumentaux par la taille et la rondeur parfaite, telle quobtenue dans cette position. Sa bouche se joignit à ses mains, il les fit se cambrer davantage, davantage creuser les reins, avancer les genoux, écarter les cuisses, pour mettre à jour ce quil appelait leurs trésors.

Sa bouche et sa langue ségara dans les replis secrets, sur les belles tirelires offertes, entre les fesses serrées quil écarta à deux mains, tandis que les deux femmes échevelées commençaient à onduler de la croupe, emportées les yeux fermés par une vague divresse.

Il fit placer Kristina (encore elle parce quelle était plus grande dune tête que sa benjamine) à cheval sur elle, penchée en avant (encore dans son dos) afin de voir les deux larges croupes, et les quatre sanctuaires encore plus proches les uns des autres. A ce moment il aurait voulu avoir 6 mains, 4 langues !

Cest dans cette position quil les prit lentement, en levrette, besognant lune pendant que ses mains pétrissaient les seins ou les fesses de lautre, passant indifféremment dun orifice à lautre, et de lune à lautre.

Il les prit longuement ainsi, accélérant, ralentissant, jusquà ce que Kristina commence à donner des signes de fatigue dans cette position peu confortable, et qui lui-même préféra changer avant dêtre courbaturé ou de décharger.

Il fit allonger Josiane sur le dos, cuisses écartées, et ordonna à Kristina de se mettre à quatre pattes et de la gratifier dun cunnilingus, tâche à laquelle elle se mit et sappliqua avec zèle et application, lui arrachant soupirs et gémissements spasmés, tout en lui caressant ses cuisses moelleuses, le bas de ses fesses arrondis, son petit anneau étoilé ; le Duc contempla quelques minutes le tableau attendrissant, puis ne résista pas plus longtemps à la croupe majestueuse de Kristina qui soffrait à lui, la couvrit de caresses, sa main ségarant dans le doux sillon, la vulve bombée, les cuisses soyeuses, puis il présenta son vit tendu devant le coquillage luisant, la saisit aux hanches, et lenfila comme une perle.

Il la besogna ainsi en levrette, longuement, les mains fermement crispées sur les poignées damour charnues, à grands coups de reins souples.

Au bout de quelques minutes il se retira séconomisant pour faire durer le plaisir et leur ordonna dinverser les rôles. Il appréciait de comparer les sensations des deux croupes et deux tendres fourreaux par lintermédiaire de son sexe, de son pubis, appréciant la chair plus large, plus chaude et plus molle de Josiane.

Ensuite il sallongea sur le dos et fit asseoir lune sur sa verge dressée, lautre se mettant à califourchon sur son visage, la régalant de sa langue de son bouton damour jusquau petit illet.

Il les fit changer de rôle plusieurs fois, comparant avec délice le goût musqué et salé de lune, plus citronné et épicé de lautre.

Lune le chevauchait tandis quil invitait lautre à venir saccroupir sur son visage, la régalait de sa langue de son bouton damour jusquau petit illet.

Il finit par les faire sallonger sur le côté, lune face à lautre et enlacées, et les prit avec frénésie, alternativement lune et lautre, dans un enchevêtrement de cuisses, dont la chaleur et la mollesse ne faisaient quexacerber son excitation.

Puis dans un délire érotique, il frotta son membre viril entre leurs chairs, leurs bourrelets, puis sa langue dans le sexe corail de lune, son membre fourbissant le fourreau de velours de lautre, ils jouirent tous trois ensemble, ce qui relevait dune belle prouesse et témoignait de la connaissance et de lamour que ces trois-là se portaient.

Epuisés, ils sendormirent dun sommeil de plomb, leurs corps tendrement emmêlés.

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