« Coralie, viens voir ! »
Je suis en train de visionner la dernière vidéo du site porno bien connu « Jacquie Michel » et j’ai décidé de montrer à ma frigide de femme, ce que des femmes « libérées » sont capables de faire sur le Net.
« Quoi, François ? Que désires-tu me montrer ?
— Attends tu vas voir ça va commencer »
Et je lance la dernière vidéo du jour, concernant un type invité par sa copine dans un hôtel formule 1.
La jeune femme qui connait l’infidélité de son ami a décidé de se venger en organisant une séance très hard avec 3 mecs.
Bien que le gars ne soit pas très chaud ou alors doute des réelles intentions de sa femme, le malaise est palpable, ce qui ne fait que renforcer mon excitation.
La fille va-t-elle oser " se faire démonter " par 3 mecs sous les yeux de son copain ??
Ma femme elle, ne dit rien, elle attend
Changement de plan : effectivement la jeune femme se retrouve dans une chambre d’hôtel, entourée de 3 types plutôt en bonne forme qui commencent à l’entourer et à la caresser.
Son copain, lui, s’assied sur une chaise et regarde le spectacle.
Bientôt, après embrassades et caresses diverses, la jeune femme se retrouve nue entre les types et commence à leur faire des fellations tour à tour.
Ici encore ma femme ne dit rien.
L’excitation commence à monterla jeune femme, nue, est bientôt placée a quatre pattes sur le lit et pendant qu’un type (très bien membré) la prend par le sexe, son copain se fait sucer.
La fille commence à gémir et à apprécier la façon qu’on les hommes de la baiser.
Pendant ce temps, à voir la réaction de dégoût et de résignation de son ami, assis sur sa chaise, on sent que la scène n’est pas truquée.
Il semble bien que le couple soit au bord de la séparation et que l’homme , « pour expier » son infidélité, ait été obligé de se plier au fantasme exhibitionniste de sa compagne.
Je regarde ma femme, subjuguée par la scène sur l’écrannos regards se croisent :
« Tu sais François, je trouve ça particulièrement dégoûtant.
Toi par contre ça semble bien t’exciter.
Alors je ne vais te dire qu’une seule chose : essaie un jour de me tromper et c’est toi qui pourrais bien te retrouver assis sur cette chaise, en train de me regarder partouzée par 3 mecs
Tiens, rien que pour t’emmerder, je demanderais même à la production de l’émission de me choisir ces 3 hardeursje suis sûr que cela te ferait tout de suite moins bander ! »
Sur ce, elle s’en va, non sans claquer la porte !
J’avoue que j’en reste un peu abasourdiet excité.
La machine à fantasmes se remet à fonctionner
Imaginer ma femme me lancer un défi et faire Jacquie Michelpour un candauliste qui s’assume, c’est une perspective pas désagréable du tout.
Après je suis habitué aux effets d’annonce de ma femme qui promet tout et n’importe quoi quand je lui parle de mes fantasmes ; faire l’amour avec une fille, sortir en ville sans culotte, s’exhiber devant des inconnusaller en club échangiste.
Tous mes fantasmes ont jadis reçu son approbation, sans malheureusement ne voir qu’un tout petit début d’exécution
Mais ce n’est pas pour cela que j’abandonne l’affaire, sinon cela aurait fait longtemps que je lui aurais fait part de mon désir de nous séparer.
Parce que tout n’est pas négatif non plus chez Coralie Coralie c’est le « courant alternatif », un jour, une semaine, un mois elle est au top de sa sexualité et elle libère un potentiel érotique très intéressantet la période suivante elle se mure dans une abstinence érotique, très dure à vivre pour moi. D’ailleurs elle le dit elle-même :
« Je peux être nympho un jour, et frigide le lendemain ! »
C’est en quelque sorte une bipolaire du sexe !
A force d’amour et d’une très grande patience, parfois aussi avec quelques coups de gueule, j’ai quand même réussi à en faire une amante plus que passable.
Coralie aime se faire prendre par les 3 portes du paradis, quoiqu’elle n’ait pas une grande prédilection pour apprécier la semence de ma source de vie
De plus nous avons quelques rapports très piquants avoisinant le « domaine d’Eros lié à Thanatos. »
Coralie aime parfois se soumettre à mes envies un peu bestiales, nue, une chaine autour de la taille, debout, les mains liées à une poutre du plafond du cellier.
Et c’est avec joie que je caresse sa peau si douce et satinée avec quelques lanières de cuir parfois très mordantes, s’ensuit souvent une série de photos ou vidéos à ne pas mettre entre toutes les mains !!
Alors le martinet est mon instrument de prédilection, ainsi qu’une bougie dont je verse quelques gouttes de cire sur ses parties sensibles
Elle peut aussi se retrouver nue, toujours attachée, couchée sur un banc de musculation, les jambes relevées et écartées comme dans le fauteuil du gynéco.
Lors d’une séance, en 2012, elle s’est vue demandé de s’introduire des ovibos en bois dont le premier faisait 20 millimètres de diamètre et le dernier 70, les tailles s’élevant de 10 millimètres en 10 millimètres
Ainsi, assise nue en tailleur, les cuisses bien écartées et la vulve offerte, sur le sol de moquette noire, elle devait s’introduire chaque engin à tour de rôle, en utilisant bien sûr un bon gel lubrificateursous mes encouragements.
Elle alla jusqu’au numéro 3, évidement elle n’avait été gratifiée d’aucune pénétration antérieure, que ce soit avec mes doigts, un vibromasseur ou mon sexe.
C’était à elle de gérer sa pénétration et son plaisir mêlé de douleur, à partir d’un vagin « vierge » de toute dilatation
Là aussi je possède des photos prises en gros plan, de sa main s’introduisant avec difficulté l’un des ovibos, l’engin luisant de sa cyprine ou du gel, de son visage ou il est difficile de savoir si elle jouit ou si elle souffretout le charme du SM
En tout cas elle avait accepté le jeu, par défi et par « expiation » de quelques tourments psychologiques qu’elle m’avait infligés autrefois.
Et c’est au cours d’une conversation de couple, sur la terrasse un soir d’aout, ou elle s’était retrouvée nue, sur mon ordre, exposée aux éventuels regards venant de la rue, quoique à cette heure cela eût été peu probable, que devant ma réprobation elle décida d’accepter le jeu
Elle revint quelques instants plus tard, nue, avec cette chaine à la taille, avec pour seul vêtement une cape médiévale noire, (style « Eyes wide shut ») et elle me tira par le bras, m’emmena au cellier, lieu de son « supplice », librement consenti.
Cet accoutrement étant le signal du début d’une « séance SM .»
Évidemment elle pouvait stopper le jeu quand elle voulait (je suis pervers et vicieux mais, pas salop !) ce qu’elle fit alors qu’elle avait encore 3 engins à s’enfiler, je ne lui en avais pas tenu rigueur, la félicitant pour son courage et son excitation.
Un premier palot bien baveux fut sa première récompense, elle m’abandonna sa bouche à mon désir et ensuite je lui fis l’amour avec toute la tendresse que peut éprouver un dominateur qui est fier du comportement de sa soumise.
Au vu de la façon dont elle réagit à mes assauts virils, je compris qu’elle avait beaucoup surjoué la douleur et son statut de victime sacrificielle !
Certaines simulent le plaisir, d’autres la douleur !
A d’autres moments le jeu est différent par exemple en Septembre 2017
Étant ancienne cavalière, Coralie n’a rien perdu de l’usage un peu cinglant de la cravache, son instrument de prédilection, et c’est habillée de cuir et de chaines que ma Némésis me punit de tous mes péchés avérés ou cachés.
Souvent je recherche la violence des coups, mais je n’agis jamais en soumis, je déteste l’humiliation.
Par contre je me fais réellement attaché souvent nu et debout, et je défie et provoque ma tortionnaire pour qu’elle se lâche dans son fantasme de domination et de punition de son mecet ça marche.
Lui demandant de serrer les liens de cuir qui m’entravaient les poignets, nu, debout au dessus du lit, ma virilité la défiant orgueilleusement, je commençai à la traiter de tous les noms, de lui affirmer qu’elle n’avait aucune force dans le bras, ni la réelle volonté de me faire mal.
Elle se lâcha alors, prenant visiblement plaisir au bruit des claquements des coups de cravache sur ma peau offerte.
Et faisant des commentaires du style :
« J’adore les claquements sur ta peau, ça m’excite : »
Et moi torturé par des coups relativement douloureux, je prenais mon pied à l’insulter encore plus.
Je la punis à mon tour à coups de martinet, mais beaucoup moins fort. Et tout cela se termina en étreinte romantique (quoique pornographique) et passionnée !
Une autre fois, alors que nous faisions l’amour, je l’avais généreusement gamahuchée et j’avais de la cyprine presque par-dessus les sourcils tellement mon léchage avait été bon pour elle et relativement long, (il faut dire que j’aime bien me servir de mon nez aussi, après tout c’est aussi un appendice )
Alors dans ces cas là je fais un truc dont elle a horreur, je l’embrasse à pleine bouche dans une très longue étreinte, pour que madame recueille tout son suc épicé dans sa bouche.
A défaut de lui faire lécher une autre chatte, je lui donne à boire son propre jus et gouter à son petit minou de cette façon.
Refusant cela, je la forçais pour la provoqueret comme la cravache est toujours à porter de notre lit, elle s’en saisit et commença à me cingler violemment.
L’un des coups porté sur le haut de ma cuisse, à quelques centimètres à peine de ma verge en érection me tira un long cri de douleur, n’amenant chez ma tortionnaire aucune pitié, au contraire.
En y portant la main, je sentis une déchirure de la peau, avec un peu de sang
En riant je déclarais que j’allais porter une main courante à la gendarmerie, imaginant la tête des séides, lorsque je leur montrerais la pièce à conviction, ma blessure, et que j’aurais fait le récit du supplice si amoureusement consenti !
Alors je pris moi-même le martinet, lui aussi à portée de main, et m’en servis, certes moins fort qu’elle, galanterie oblige, mais de façon significative.
Je visais allégrement son sexe, souriant de satisfaction, à chaque fois que les lanières réussissaient à s’engouffrer dans son entrejambes pour atteindre le petit coquillage ainsi mutilé. Coralie criait elle aussi, et après un échange vigoureux de part et d’autre elle rendit les armes.
Et comme je ne fais pas de prisonnière, j’achevai le petit minou un peu échauffé, en une petite mort bien agréable pour tous les deux.
L’incendie de sa vulve fut éteint par quelques giclées de semence que j’étalais avec mes doigts tout en flattant la bête !
Mes cuisses en gardent encore quelques cicatrices, résultat de défis ou de provocations de ma part, que la belle dans toute la plénitude de sa féminité farouche de Penthésilée, s’est appliquée à me faire payer au prix fort !!
Néanmoins je reste un homme, un simple homme avec toutes les qualités et les défauts liés à « cette condition que je n’ai pas choisie », comme dirait l’un des héros de Milan Kundera !
Aussi tel le nageur voulant traverser la Manche ou le montagnard attaquant une face nord de l’Annapurna, j’ai des envies encore plus limites et dangereuses pour notre couple.
Je le sais mais ne peut m’empêcher cette quête du Graal sexuelle !
L’exhibition est la prochaine étape sur ce chemin de croix délicieux et inavouable.
Comme j’aimerais qu’elle offre son corps fantastique, ses charmes sulfureux à la convoitise de mâles triés sur le volet.
Lors de soirées avec des amis, ou même de repas de mariage, je fantasmais sur elle, l’imaginant, après une petite dispute m’infliger une humiliation : celle de s’exhiber devant les copains de son mari.
Alors je l’imaginais, montant sur une table et commençant un strip tease langoureux, devant tous les regards affamés des mâles présents.
Elle laissait tomber sa robe moulante sur la table et apparaissait en ensemble lingerie, bas et porte-jarretelles, elle commençait à danser de façon provocante, sous les encouragements et les cris d’enthousiasme de la gent masculine.
Elle enlevait son soutien-gorge, faisant apparaitre sa petite poitrine aux beaux seins bien fermes, se les caressait amoureusement, en pinçait les tétons, tirait sur les pointes
Puis sans pudeur aucune, elle faisait glisser le string le long de ses jambes gainées de soie, pour présenter avec impudeur son sexe à la toison bien taillée, blond vénitien.
Alors sous les hourras des hommes présents, elle descendait de la table, passait entre ces messieurs, qui subjugués et excités commençaient à l’entourer, la caresser partout.
Des dizaines de mains prenaient possession de ce corps qu’elle réservait à mon seul usage jusque là.
Alors elle commençait à gémir sous toutes ces caresses insistantes sur ses seins, son sexe, ses fesses.
Des doigts fureteurs venaient prendre possession de sa fente gorgée de jus d’amour, son petit trou déjà dilaté par l’excitation.
Puis au summum de son excitation, elle demandait à ce que tous la baisent sauvagement.
Des bras puissants la soulevaient de terre pour la placer dos sur la table, les jambes bien écartées, pendant sur le sol.
Elle exigeait que je vienne juste à coté d’elle pour être aux premières loges, de tous les doux supplices que tous ces hommes allaient faire subir à ma femme, chérie et jusque là très fidèle et honnête, trop sans doute sous peine d’une séparation brutale et définitive si je n’obtempérais pas à ses ordres.
Alors, moi jouant le rôle du mari humilié par son épouse, désespéré de la voir me faire cocu par tous mes amis et de parfaits étrangers, je restais debout, lui prenant les bras pour l’entraver et l’offrir à la convoitise des mâles lubriques qui chacun leur tour, parfois deux en même temps, venaient se régaler de plonger leur engin dans tous les trous généreusement accueillants de mon épouse, désormais volage et disponible, devenue femme publique.
Entre deux assauts des mâles et entre deux spasmes de jouissance elle me regardait le vice et la lubricité dans les yeux, me demandant :
« Alors tu bandes de voir ta femme transformée en putain ?
Jouer la petite salope je ne suis plus qu’un trou à bites, un vide- couilles, une trainéetu regrettes ou ça t’excite ? »
Une fois tous les mâles repus, et son corps souillé de multiples trainées de sperme, ses orifices en débordant généreusement, elle me demandait son manteau dont elle ne recouvrait que son dos, sans le fermer, toujours seins et pubis exposés aux regards, et traversait la meute d’hommes vers notre voiture, sous les applaudissements de l’assistance, avec derrière, moi, le petit mari cocu qui avait ramassé ses effets personnels et la suivait piteusement, pour la forme.
Car j’avais jouis plusieurs fois sans me toucher de voir mon épouse si prude si honnête, se transformer en une véritable salope : la petite pute d’amour de son mari.
Je regagnais notre voiture des étoiles plein les yeux, remerciant la Divine Providence de m’avoir permis de réaliser l’un de mes plus gros fantasmes !
Malheureusement cela reste du domaine du rêve pour l’instant
Alors suite à l’épisode du visionnage de « Jacquie Michel », qui a eu lieu il y a environ un mois, voici le scénario que j’ai mis au point !