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Les métamorphoses de Sylvie – Chapitre 37




37 – Un mardi surprenant.

Je me suis réveillée affamée.

Au même moment, le téléphone a sonné.

C’était Marc. Il m’a dit :

As-tu bien dormi, mon amour ?

 Oh oui, mais je ne t’ai pas rappelé.

Je me suis douté que tu t’étais endormie, ma chérie. Mais tu n’as pas mangé ?

Non et je viens de me réveiller avec une faim de loup !

 Alors, mange ! Et autrement ?

J’ai pris une voix toute douce pour lui apprendre :

J’ai bien dormi parce que tu es dans moi – enfin ton imitation, comme tu dis – et que j’ai joui par ta faute.

Je veux bien fauter tous les jours, si c’est pour que tu sois heureuse !

Sur le coup, je n’ai rien répondu, mais j’ai repris :

Ce n’est pas sérieux, tu te rends compte ?

Je me rends compte de quoi ?

 Depuis que je te connais, je deviens complètement folle de sexe. Je t’ai eu partout dans moi, sur moi, autour de moi. Depuis que tu m’as offert mon cadeau de toi en grandeur nature, je sais que je vais le porter jour et nuit, dans moi. Je me masturbe comme je ne l’ai jamais fait, je n’ai qu’une envie, c’est que tu viennes pour te mettre dans mon sexe, je ne pense plus qu’à ça ! Et le pire de tout, c’est que je t’aime à la folie.

Sa voix avait un peu changé quand il m’a répondu :

Tu sais, ma chérie, je suis très heureux de te faire cet effet là. Mais ne crois pas que ce n’est pas pareil pour moi : je ne vis plus qu’en comptant les secondes qui me séparent de toi. Et plus le vendredi approche, plus je suis impatient de mettre ma grosseur, comme tu dis, dans ton sexe qui lui convient à la perfection ! Tu sais maintenant que je suis riche, milliardaire « même en nouveaux francs » comme le dit ma belle-mère, celle qui m’a élevé, j’échangerais toute ma fortune pour être constamment près de toi, dans toi. Je t’aime, tu ne peux pas savoir à quel point.

J’ai aimé cette déclaration à un point qu’il ne pouvait pas savoir, lui non plus. Il s’est arrêté quelques instants, puis il a repris :

A propos de belle-mère, la dernière fois que je l’ai vue, elle m’a posé des tas de questions, parce qu’il y avait plein de femmes qui lui disaient qu’elles ne me voyaient plus, que je les envoyais sur les roses, etc.

J’étais heureuse, c’était bien la confirmation de ce que m’avait appris Nadine. Je lui ai demandé :

Et qu’est-ce que tu lui as répondu ?

Je lui ai dit que c’était ma vie et pas la sienne. Elle s’est mise à pleurer, elle qui ne pleure jamais. Je l’ai câlinée pour me faire pardonner et je lui ai expliqué que je t’avais rencontrée.

Et que t’a-t-elle dit ?

 Tu veux vraiment le savoir ?

Oui !

Eh bien elle m’a dit textuellement : « J’aimerais la rencontrer ! Je voudrais savoir à quoi ressemble une femme qui est capable d’empêcher un séducteur de séduire, alors qu’elle n’est même pas là. »

 Et que lui as-tu répondu ?

 Sylvie, je lui ai dit qu’elle fera certainement ta connaissance un jour, mais que pour l’instant c’était difficile, parce que tu avais plein de travail avec ton futur magasin.

Tu lui as dit que j’allais ouvrir un magasin ? Elle va bien trouver, puisque c’est dans la ville où il y a son frère, mon parrain. Et ici, il n’y a pas un magasin qui s’ouvre tous les jours.

 Ne t’inquiète pas, mon amour ! Je t’ai dit que tu la connaîtrais un jour, mais je serai là, près de toi.

Comme à chaque fois qu’il me disait « mon amour », alors qu’il n’avait jamais dit ça à personne, je me suis sentie fondre. J’ai touché mon clitoris qui a bondi, surtout parce que je sentais déjà que mon sexe s’humidifiait. Je me suis fait la réflexion que décidément il pouvait tout me faire, que j’étais totalement à lui. Il ne le savait pas, mais chaque jour qui passait me rendait de plus en plus dépendante de lui. Et en même temps j’étais heureuse de cette dépendance, car j’avais la certitude qu’il ne me ferait jamais rien de mal et même qu’il me protégerait, au contraire.

Je suis revenue à la réalité parce que j’ai entendu ses appels dans le téléphone :

 Allo ? allo ? Sylvie, mon amour ?

Sa voix était inquiète. Je l’ai rassuré :

Je rêvais de nous !

Ce fut à son tour de se taire. Je devinais confusément qu’il devait lui aussi penser à nous deux, ensemble.

Par hasard, mes yeux se portèrent sur mon réveil. Je lui ai dit :

Mon amour, je vais te quitter. Il faut que je mange, que je sorte ton imitation de mon petit trou, que je me lave, que je remette ton cadeau, mais dans mon sexe cette fois…

Il m’a interrompu :

N’oublie surtout pas le lubrifiant !

Non mon amour. Après, je vais terminer l’arrangement de mon magasin, préparer mon repas et prendre livraison de ma première collection, qui doit arriver cet après-midi.

 Tu n’as pas honte de me dire ça alors que j’aimerais tellement être près de toi pour t’essayer tous tes modèles.

Je me suis mise à rire :

 Mon amour, tu m’aurais dit pour voir un peu l’effet qu’ils font sur toi mais surtout pour être dans toi, je t’aurai cru davantage !

Il éclata de rire :

Oui ma chérie, tu as bien deviné. Tu ne peux pas savoir : tu essayes un modèle, je te l’ôte et je me mets dans ta douceur. Je me retire de toi et tu passes le modèle suivant. Et on continue comme ça toute la journée. Tu sauras quels sont les modèles qui me plaisent le plus parce que je te te jure qu’on les baptisera ensemble.

 Comme les meubles de l’appartement ?

 Pareil, mon amour !

J’appréciai en murmurant. Il me dit :

 Tu as un petit ronronnement de chatte affamée de sexe. Quel dommage que je ne sois pas là.

Tu as vu juste : je suis une chatte affamée, mais de nourriture, pour l’instant.

Va manger, mon amour ! Il faut aussi que je te quitte, parce que les dures réalités de la vie m’attendent avec leurs horaires !

Il s’est arrêté de parler. Il a repris la parole pour me dire :

Surtout n’oublie pas…

Oui, qu’est ce qu’il ne faut pas que j’oublie ?

 Que je t’aime, ma Sylvie !

J’ai fermé les yeux pour goûter en moi cette déclaration puis j’ai conclu notre entretien matinal en lui disant :

 Moi aussi, je t’aime, Marc. Je ferais n’importe quoi pour toi, tu le sais !

Oui, ma chérie ! Et je te jure que je n’en abuserai jamais. A ce soir.

A ce soir, mon amour.

Nous avons raccroché simultanément.

J’ai fait tout ce que lui avais dit. J’ai commencé par manger, en me faisant exactement le même menu que la première fois où il m’avait apporté mon plateau en me disant qu’il fallait que nous rechargions nos batteries. Heureusement que j’avais encore des ufs ! J’ai d’ailleurs noté qu’il fallait que je fasse des courses.

J’ai mangé assise à ma table de cuisine, avec son imitation dans mon petit trou. De temps à autre, je me suis arrêtée de manger pour me caresser le clitoris, étonnée d’être aussi dépendante des pensées de sexe qui allaient vers lui, uniquement vers lui.

Après avoir terminé, je me suis ôté son imitation en faisant très attention à ne pas me blesser, comme il me l’avait bien recommandé. Je me suis fait la réflexion que, même de loin, il s’occupait de moi et de mon bien-être, très attentif à ce que je ne me fasse pas mal. Dans la salle de bains, où j’étais, je me suis agenouillée, le dos à mon grand miroir. Là, j’ai regardé mon petit trou encore ouvert et j’ai imaginé, un court instant, que Marc était là et qu’il venait remplacer son postiche par le véritable élément que je voyais toujours pointer entre ses cuisses. Il a fallu que je me caresse encore une fois.

Après un mini-orgasme qui n’a fait que confirmer ce que je pensais en moi-même avec ma partie raisonnable, à savoir que je devenais de plus en plus dépendante de mon sexe et de mes pensées vers mon homme, je me suis lavée en profondeur, comme il me l’avait appris, avec un tour par les WC. J’ai pris une longue douche, me suis lavé les cheveux par la même occasion. Je mes les suis séchés puis je me suis couchée sur notre lit. Là, en me regardant dans le miroir de l’armoire, après avoir pris la précaution de bien l’enduire de lubrifiant, je me le suis précautionneusement enfoncé à fond dans le sexe. Je l’ai fixé avec la ceinture puis je me suis mise debout et me suis regardée dans le miroir. J’ai vu une grande fille brune aux yeux violets, qui portait un curieux harnachement constitué par de fines bandelettes de cuir qui entouraient le haut de ses cuisses et arrivaient à sa taille mais qui, surtout, tenaient deux grosses imitations de testicules. Je me suis mise debout sur le lit, le dos au mur puis j’ai marché vers le miroir en me regardant. Mon lubrifiant naturel, émis par mon sexe, aidait à entourer la grosse imitation qui était enfoncée en moi. Je suis descendue du lit et j’ai fait quelques pas devant le miroir que j’avais dans la salle de bains, pour vérifier que ça ne se voyait pas de l’extérieur. Certes, j’étais nue et je le voyais, mais je me suis dit que je pouvais aller faire mes courses comme ça, à condition que je m’habille, évidemment.

C’est ce que j’ai fait. Un petit tour devant le miroir m’a persuadé qu’on ne voyait rien. J’ai fait le compte des mes réserves alimentaires en notant ce qui me manquait et je suis descendue dans mon magasin.

J’ai mis tous les meubles à la place où je désirais qu’ils soient, après avoir consulté mon plan que j’avais laissé sur le meuble de ma caisse, puis je suis allée faire mes courses. Juste avant de partir, j’ai donné un coup de fil à Nadine. Je lui ai dit dit ce que je faisais et elle m’a demandé si je pouvais passer la chercher avec les enfants, parce qu’il lui manquait deux ou trois choses. J’ai accepté immédiatement et, quelques instants plus tard, nous étions tous les quatre à faire les courses, Christophe dans son landau et Alain accroché à moi. J’ai profité de ce moment pour demander à Nadine :

Tu n’as rien remarqué ?

Elle m’a répondu aussitôt :

Tu es enceinte ?

J’ai ri :

 Non, ma chérie, je te rassure, mais…

j’ai baissé d’un ton pour lui dire sans attirer l’attention de mon filleul:

… en ce moment, j’ai son imitation dans mon sexe.

Ses yeux se sont agrandis et elle m’a dit :

 Mais… tu es folle !

Je lui a répliqué aussitôt :

Oui, Nadine, tu ne peux pas savoir à quel point. Ce matin, il m’a appelé et lui aussi il est fou comme moi. Nous sommes fous l’un de l’autre. Figure-toi que sa mère, enfin sa belle-mère, lui a posé des tas de questions, parce qu’il y avait plein de femmes qui l’interrogeaient à son sujet. Il lui a répondu que c’était sa vie à lui et pas la sienne. Elle s’est mise à pleurer, et, pour se faire pardonner, il lui a dit qu’il m’avait rencontrée.

C’est bien ce que maman m’avait dit. Qu’est-ce qu’elle lui a répondu ?

 Elle lui a dit qu’elle aimerait bien me rencontrer pour savoir à quoi ressemblait une femme qui est capable d’empêcher un séducteur de séduire, alors qu’elle n’est même pas là.

Dis donc ! Si ça se trouve, c’est toi qui va réconcilier mon père et ma tante !

Je ne sais pas, ma chérie, mais je peux te dire que je suis heureuse.

J’ai lis ma main sur mon ventre, là où je savais que, dans mon intérieur, était cachée sa grosseur. Nadine s’est inquiétée

 Ca te fait mal ?

 Non, pas du tout, mais c’est pour qu’il soit encore plus près de moi.

 A la réflexion ma chérie, je crois que vous êtes fous tous les deux, mais je trouve ça aussi merveilleux. C’est comme Charles et moi.

Oui, Nadine. Et dire que je ne voulais plus d’un seul homme après mon expérience avec mon ex.

Elle s’est mise à rire et nous avons repris nos courses.

Je l’ai reconduite chez elle puis je suis rentrée chez moi.

J’ai rangé toutes mes courses puis je me suis préparé mon repas.

Assise dans ma cuisine, en mangeant, je n’ai pas pu m’empêcher de me caresser le clitoris, uniquement pour le sentir se graisser dans mon sexe, avec les deux grosses boules dures qui ne voulaient pas rentrer dans moi malgré tous mes efforts.

Une fois mon repas terminé, j’ai fait ma vaisselle puis j’ai attendu mes livreurs.

Heureusement, ma commande est arrivés en début d’après-midi. J’ai commencé par vérifier que tout y était, ce qui m’a pris un bon moment. J’ai signé le bon de livraison définitif puis j’ai tout rangé dans mes nouveaux meubles.

De temps à autre, je m’arrêtais en regardant un modèle, en me demandant ce qu’il penserait si je le mettais pour lui plaire.

Finalement, j’ai choisi les plus beaux que j’ai mis sur mes mannequins en vitrine, puis j’ai téléphoné au journal local pour annoncer l’ouverture future de mon magasin. Le journaliste que j’ai eu, que je connaissais bien parce qu’il avait essayé de me draguer en vain avant que je connaisse mon ex-mari, m’a dit qu’il avait appris que j’étais de nouveau libre puis que mon ex était parti avec une jeune minette. Donc, il considérait que j’étais libre et il était prêt à m’inviter pour que nous reprenions des relations… que nous n’avions jamais eues.

Je l’ai découragé tout de suite en lui disant qu’il ne fallait pas qu’il se fasse d’illusions, parce que j’avais fait la connaissance d’un homme dont j’étais tombée amoureuse, qu’il m’aimait lui aussi et qu’il était plus fort que plusieurs Turcs !

Il a semblé étonné mais il n’a pas insisté. Il a simplement pris note de la date de l’ouverture, samedi prochain.

Il m’a promis un bel article et j’ai vu par la suite qu’il avait tenu parole.

Après cela, je suis remontée chez moi et, comme d’habitude, je me suis mise nue en attendant son appel

(à suivre)

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