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Un père admirable – Chapitre 11




Chapitre 15

Jessica seule dans sa chambre.

Je me massais le corps avec un lait parfumé. Puis, jenfilai une petite jupe légère noire avec un chemisier à manches courtes, en satin gris argent. Je relevais mes longs cheveux blonds en chignon négligé et je me maquillais légèrement. Je regardais mon reflet dans le miroir. Jappréciai la façon dont mon chemisier moulait mes seins nus, mais jouvris tout de même un bouton supplémentaire pour accentuer le décolleté. Je roulais lélastique de ma jupe afin de la raccourcir. Celle-ci virevoltait autour de mes cuisses au moindre mouvement.

Je massis à mon bureau et commençais à faire mes devoirs. Jarrêtai la révision de ma leçon dhistoire en repensant aux caresses de mon père dans ma raie. Javais adoré sentir mon anus souvrir avec lenvie de sentir son doigt sy insérer. Cétait bien ce que je pensais, il suffisait que je sois très excitée pour que ce passage secret me livre tous ses mystères. Je désirais mon père et il le savait. Lattente quil prenne ma virginité devenait une douce et délicieuse souffrance. Plus celui-ci me donnait du plaisir et plus je voulais quil men donne. Jadorais sa tendresse et sa douceur.

— Faut que je me concentre, sinon je vais jamais y arriver

Je repris mes révisions intensément jusquà pouvoir réciter aisément ma leçon. Jentrepris de faire mes exercices de maths, mais je ny comprenais rien. Javais beau relire mon cours et essayer de me rappeler les explications du professeur, rien à faire. Mes calculs étaient toujours mauvais et mes équations à deux inconnues restaient inconnues. Irritée de mon incompétence, je pris mes manuels et décidai daller chercher de laide auprès de mon père.

Je me dirigeai au salon, où la télé jouait. Je posais mes devoirs sur la table de la salle à manger. Ce bel homme, concentré sur lécran, était allongé sur le canapé. Doù jétais, je ne voyais que le sommet de sa tête qui dépassait de laccoudoir. Je mapprochais discrètement de lui et magenouillai sur le sol. Je lembrassai tendrement. Leffet de surprise passé, ses baisers répondirent aux miens. Je savourai notre étreinte aussi douce que ses lèvres.

— Houa Tu as voyagé avec moi ? demanda-t-il, les yeux rouges et le regard lointain.

— Oui, Papa souris-je, le cur battant.

Je lembrassais encore et passai mes mains dans sa chemisette déboutonnée à moitié. Sa peau douce et musclée attirait mes caresses. Son cur battait aussi fort que le mien. Javais envie dembrasser son torse. Je lentendis soupirer et, relevant les yeux, japerçu lérection qui déformait son jean. Jy portais instinctivement les doigts comme sils étaient aimantés et la caressait doucement.

— Euh Je suis pas venue pour ça, dis-je en retirant vivement ma main et me forçant à retrouver mes esprits. Jai besoin daide pour mes exercices de maths, jy arrive pas.

— Quoi ? Tu membrasses et me caresses pour me demander un service ?

Mon père me prit dans ses bras en sasseyant sur le canapé.

— Tu mérites ta fessée dit-il en minstallant sur ses genoux.

Les fesses cambrées, ma jupe se releva sur le haut de mes cuisses. Mon père commença à les claquer doucement. Il releva le tissu.

— Elle est où ta culotte ? demanda-t-il, surprit.

Je ris, heureuse de sa découverte.

— Depuis quand on se balade sans culotte ? demanda-t-il en me fessant de plus belle.

Ses tendres claques me forçaient à cambrer mes fesses. Jémettais des petits cris et tentais faussement de me libérer de son emprise. Ses fessées nétaient pas douloureuses et me faisaient mouiller. Ce jeu mexcitait.

— Je recommencerai plus, je te promets, mexcusai-je pour le faire arrêter.

Jespérais secrètement quil nen ferait rien.

Sa main vint tapoter mon clito et lentrée de mon vagin.

— Cest quoi cette minette toute trempée ? Elle veut encore un doigt ?

Sans attendre de réponse, il linséra doucement. Celui-ci glissa entièrement, aspiré au plus profond de moi.

— Oh Oui Papa

Il entama de doux va et viens qui sintensifièrent progressivement, me faisant crier et me tortiller de plaisir.

— Jai vais te faire jouir encore lança-t-il dune voix suave.

Je sentis un deuxième doigt menvahir. Ses caresses plus précises étaient rapides et courtes. Je me sentais mouiller abondamment et mon vagin se contracter de plaisir.

— Oh Papa ! Cest bon.

Je criais ouvertement tandis que je jouissais les fesses en lair. Mon bassin faisait des mouvements de va et viens pour accompagner ses doigts.

— Viens tasseoir sur les genoux de Papa, dit-il en my installant lui-même.

Encore vibrante de plaisir, jétais toujours au septième ciel. Je sentais son érection sous mes fesses tandis que mon père menlaçait tendrement. Celui-ci plongea une main dans mon décolleté et lautre entre mes jambes. Ses doigts semparèrent de mon clito en caressant doucement mes seins. Je gémissais en me cambrant entre ses bras.

— Jadore te caresser et te faire jouir, murmura-t-il contre mon oreille.

Mon père membrassait dans le cou, un long frisson parcouru mon corps. Je jouissais en criant mon plaisir, prise de tremblement. Il en profita pour insérer deux doigts profondément dans mon intimité et leur fit faire quelques va et viens qui déclenchèrent un autre orgasme.

Sa joue contre la mienne, mon père suça ses doigts avec gourmandise. Il membrassa tendrement. Je me goûtais sur sa langue pour la première fois. Cétait délicieux. Celui-ci me garda quelques instants dans ses bras en caressant mes seins.

— Allons combattre ces maths ! lança-t-il en mettant fin à notre douce étreinte.

Je me levais la première.

— Ooh ! Tu mas inondé

Je me retournai et découvris son jean auréolé sur la déformation qui cachait son érection. Je ne pus mempêcher de me lécher les lèvres en la regardant.

— Si tu fais bien tes devoirs, alors je te laisserai peut-être lembrasser, sourit-il en prenant mon visage dans sa main.

Sa proposition plus quintéressante me fit brûler de désir. Ses lèvres appétissantes embrassèrent tendrement les miennes. Ce doux baiser me fit voyager. Mon père sourit devant mon regard troublé et membrassa légèrement.

Nous nous assîmes à table, je lui présentai mon livre de maths et ouvris mon cahier de leçon, ainsi que celui de brouillon. Je lui montrai mes nombreux et vains essais. Mon père mexpliqua à son tour mon cours du mieux quil put ainsi que mes erreurs. Je fis la première équation avec son aide et la suivante sans. Jattaquais la troisième lorsquil ouvrit un bouton de mon chemisier. Je le regardai, surprise.

— Cest pour mieux tadmirer, expliqua-t-il dune voix suave. Reste concentrée.

Je retins mon souffle en sentant sa main sintroduire dans mon décolleté et caresser mes seins. Suivant son conseil, jessayais de rester concentrée.

Jentendis un zip souvrir, attirée par le bruit, je découvris que mon père avait sorti son sexe en érection de son pantalon et le caressai doucement. Je men léchais les lèvres avec envie. Mon père me sourit.

— Dépêche-toi de finir et de tappliquer si tu veux le caresser et lembrasser, mencouragea-t-il.

Jeus toutes les peines du monde à me concentrer, sachant quil se donnait du plaisir juste à côté de moi. Ses soupirs me troublaient. Javais très envie de le caresser. Je sentis les doigts de mon père ouvrir un autre bouton de mon chemisier. Surprise, je les ai regardé agrandir léchancrure sans rien dire.

— Cest pour que je puisse mieux admirer tes seins, sourit-il.

Celui-ci les caressa doucement jusquà faire dresser mes tétons qui débordaient du tissu. Puis, il les abandonna pour se donner du plaisir en les regardant. Mon père mavait laissé le cur battant, le souffle court et brûlante de désir.

— Oh non mexclamai-je déçue.

— Que ce passe-t-il ?

— Je ne me souviens plus de la méthode pour résoudre mes équations

— Tu plaisantes ? demanda-t-il surpris.

Je fis un « non » désespéré de la tête. Mon père se rapprocha de moi pour me réexpliquer tout en se caressant. Lorsque jeus de nouveau compris, je pus reprendre où jen étais. Il restait près de moi pour sassurer que je ne me trompais plus.

Je sentis sa main glisser de nouveau dans mon chemisier et caresser tendrement mes seins.

— Papa soupirai-je, tu vas me déconcentrer

— Ignore-moi ! lança-t-il dune voix envoûtante. Imagine-moi comme le perturbateur de la classe que tu es obligée de snober.

Je me replongeais dans mes exercices du mieux que je pus. Il métait impossible dignorer mon désir. Javais hâte de terminer pour quon fasse encore tendrement lamour. Jinjuriais intérieurement mes équations qui paraissaient interminables.

— Jai très envie de toi chuchota mon père au creux de mon oreille.

Sa voix était douce et très sensuelle. Son souffle caressa mon cou, hérissant ma peau. Je posais mon regard troublé sur son visage souriant et rouge de désir.

— Je suis le plus grand des perturbateurs, dit-il dune voix suave. Dépêche-toisinon, je vais jouir tout seul, tant pis pour toi.

Sa façon de faire monter mon désir, me rendait folle.

Quelques instants plus tard, sa main se glissa sous ma jupe et caressa doucement mes grandes lèvres. Mon clito se dressa aussitôt avec lespérance dêtre courtiser. Un filet de mouille séchappa de mon intimité.

— Papa gémis-je, tu me déconcentres

— Tu me repousses ?

Son regard laissait filtrer de la surprise, de lincompréhension et un petit rien de déception. Je ne savais comment réagir devant son petit air de chien battu. Ma compassion me poussait à lembrasser.

Un sourire fleurit sur ses lèvres qui laissèrent échapper un rire cristallin.

— Je vais te faire des perturbations sismiques, lança-t-il dune voix légère et envoûtante.

Un petit rire méchappa.

— Je crois pas que ça existe ça

— Attends de sentir le tremblement à 12 sur léchelle de Richter que je vais te faire, me menaça-t-il.

— Elle sarrête pas à 9 son échelle ? demandai-je avec insolence.

— Ça sest son problème, mais la mienne va jusquà 12 et tu vas bien la sentir.

— Et il correspond à quoi ton 12 ?

— A la taille de mon sexe, plaisanta-t-il.

— Pfff Il est bien plus grand que ça, ris-je.

Je me servis de lécartement entre mon pouce et mon auriculaire pour prendre sa mesure. Mon père me mit une tape sur la main avant même que je puisse le toucher et en estimer la taille.

— On ne mesure pas le sexe de son père, petite fille ! me disputa-t-il.

Comprenant que jétais allée trop loin, je repris mes exercices sans dire un mot. Ses doigts effectuaient de doux va et viens sur mes grandes lèvres. Ses tendres caresses me faisaient mouiller abondamment. Je sentais le feu me monter aux joues. Je cachais mon trouble derrière le rideau de mes cheveux. Mon père inséra délicatement un doigt dans mon intimité qui émit un bruit de succion. Je me suis amusée à serrer mon vagin autour en pensant lextraire, mais au contraire, mon corps laspira profondément. Je gémis de surprise. Il entama de lents va et viens. Ainsi contractée, je découvris que mon plaisir était plus intense. Je me sentais mouiller abondamment sur son doigt. Je décidai de mempêcher de gémir afin de mieux apprécier les soupirs de mon père. Javais beaucoup de mal à rester concentrée. Mon cerveau ne savait plus calculer.

Soudain, son doux visage souriant apparu devant le mien. Une lueur espiègle illuminait ses yeux.

— Je ne te fais pas mal ?

Je fis « non » avec la tête. Mon père intensifia sa pénétration dans mon intimité pour lui donner un rythme en harmonie avec ses caresses sur son sexe. Nos soupirs se mêlaient.

— Jaimerais redevenir un lycéen rien que pour le plaisir de pouvoir te caresser pendant les cours, sans que personne ne se doute de quoi que ce soit.

Je gémis en imaginant ses propos prendre vie.

— Jaurais de très mauvaises notes alors

Il avait suffi que je voie son visage pour perdre le Nord. Je lui appartenais totalement. Il sourit et membrassa tendrement.

— Je veux que tu ouvres une page de ton cahier de brouillon où tu as fait des devoirs dont tu nas plus besoin.

Je mexécutais sans dire un mot.

— Maintenant tu mécris un message, ce que tu veux, ce qui te passe par la tête

Je mordis mon stylo en réfléchissant brièvement. Je commençais à écrire soigneusement :

« Mon Prince Charmant. Quand je te prends dans mes bras et tembrasse, le temps trépasse. Mon corps tremble, mon cur bat plus fort et en lui tu prends ta place. Fini mes doutes et mes peurs, la joie les remplace. Le bonheur menvahit et avec lui un amour vivace. Ta Princesse. »

— Houa ! Cest vraiment beau Je mattendais à quelque chose de plus érotique.

— Tu naimes pas ?

— Si bien sûr Mets-le au propre comme ça je le garderai en souvenir.

Mon père me souriait, son regard tendre et plein damour me bouleversait. Jai écrit mon petit poème sur une feuille propre tandis quil caressait sensuellement mon corps et embrassait ma nuque. Celui-ci léloigna ensuite de nous.

Mon père me souleva dans ses bras et me déposa sur la table. Mes fesses reposèrent sur mon cahier de brouillon. Il se plaça entre mes jambes pour membrasser et caresser mes seins. Ses lèvres et sa langue déposaient de légers baisers dans mon cou, sur mes seins, sur mon ventre. Tandis que ses mains me caressaient doucement de partout. Les miennes, dans ses cheveux, lencourageaient à continuer. Sa sensualité me rendait fiévreuse. Je voulais mourir sous ses lèvres qui laissaient ma peau frissonnante sur leur passage.

Sa bouche continua sa descente sur mon pubis. Il embrassa ma minette et aspira doucement mon clito. Sa langue pénétra mon intimité inondée denvie. Je regardais mon père me savourer lentement, son doigt flirtant avec la partie la plus secrète de mon anatomie. Mon plaisir appartenait à sa langue. Lorgasme me consuma me laissant tremblante et gémissante entre ses mains. Tandis que lessence de mon corps se déversait dans sa bouche.

Une fois repus, ses lèvres reprirent leur douce et lente ascension jusquà ma bouche. Nous nous embrassâmes tendrement. Son sexe effleura le mien. Mon père le prit dans sa main sans quitter mes lèvres et se caressa doucement. Je coulais sur son gland en contact perpétuel avec ma minette. Ses soupirs mindiquèrent quil se caressait intensément. Ainsi placé entre mes jambes, je défis sa chemisette et laissais mes mains parcourir doucement son corps. Je fus ravie de sentir sa peau frissonner et ses tétons se dresser sous mes doigts. Jembrassais sa bouche, son cou, ses clavicules, ses pectoraux.

Mon père me fit descendre de la table et continua de se masturber au-dessus de mon cahier de brouillon. Son gland qui mouillait abondamment me faisait envie. Je lembrassai et le léchai. Je désirais sentir son sexe coulisser sur ma langue aussi rapidement que les caresses quil se donnait. Mais sa main mempêchait de le prendre en bouche. Mon père gémissait en me regardant faire, tout en caressant tendrement mes cheveux.

Il prit doucement mon visage dans sa main pour plaquer ma tête contre son bas-ventre. Mes lèvres embrassèrent la base de son sexe, qui paraissait plus long vu sous cet angle. Il plaça mes petits doigts sur ses testicules. Jentrepris de les lui malaxer, il soupira de plaisir.

— Je vais hurler ! sécria-t-il en caressant tendrement ma joue.

Des râles rauques séchappaient de ses lèvres tandis que de longs jets de spermes zébraient mon cahier. Son corps tremblait contre mon visage. Sa main ralentit sa cadence sur son sexe jusquà en extraire la dernière goutte de semence.

Mon père referma son jean, puis il passa ses doigts sur ma minette. Javais tellement eu envie de lui que celle-ci, toute inondée, avait dégoulinée sur mes cuisses. Il inséra profondément deux dentre eux en moi, me faisant gémir. Ses yeux dans les miens silluminèrent. Celui-ci membrassa tendrement.

Mon père tourna les pages de mon cahier souillé jusquà celle de mes équations. Elle était encore intacte tandis que les autres simbibaient de nos sécrétions.

— Tu peux continuer tes devoirs, maintenant, déclara-t-il.

Quelques minutes plus tard, celui-ci les corrigea et je lui récitai ma leçon.

— Eh bien, cest parfait, sécria-t-il.

— Je préfère lhistoire à la géographie, souris-je.

— Je parie que tu serais plus à laise si tu étudiais la carte de mon corps plutôt que celle des régions, me taquina-t-il.

— Ça sest sûr ! approuvai-je avec un regard langoureux.

Mon père membrassa tendrement. Jen profitais pour passer mes mains sous sa chemise et caresser son dos. Je me pressais contre lui. Son corps brûlant mattirait. Je me ressourçais au contact de la douceur de sa peau. Mon sens du toucher devenait aussi vital que mon besoin de respirer. Ce simple plaisir me fit gémir contre ses lèvres.

— Eh bien, sourit-il en voyant mon regard troublé.

Mon père se sépara de moi. Mon corps était déjà en manque du sien. Son air pensif me fit redescendre sur terre.

— On devrait arrêter tout ça, dit-il en caressant tendrement mon visage.

— Pourquoi ? Jai fait quelque chose de mal ? demandais-je.

Mon cur déçu se mit à battre très fort dans ma poitrine.

— Jen ai fait autant que toi

Ses yeux tristes ne regardaient plus les miens.

— Ce nest pas bien. Si ça venait à sapprendre, on nous séparerait. Tu serais obligée de vivre chez ta mère et moi, jirai sûrement en prison.

— Non, cest moi qui tai embrassé et tai donné du plaisir la première, sil y a quelquun qui doit être emprisonné, cest moi !

— Tu ne mas pas violé que je sache, sourit-il.

— Mais toi non plus !

— Peut-être, mais en tant que père, jaurai du résister à tes charmes

— Tu regrettes ?

— Oh ! Non, pas du tout Mais on devrait arrêter pendant quil en est encore temps, si on attend, nous nen aurons pas la force.

Cette conversation me brisait le cur. Je navais jamais imaginé quil me demanderait une telle chose. Pas après tout ce que nous avions partagé. Jétais déçue et en colère. Je ne comprenais pas ce retournement de situation.

— Jai pas envie darrêter ! On a quà se marier comme ça personne ne pourra pas nous séparer !

— Pour se marier, il faut présenter des livrets de famille. Que penses-tu quils vont dire en voyant que lhomme que tu vas épouser est celui qui ta vu naître ?

— On na quà aller se marier à Las Vegas !

Il se mit à rire.

— Tu demandes ton père en mariage ? minterrogea-t-il dun ton léger.

Son sourire et ses yeux doux me faisaient fondre.

— Je taime Papa et je veux faire ma vie avec toi ! On peut se marier et aller vivre dans une ville où personne ne nous connaît

Pour moi, la solution était simple. Jétais prête à le suivre au bout du monde. Mon père se mit à rire et me prit dans ses bras. Je lentendis soupirer longuement.

— Je ne mattendais pas à ce que tu tombes amoureuse de moi. Ta proposition me flatte et me fait rêver Mais, je sais quun jour tu rencontreras un homme qui saura te rendre plus heureuse que moi. Cest avec lui que tu te marieras et que tu auras des enfants parce que cest la vie qui veut ça.

Mon cur se serra, mes yeux me brûlaient. Mon père navait pas compris que jétais amoureuse de lui depuis ma plus tendre enfance. Je lai toujours vu comme mon prince charmant sur son beau cheval blanc. Lorsque je jouais à la poupée, il avait son rôle de mari imaginaire. Avec ladolescence des rêves plus romantiques et des fantasmes très érotiques ont nourri mon imagination.

Je me retournai pour lui cacher les larmes de déception qui roulaient sur mes joues. Je refermais mes livres et mes cahiers. Je sentis ses lèvres déposer un baiser dans ma nuque.

— Tu boudes ? demanda-t-il.

Sa bouche continuait sa tendre aventure.

— Non, répondis-je en serrant mes livres contre moi.

Ses doux baisers mapprivoisaient. Ses mains glissèrent sur mon chemisier et me serrèrent doucement contre lui.

— Je taime, chuchota-t-il contre mon oreille.

Son souffle dans mon cou me fit frissonner. Sa douceur me désarmait.

Ses mains prirent délicatement mes seins en coupe par-dessus mon chemisier, me faisant gémir. Je posais mes livres pour passer les miennes dans ses cheveux. Je lencourageais à continuer de membrasser dans le cou. Je sentais son sexe se dresser contre mes reins. Sa bouche vint à la recherche de la mienne.

— Tu as pleuré ? demanda-t-il subitement en sarrêtant à mi-chemin.

— Oui Mais cest pas grave, dis-je précipitamment.

Je lembrassai tendrement, comme la première fois.

— Tes beaux yeux ne sont pas faits pour pleurer, murmura-t-il entre deux baisers.

Mon père me retourna contre lui et membrassa passionnément, en me serrant dans ses bras puissants et sécurisants.

— Tu veux faire lamour avec moi, une dernière fois ? demanda-t-il dune voix envoûtante.

Un long frisson parcouru mon corps et un désir brûlant enflamma mon bas ventre.

— Oui, soupirai-je.

Je comptais bien profiter de cette occasion pour découvrir toutes les choses dont mes copines mont tant parlé et de réaliser tous mes fantasmes.

Je répondis fiévreusement à son baiser. Je léchais et titillais sa douce langue sensuelle. Son simple contact suffisait à me consumer de désir. Son odeur alléchante menflammait. Je le serrai fortement contre moi. Mes doigts caressaient son dos, son torse, ses abdominaux. Je pris ses petites fesses arrondies et musclées à pleines mains. Je les caressais en plaquant son bassin contre le mien. Son érection senfonça dans mon ventre, me faisant gémir denvie. Mon père soupirait. Je le voulais plus près de moi encore. Javais besoin de le sentir en moi, quon ne fasse quun.

— Tu veux me dévorer ? demanda-t-il, les yeux flamboyants de désir.

— Oui, répondis-je affamée en attirant son visage contre le mien.

Je refusais que sa langue quitte la mienne. Ses mains pressèrent bientôt mon corps contre le sien et me rendaient mes caresses fiévreuses. Je voulais sentir sa peau douce et brûlante contre la mienne. Jentrepris de déboutonner sa chemise. Mais les petits boutons me résistaient. Cette perte de temps me donnait envie de la lui arracher.

Le désir qui me consumait me donnait vraiment très chaud. Je ne me connaissais plus. Je narrivais plus à me contrôler. Sa langue, son odeur, son corps me rendaient folle. Jembrassais sensuellement son cou. Je lui fis volontairement un suçon pour laisser lempreinte de mon amour sur sa peau. Je léchais et suçais délicatement les lobes de ses oreilles. Mon père soupira. Je le serrai fortement dans mes bras. Jembrassais ses clavicules, ses pectoraux. Je léchais ses mamelons et suçais ses tétons dressés. Son cur battait follement contre mes lèvres. Il fit passer sa chemisette par-dessus sa tête. Jen profitais pour manger ses abdominaux.

Je caressais son sexe en érection par-dessus son jean moulant. Jappréciais le volume imposant de la bosse. Mon père gémit et entreprit denlever mon chemisier en membrassant. Je passais ma main dans son pantalon. Je gémis en sentant son sexe nu trempé denvie. Ses lèvres esquissèrent un sourire de plaisir et sa langue pénétra doucement ma bouche. Je laspirai aussitôt et la suçais.

Son sexe dur et gonflé glissait dans ma main. Son bassin ondulait, accompagnant mes caresses. Ses doigts se faufilèrent sous ma jupe et entrèrent en contact avec ma minette qui coulait à flot le long de mes cuisses. Mon père gémit en serrant mon corps plus fortement contre le sien. Jémis un petit cri de plaisir lorsquun de ses doigts pénétra profondément mon intimité. Affamée, celle-ci était douloureusement dilatée. Un de ses confrères ne tarda pas à le rejoindre. Le délicieux massage quils minfligeaient me faisait gémir et transformait ma douleur en plaisir. Ce mouvement de va et viens accompagnait harmonieusement mes caresses.

Jouvris le pantalon de mon père afin de libérer son sexe. Il gémit entre mes lèvres. Javais envie de le lécher et quil mapprenne à le sucer. Je le caressais en massant délicatement ses testicules. Nos lèvres se séparèrent juste le temps de regarder avec envie le plaisir que je lui donnais. Jadmirai son corps parfait qui ondulait, les hanches en avant pour offrir son sexe à mes caresses. Désirant le sentir en moi, je me tendais vers lui de la même façon. Je frottais mon clito sur son gland.

— Tu vas me rendre fou ! sécria-t-il en me prenant dans ses bras.

Son sexe se plaça de lui-même entre mes jambes nous faisant gémir. Mon père me posa sur la table et caressa ma minette avec son membre. Je le regardais faire des va et viens de lentrée de mon vagin jusquà mon clito. Sa verge bien dure et brillante de mouille coulissait sur toute sa longueur contre mes lèvres. Jécartais considérablement les jambes afin de lui montrer que jétais prête à le recevoir.

Il prit son sexe en main et commença à se masturber intensément. Je caressais son torse merveilleusement bien marqué par ses muscles contractés. Sa peau halée en sueur reflétait la lumière. Jappréciais la douce caresse de son gland sur mon clito. Jétais toute excitée de regarder mon père se donner du plaisir. Le désirer si fort en moi était une souffrance sucrée et jouissive à souhait. Lextase traversa mon corps me faisant crier et vibrer de bonheur.

— Oh ! Papa, je te veux ! Maintenant !

Son visage rougit se tendit vers le mien. Il membrassa fougueusement. Je sentis son gland pénétrer doucement lentrée de mon vagin. Nous gémîmes de plaisir. Le feu brûlant du désir parcouru mon corps me faisant frissonner. Mon père continua de se caresser ainsi en embrassant mon cou et mes seins. Cela provoquait des vibrations en moi qui mexcitaient et me donnaient du plaisir. Je me caressais le clito en regardant son gland faire des va et viens en moi.

— Cest beau, dis-je contre ses lèvres.

— Cest bon aussi

Nos voix nétaient quun murmure de plaisir. Mon corps tout entier se mit à frissonner.

— Oui

Le désirant au plus profond de moi, je pris appuis sur mes bras et me tendis vers lui. Sa main serra brusquement sa verge lempêchant de me pénétrer.

Ses lèvres entrouvertes laissèrent échapper un long gémissement. Je sentis un liquide chaud inonder mon intimité. Mon père sen retira pour jouir sur ma minette. Je regardais son sperme arroser mes lèvres et lentrée de mon vagin encore ouverte. Tandis quil gémissait en embrassant mes seins.

Celui-ci me sourit. Il frotta son gland sur ma minette avant de linsérer délicatement en moi. Je gémis et mouillais aussitôt abondamment sur lui. Je le regardais faire de doux va et viens à lentrée de mon vagin. Jétais toute excitée et javais besoin dassouvir mon désir. Jattrapais ses fesses à pleines mains et le pressais entre mes jambes. Mon père se retira de justesse comme sil lavait pressenti.

Je le regardai surprise, il me souriait malicieusement, le regard brillant.

— Sil te plait, Papa, je veux que tu sois mon premier, le suppliai-je.

Il membrassa langoureusement et se dégagea de moi pour remettre son sexe qui faiblissait en place. Celui-ci referma son pantalon. Ce simple geste tout à fait anodin mexcita.

— Cest tout, déclara-t-il en membrassant encore. Je taime Princesse.

Mon père tapota tendrement mon nez avec un doigt en souriant.

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