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Jeune bourgeoise du XIXeme – Chapitre 3




Je fus réveillée au petit matin par l’agitation normale du matin, j’étais seule dans le lit, mon marin était de quart ce matin.

Je restais un moment allongée dans la couchette, caressant ma poitrine, mon sexe qui en redemandait encore et qui s’humidifiait à mesure que mes caresses se firent plus insistantes, je finis par glisser un puis deux doigts à l’intérieur, me rappelant le grand plaisir ressenti la veille.

Je fus interrompue par la cloche, signifiant qu’il était l’heure de descendre prendre le petit déjeuner.

Une fois à table, j’attendais patiemment, je ne l’avais pas vu, lorsqu’il arriva pour poser le plateau sur la table. Il déposa furtivement un baiser sur mes lèvres après s’être assuré qu’on ne nous regardait pas, puis il retourna à ses occupations.

Une fois fini mon petit déjeuner, je retournais jusque sur le pont où l’on s’était vus la veille, j’attendais quelques minutes puis il arriva.

Il déposa à nouveau un baiser sur mes lèvres, puis nous passions la matinée face à la mer l’un contre l’autre.

J’appris son prénom par une conversation il s’appelait. Thomas ! Je trouvais la chose pour le moins étrange.

Il me raconta toutes les merveilles qu’il avait vu, les criques et les plages magnifiques des caraïbes, l’eau chaude du bord de mer.J’en rêvais toute éveillée.

Il dut s’absenter un long moment, ce qui me laissa le temps de rêver encore à toutes ces choses, mais aussi de me rappeler l’Angleterre qui me manquait un peu.

Après le repas de midi, nous nous retrouvions une fois de plus.

Il me raconta des histoires de pirates qui dans les mers des caraïbes attaquent les riches bateaux comme les nôtres, ils pillent les richesses, tuent les passagers et l’équipage, en enrôlent certains comme pirates et surtout kidnappent les jolies jeunes filles comme moi.

Une fois sur le navire pirate, tout leur équipage s’en servent pour satisfaire leurs envies primaires, tous les prennent sans relâche pendant des heures, et même parfois à deux ou trois sur la même petite bourgeoise et dès qu’il ont fini, il lui font subir le supplice de la planche, nue, les mains attachées dans le dos, ils la font marcher sur une planche jusqu’à ce qu’elle tombe à l’eau. Même si elle parvient à se libérer elle se noie d’épuisement ou se fait manger entièrement par les requins.

Quelle histoire effrayante, j’étais un peu choquée par ce récit troublant, ces mers peuplées de pirates sont celles où nous nous rendons justement et bien que je n’y connaisse rien, je savais qu’il n’y avait pas de suffisamment de canons pour nous défendre contre de monstrueux pirates. Si Thomas voulait me faire peur c’était réussi.

A la nuit tombée, après le repas du soir, je rejoignis Thomas dans sa cabine, j’en voulais encore.

Il s’était endormi, nu, juste avec un drap à moitié enlevé, j’enleva mes habits, puis je retirais délicatement le drap qui le recouvrait, laissant apparaître son sexe inerte et bien moins gros qu’hier. Je restais hésitante quelques secondes, l’envie prenait le pas, j’approcha ma main doucement, puis saisit son pénis du bout des doigts. Je le décalottais lentement, laissant peu à peu apparaître le gland. Je fis quelques mouvements de mes deux doigts, puis je me décidais à lui faire retrouver sa taille d’hier. Je me mis à genoux devant la couchette puis je pris le gland dans ma bouche, je fit entre le sexe en entier, je le sentais, il commençait à grossir, je passais ma langue tout autour. La sensation de sentir ce pénis grossir de plus en plus dans ma bouche était nouvelle et très agréable, une fois atteint sa taille normale, je pus enfin mettre toute mon énergie à le sucer comme un glaçon. Thomas se réveilla enfin, il me laissa faire un moment puis il attrapa mon bras et me fit signe de m’allonger.

Alors que j’étais allongée sur le dos, il releva mes jambes puis sa tête disparu entre mes cuisses, je ne pus retenir un bruyant gémissement lorsque je sentis sa langue passer sur mes lèvres et mon clitoris, il la faisait aller de bas en haut et latéralement, il écarta mes lèvres avec ses doigts et fit entrer sa langue en moi, j’ai cru que j’allais m’évanouir, le plaisir était encore plus fort qu’hier. Il saisit mon clitoris et le fit rouler entre ses doigts, j’étais en train de jouir, je criais, mon sexe laissait échapper une quantité hallucinante de liquide, sa langue allait et venait dans tous les sens, aidée par ses doigts qui s’infiltraient dans mon intimité, j’essayais en vain de retenir mes cuisses de se refermer sur sa tête, il me donnait le deuxième orgasme de ma vie et le deuxième en deux jours !

J’étais trempée de sueur, toute haletante, Tom se coucha contre moi m’embrassant de partout,

Je repris son sexe dans ma main et je le branlais comme ça pendant quelques minutes jusqu’à le faire jouir à son tour, il déchargea son sperme sur ma main que je lécha pour la nettoyer.

Nous nous endormîmes peu de temps après une nouvelle fois enlacés l’un contre l’autre.

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