Depuis mon adolescence, j’ai toujours attiré le regard des hommes. Assez précoce, j’avais déjà des formes plutôt avantageuses pour mon âge. Grande fille à la peau laiteuse des rousses, j’avais une longue chevelure auburn, des yeux verts ourlés de longs cils bruns et le visage constellé d’éphélides. A quelques centimètres près, j’avais déjà atteint ma taille d’adulte.
Un peu plus tard, lorsque ma mère est allée acheter avec moi des soutiens-gorge, je faisais déjà du 85. B.
Dès que j’ai commencé à baiser avec des garçons de mon lycée, mes hanches se sont élargies et ma taille s’est amincie. Heureusement, j’étais très proche de ma mère et aussi très complice. Grâce à elle, j’étais avertie de tout ce qui touche au sexe et, dès que le médecin a considéré que je pouvais prendre la pilule contraceptive, elle a veillé à ce que je la prenne régulièrement en me disant : Ludivine, n’oublie jamais qu’un enfant non désiré peut très vite devenir un boulet qu’on traîne longtemps ! Fais donc attention !
Un jour que ma mère reprenait son refrain, je lui ai répondu : Ne t’inquiète pas ! En plus de la pilule, j’ai demandé au garçon qui m’a dépucelée il y un mois de mettre une capote…
Mère célibataire, elle avait souhaité faire et élever un enfant toute seule : MOI ! J’ignorais qui était mon père et je ne me suis jamais souciée de le savoir. C’est aussi grâce à elle et à sa situation professionnelle que j’ai pu avoir de la lingerie belle et agréable à porter. J’avais toute une collection de petits soutiens-gorge et de culottes assorties et des vêtements seyants qui mettaient ma silhouette en valeur. Les hommes, qui parfois auraient pu être mon père, se retournaient volontiers sur mon passage et certains amants de ma mère auraient bien voulu m’inscrire aussi à leur tableau de chasse ! Mes copains ne se privaient pas de me flatter en disant que j’étais «la fille la plus canon du lycée» espérant ainsi obtenir mes faveurs.
Plus tard, lorsque je poursuivais sérieusement des études supérieures, j’ai pris l’habitude de porter des jeans très moulants qui étaient comme une seconde peau avec des bodys près du corps. Lorsqu’ils n’étaient pas outrageusement décolletés, je les portais parfois sans soutien-gorge. Ainsi, on distinguait sous le tissu les aréoles et leurs pointes toujours érigées. Lorsque je portais des jupes, bien que ce ne soit plus très à la mode, elles arrivaient à mi-cuisse et lorsque volontairement ou non, elles volaient un peu, on apercevait facilement les jarretelles qui maintenaient mes bas. Lorsque je portais une jupe, j’étais toujours chaussée d’escarpins ou de bottines avec des talons hauts qui me faisaient une démarche chaloupée et cambraient ma taille. Mesurant 1,75 m, avec de tels talons, je dépassais presque tous mes condisciples d’une tête. On me voyait arriver de loin.
C’est aussi à cette période que j’ai commencé à porter des strings de plus en plus petits, voire même ne rien porter lorsque j’étais en pantalon. Puis j’ai franchi un nouveau pas l’été de mes vingt et un ans. Il faisait tellement chaud que pour me sentir plus à l’aise, je n’ai même plus rien porté ni string ni culotte sous mes jupes. C’était agréable de sentir le vent s’engouffrer sous ma jupe, frôler mes cuisses et ma chatte nue mais pas encore rasée.
Lorsque j’allais à la piscine, je portais des maillots les plus réduits possible, mais je me faisais souvent rappeler à l’ordre et je devais revêtir des maillots plus fermés. Je m’arrangeais assez fréquemment pour qu’un sein soit dénudé lorsque je sortais du bassin en faisant glisser par inadvertance une des bretelles. Je le cachais bien vite, mais pas assez cependant pour que des garçons ou des hommes le remarquent.
En fin de première année d’université, nous sommes partis à deux couples de copains pour deux semaines au bord de l’océan atlantique à quelques kilomètres du bassin d’Arcachon. Lorsque j’ai vu que la plupart des femmes étaient sur la plage avec les seins nus, j’en ai fait autant. Je montrais avec fierté deux beaux seins bien ronds, haut perchés sur mon buste avec des aréoles brun foncé et des tétons proéminents rose pâle. Depuis mon adolescence, j’ai toujours pris grand soin de mes seins en les enduisant de gel raffermissant avant de me coucher. Ils étaient bien fermes et balançaient à peine lorsque je marchais.
C’est au cours de ce séjour que j’ai découvert le nudisme. Nous parcourions la plage après nous être baignés lorsque nous sommes tombés sur une plage naturiste. J’ai compris tout de suite que ma nature exhibitionniste allait prendre le dessus : j’ai immédiatement enlevé le bikini que je portais ce jour-là. Agnès, Freddy et Jérémie, mes trois amis en ont fait autant avec leurs maillots et nous nous sommes mêlés aux autres nudistes. J’ai aussi compris que les poils du pubis étaient disgracieux.
De retour au camping, j’ai demandé à Jérémie, mon compagnon du moment, de me prêter son nécessaire à rasage et en prenant ma douche, je me suis débarrassée de tous ces poils fauves qui couvraient mon bas-ventre. A mon retour au bungalow, il m’a trouvée très belle ainsi et aussitôt,il est venu embrasser ma chatte nue. Il est inutile de vous dire ce qui a suivi.
De retour à Paris et pour gagner un peu d’argent, j’ai fait le tour de quelques peep-shows afin de chercher un engagement de quelques heures par semaine. Pour le plaisir des hommes, je dansais sur la petite scène entourée des cabines. Je ne voyais jamais à qui j’avais à faire, mais mon excitation était à son comble lorsque j’entendais les pièces tomber dans le monnayeur et voyais les rideaux se lever devant les miroirs sans tain. C’était le signe que j’étais observée.
Je ne restais jamais bien longtemps dans le même établissement. Le bouche-à-oreille dans ce milieu avait fonctionné et j’étais très demandée par les tenanciers. J’ai même été embauchée dans un sex-shop où fonctionnait un peep-show. Là, pour peu qu’un voyeur glisse un billet ou deux de 10 euros dans une fente, il avait droit, et uniquement lui, à la nudité intégrale et une séance de masturbation avec les mains ou un gode. Par contre, je n’ai jamais accepté d’aller dans le salon particulier où le contact avec le client est direct, sans séparation.
Mes amis savaient ce que je faisais, mais ils n’ont jamais su où. J’ignore si l’un d’entre eux a pu me voir et je n’ai jamais eu de rapports avec les clients ! Je dansais pour leur plaisir (et le mien), mais je n’étais pas une prostituée !
Le temps a passé. J’ai terminé mes études et désormais, je travaille à plein temps depuis bientôt deux ans. Je suis sans compagnon depuis plusieurs mois, ce qui ne m’empêche pas de baiser de temps à autre lorsque j’accepte de me laisser draguer, en fait quand quelqu’un a été attiré par mon manège exhibitionniste. Je porte toujours des vêtements très ajustés qui mettent mon corps en valeur. À la belle saison, c’est assez souvent que je m’installe à la terrasse d’un café avant de rentrer chez moi. Sans string, je croise ou écarte mes cuisses pour m’exhiber.
Lorsqu’un homme a mordu à mon appel, s’il me plaît, il a gagné le droit de m’emmener dans un hôtel discret et accueillant où je m’offre complètement à lui pour une baise sans lendemain. Pour l’instant, je suis heureuse ainsi : je m’exhibe ! Et je fais des envieux. Jusqu’où irai-je ? Je ne sais pas. Par contre, j’ai conservé des contacts avec la gérante de ce sex-shop avec peep-show, ce qui fait que de temps à autre, je peux encore m’offrir une heure ou deux d’exhibition dans son établissement, soit pour mon plaisir soit pour lui rendre service quand il manque une fille.
Quelques années plus tard…
A 30 ans, mon penchant pour l’exhibitionnisme n’a pas varié. L’été, je suis presque toujours sans string avec des jupes tout juste au-dessus du genou. Quand je n’ai pas de copain attitré, je m’arrange pour me faire remarquer à la terrasse d’un café en ouvrant largement mes cuisses. Si un des hommes présents mord à mon manège et qu’il me plaît bien, j’ai vite fait de le conduire dans un hôtel proche où il me saute sans autre forme de procès et sans lendemain.
Samedi dernier, je suis passée en vitesse saluer mon amie Claudie, la gérante du sex-shop où je travaillais la dernière année de mes études et où il m’arrive de retourner pour une heure ou deux de show, juste pour le plaisir.
Pendant que les vendeurs et vendeuses s’occupaient des clients, nous bavardions à proximité de la caisse. Elle me disait regretter le temps où je venais régulièrement, car désormais, les filles qui s’exhibaient étaient souvent trop vulgaires, parfois malpropres et peu soignées, ce qui décourageait les clients qui ne restaient plus aussi longtemps dans les cabines.
Soudain, deux hommes sont entrés ensemble en poussant le rideau de velours rouge qui masque l’intérieur du magasin depuis la rue et ils se sont dirigés vers le fond où se trouvent les cabines de vidéo où des séquences de films X. sont proposées en visionnage direct. Claude m’a soufflé discrètement : Ce sont deux homos ! Ce n’est pas la première fois qu’ils passent par ici. A chaque fois, ils choisissent la cabine des films gays..
J’ai suivi Claudie dans ce qui lui sert de bureau, une grande pièce avec une petite scène que je connais bien ! C’est là qu’elle m’a fait me présenter il y a déjà quelques années… Depuis, il y a du changement. Le décor est resté assez semblable, mais sur le côté droit, il y a une série de petits écrans de télévision qui lui permettent de voir ce qui se passe dans la boutique, le vestiaire des filles et les cabines de projection.
Elle sélectionne immédiatement la cabine des films gays et transfère l’image sur un téléviseur grand écran. Si elle n’est pas surprise de ce que nous découvrons, je suis sidérée par la scène. Les deux mecs sont intégralement nus et ne semblent pas du tout intéressés par ce qui se passe sur l’écran de la cabine. Le blond, environ trente ans, les cheveux mi longs ondulés, les muscles à peine dessinés est à genoux sur la moquette. Il est en train de faire une fellation au plus jeune, un Maghrébin, je pense, tant il a la peau mate et les cheveux crépus. Il suce goulûment et avale une bite de taille imposante jusqu’à coller sa bouche contre le pubis du brun.
S’il m’était arrivé de voir deux filles baiser ensemble, je n’avais jamais vu deux hommes ensemble sauf bien sûr dans une ou deux séquences de films X que j’avais eu l’occasion de regarder. Là, ce n’était pas du cinéma, mais bien une baise homo en direct qui se préparait. Au bout d’un certain temps, le blond s’est relevé pour enlacer son compagnon. Ils se sont embrassés à bouche longuement, masturbant mutuellement leur bite dressée entre eux ou encore se collant l’un à l’autre, ils se prenaient les fesses à pleine main en faisant rouler leur bassin. Le blond s’est installé en levrette dans le fauteuil de la cabine pendant que le jeune beur se mettait derrière lui, la bite couverte d’un préservatif.
Il a glissé sa queue bandée entre les fesses et lentement, il est entré dans le fondement de l’autre sans avoir, semble-t-il, besoin de forcer. Waaouhhh, ce devait être un adepte régulier de la sodomie, car la bite qui le défonçait n’était pas un petit gabarit, j’en aurais bien fait mon quatre heures. Le jeune beur a entrepris les mouvements de va-et-vient, lents et profonds, sortant presque à chaque fois du cul de l’autre pour rentrer à nouveau. Nous ne pouvions pas tout voir, mais nous étions sures qu’il lui dilatait bien la rondelle. Le blond masturbait doucement sa bite qui battait sous lui, puis les mouvements se sont accélérés pour finir par une estocade brutale. Le jeune beur jouissait dans le cul du blond qui, de son côté, crachait quelques jets de sperme. Ça avait été chaud et je sentais ma chatte qui ruisselait tant le spectacle m’avait excitée. Claudie a coupé la caméra et l’image des deux homos a disparu.
J’avais chaud, mes tétons étaient dardés dans mon soutif’ si bien que j’ai demandé à Claude s’il y avait une cabine disponible. Il y en avait une : le numéro 3, bien sur ! Claude me connaissait bien. J’ai déposé rapidement mes vêtements de ville dans le vestiaire et je suis entrée dans la cabine en string et soutien-gorge.
Cette cabine N° 3 était celle que je préférais, car il y avait plein de jouets divers à la disposition de la danseuse et les clients le savaient, car elle était très souvent demandée. J’étais certaine qu’un voyeur allait m’observer pendant que je me ferais plaisir avec un beau gode.
Je suis entrée et tout de suite, les petits projecteurs se sont allumés. Dans la lumière crue, j’ai choisi un beau gode en silicone couleur chair, avec des reliefs bien dessinés et un gland bien rond, comme le chapeau d’un champignon.
Dès qu’un rideau s’est levé, j’ai esquissé quelques pas de danse en roulant exagérément des hanches puis j’ai englouti le sexe factice dans ma bouche et je l’ai enduit copieusement de salive avant de l’introduire dans ma chatte.
J’avais fait glisser le cordon de mon string sur le côté pour faciliter la pénétration. Ce jour-là, je n’avais pas mis un de mes strings fendus… Quand j’ai vu qu’un second rideau se lever derrière une autre glace sans tain, j’ai fait sauter l’agrafe de mon soutif que j’ai jeté dans un coin de la cabine. Quand j’ai entendu tomber plusieurs pièces dans le monnayeur, je me suis masturbée ainsi quelques minutes avant de faire glisser mon string. J’ai pris un second gode que j’ai placé entre mes seins, le gland à hauteur des lèvres lorsque je baissais la tête. Ensuite, comme il restait un peu de temps, je me suis mise en levrette sur le pouf, les fesses tournées vers le miroir, le gode planté au fond de ma chatte.
J entendu tomber trois nouvelles pièces puis un billet de 10 euros a été glissé dans le coffret translucide. Oulla ! J’avais affaire à un gourmand. J’allais lui en donner pour son argent. Toujours en levrette, mais légèrement tournée sur le côté, j’ai continué ma masturbation avec le gode puis je l’ai introduit dans mon petit trou en le maintenant enfoncé d’une main.
La joue collée sur le velours du pouf, j’ai mis deux puis trois doigts dans ma vulve pour me caresser. Puis c’est la main tout entière qui est entrée. Je me suis fistée comme une démente jusqu’à ce que mon plaisir éclate. Le rideau s’est refermé pendant que je reprenais mes esprits, assise sur le pouf, les jambes flageolantes tant la jouissance m’avait déchirée.
Je pensais m’arrêter là. Mais le rideau s’est levé à nouveau. J un nouveau voyeur derrière la glace ! Généreux aussi celui-là, car il avait mis d’emblée un billet de 20 euros. En écartant les pans du pouf, je suis allée chercher le coussin que je savais y trouver. Avec un beau gode rigide au centre, assez long, mais pas trop volumineux, j’allais m’envoyer en l’air une seconde fois pour le plus grand plaisir de mon voyeur (et du mien).
Je me suis approchée au maximum du miroir, les jambes écartées de chaque côté du coussin, j’ai descendu mon bassin jusqu’à ce que le gland factice soit bien en place à l’entrée de ma chatte. J’ai commencé le va-et-vient en me tenant à une poignée pour conserver ma stabilité. Parfois, je faisais ressortir le gode de ma chatte pour mieux le sentir ensuite écarter mes petites lèvres.
Pendant ce temps, je faisais une fellation à un gode en silicone de couleur mauve. Finalement, je l’ai glissé entre mes seins en les resserrant avec mon bras. Je le faisais coulisser comme si un partenaire avait envie d’une branlette espagnole. J’étais tellement excitée par le plaisir que je me donnais et de me savoir observée que ma jouissance est arrivée une seconde fois. Dès que le rideau est redescendu, je n’ai pas traîné dans la cabine. J’en avais assez pour cet après-midi. Généralement, il est rare qu’une exhibitionniste en peep-show se fasse jouir devant un client. Elle est surtout là pour lui offrir un spectacle capable de le faire fantasmer.
Je suis allée rejoindre Claudie dans son bureau où nous avons bavardé encore un peu et je l’ai quittée pour rentrer chez moi. J’avais besoin d’une bonne douche !