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Un soir sur la plage – Chapitre 1




Marion a toujours été cataloguée comme une « jeune fille sage ». Elle shabille de façon très classe et BCBG, jamais vulgaire. Lors de nos ébats, nous nous amusons souvent à imaginer des aventures avec dautres personnes, des exhibitions mais nos habitudes sont tenaces.

Notre sexualité est pour le moins débridée et sans tabous mais elle se pratique toujours dans le cadre exclusif de notre couple.

Marion est grande, brune aux cheveux long et au regard de braise.

Il lui est arrivé de sortir parfois dans des tenues sexy à ma demande. Souvent, e lui demande denlever sa culotte ou elle ne la met pas avant de partir. A chaque fois, ça me provoque une grande excitation mais Marion est toujours réservée. Elle me dit que ça ne lexcite pas vraiment, même si jai déjà pu constater le contraire. Le plus flagrant avait été lors dune sortie dans un resto, un soir dans Paris. Elle portait une minijupe noire que je lui avais demandé de remonter à mi cuisses, une paire de bas et des bottes. Cest surement la seule fois que sa tenue était « plus que sexy », elle avait particulièrement attiré le regard de deux serveurs qui séchangeaient des mots en la regardant. Lorsquelle sétait levée pour aller aux toilettes, un homme dune cinquantaine dannée lavait suivi. Les toilettes étaient en bas de la salle et elle mavait raconté que le « charmant monsieur » avait attendu quelle sorte et commence à monter les escaliers pour la suivre. Pas sûr quil ait vu son absence de culotte mais à minima, il avait dû voir le hait de ses bas Elle mavait raconté ça alors que nous faisions lamour et même si ces paroles disaient quelle avait un peu « dégouté « par lattitude de cette personnes, la moiteur de son sexe disait autre chose.

Quelques mois plus tard, nous sommes partis en vacances en Polynésie sans les enfants. La température était parfaite et les tenues de Marion étaient pour le moins courtes. Elle finissait souvent la soirée sans culotte, avant daller au restaurant et nos nuits étaient torrides. Nous pouvions dautant plus nous adonner à ces plaisirs que lile sur laquelle nous étions était presque déserte. Souvent, nous allions sur la plage et Marion samusait à sassoir, face à la mer, les jambes grandes ouvertes. Elle me disait ainsi avoir le sentiment dêtre offerte sans risque. Un des derniers soirs, elle sétait même tournée vers le restaurant. Mais là encore, la pénombre de la plage cachait son intimité.

Le dernier soir arrive, demain matin, départ aux aurores (avant même). Nous décidons, pour notre dernière soirée de shabiller un peu classe. Marion met donc une belle robe bleue, qui lui arrive juste au-dessus des cuisses, serrée à la taille avec un décolleté plongeant. Avec un clin dil, elle me dit quelle ne met aucun dessous car la robe est suffisamment longue et que pour le haut, elle ne trouvera pas de soutient gorge discret. Son décolleté est un peu provoquant mais sur ces iles chaudes, rien danormal.

Le repas se passe normalement et avant de rentrer, nous décidons de faire un tour par le bar de la plage. Il y a un orchestre assez bruyant et pas mal de monde devant, nous décidons donc de nous mettre tout au fond, à la limite de la plage, sous les palmiers. Ainsi placé, on entend suffisamment la musique et nous sommes à labri des regards. Marion sest assise dans un canapé bas, sa robe remonte un peu et dévoile ses cuisses. Comme nous sommes seuls, jen profite pour caresser sa cuisse et remonter le tissu à la limite de son sexe. Sa tenue est comme ça beaucoup moins sage que tout à lheure mais nous sommes seuls.du moins le croyons-nous ! En effet, tout à coup, nous nous apercevons quun couple nous a rejoints. Ils sont un peu plus âgés que nous et je trouve bizarre quil vienne se « coller » (tout est relatif) a nous, alors que nous sommes à lécart du reste des gens du bar.

Marion ne touche pas à sa robe pour ne pas attirer lattention. Lhomme lance plusieurs fois des regards dans sa direction. A un moment, il glisse quelque chose à loreille de sa compagne qui regarde dans la direction de Marion. Elle devient rouge et sempresse de chercher une contenance en buvant dune traite son cocktail. La femme lui sourit. La soirée continue et les cocktails senchainent. Je sens que Marion commence à être « un peu pompette », elle me glisse à loreille quelle trouve le couple joli. Que la femme, avec son air hyper sérieux (très british) lui donne envie de samuser. Je nose comprendre mais lencourage. Je lui dis :

— Vas-y, de toutes façons, nous repartons demain, on ne les reverra jamais

Marion écarte alors franchement ses jambes, laissant sa robe retomber devant son sexe. Penchée en avant, le bout de ses seins est presque visible.

Le couple lance des regards dans notre direction. Je sens Marion prête à un petit jeu, alors je passe derrière elle sur le canapé (il est suffisamment grand pour le permettre). Mes mains enserrent Marion et glisse le long de ses cuisses. Le couple sest rapproché lun de lautre et leurs regards sont maintenant franchement tourné vers nous. Un verre dans la main, il fixe Marion du regard. Mon cur bat la chamade lorsque je prends les pans de sa robe et les remontent. Jai peur de leur réaction, de la réaction de Marion. Je relève donc sa robe et elle ferme les jambes. Le couple continue de regarder et je prends ça pour une invitation. Je dis à Marion :

— Faisons leur plaisir, écarte les jambes.

Et là, contre toutes attentes, je la vois écarter en grand les jambes. Doù je suis-je ne peut voir mais il est certain que le couple peut voir le sexe épilé de Marion. Jimagine quil doit être légèrement ouvert. Je continu mon jeu et tire un peu sur la robe, faisant ainsi glisser le haut de la robe (sans bretelles) quasiment sous ses seins. Ses auréoles sont-elles à lair libres. Marion est quasi nue, sur cette plage, alors quil y a du monde 50 mètres devant et surtout un couple, les yeux rivés sur elle.

Marion se tourne vers moi et me dit, je ny tiens plus, ils mexcitent terriblement, jai envie de leur en montrer plus. Elle me tend alors un doigt, comme dans notre intimité, je ne crois pas a ce qui va se passer mais je le lèche machinalement. Elle glisse alors sa main vers son sexe. Je ny crois pas, elle est en train de se masturber, elle ressort son doigt et men tends deux. Le premier est trempé, je goute son odeur avec une excitation mêlée à une gêne. La scène est surréaliste, Marion rentre les deux doigts et se masturbe frénétiquement. Le couple ne la quitte pas du regard. A ce rythme avec cette excitation, lorgasme ne tarde pas à arriver, son visage se colle au mien alors quelle se mord les lèvres. Elle se lève, se rajuste et nous rentrons nous coucher. Nous passons devant le couple, ils nous sourient et nous lance un « Thank you ». Nous ne les verrons plus jamais mais leur visage et cette scène continue, des années après, à alimenter nos fanstasmes.

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