Pour mes 42 ans, aimant le violon, mon époux m’offre l’occasion d’assister à la finale du concours Reine Elizabeth, une semaine de rêve en perspective.
Ce soir, la première soirée, deux candidats exceptionnels, et leur programme est à mon goût.
Je me prépare toute la journée, coiffeur, bain à bulles, quelques achats vestimentaires et me voilà belle comme une déesse, habillée comme j’aime, en partance pour les Beaux Arts.
Je suis bien placée, face à la scène et mes voisins sont des plus agréables ; à ma gauche, un couple dans la soixantaine bien conservé ; à ma droite, un bel homme, seul, parfumé à Terre d’Hermès que j’affectionne, costume bien taillé, courtois dans son attitude.
La première sonate est sublime, nous sommes enchantés, mes voisins sont intéressants dans leurs critiques, on est dans l’ambiance.
Mon voisin esseulé, à l’entracte, me convie à aller boire une coupe de champagne que j’accepte à la condition que la fois suivante, ce soit mon tour.
En me levant de mon siège, je surprends son regard dans mon décolleté baillant par ma position, qui doit lui montrer mes seins dans toute leurs splendeurs, vu mon push up qui a dû se décoller.
J’aime qu’on me regarde à la sauvette, je le suis, je me sens bien avec ma robe fuseau qui épouse mes formes comme une seconde peau échancrée sur le haut.
Le champagne est délicieux, je lui découvre de belles mains, j’apprends qu’il est responsable d’une grande agence bancaire au Luxembourg, qu’il est marié avec deux enfants et que sa petite famille est au Luxembourg et que lui vit entre Bruxelles et Mondorf.
Nous rejoignons nos places et je sens que le courant entre lui et moi passe bien. Le concerto suivant est romantique et me voilà partie dans mes rêveries … !
L’atmosphère, la musique romantique, le parfum de mon voisin m’enivrent, je divague, des envies émergent.
Je suis excitée, la tension monte, je sens mon fond de culotte s’humidifier.
Je rentre à la maison, mon mari en pyjama m’attend. Me trouvant croquante, il s’approche, il s’occupe de moi avec envie, ma robe y passe, mon push up saute, je suis les seins nus, en autoportants, il masse au dessus de la soie mon mont de Vénus, il sait y faire, il me tripote le clitoris, je coule, je sens sa verge droite qui pointe en haut, écrasée sur mon ventre ; on s’embrasse à pleine bouche, ma main, glissée dans son pantalon, prend sa virilité et en apprécie la forme, la dureté, j’ai envie de cette tige au plus profond de moi pour éteindre l’incendie qui me consume et puis, subitement, mon voisin de droite s’invite, je fais un transfert, l’excitation s’en trouve très accrue. Je suis contre le mur, quasi nue, slip sur les cuisses, une tige s’enfonçant en moi doucement, je sens le gland pénétrer mes lèvres, puis le fourreau et enfin toute la verge est en moi heurtant ma matrice, des va-et-vient sauvages, je me sens violée par l’intrus, c’est puissant, j’explose, sentant les jets puissants de sperme qui m’inondent.
Cet homme à peine connu me fait fantasmer, je me caresse en pensant à lui, je suis folle.
Ce mardi, je vais essayer de l’émoustiller, je me fais la plus sexy possible, j’opte pour une jupe portefeuille avec ouverture avant centrale, un chemisier en soie beige sans soutien qui laisse deviner tous les mouvements de mes seins, le tout avec un parfum des plus capiteux.
Me voilà prête et puis hic, la voiture en panne, il ne me reste plus qu’à appeler un taxi pour être à l’heure, mon mari étant à Paris pour affaire jusqu’au lendemain.
Quand j’arrive, il est déjà installé, il se lève pour me laisser passer, j’enlève mon châle, je m’incline pour m’asseoir et, de nouveau, je surprends son regard dans mon décolleté, sur mes seins libres. Le premier candidat passé, c’est à mon tour d’offrir le champagne, je lui explique la déconvenue avec ma voiture et mon mari à Paris n’ayant pu me dépanner. La sonnette des Beaux Arts nous rappelant, me levant, il me prend par les épaules pour regagner nos places, je suis aux anges, je me laisse mener, j’exulte.
En m’asseyant, je fais tout encore pour lui mettre sous le nez ma poitrine libre en prenant tout mon temps. Je place le châle sur mes cuisses et nous voilà à nouveau sous le charme de la musique romantique à souhait, je suis bien, je le sens à côté, troublé, je le regarde, on se regarde, la sauce prend, il me prend la main sous le châle en toute discrétion, il me masse les doigts de longues minutes, je suis excitée, cet homme me rend fou, je mouille, j’attends la suite … !
Sa main se fait plus insistante et indiscrète, il l’insinue dans la fente de la jupe portefeuille et il est en contact avec la limite des autoportants qu’il découvre avant de se profiler plus haut, là où la peau est plus douce, il apprivoise, son index est sur mon fond de culotte mouillé, il le sent, il insiste sur la zone, j’aime, ça dure des minutes, c’est jouissif.
Nous ne pouvons là, aller plus loin, on se regarde, nos regards en disent long, je vois qu’il bande sec, on est allé trop loin, la tension est extrême, il faudra s’en libérer. Le spectacle terminé, il me propose de me ramener, dans sa voiture, on ne résiste pas à s’embrasser comme des jeunes adolescents, on se pelote comme des fous, il prends mes seins au travers de mon chemisier en soie, j’ai ma main sur son pantalon écrasant sa verge tendue, j’ouvre sa braguette, je la prends en pleine main, je le masturbe, je le sens prêt, je le fais éjaculer à travers tout, j’aime ces explosions pour moi ; de son côté, son index dans mon slip me mène aussi au plaisir extrême, nous avons encore faim de nous. C’est chez moi que le jeu se continue, au salon, il m’embrasse, il me pousse sur le canapé, il me relève la jupe, descend mon slip, et il me prend en levrette en une fois, il est au plus profond de moi, il me pilonne des minutes, je sens ma mouille couler sur mes cuisses, il aime, je deviens folle, j’ai un orgasme comme jamais, il explose en moi, il passe la nuit avec moi et, le matin venu, je me réveille avec lui, nu épousant mon dos, je sens une érection matinale dont je veux encore profiter. Il dort, je le prends en bouche, je le suce, je veux boire son jus, il explose dans ma bouche, je sens son sperme fuser avec force.
Nous sommes restés amants quatre années.
Il m’a tout donné de lui …