Le lendemain, me revoilà à l’école. Je suis toujours sous le charme de cette petite diablesse de prof, et nos ébats de la veille hantent mon esprit avec insistance. Je la revois nue, me suppliant presque de l’enculer avant de finalement lui remplir les entrailles. Quel plaisir ce fut.
Mais aujourd’hui est un nouveau jour, et je ne sais absolument pas comment cela va se passer. Va-t-elle laisser paraître quelque chose ? Va-t-elle m’ignorer et laisser ce moment rester unique ? J’appréhende un peu en rentrant en classe, mais j’oublie rapidement mes tracas en l’apercevant. Sa tenue a complètement changé par rapport à hier, elle porte une superbe robe lui arrivant mi-cuisse, bleue avec des motifs fleuris. Elle est perchée non plus sur ses talons de la veille, mais sur des talons compensés mettant parfaitement en valeur ses pieds et ses magnifiques jambes. A cet instant précis, je n’ai qu’une envie… me jeter sur elle. Ses cheveux sont détachés et tombent sur son magnifique petit visage. Je suis subjugué par ce qu’elle dégage.
Le cours commence péniblement, et durant toute la journée je passe mon temps à la dévisager de la tête aux pieds, comme je le faisais jusque-là, mais en sachant parfaitement ce qui se cache sous cette robe. Je n’écoute strictement pas un mot de ce qu’elle raconte. Par contre de son côté rien… pas un regard, pas un signe pour moi… J’en suis très triste car le moment d’hier était merveilleux.
Avant de finir le cours, elle décide de faire un résumé du jour, et pose pour cela de nombreuses questions. Finalement, c’est mon tour et je suis bien incapable de répondre évidemment. Cela dure le temps de 3 ou 4 questions avant que je ne l’entende s’énerver et me dire sèchement :
— Antoine, comme d’habitude vous n’écoutez rien. Je me demande pourquoi vous venez en cours. Vous resterez à la fin afin, pour que nous discutions !
Loin de calmer, sa façon de me parler ainsi m’excite terriblement. La dernière demi-heure passe, et je vais la rejoindre à la fin comme ordonné quelques minutes auparavant.
Antoine je suis désolé de vous avoir parlé ainsi devant tout le monde, mais vous n’êtes pas attentif du tout. Nous avons passé un superbe moment hier mais vous devez écouter, pour votre bien.
— Je suis navré Madame, mais vous êtes magnifique et je ne peux cesser de vous admirer, vous me faites tellement d’effet…
— Je vous trouve également très excitant Antoine, mais vous êtes mon élève et nous ne pouvons recommencer. Qui plus est si cela nuit à votre avenir scolaire !
— Ne vous inquiétez pas pour cela, je m’en sors bien dans les autres matières…
— Je ne sais pas…
La voyant hésiter, je prends les devants et commence à caresser ses jambes nues, alors qu’elle est semi-assise sur son bureau. Elle se laisse faire, et j’ai même l’impression qu’elle écarte les jambes subtilement.
— Ok Antoine, vous avez gagné ! Mais JE décide doù et quand l’on se voit, et JE décide de ce qui se passe lors de ces rencontres. Si vous jouez le jeu, je tâcherai de faire ne sorte que vos notes vous permettent de passer l’année sans difficulté. Dans le cas où je serais déçue, je ne peux rien vous garantir. Est-ce bien compris ?
Je ne réalisai pas encore tout à fait ce que cela impliquait pour les semaines à venir, j’acquiesçais donc ravi de pouvoir à nouveau profiter du magnifique corps de ma prof. Je commençais donc à accentuer mes caresses, quand je me pris une gifle magistrale.
— Antoine, JE décide de ce qui se passe, n’oublie pas !
Elle est passée au tutoiement, et cette gifle, bien que douloureuse, m’excita encore davantage.
— Maintenant à genoux. Commence par t’occuper de mes jambes et remonte lentement.
Mon rêve, évidemment. Je me suis donc agenouillé tandis qu’elle s’est assise sur son bureau. Je commençais à lui embrasser les jambes sensuellement. Ce moment tant fantasmé pouvait de nouveau avoir lieu. Après ces quelques caresses, je lui ai retiré ces chaussures. La même légère odeur enivrante que la veille se dégagea alors pour mon plus grand plaisir. Je bandais comme jamais, porté par ce rêve qui devenait réalité. Je me suis appliqué à lui lécher ces magnifiques petits pieds pendant de longues minutes, passant de la plante aux orteils, comme si je lui étais soumis. Ce que je ne savais pas encore, c’est que j’étais malgré moi en train de le devenir.
Elle semblait apprécier cela, car elle avait penché la tête en arrière et fermé les yeux. J’ai ensuite fait remonter ma bouche le long de ses jambes, pour finalement me retrouver nez à nez avec son string, laissant deviner ses petites lèvres. A ce moment, elle décida de se tourner et de se pencher en avant sur son bureau :
— Lèche moi le cul, et ne t’arrête pas avant que je te le dise ! D’ailleurs à partir de maintenant tu ne t’occupes plus de ma chatte, à moins que je te le dise compris ? Pour aujourd’hui et les prochaines fois.
J’acquiesçais, avec un plaisir non dissimulé encouragé par son petit ton autoritaire et les mots crus qui en découlaient. Ses fesses étaient sublimes et passer mon temps à m’en occuper était loin d’être un supplice. Toujours à genoux donc, je me suis mis à lui caresser sensuellement les fesses, puis à les écarter afin d’aller lui lécher son petit trou, tout rose et qui semblait n’attendre que moi. Je m’appliquais à passer bien autour puis au milieu, jouant même avec ma langue pour la pénétrer. Quest-ce que c’était bon ! Elle commençait à se trémousser de plaisir sous ce traitement, qui dira bien une dizaine de minutes. Ma langue commençait à fatiguer, mais je ne lâchais pas, porté par l’excitation.
— Allez, on passe à l’étape suivante.
Haha, à vos ordres. Je me suis donc relevé, tout de même déçu qu’elle ne soit pas venue me sucer un peu. J’ai craché sur ma queue et sur mes doigts, avant de les lui insérer afin de préparer son petit trou. 1 doigt puis 2 s’insérèrent facilement. J’ai rapidement présenté mon gland à l’entrée, ai poussé délicatement jusqu’à me sentir bien au fond. Puis j’ai commencé les mouvements sous ses gémissements, qui devenaient de plus en plus rapides au fur et à mesure que j’accélérais. Son cul était si parfait que j’aurais pu y rester des heures tellement ma queue s’y sentait à l’aise, bien serrée dans ses entrailles. Elle a changé de position, se mettant sur le dos, les jambes sur mes épaules. J’en profitais pour jouer avec ses seins, faisant rouler ses tétons sous mes doigts.
Cette position était délicieuse, car je pouvais observer toutes ces réactions, et regarder ma queue coulisser dans ce trou si accueillant. Je changeais régulièrement de rythme, afin de lui procurer plus de sensations (ainsi qu’à moi-même) et pour durer le plus longtemps possible. Après plusieurs minutes intenses, au cours desquelles je l’ai sentie jouir 2 fois, ma sève commençait à monter en moi. Elle dut le sentir aussi.
— Retire-toi de suite.
Je me suis exécuté, et ai constaté avec émerveillement qu’elle s’apprêtait à me finir elle-même. Il ne me fallut que quelques secondes avant de décharger plusieurs giclées dans sa bouche, qu’elle a avalées sans tarder, se délectant même de ce qui avait coulé sur ses lèvres.
— Ne t’avise pas de jouir avant que je te l’aie autorisé surtout ! Ok pour cette fois mais tu as eu de la chance que je le sente.
— D’accord madame, pardon.
— Bien, demain nous sommes samedi, rendez-vous 8 heures chez moi, voici l’adresse.
— 8h ? Mais madame c’est samedi et je voulais dorm…
Pas le temps de finir une nouvelle claque s’abattit sur mon visage. Nous n’étions plus dans le contexte du sexe, et je compris que si je voulais avoir de bons résultats avec elle, j’allais devoir faire ce qu’elle me demandait.
— Encore une fois Antoine, JE décide où et quand l’on se voit. Tu n’es pas d’accord ? Tant pis, je saurai m’en souvenir.
— Désolé madame, je serai là à 8h précisément.
— Parfait, tu peux y aller.
J’étais donc piégé mais aux anges et surtout excité à l’idée de la revoir le lendemain que je quittais la salle, la regardant se rhabiller l’air satisfait.