La situation devenait vraiment difficile
Depuis la perte de son travail, Natacha avait toutes les difficultés du monde à assurer le paiement de son loyer et rembourser dans le même temps ses nombreux prêts. Trois mois déjà de retard sur les échéances, elle avait longtemps évité son propriétaire et ses appels.
Mais le courrier recommandé qu’elle venait de recevoir indiquait clairement que la situation n’allait pas pouvoir durer plus longtemps, et que l’expulsion devenait une menace très réelle.
Il lui semblait qu’il était maintenant urgent de s’ouvrir à cet homme sur ses difficultés, en espérant sa compréhension afin d’obtenir un délai de paiement le temps de retrouver une situation plus stable. Elle composa son numéro, et il décrocha au bout de quelques secondes.
— Bonjour, je suis votre locataire, et je vous appelle suite au recommandé que vous m’avez envoyé…
— Effectivement, vous avez plusieurs loyers de retard, et il est impossible de vous joindre. J’ai donc envoyé cette lettre recommandée pour vous signifier vos retards de paiement et vous prévenir que j’engageais une procédure d’expulsion…
Le ton du propriétaire était sec et trahissait une forte animosité.
— C’est à ce sujet que je vous rappelle. J’ai malheureusement récemment perdu mon emploi, et j’ai des difficultés à régler ces loyers, le temps que je retrouve une situation. Je voulais donc voir avec vous s’il était possible de temporiser pendant cette difficile période…
— Si je comprends bien, vous me demandez d’accepter d’avoir des loyers non payés, sans même savoir si vous allez retrouver rapidement un travail pour régulariser ? Je me demande bien pour quelle raison je prendrais ce risque !
Natacha sentait bien que la partie était mal engagée, et réfléchissait à toute vitesse pour trouver le moyen de ne pas rester sur un refus définitif qui risquait fort de la mettre à la rue.
— Je sais que j’ai tardé à vous prévenir, et c’est normal que vous soyez fâché à ce sujet, d’autant plus que je n’ai pas répondu à vos appels. Seriez vous disponible pour en discuter de vive voix et voir quelle solution nous pourrions trouver ?
— Je pense qua la situation est claire, je n’attends de vous que le paiement de votre loyer. Malgré tout, je passerai ce soir à 19h pour en discuter et voir comment vous comptez me régler.
Après avoir raccroché, Natacha se demanda de quelle manière elle allait pouvoir se sortir de cette impasse. Le ton du propriétaire montrait clairement qu’il n’était pas disposé à revenir sur sa procédure d’expulsion si les loyers restaient impayés.
Mais la perspective de se retrouver sans logement la glaçait d’effroi, tant il était certain qu’elle n’aurait pas la possibilité d’en relouer un sans retrouver un travail au préalable.
Peu après 18h, elle commença à se préparer, de manière à être la plus avenante possible pour lui faire la meilleure impression. Elle se maquilla soigneusement, avec sobriété, et passa une jupe droite simple et un chemisier. Elle rangea l’appartement, qui était parfaitement tenu, et prépara quelques toast et des boissons.
A 19h10, la sonnette retentit. Natacha ouvrit et son propriétaire entra. C’était un homme brun, de corpulence moyenne et d’environ 45 ans. Elle l’invita à s’asseoir sur le canapé, et apporta les toasts et les boissons.
— Je suis venu sur votre demande, mais ma seule attente est que vous m’indiquiez clairement à quelle date proche vous allez me régler les loyers impayés…
— Il m’est impossible de vous régler rapidement les loyers impayés. Je voulais donc vous proposer d’intervenir gratuitement chez vous en tant que femme de ménage, pour compenser.
— J’ai déjà une femme de ménage, et de toute façon les services que vous me rendriez sur ce plan ne compenseraient pas le manque à gagner des loyers. Ce n’est pas du tout la même échelle !
Natacha sentit tout de suite qu’il allait être très difficile de proposer une solution qui pourrait intéresser le propriétaire, tant le montant global de son dû était élevé.
— J’ai du temps libre, je pourrais donc intervenir pour faire ce qui pourrait vous servir au mieux. N’avez vous aucune activité en tête pour laquelle je pourrais vous aider ?
Le propriétaire la scruta attentivement pendant quelques minutes, tout en paraissant réfléchir intensément. Il sentait bien son désarroi. Au bout d’un moment qui paru très long, il dit :
— J’aurais bien une idée, mais elle pourrait paraitre assez peu conventionnelle, et je ne voudrais pas paraitre exploiter la situation…
— Le plus important pour moi est de pouvoir rester dans cet appartement le temps de retrouver un emploi. Je suis donc tout à fait prête à répondre à vos demandes pour que vous puissiez temporiser…
A ce moment, le regard du propriétaire glissa sur sa poitrine avec un air entendu, et Natacha eut un choc, comme si elle voulait ne pas avoir compris ce que cela signifiait. Quoique de petite taille, elle savait que son corps fin et musclé ne laissait pas les hommes indifférents, et que ses seins parfaitement galbés attiraient souvent les regards. Malgré tout, elle avait eu très peu d’aventures et avait une vie très rangée, bien qu’elle soit très souvent abordée par des hommes. Elle croisa le regard du propriétaire, et comprit rapidement qu’elle n’avait pas rêvé ses intentions, tant elle y lut de lubricité. Les idées tournoyaient dans sa tête, et elle ne savait que répondre.
— Je… Euh… Avez vous des travaux pour lesquels je pourrais vous aider ?
— Effectivement, je pense à quelque chose. Je vais être franc, ma femme m’a quitté il y a six mois et je n’ai rencontré personne depuis. Ça fait très longtemps que je n’ai pas vu une femme nue, ni caressé sa peau. Je pense que ça pourrait compenser quelques loyers…
— Mais, euh… Vous voulez dire que vous voulez me voir nue ?
— Je veux dire que je serais capable d’oublier les loyers si je peux vous voir nue, mais bien plus que ça : si vous acceptez d’être mon jouet sexuel tant que vous ne serez pas en mesure de payer le loyer…
Natacha resta sans voix. En quelques secondes, elle soupesa l’absence de possibilités alternatives en même temps que le dégout que lui inspirait cette proposition, et s’entendit dire presque malgré elle :
— Je crois que je n’ai pas vraiment le choix.
— Très bien. Je vais donc vous demander de vous déshabiller.
Natacha se leva. Elle déboutonna son chemisier, et le fit glisser sur ses épaules, restant en soutien gorge, horriblement gênée, les yeux rivés au sol.
— Continuez !
Elle dézippa sa jupe, qui glissa au sol, restant debout, simplement vêtue de sa culotte et de son soutien gorge. Figée.
— Je ne vais pas vous le redire dix fois, si vous ne montrez pas plus d’allant, je rentre chez moi et dans quelques jours vous serez à la rue. Je n’ai pas de temps à perdre avec une gourde.
Tremblante de le voir partir, Natacha dégrafa rapidement son soutien gorge, qui tomba au sol en dévoilant sa magnifique poitrine, gonflée, ferme. Puis presque dans le même mouvement, elle fit glisser sa culotte le long de ses jambes, et son sexe apparut, ombré d’une très légère toison nettement épilée. Elle restait nue, debout devant l’homme qui la scrutait attentivement, lui demandant de tourner sur elle même pour admirer sa croupe et tous ses aspects.
Elle s’aperçut avec horreur qu’une érection commençait à déformer le pantalon de l’individu.
— Très bien. Je vais te tutoyer maintenant. Viens près de moi, et retire moi mes chaussures et mon pantalon
Elle s’exécuta, et le propriétaire se retrouva en caleçon sur le canapé, en profitant pour caresser ses seins et ses fesses.
— Retire moi mon caleçon, et mets toi à genoux devant moi.
Elle fit ce qu’il lui demandait. Son sexe se dressait entre ses jambes poilues. Il était de longueur normale mais assez épais, et les testicules étaient les plus gros qu’elle ait jamais vus. Son visage était à quelques dizaines de centimètres de cette queue, plus près qu’elle n’en avait jamais approchée une, car ses expériences sexuelles s’arrêtaient au coït en position du missionnaire, généralement dans le noir. Elle savait qu’il ne servirait à rien de se plaindre, et qu’il ne lui restait plus qu’à obéir et subir ce que le propriétaire exigerait d’elle.
— Lèche moi les couilles, et caresse tes seins en même temps.
Il ne lui était jamais venu à l’esprit qu’on pouvait prodiguer une telle caresse, mais elle se sentit soulagée d’éviter la verge elle même. Elle se pencha, et tendit la langue jusqu’à effleurer les couilles gonflées, tout en se caressant les tétons.
— Vas y plus franchement, petite salope ! Si tu fais ta précieuse, je me rhabille et je pars.
Anxieuse de le voir partir, elle lécha copieusement ses boules, les couvrant de salive, faisant rouler les testicules dans sa bouche, malgré son dégoût. Le propriétaire gémissait, et sa queue était de plus en plus tendue, le gland complètement dilaté. Il appuya sur sa tête pour lui frotter le visage sur ses couilles, lui maculant les joues et le nez de sa propre salive. Puis il se recula en arrière et écarta un peu plus les jambes, dévoilant sa raie et son anus.
— Lèche moi le cul, et mouille bien !
A ces mots elle se figea. Jamais elle n’aurait pensé qu’une personne normale puisse faire une telle demande. Elle leva vers lui des yeux implorants mais compris qu’elle devait s’exécuter sous peine de le voir partir. Surmontant son dégoût et ses hauts le cur, elle étendit sa langue au maximum et commença à lécher son anus du plus loin qu’elle pouvait. Après quelques minutes, il attrapa ses cheveux et lui força la tête contre son cul, lui frottant les lèvres contre l’anus.
— Ne fait pas la dégoûtée. Lèche moi mieux que ça, rentre ta langue dans mon cul pendant que tes lèvres me frottent l’anus !
Contrainte et forcée, elle pointa sa langue qui pénétra l’anus du propriétaire, faisant quelques va et vient pendant que ses lèvres embrassaient la corolle. Le propriétaire gémissait de plus belle, et la tirait par les cheveux pour l’obliger à lui lécher alternativement le cul et les couilles.
Au bout d’un temps qui lui paru très long, il se redressa et présenta sa verge devant son visage.
— Commence par me lécher la bite, et applique toi !
Il lui tira la tête pour la coller sur sa verge. Elle lécha la tige de haut en bas, c’était la première fois qu’elle touchait un sexe avec sa bouche. Il se pencha et en profita pour lui caresser les seins, pour lui pincer les tétons. Elle continuait à s’activer sur la hampe pour ne pas le mécontenter. il lui tira les cheveux pour l’amener à lui lécher le gland, où perlait déjà une goutte de sperme.
— Très bien ! Maintenant tu vas me sucer pour de bon, et je ne veux pas sentir tes dents !
Joignant le geste à la parole, il l’attrapa par son chignon et lui empala la visage sur son sexe tendu. Elle avait maintenant le gland dans la bouche, et sur ses directives, elle fit tournoyer sa langue autour, tandis qu’il maintenant sa tête en place.
— Aaaah, grosse salope ! Avec tes airs de pas y toucher, tu m’aspires le gland mieux qu’une pute !
Mortifiée par sa vulgarité, elle continuait à lécher et aspirer son gland, salivant énormément. Soudain, il plaça ses mains de chaque côté se sa tête, et commença à lui imposer un mouvement de va et vient, remontant jusqu’à l’extrémité de son gland, et descendant jusqu’à la moitié de la tige. Natacha sentait un peu de liquide s’écouler dans sa bouche.
Au bout de quelques minutes, il enfonça brusquement sa queue dans la bouche accueillante presque jusqu’à la racine, et maintint sa tête dans cette position. Paniquée, elle n’arrivait plus à respirer et la queue au fond de sa gorge lui donnait des sueurs froides. Après un temps qui lui parut très long, il remonta sa tête jusqu’au gland, lui permettant de reprendre de l’air. Puis il ré enfonça sa queue dans sa gorge, encore plus profondément.
Il commença ainsi un mouvement de va et vient, remontant jusqu’à l’extrémité, puis enfonçant sa verge dans la bouche accueillante. Les lèvres de Natacha venaient frapper son ventre, et les mouvement s’accéléraient sans cesse, avec une violence et une vitesse inouïe. Elle avait du mal à reprendre son souffle, et salivait tant que le sexe et les couilles de l’homme étaient trempés.
Par moment, il arrêtait le mouvement en lui bloquant la tête, sa pine complètement enfoncée dans sa gorge, coupant sa respiration, puis reprenait de plus belle ses allées et venues. La mâchoire, la gorge, les lèvres de Natacha étaient gonflées et douloureuses.
— Ah je te défonce bien la bouche, petite pute. Tu y prends goût !
Subitement il arracha sa bite de la bouche de Natacha, et lui colla le visage sur son anus, tout en se masturbant frénétiquement, l’obligeant à le pénétrer avec sa langue. Puis il se redressa et commença à se branler tout près de son visage.
— Ouvre grand la bouche, tu vas avaler tout mon foutre !
Choquée, elle n’esquissa pas un geste. Même dans ses rêves les plus fous, elle n’avait jamais imaginé possible d’avoir un jour du sperme dans la bouche, ni même sur le corps ! Furieux de sa passivité, il écarta lui même sa mâchoire pour lui faire ouvrir la bouche, pointant son sexe vers celle ci.
— Ouvre, je te dis, sinon je pars ! Tire bien la langue et caresse le frein de mon gland avec !
Elle darda sa langue, sur laquelle il frotta le dessous de son gland, tout en continuant à se branler frénétiquement.
— Putain tu vas me faire gicler ! Prends tout dans la gueule !
Il poussa subitement un cri, son sexe se tendit encore un peu plus et soudain un énorme premier jet de sperme blanchâtre et épais jaillit dans la bouche de Natacha, le gland toujours posé sur sa langue. La giclée atterrit directement dans le fond de sa gorge, suivi de trois autres jets presque aussi puissants sur sa langue. Surprise, Natacha eut un mouvement de recul.
Le propriétaire, continuant à jouir, expulsa trois autres jets visqueux sur son visage, maculant son nez, ses yeux et ses joues. L’un des jets s’écrasa dans sa chevelure.
Se tassant sur son siège, les derniers jets de semence s’écrasèrent sur les seins de la pauvre jeune femme.
Le propriétaire n’ayant eu aucun rapport pendant 6 mois, la quantité de sperme était phénoménale, et Natacha était littéralement aspergée de liquide blanchâtre, qui ruisselait sur son visage et ses seins, formant de longs filaments, tant il était épais.
Restée la bouche ouverte de peur de mécontenter le propriétaire, on pouvait voir qu’elle était remplie de semence, sur et sous la langue. Elle ne savait pas que faire, mais réprimait une violente envie de recracher cet immonde liquide.
— Putain j’ai joui comme un malade ! T’es belle comme ça, la bouche ouverte et pleine de foutre gluant, et la gueule tout maculée ! Maintenant faut que tu te gargarises et que tu m’avales tout ça…
A ces mots elle se glaça. La perspective d’avaler cette semence infecte lui paraissait insensée, mais elle n’avait pas le choix. Elle fit rouler le liquide dans sa bouche comme demandé, et après plusieurs gargarismes, elle commença à avaler, ce qui lui demanda plusieurs gorgées, tant la dose était énorme. Le gout acre et salé était horrible. Sur ses ordres, elle rouvrit la bouche pour lui montrer qu’elle avait tout bu.
— C’est bien, mais maintenant tu va lécher le foutre qui est sur mes couilles et par terre.
Impuissante, elle commença à lui nettoyer les couilles et la verge, passant sa langue dans tous les recoins. Il la força à nouveau à lui caresser l’anus avec sa langue quelques instants. Puis elle se mit à quatre pattes et aspira les gouttes tombées au sol, jusqu’à ce qu’il ne reste rien.
— Décidément, tu es une locataire exemplaire, et je pense que nous avons trouvé une bonne solution pour patienter sur le paiement des loyers. Dis moi merci pour mon foutre, et que tu es impatiente d’en bouffer à nouveau !
Natacha, mortifiée, s’entendit dire :
— Merci de m’avoir fait boire votre sperme. Je suis prête à le refaire, tant que je n’ai pas de solution pour payer le loyer…
— A la bonne heure ! J’ai plein d’autres idées pour compenser ces loyers…
Se relevant, il frotta son sexe dans ses cheveux, puis remit son pantalon et ses chaussures. Il sortit de l’appartement en disant :
— Je reviens bientôt. La prochaine fois, mets de la lingerie plus affriolante.
Elle referma la porte derrière lui, et se mit à pleurer.
— A suivre —