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Ma belle-soeur veut que je l'initie… – Chapitre 1




Une soirée de folie qui venait de se dérouler. Ma grande maison remplie d’amis, réunis pour fêter le retour en France de Flore et Jacques après leur lune de miel. Malheureusement Jacques n’était pas présent, étant de suite reparti pour son boulot. Flore, elle, était là et malgré sa tristesse d’être seule, l’ambiance de la soirée parvint à lui faire oublier ses soucis. Une fête très réussie où toute la fine bande de potes était réunie. Lionel, Fernand, Flore, Neil et même Jules et sa copine Marie étaient là… comme au bon vieux temps où, adolescents, nous nous réunissions pour jouer aux jeux vidéos, aux jeux de rôles et regarder des séries télé le soir…

La seule chose qui assombrissait la soirée pour moi était l’absence de ma bien-aimée : Pauline. Sa mère étant souffrante, elle avait dû aller à son chevet à plus de cent kilomètres de la maison… La nuit tombée et la soirée finie, ma chambre avec le grand lit me semblait bien vide et froide… Et pourtant la maison était loin d’être vide… à part Jules et Marie qui étaient rentrés chez eux, les autres étaient restés… la maison étant largement assez grande pour tous les accueillir. La plupart d’entre eux ronflaient d’ailleurs déjà sous l’effet de l’alcool et du festin. Mais moi qui n’avais pas bu, je me sentais un peu seul… comme si le coeur de la maison s’était en allé… Néanmoins, comme il fallait bien être en forme le lendemain, je me forçai donc à me coucher et à tenter de dormir.

Je pensais à Flore, qui s’était mariée à ce Jacques, le frère de Pauline… et que lui la laissait seule si souvent à cause de son travail… je me demandais parfois comment elle faisait pour tenir… m’enfin après tout ce n’était pas mes affaires, le mieux que je pouvais faire c’était faire au mieux pour qu’elle se sente la moins seule possible.

Sur ces pensées, j’éteignit la lumière, bien décidé à m’endormir. Au moment où j’allais fermer les yeux, j’entendis un petit grattement contre la porte de la chambre. Pensant qu’il s’agissait du chat je m’assis sur mon lit en lançant :

"Minou, ça suffit maintenant va coucher !"

Les grattements s’interrompirent mais la poignée de la porte grinça, et la porte s’ouvrit lentement. Dans la pénombre apparut une silhouette svelte, dans un pyjama bleu ciel, les très longs cheveux bruns flottant en cascade le long de son corps. C’était Flore.

Quand nos regards se croisèrent, je vis dans ses yeux bleus une certaine timidité.

"Qu’est-ce qui se passe Flore ? Un problème ?" lui dis-je, intrigué. Je sortis des draps, lissa la couette et l’invita à s’asseoir près de moi.

Elle s’approcha lentement et s’assit à côté de moi. Elle tremblait légèrement, restait un peu repliée sur elle-même, comme saisie d’une crainte. Naturellement je me dis qu’elle avait dû faire un cauchemar et qu’elle recherchait un réconfort.

"Tu n’as pas l’air bien Flore, que se passe t-il ?" demandais-je en posant doucement ma main sur la sienne, qui était un peu plus fraiche que la mienne.

A peine l’eut-je touchée qu’elle me serra fort dans ses bras. L’étreinte était puissante mais la surprise fut plus forte, j’eus un mouvement de recul. Je me collai au panneau de mon lit, mon pyjama tendu contre ma peau.

"Mais enfin qu’est-ce qui te prend ?"

Elle plongea son regard dans le mien, et je vis dans ses yeux une envie dévorante.

"J’ai… j’ai envie de toi Francis."

La surprise me paralysa. Ce que je venais d’entendre me stupéfia.

"J’ai envie que tu me fasses l’amour, j’ai envie d’être aimée…"

Alors qu’elle prononçait cette phrase elle baissa lentement ses yeux des miens, longeant ma poitrine puis mon ventre… je sentais en moins une certaine appréhension de ce qui suivrait. Elle stoppa net sa descente en fixant mon entrejambe qui, malgré moi, réagissait à ses paroles. Ces yeux magnifiques rivés sur mon intimité ne faisait qu’augmenter mon excitation mais également ma gêne.

"Mais… mais enfin Flore, tu es mariée… tu reviens à peine de ton voyage de noces…"

Ses mains s’approchaient lentement.. Glissant le long des draps, puis effleurant mon bas de pyjama. au contact de sa peau un frisson parcourut mon corps entier… Cette fille m’envoûtait. Elle posa ses mains sur mes hanches, puis me regarda à nouveau de ses yeux si beaux.

"Il ne me touche pas… il ne m’a jamais touchée… j’ai…"

Elle baissa à nouveau son regard.

"… j’ai envie de ressentir ce que Pauline connaît, le plaisir, la chaleur d’un homme…"

Elle posa une main sur mon sexe, dur et palpitant.

"j’ai envie d’être ta femelle… rien qu’un soir…"

Elle baissa lentement mon pantalon de pyjama, mon membre en jaillit, fièrement dressé pour elle. Elle semblait un peu timide, mais elle caressa doucement la peau de mon sexe, sa respiration se fit de plus en plus forte.

Sa main sur ma virilité augmenta encore mon désir pour elle, elle qui avait l’air si fragile et sage et qui se révélait là, emplie de désir pour moi. Mon envie pris le pas sur tout le reste, et je décidai alors de me laisser faire…

De ses deux mains elle saisit mon pantalon par le haut et fit signe de le baisser entièrement. Je me l’ôta alors entièrement, m’offrant entièrement à elle. Elle s’approcha encore, et caressant toujours doucement sa peau, elle prit lextrémité de ma bite entre ses lèvres, léchant du bout de la langue. Elle enfonça doucement dans sa bouche l’objet de son désir, en faisant de doux va-et-vient. Ses mains parcouraient alors mon pubis légèrement duveté, puis caressa mon ventre, et ma poitrine.

Je la regardais faire, elle était si belle, un peu hésitante mais tellement concentrée et douce… C’était tellement agréable. J’avais l’impression que mon sexe était une friandise dont on savourait doucement la texture et la chaleur.

Quand elle leva à nouveau les yeux vers moi, elle me susurra :

"Fais-moi l’amour Francis, Prends-moi…"

Elle ôta doucement sa chemise de nuit, laissant apparaître à mes yeux son corps nu. Sa peau était blanche d’albâtre, et ses seins, bien que petits, étaient harmonieux, en forme de petites poires. Ses tétons fins pointaient. Je posai alors mes mains sur eux, les effleurant puis les malaxant délicatement. Elle haletait, son souffle trahissait un léger tremblement d’excitation.

Elle ôta finalement son bas de pyjama, puis s’accroupit devant moi sur le lit.

"Je suis à toi maintenant, toute à toi… Ordonne et je ferais."

Sa requête ne fit que m’enhardir davantage. je pris sa main dans la mienne et lui dit d’un ton à la fois doux et ferme :

"Allonge-toi… "

Elle s’exécuta, et s’allongea sur le dos, laissant à mon regard son corps entier. Ses seins étaient encore plus beaux ainsi, et les lignes de son corps si mince étaient fines et élancées. Mon regard stoppa à mon tour sur son intimité. Ma main, posée sur son ventre, glissa doucement… Elle avait un léger duvet, doux au toucher, et sa peau légèrement chaude était d’une rare douceur. Mon index parcourut le long de sa chatte, à chaque fois un petit peu plus profond… jusqu’à toucher son petit bouton de rose. Je l’effleurais doucement et tout en me rapprochant d’elle, je descendais un peu plus… glissant mon doigt, lentement en elle. Elle eut un léger soupir de plaisir et murmura :

"Oui… viens là…"

Je me saisis alors de ses jambes, les soulevèrent. Elle les joignit derrière ma tête en me suppliant du regard.

"Vas-y… je n’en peux plus…"

Sans plus hésiter je m’approcha encore et doucement m’enfonçais en elle, lui arrachant un gémissement de plaisir. Comme je m’y attendais, c’était sa première fois, ainsi je décidai de m’y prendre doucement… le va-et-vient fut d’abord lent, et de plus en plus profond, puis progressivement plus rapide. Je regardais ses petits seins bouger sous nos étreintes, et son visage si harmonieux exprimer son plaisir.

Soudain elle leva la tête et pris mes lèvres dans un baiser langoureux. Sa langue caressait la mienne et ses lèvres embrassaient les miennes dans une danse amoureuse.

"Oui, fais-moi l’amour, oui… mon mâle…à moi"

Alors que je la pilonnais de plus en plus fort, je sentais son étreinte se resserrer. Je sentais la jouissance monter en nous.

"Je… je vais jouir en toi…

Oui, vas-y… vas-y mon beau mâle…"

Ainsi je vint en elle, dans un orgasme puissant… Son souffle haletant et ses bras fébriles relâchaient doucement… Je m’effondrais alors à côté d’elle, essoufflé, en extase…heureux. Elle se roula alors dans les draps et se blottit près de moi, posant sa tête sur ma poitrine et sa main sur ma virilité encore brûlante de notre amour. Elle me caressa très doucement mon membre en plongeant ses yeux dans les miens, me souriant tendrement.

"Oh Francis… je… je suis si bien là…"

Son visage était tellement beau, son plaisir l’avait comme illuminé. Et malgré ma honte, je devais reconnaître qu’elle m’avait donné plus de plaisir que ma fiancée Pauline… qui jamais ne m’avait touché après l’amour… je sentais alors que je tombais sous le charme de Flore, que je venais d’initier aux plaisirs du sexe. Dans ses yeux je lisais de la tendresse, de l’attirance charnelle et une question : A quand la prochaine fois ?

Allongés côte à côté, nus tous les deux, Flore et moi profitions de ce moment si doux, si agréable.

"Ne me dis pas quand même que Jacques ne t’as jamais touchée…

— Jamais… malgré la nuit de noces, malgré la lune de miel et les signaux que je lui envoyais pour lui exprimer mes envies, rien du tout…

— Pourtant… il ne semblait pas qu’il était si peu intéressé… il a l’air de bien t’aimer.

— Je pense qu’il ne vois pas l’amour sous cet angle…

— M’enfin quand même… avec une femme telle que toi… si belle…"

Elle s’approcha doucement de moi, et déposa sur mes lèvres un baiser tendre, puis m’adressa un radieux sourire.

"Allons… assez parlé de tout ça…embrasse-moi encore…"

A suivre…

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