Aujourd’hui je suis le témoin de mariage de ma meilleure amie, Noémie. Avec Noémie, on se connaît depuis plus de 20 ans. Nous étions voisins étant enfants. Avec elle j’ai fait les 400 coups. On jouait au papa et à la maman, puis devenus adolescents, on ne s’est plus contenté d’y jouer. On a perdu notre virginité ensemble, d’ailleurs, par la suite, il était fréquent que l’on baise ensemble sans pour autant sortir ensemble ni même être amoureux. La semaine dernière encore, alors que son futur mari, Franck, enterrait sa vie de garçon, moi, je baisais la future mariée dans mon appartement, comme ça, pour le fun.
Noémie se marie donc avec Franck. Mais ce n’est pas Noémie le centre de mon histoire. Non. En fait c’est de sa mère dont il s’agit. Lydie, 55 ans, est veuve depuis 5 ans. C’est une jolie femme sans plus (en tout cas pour moi), petite blonde aux yeux bleus, et la peau perpétuellement bronzée toute l’année grâce aux uv qu’elle fait régulièrement. En ce jour spécial, Lydie est très élégante, chemisier blanc, jupe noire en cuir et chaussures à talons. De toute la journée, pendant la cérémonie à la mairie puis à l’église jusqu’au repas dans la salle des fêtes du village, Lydie et moi nous sommes très peu adressés la parole. Ce n’est que tard le soir, alors que la plupart des invités est partie, et que le couple de jeunes mariés a déserté depuis une heure, que Lydie, toute gaie et enivrée vient me chercher pour danser avec elle. On rejoint les 2 ou 3 couples qui dansent déjà. C’est alors que le DJ met un slow. Bon, ben puisqu’on y est, alors dansons. Mes mains se posent sur les hanches de Lydie qui fait de même. La danse se passe bien, on discute, on rigole. Puis Lydie me demande de l’accompagner dehors, marcher un peu pour prendre l’air. Sa tête tourne.
On marche lentement, nous éloignant de la salle des fêtes. Il fait bon en ce début d’été. Lydie:
"- Et voilà, ma fille unique est mariée. Et toi Bastien, ça ne te tente pas de franchir le pas?
— Il faut d’abord trouver la bonne personne. Mais pour le moment je ne suis pas pressé. Je profite de la vie.
— Tu as raison. Dans ma jeunesse, bien souvent, le premier garçon avec qui on sortait c’était le bon, celui qui t’épousait et fondait une famille avec toi. Aujourd’hui, vous changez plusieurs fois de partenaires avant de vous fixer."
La salle des fêtes est loin derrière nous. Nous voilà désormais au pied de la petite église où quelques heures plus tôt c’était l’effervescence du mariage. C’est alors que Lydie dit:
"- J’ai envie de me faire baiser.
— Pardon?
— Non rien. Mes mots trahissent mes pensées. C’est à cause du champagne."
J’ai bien entendu, Lydie veut se faire baiser. C’est une invitation ou bien comme elle a dit, l’alcool qui lui fait dire des bêtises. Pourquoi pas tenter ma chance. Après tout, c’est elle qui a dit ça.
Ni une ni deux, je saisis Lydie par les hanches et la serre contre moi. J’approche mes lèvres des siennes, et rentre ma langue dans sa bouche où elle trouve son homologue. Je passe une main sous sa jupe en cuir et lui caresse la cuisse avant de plonger dans sa culotte où je pelote ses fesses. Lydie retire sa bouche et dit:
"- Enfin tu te décides à passer à l’acte. Mange mon abricot Bastien."
Je m’accroupis devant mon amante, fais descendre la culotte blanche sur les chevilles que je me mets à lécher en remontant le long de la jambe. Lydie tient sa jupe relevée, m’offrant la vision de son sexe complètement épilé: je vais me régaler. Ma langue vient chatouiller son bouton, tandis que j’enfonce mes index et majeur droits dans sa fente humide. Lydie gémit, ferme les yeux, appuyée contre le mur. Sa main libre caresse ma nuque tout en appuyant dessus collant ainsi mon visage sur son entrecuisse. Je me délecte de ce cunnilingus inattendu. J’aurais pu sortir avec une des nombreuses amies de Noémie invitées ce soir, mais non. Je n’avais rien tenté avec personne et c’est la propre mère de la mariée, qui m’a vu grandir, qui s’est occupée de moi quand mes parents étaient au travail, qui m’a invité à la baiser, alors que je n’avais jamais fantasmer sur elle. Je descends ma langue sur la fente précédemment occupée par mes doigts.
"- Mmmm! C’est bon Bastien, ha oui, mmm."
Lydie est aux anges (normal, près d’une église). Alors que je la lèche, mes mains montent et descendent sur chacune de ses jambes. Je me relève, baisse ma braguette, déboutonne mon pantalon et sort ma queue dressée par le désir et l’excitation. Lydie s’accroupit à son tour, sans rien dire et prend mon sexe dans une main, le branle délicatement, le décalotte et le fourre dans sa bouche pour entamer une fellation comme il m’a rarement été donné de connaître: quelle suceuse cette femme! Je regarde sa chevelure blonde aller et venir. Je regarde aux alentours si personne ne vient mais non, on est seuls au monde. Malgré la musique qui sort de la salle au loin, c’est le grand silence dans la nuit étoilée. Lydie me lèche les couilles. Je suis tout à elle, je m’abandonne, puis elle embrasse mon bas ventre et se redresse. Je la plaque contre le mur, dégrafe sa jupe qui tombe au sol et enlève mon froc. Ma main gauche lève du sol sa jambe droite. Lydie guide ma queue vers son vagin qu’elle caresse avec avant de l’introduire en elle. J’entame un va et vient. Lydie ouvre son chemisier et baisse son soutien-gorge. Je viens téter ses mamelles tout en remuant mon bassin en elle.
"- Ha! Ha! Mmmm! Ha!" (fait-elle)
Maintenant Lydie est face au mur de l’église, légèrement cambrée m’offrant sa croupe. Je la baise en levrette, excité par la situation, déchaîné.
"- Je vais jouir Lydie!
— Reste en moi, je veux que tu me remplisses chéri!"
Aussitôt dit aussitôt fait, je sens ma bite cracher tout ce qu’elle a dans la caverne de Lydie. Je sors de cette étreinte. Lydie se tourne, s’accroupit et nettoie mon sexe trempé de foutre avec sa bouche. Elle se relève et l’on s’embrasse de nouveau.
"- Tu veux passer la nuit chez moi? (demande-t-elle)
— Oui, bien sûr.
— Accorde-moi 5 minutes, je dis au-revoir aux autres. Tu n’as cas partir et m’attendre à la maison. Tiens, fais comme chez toi." (elle me donne les clés de sa demeure située à quelques kilomètres).
Le lendemain, vers midi, je suis réveillé par mon portable. J’ai reçu un texto de Noémie. Je suis dans le lit de Lydie qui dort, nue, à mes côtés. Je lis le message :
"J’ai passée une super nuit de noce, Franck est un bon coup lol. Et toi, t’as trouvé quelqu’un?"
Je réponds:
"Oui et c’est un super coup aussi. Je pense que cela va durer un petit moment, mais pas de mariage, juste pour le fun."
J’envoie mon message puis éteins mon portable. Après quoi, je me positionne à cheval sur le ventre de Lydie. J’introduis 2 doigts dans le sexe humide et chaud de Lydie et me branle de l’autre main au-dessus de sa poitrine. Elle gémit et sort de son sommeil pour titiller le bout de mon gland avec sa langue.
C’est parti pour une journée de baise avec la mère de la mariée.