Jai dépucelé le (beau) fils de ma meilleure amie. 4ème partie.
Et maintenant elle veut aussi connaître lextase avec ce petit crapaud qui sest transformé en étalon extraordinaire.
La suite.
Nous lui laissons 20 minutes de répit avant de lui sauter dessus comme des affamées mais malgré ses supplications, Julie refuse de lui retirer la cagoule.
Elle aspire le gland décalotté entre ses lèvres et entame une lente succion, elle le fait glisser au plus profond de son palais comme une énorme sucette, sentant la hampe encore ramollie, à l’intérieur de sa bouche prendre peu à peu de la vigueur.
A mesure que ses lèvres coulissent le long de la verge amorphe, un afflux de sang nouveau gonfle les corps caverneux et le miracle de nouveau se réalise.
Sous le massage expert de ses lèvres, le membre viril gonfle et durcit dans sa bouche. Encore quelques minutes de ce traitement et la jeune verge sera prête. Sa main droite ne reste pas inactive et malaxe doucement les couilles gonflées de laitance.
Sous la forte croissance de cette tige pharaonique, sa bouche ne peut plus la contenir en entier et je vois ses lèvres séloigner irrémédiablement du pubis du garçon.
Puis elle entreprend une chevauchée lente, avant dordonner à Claude de la prendre en levrette et lincitant pour quil introduise les doigts dans son cul pour la préparer à une sodomie.
Elle lui demande de changer de trou en attirant son attention :
-Je t’en pris, vas-y mollo avec ton défonce-cul, la dernière fois, jai dérouillé grave!
Claude se retire de son vagin et appuie sa verge au niveau de l’anus.
Je vois le monstrueux chibre progresser dans les reins de Julie qui hurle, douleur ou plaisir ?
Elle tortille du croupion pendant la progression de ce coin de bois phénoménal.
Il la tient fermement par les hanches et continue la formidable poussée qui ne se termine que quand la totalité de son interminable matraque ait complètement disparue dans les intestins de Julie.
A mon grand soulagement, elle est entrée entièrement entre ses fesses sans coup-férir.
Puis, par des lents va et vient, Claude besogne de plus en plus fort Julie qui grogne comme une véritable chienne en rut mais le plaisir lemporte.
Elle encourage Claude par des mots crus et pour faire pénétrer encore plus profondément son pal, projette son derrière au devant de lintrus. Elle couine comme une truie quon égorge, les intestins complètement investis par lépieu fiché en elle.
Je ne perds pas une miette de ce tableau pornographique, une main sactivant dans ma chatte trempée.
Le volume sonore des cris de Julie augmente proportionnellement aux coups de boutoirs qui sont maintenant d’une force inouïe. Complètement ravagée par des orgasmes répétitifs, elle hurle son plaisir puis se tait, exsangue.
Il la besogne pendant encore quelques minutes avant de lui envoyer la purée, tremblant sur ses jambes.
Un dernier hurlement de plaisir avant quelle ne seffondre et ne bouge plus, la queue toujours fichée en elle.
Au bout dun moment Claude relâche son étreinte sur ses hanches meurtries et se retire.
Jen profite alors pour magenouiller et gober son énorme bite qui a perdu de sa superbe après leffort mais toujours de bonne taille. Je nettoie consciencieusement ce monstre qui a ramolli, ce qui me permet den prendre un peu plus en bouche.
Je vais tenter une chose, je suis une experte en gorge profonde et peux me flatter dêtre toujours parvenue à mes fins. Mais là, le défi est impressionnant.
La flamberge de Claude donne des signes de renouveau, je sens la bite monstrueuse grossir à nouveau sous mes caresses et jaspire goulûment le nud turgescent.
Pour arriver à mon but, je suspends ma fellation et me couche sur le lit, je suis sur le dos la tête basculée dans le vide. Julie voyant ou je vais en venir a saisit le mandrin de Claude toujours aveugle et le positionne devant ma bouche tout en le conseillant :
-Attention Claude, ce que va tenter mon amie, tu ne le connaîtras peut-être plus jamais ! Il faut que tu ailles très doucement en sintroduisant dans sa gorge. Elle va jouer là à lavaleuse de sabre et le tien fait 26 cm alors tout doux !
Il glisse les 15 premiers centimètres sans problème et continue sa progression, je prends une grande respiration avant que son gland nobstrue ma trachée.
Sous la pression, ma gorge cède et centimètres par centimètres, sa formidable trique glisse avec difficulté dans mon pharynx, je retiens avec difficulté un haut le cur tellement la grosseur de sa queue obture mes voies supérieures. Jai les yeux qui commencent à papillonner, plein de larmes, quand enfin ses bourses sécrasent sur mon nez.
Claude nen revient pas de mon exploit et ne bouge plus. Je commence à métouffer et gesticule pour le prévenir mais jai oublié quil porte une cagoule et ne me voit pas.
Julie, comprenant ma détresse respiratoire se précipite sur Claude pour le tirer en arrière. Je peux enfin reprendre ma respiration. Ouf, il était temps, jy suis arrivé mais je ne recommencerai pas !
Claude sextasie :
-Bordel, je naurais pas cru ça possible ! Quel pied ! Je ne veux pas injurier ton amie, Julie, mais faut être sacrément dépravée et aimer la bite pour faire une telle chose ! Une vraie pute !
Je rougis de honte sous les paroles de mon beau-fils, encore heureux quil ne sache pas qui je suis !
Julie linterrompt et lui suggère :
-Tu connais sa chatte et sa bouche, il reste son cul, tu vas ten occuper maintenant mais avant elle va finir ce quelle a commencé!
Je lui murmure à loreille :
-Pour la fellation je veux bien mais pas mes fesses, tu sais que je suis serré de ce coté là, il va me déchirer !
-Pour linstant tu fais ce que je te dis Suce-le ! Pour la suite, fallait-pas me demander ! Me rétorque-t-elle.
Soumise, je magenouille devant Claude et enfourne son bâton de berger.
Je le branle pendant de longues minutes, il commence à avoir la bite paresseuse, on entend plus que des bruits de succion quand soudain Julie, voyant quil est sur le point de jouir, prend sa main, la pose sur ma nuque et appuie fortement.
Ma bouche avale petit à petit pratiquement les trois quarts du bélier monstrueux sous ses coups de reins de plus en plus rapprochés quand il sexclame :
-Oooohhhh Je sens que je pars encore une fois ! Avale-tout belle inconnue ! Un véritable flot de semence envahit ma bouche, coulant directement dans ma gorge.
Javale jusquà la dernière goutte avec délice pour ne pas métouffer. -Jespère que tu as aimé hein ?!
Je nen reviens pas quil arrive à produire encore tant de sperme avec ce quil a déjà craché les quatre premières fois! Il a vraiment des couilles énormes mon beau-fils !
Nous refaisons une pose pour reprendre des forces et se sustenter un peu, ça fait pratiquement deux heures que nous forniquons. Claude supplie Julie de lui retirer la cagoule mais elle ne lui cède pas.
Julie revient à son idée fixe et jette à Claude :
-Jespère que tu as encore des réserves car ce nest pas encore fini, on va tessorer les bourses pour en soutirer le dernier millilitre de ta laitance. Montre-nous que maintenant tu es un vrai mâle à la hauteur de nos espérances!
Puis sadressant à moi :
-Ana Euh A quatre pattes, ma fille et prépare-toi à souffrir ! Bien Je vais dabord te préparer un peu !
Elle menduit ma corolle dune bonne couche de vaseline et se sert dun gode pour massouplir lanneau. Je naime pas trop la sodomie car contrairement à ma bouche, je ne suis pas très souple par cette voie là.
Puis elle installe Claude derrière moi. Pour humidifier sa queue, elle le plonge dans ma chatte avant de la guider vers mon petit orifice. Son manche a du mal à entrer et malgré sa consistance de bout de bois plie sous leffort, ses mains sont agrippées sur mes hanches mais il nose pas forcer plus. Il s’immobilise en déclarant :
— Putain, qu’elle est serrée!
Julie assène alors une claque dune violence inouïe sur les fesses de Claude qui instinctivement sous la douleur se projette en avant mempalant dune dizaine de centimètres dun seul coup.
Je pousse un hurlement démentiel sous la poussée de ce pieu monstrueux qui me déchire, cherchant à lui échapper mais Claude me tient toujours solidement et je suis obligée de subir. Je grimace en le suppliant :
-Nonnnn ! Nonnn ! Cest horrible, je t’en prie, tu es trop gros, cest horrible!
Mais jai oubliée quil mentend en sourdine, il a stoppé sa progression.
-Ça va madame ?
Nouvelle claque magistrale de Julie qui a le même effet sur Claude, il membroche encore plus loin.
Sous la violence de latroce pénétration, je ne peux même plus parler, la bouche grande ouverte, je narrive plus à aspirer lair.
Je suis persuadé qu’il m’a introduit sa queue en entier tellement je sens mes intestins envahis par ce manche de pioche.
Et jentends comme dans de la ouate Julie commenter :
— Claude, tu la laisses s’habituer avant de tout lui enfiler, hein ? !
Pas de réponse, de légers mouvements de sa queue dans mes entrailles me permettent de souffler et de mhabituer un peu à cette incongruité dans mon fondement.
Progressivement, mon orifice prend la mesure de cette tige dacier et jondule lentement d’avant en arrière pour accompagner ses mouvements, sentant sa verge aller de plus en plus loin à chaque fois.
Julie sexclame en riant :
— Tu commences à aimer ça, on dirait ! Vu comme tu te tortilles sur sa queue ! Tu sais, quil n’a même pas encore tout rentré !
Collée à son oreille, elle abreuve Claude de mots crus et lui dit dy aller franchement.
Je commence à prendre du plaisir et pousse mon derrière au devant de son obélisque pour quil me pénètre encore plus profondément.
-Elle a un cul incroyable mais putain quil est serré, un vrai cul de vierge! Sextasie Claude.
-Ça vous plais Madame, je ne vous fais pas trop souffrir ? Vous savez, je nai que le cul de Julie pour comparer et le votre est si serré, jai la queue toute meurtrie !
Je lui réponds sachant quil ne peut reconnaître ma voix :
— Cest très douloureux, mais je commence à my habituer et à apprécier ton gros porteur, jen veux encore !
-Vraiment! Rétorque-t-il ?
Et il enfonce d’un coup dans mon rectum les derniers centimètres de sa barre de fer.
Je crie de douleur et de plaisir mêlés prête à défaillir tellement j’ai l’impression d’être déchirée.
— Ah, ça y est, je touche le fond de ton cul !
Il simmobilise quand ses couilles butent contre ma chatte. J’ai glissé ma main sous moi pour me branler le clito. La sensation est telle quun orgasme me terrasse et je jouis en hurlant des obscénités.
Il me saisit alors par les seins quil pétrit sans retenue et se met à me besogner à grands coups de reins, faisant coulisser son chibre de plus en plus loin, de plus en plus fort, me labourant l’anus de son engin d’amour en mouvements de plus en plus amples et de plus en plus rapides, se déchaînant dans mon cul.
Chaque poussée de sa queue dans mon anus dilaté me fait me tordre de douleur mais aussi de plaisir
Je sens dans mes reins sa verge bandée, si grosse, si longue.
Un miroir me renvoie limage de l’incroyable mandrin qui progresse avec force dans mes reins.
Je râle presque mais il n’en a cure, ses lents va et vient éveillent progressivement de nouveau un insidieux plaisir.
Il mencule de plus en plus vite et de plus en plus fort, se déchaînant comme un fou dans mon cul, me retenant par les hanches pour ne pas que je déchausse de cette axe dacier. Jécarte encore plus les jambes pour mieux le laisser faire, ses couilles frappent en cadence ma chatte.
Sa main sinsinue dans ma fente et ses doigts me triturent le clitoris, mon vagin dégouline, je lâche les eaux une nouvelle fois, inondant mes cuisses et sa main, détrempant les draps.
Les mouvements de son sexe dans mon corps font des bruits incongrus et son pubis claque contre mes fesses à chaque poussée.
Il est vraiment increvable ! Mais après ses exploits jusquà maintenant, Claude commence à avoir léjaculation paresseuse. Jai déjà joui plusieurs fois et lui continue toujours son manège quand enfin il sarrête et se retire en me suppliant :
-Je vais jouir, mais je voudrais connaître encore ta bouche si accueillante !
Je positionne ma bouche devant cette hallebarde tendue à lhorizontal qui semble douée dune vie propre.
Je veux positionner mes deux mains sur son engin mais Julie ne lentend pas de cette oreille et sagenouillant à coté de moi veut aussi sa part du mandrin prêt à éjaculer.
Sa queue géante est encore aussi dure quun véritable bout de bois, nos mains en font à peine le tour, surtout à la base de son nud, loin s’en faut.
Nous le branlons ensemble comme des furies, les lèvres de lune excitent le méat prêt à cracher pendant que la bouche de lautre gobe les ufs chargés de laitance lun après lautre.
-Je vais tout lâcher ! Jette-t-il en grognant.
Il éjacule enfin une dose encore conséquente de sperme sur la face de Julie qui détourne sa lance de pompier pour diriger le jet suivant sur moi, une grosse dose de foutre un peu moins épaisse que lors de ses premières craches de cette baise sans fin macule nos visages.
Il commence à sépuiser le fiston.
Nous nous nettoyons mutuellement avec applications et plein d’ardeur. Nos langues une fois fini se retrouvent pour un baiser fougueux entre filles. Nous ne voulons pas perdre la moindre goutte de son nectar légèrement salé.
Je suis si excité que jai le front brûlant et comme une hystérique nai quune envie, quil me reprenne encore et encore Je touche mon anus, il est grand ouvert, encore béant de ce quil a subit, trois de mes doigts sy glissent sans aucune difficulté !
Sa virilité est en berne et malgré nos efforts, il lui faut presque dix minutes pour relever la tête.
Claude commence à fatiguer, il faut dire que ça va bientôt faire trois heures que nous nous acharnons sur lui.
Je suis toujours en admiration devant la puissance qui sexprime dans cette excroissance qui affole les femmes. Sa verge arrive enfin à retrouver sa raideur si surprenante mais nos ébats si rapprochés ont fini par la faire enfler.
Sa teub a maintenant un diamètre si monstrueux que jai peur quon soit aller trop loin avec lui, je le fais remarquer à Julie mais elle ne veut rien savoir et, têtue, me rétorque :
-Il na pas encore les bourses vides, on est tous fatigués mais comme je vous lai dis au début, nous narrêterons que quand sa queue nen pourra plus !
Elle se retourne vers Claude étendu sur le dos et le chevauche, la jambe gauche repliée en appui sur sa cuisse droite et le pied de lautre jambe sur le lit, saisit la teub à deux mains pour la tenir à la verticale et lentement pliant le genou gauche, se mordant la lèvre inférieure, s’empale sur le pieu dont la hampe est devenu monstrueuse.
Je la vois grimacer et il lui faut de nombreux va-et-vient pour s’empaler complètement sur l’énorme bite enflée quelle ne peut absorber complètement.
Une petite dizaine de centimètres ne peuvent sintroduire dans la grotte distendue.
Elle ondule sur ce pivot, montant et descendant prudemment, les yeux fermés.
Le spectacle de ce gigantesque poteau écartelant la petite moule imberbe de Julie remplit ma chatte dun flot de cyprine. Les bords de la vulve épousent le rostre comme une ventouse à chaque fois quelle se retire.
Claude, se cambrant spasmodiquement, commence à être si exténuée quil lui laisse faire tout ce quelle désire et linforme.
Julie, ce que tu me fais est divin mais je suis vraiment crevé !
Oui, mon chéri !… Je sais mais jespère que tu apprécies quand même?
Oh oui !…
Nous nous relayons sur son manche, ne le laissant pas débander et après 20 minutes defforts arrivons à réveiller le volcan qui expulse encore une fois sa lave blanche.
Au bout de 4 heures les plus merveilleuses de ma vie, Claude éjacula enfin ses derniers millilitres de sperme.
Malgré nos efforts, nous ne pûmes réussir à réveiller son engin énormément enflé qui comme lui sétait endormi cette fois pour de bon.
Je n’étais guère mieux, complètement lessivée, Julie idem, de vraies loques qui étaient arrivé à leur fin. Je vais avoir de la difficulté à marcher et à masseoir pendant quelques temps tellement il ma élargie mes deux trous.
Après une douche salutaire, je remercie Julie lui faisant jurer quelle ne lui dira jamais qui était cette inconnue si lubrique.
Je quitte lappartement en fermant doucement la porte.
Comment je vais faire maintenant quand je serai seule avec lui pour ne pas le violer illico ?
La pensée que je vais avoir à portée de mains une queue pareille et de ne pas céder à mes plus bas instincts de femelle cherchant le mâle le plus viril pour perpétuer lespèce va me rendre folle.