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la surprise … – Chapitre 3




Depuis notre première fois avec Chantal, notre relation était plus simple. J’étais l’amant du matin, quand je commençais vers 11hoo puis celui de l’après-midi quand j’étais du matin. Quant à son mari, il était toujours aussi poli, quand il me rencontrait. Nos rencontres n’étaient pas obligatoirement longues et soutenues. Chantal aimait les surprises, comme débarquer chez elle, "la pine à la main" comme elle disait et la faire jouir quelques minutes. elle l’effet de surprise aussi excitant que de se sentir envahie par mon gland. alors, nos coupes étaient au rythme de nos rencontres. J’avais toujours un alibi pour le cas où !!! mais pendant le premier mois rien ne vint trouver notre plaisir. Dés la seconde semaine celle ou je travaillais le matin, Chantal me dit que nous pourrions y adjoindre babette !!! Quand, c’était la surprise puisque babette venait quand elle avait envie. Oui chantal était plus exigeante avec moi que son amie, mais elle préférait une bonne verge qu’une langue experte. alors les A-M ou elle savait que j’allais arriver, elle se mettait en tenue. Le judas de la porte d’entrée lui permettait de me recevoir les cuisses ouvertes, entrain de se masturber. C’est pourquoi nos après-midi étaient bien remplis ..ainsi quand je sonnais !un clin d’oeil et elle était prête en ouvrant la porte. Aussi le jour ou elles s’exclamait " bonjour mon voisin !!" je savais qu’elle n’était pas seule. j’ y a rencontré, ainsi, d’autres voisines venues papoter !bien que !!! certaines fois leur tenue était un peu trouble. Quand dans le hall, ma main inquisitrice découvrait en quelques secondes une chatte trempée !!! elles ne devaient pas faire de prières !!! Enfin je n’avais pas à âtre jaloux et c’est ainsi que j’ai connu ces "copines" dont certaines se dévoileraient dans les semaines à venir. Nous discutions de tout et mon statut de célibataire fit briller des regards, et me faire comprendre qu’il n’y avait pas que l’étage de Chantal !je pouvais m’arrêter ailleurs et j’y serai bien reçu … madame Gendrin me proposa même d’aller bricoler chez elle, car depuis deux ans qu’elle est veuve, il y a quelques menus travaux a envisager. Alors avec mes journées continues, je pourrais, si je le voulais, l’aider, avouant même qu’elle m’en serait reconnaissante !ce qui fit sourire Chantal, qui comme moi imaginait ces petits cadeaux. en attendant de connaître plus amplement Babette, j’avais madame gendrin, veuve de 44 ans, a la suite d’’un feu rouge grillé par celui qu’elle adorait. et semblait ne pouvoir oublier. Annie était la veuve idéale, et j’imaginais sa belle poitrine entre mes doigts inquisiteurs, et jouissant sous mes coups de langues dans une chatte en folie. Enfin on verra. Cette veuve éplorée allait me démontrer qu’un jeûne de deux ans, donnait un manque sexuel incontrôlable. Ce n’est que le lendemain de cette première visite que je vis arriver Annie vers 7h30 le matin !!! le robinet de sa salle de bain avait l’air de fuir un peu et avec sa pension elle voulait un avis éclairé et si possible une réparation de la fuite. Je découvris ainsi l’univers d’Annie !elle n’aimait pas que les sucette a l’anis,car en démontant le meuble de la salle de bain, je suis tombé en extase devant un gode qui risquait de me complexer !!! déjà, Annie devait être un sacré numéro. elle fit celle qui n’était choquée et prenant de gourdin sexuel parti vers sa chambre à coucher. Son peignoir un peu court pour cette matinée d’hiver laissait présager une suite crescendo!! car elle ne semblait pas pressée. elle voulait jouir du moment.. Elle se rendait compte que si je n’avais l’outillage pour réparer la fuite, j’avais sur moi de quoi réparer un autre manque qui semblait pour elle aussi pressant. accroupi devant le lavabo récalcitrant, je constatais effectivement une humidité autour de la soudure du robinet !!! me doutant qu’en mettant un doigt ailleurs je trouverai plus humide et surtout plus facilement accessible sans contorsions inutiles. alors, je me contentais de me rincer les yeux en attendant le plat de résistance. Annie cuisait a petit feu et pendant plus de demie heure le robinet fut l’objet de nos sollicitudes. Jusqu’à ce que voulant se baisser a côté de moi, le peignoir remonte trop haut pour me cacher une mini culotte dont une toison brune dépassait par endroit. Je réalisais même qu’elle était trempée et que le fuite, a cet endroit serait plus vite réparée que celle du lavabo ….(a suivre )

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