Je m’appelle Juliette, et le récit que je vais vous raconter est réel.
J’ai 51 ans, grande, blonde, encore très bien proportionnée, vu mon âge, et lesbienne depuis toujours. Je vis seule, mais j’ai beaucoup d’aventures. J’aime énormément les plans à trois, car je peux profiter pleinement des femmes, et cela plaît beaucoup aux hommes.
Dernièrement j’ai rencontré une femme d’âge mûre, blonde à cheveux longs avec un corps comme je les aime. Belles poitrine, un joli petit cul, et des jambes magnifiques.
J’étais attablée dans un bar, quand j’ai vu entrer ce beau spécimen de la femme épanouie, et bien dans sa peau. Elle a pris la table juste à coté de moi et j’ai pu admirer le tableau. Sa jupe courte dévoilait ses jambes et donnait envie de mettre ses mains sur cette peau que je devinais très douce. J’admirais cette femme, et chaque fois que notre regard se croisait, elle avait un grand sourire.
J’ai pris l’initiative d’engager la conversation, et nous avons échangé des propos anodins, et sans grand intérêt, malgré un dialogue riche. J’ai quand même appris qu’elle s’appelait Dany, était divorcée, et n’avait aucune relation masculine pour le moment. Nous avons discuté un peu plus d’une heure et nous nous sommes séparées en nous promettant de nous revoir très rapidement.
Je suis rentrée chez moi, et j’ai fantasmé comme une folle, en me masturbant.
Deux jours plus tard, nous nous sommes retrouvées dans le même bar, notre conversation est devenue plus intime, et le lui ai révélé que j’étais homo et qu’elle ne me laissait pas indifférente. Cela l’a fait sourire, et elle n’avait rien contre. Elle était très curieuse et me posait pleins de questions, auxquelles je répondais volontiers.
Au fond de moi, je sentais qu’elle avait déjà connu des relations féminines, bien qu’elle le niait.
Je l’ai invité chez moi le vendredi après midi pour boire un café, ce qu’elle a accepté sans trop de difficultés, mais elle m’a bien précisé, en tout bien tout honneur.
Elle s’est présentée chez moi vêtue d’un tailleur jupe rouge, et plus tard j’ai pu constater qu’elle portait une guêpière noire, des bas très fins et un string transparent. Juchée sur des hauts talons, cela faisait ressortir son petit cul, et je la trouvait très attirante.
Quand elle s’est assise sur le canapé, sa jupe est remontée à la limite de la dentelle de ses bas.
J’avais envie de lui sauté dessus, mais ma bonne éducation m’a retenu, et je savais qu’elle n’aurait pas apprécié. Il fallait que je trouve une solution, et tout en discutant je me creusais la tête pour trouver l’ouverture.
Je lui ai demandé de me donner un coup de main pour chercher un catalogue dans une pièce qui me servait de débarras. C’était un ancien bureau, qui avait encore tous ses meubles, dont un canapé "clic-clac".
Elle m’a accompagné et je lui ai attribué une ligne de carton d’un coté de la pièce, alors que je cherchais de l’autre coté. Le lustre de cette pièce était capricieux et s’éteignait fréquemment au bout de 5 minutes, plongeant la pièce dans une demi obscurité bénéfique.
A la première extinction, j’ai râlé pour le principe, et je me suis dirigé vers elle. Elle s’est redressée et j’ai pu me coller dans son dos, englobant ses seins généreux de mes deux mains. Elle s’est redressée un peu plus et penché un peu la tête pour que je puisse poser mes lèvres dans son cou. Ses mains se sont posés sur les miennes et elle m’a accompagnée dans ma caresse. Elle a guidé ma main vers sa cuisse et remonté sa jupe pour que je puisse posé ma main sur son bas. Elle a déboutonné sa veste et ma main lui a emprisonné un sein. Pendant que mon autre main remontait délicatement vers son entrejambe, elle ondulait légèrement pour sentir mes seins sur son dos. Sa respiration s’accélérait et quand ma main atteignit son sexe, à travers son string, elle émit un râle de contentement.
Mes doigts s’insinuèrent sous le léger tissu, et j’ai rencontré une chatte trempée par l’envie. Mes doigts alternaient entre son clito et sa vulve, lui arrachant des soupirs de contentement. Je sentais ses fesses frotter à travers le tissu de ma jupe contre ma chatte. Ses mains se sont posées sur mes cuisses et ont relevé ma jupe pour mieux me sentir. Une de ses mains s’est insérée entre nous elle a trouvé très vite mon clito tendu au maximum sous mon string. La caresse était un vrai délice et je mouillais comme jamais. Son autre main accompagnait la mienne sur ses seins et je l’ai sentie se raidir. Nous avons joui ensemble. Une longue et bénéfique jouissance. Je l’ai laissé reprendre ses esprits, et je l’ai accompagné vers le "clic-clac". Je l’ai allongé, dégagé ses seins, que j’ai embrassé avec ferveur. Mes mains lui remontaient sa jupe jusque la taille. je lui ai retiré son string et elle m’a appuyé sur la tête pour gouter à son jus qui coulait de sa chatte.
Je l’entendais râler de plaisir et son corps se tortillait dans tous les sens. Elle s’est arque boutée et est partie dans un orgasme, ses mains bloquant ma tête contre sa chatte.
Je l’ai laissé remettre les pieds sur terre, debout devant elle en l’admirant. Elle a repris ses esprits, m’a souri tendrement, et m’a dit:
— Merci, j’en avais très envie.
— Pour quelqu’un qui est hétéro, tu te défends bien.
— Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas ressenti ça, j’avais oublié le bien que cela faisait.
— Petite cachottière, il faudra que tu me raconte, mais pour le moment je te veux toute entière.
Elle m’a souri, et est venu m’embrasser dans un baiser profond et tendre.
A suivre
