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Mère et fils: une histoire d'amour. – Chapitre 15




Chapitre 15 : A laube dune nouvelle vie

Je me réveille très tôt le lendemain matin. Une lumière grisâtre brille à travers la fenêtre, mais cette sombre et lugubre lumière matinale ne mempêche pas de voir la beauté de ma mère. Maman est couché à côté de moi, elle me regarde, sa tête soutenue par sa main, son coude en appui sur le lit.

— Bonjour mon amour

Dit-elle tranquillement.

Elle se penche sur moi, ses seins sécrasent contre ma poitrine et glissent sur le côté et elle m’embrasse tendrement, amoureusement.

— Joyeux Noël, maman…

Et je la serre contre moi pour lembrasser fougueusement.

— Quelle heure est-il ?

— Très tôtOn a encore un peu de temps pour nous

— Que faisais-tu maman ?

— Je te regardais dormir, mon fils. Comme quand tu étais petit et que jaimais te regarder.

Dit-elle en passant ses doigts dans mes cheveux et relever une mèche.

— Cela ma manqué quand tu es parti étudier et je suis heureuse d’être en mesure de le faire encore.

Et elle membrasse de nouveau en roulant sur moi pour appuyer son corps chaud, nu et doux, contre le mien. Nous avons envie de faire lamour mais nous savons tous deux quelle doit se lever avant dêtre surprise à poil dans ma chambre. En tout cas, c’est une belle façon de se réveiller le matin de Noël, dembrasser et de caresser la femme que j’aime.

Maman se redresse et sétire en soulevant ses bras. Je ne me lasserais jamais de ce spectacle et je ne peux résister. Mes mains englobent ses seins charnus et je frotte doucement les tétons épais de maman avec un doigt.

Maman rigole et retire mes mains au loin.

— Arrête ! Tu vas me rendre dingue. Je ferais mieux de filer avant que les jumeaux me recherchent pour leur petit déjeuner.

Je lui prends sa main et je la retiens.

— Une seconde, maman. Je crois que le Père Noel a laissé quelque chose pour toi sous l’arbre.

Maman se met à rire et dit:

— Oh vraiment ?

Elle soulève la couverture et trouve ma bite toute dure et dressée. Elle la caresse lentement.

— Cest ça que ma laissé le père Noël Je suis gâtée Cest imposant et de belle taille

Je soupire de bonheur, mais je me retourne et attrape sous le sapin, le paquet que jai préparé la veille.

— Joyeux Noël, maman.

Maman miaule comme un chaton quand je lui mets le paquet entre les mains.

-Bébé damourtu naurais pas dû

Maman arrache l’emballage pour révéler une petite boîte oblongue.

— Dany, qu’as-tu fait ? Dit-elle d’une voix anxieuse.

Elle l’ouvre et découvre un collier de perles à deux rangs.

— Oh mon Dieu. Elles sont magnifiques. Chéri, mon fils, cest beaucoup trop !

— Juste quelques heures supplémentaires et de week-end cet automne, maman.

Je sais que jai dépensé trop d’argent, mais ces heures supplémentaires de travail mont aidé à passer toutes ces longues semaines solitaires sans ma maman.

— Viens, je vais te le mettre.

Maman se retourne et je mets les perles autour de son cou. Je réalise que peu de choses peuvent améliorer la beauté naturelle dune femme nue, mais les perles… qui reposent sur sa poitrine attirent l’attention sur le velouté de sa peau impeccable et sur ses seins magnifiques de femme mature.

— Et biencomment sont-elles sur moi ? Dit ma mère avec impatience.

Je me mets debout et maman ricane devant mon pénis en érection qui se balance devant ses yeux.

— Viens voir par toi-même, maman.

Je lamène devant le miroir accroché au mur, et maman regarde son corps nu en passant un doigt sur les rangs de perles. Je me tiens derrière elle, ma bite entre ses douces fesses et je glisse mes bras autour de sa taille. Oui, il y a quelque chose d’un peu plus érotique sur une femme quen elle ne porte rien d’autre qu’un collier de perles.

— Regarde tu ne te trouve pas belle

Maman frissonne et se penche en arrière contre moi.

— Eh bien, je ne sais quoi dire Merci mon amour Tu es fou et je taime.

Maman admire encore mon cadeau, puis, avec un regard peiné.

— Et moi qui na pas de cadeau spécial pour toi

Dit-elle en me prenant dans ses bras. Ses seins roulent délicieusement sur ma peau et elle méperonne de ses tétons durs comme des diamants.

— Maman, jai eu mon cadeau hier soir et j’ai vraiment aimé ça !

La main de ma mère glisse vers le bas de ma poitrine et trouve naturellement sa place sur ma bite toute dure.

— Eh bien, peut-être que je peux te donner un petit quelque chose de plus dès maintenant. D’ailleurs, je n’ai pas pris mon petit déjeuner, Dany.

Maman glisse le long de mon corps pour se retrouver accroupie et permettez-moi de vous dire que ma mère ne ma jamais paru aussi chaude. Elle me regarde avec ses beaux yeux brillant de désir et dit:

— Si je navais pas tellement faim et envie de ton sperme, je pourrais juste me contenter de ton collier de perles, Dany.

Maman me prend entièrement en bouche et je gémis quand mes mains emprisonnent sa tête et que mes doigts s’entrelacent avec ses mèches de ses cheveux noirs. Dans la lumière croissante de ce matin de Noël, je regarde les joues de maman déformées par ma queue bandée comme jamais et ses yeux fixés dans les miens, elle englouti mon sexe tandis que sa langue fait des choses qui me rende tremblant des genoux.

Pendant quelle me suce savamment, elle caresse mes couilles doucement, un ongle grattant doucement cet endroit sensible, juste derrière mes testicules.

Maman est vraiment une artiste de la pipette, variant avec amour son rythme comme si cétait sa dernière pipe. Ma mère sait que laspect visuel est important pour mon plaisir et elle veille à sortir, de temps en temps, de sa bouche chaude et humide, ma bite luisante de salive, pour prendre entre ses lèvres mon gland surexcité, pour le lécher et lembrasser. Pas une seule fois ses yeux ne quittent les miens pour me montrer quelle apprécie cela autant que moi avec un sourire coquin dans son regard.

Avec un fort bruit daspiration, elle me reprend en bouche et me démontre une fois de plus sa capacité pour me faire une gorge profonde, avalant ma longue queue jusqu’à ce que mon nez senfouisse dans ses poils pubiens. Ma bite coincée dans sa gorge, maman fait de doux et joyeux gargouillis et jappuis ma main contre le mur afin de garder mon équilibre.

C’est à ce moment que nous entendons mon père qui tousse dans le couloir. Je commence à me tirer en arrière, mais les mains de maman prennent rapidement les fesses de mon cul et subtilement, elle secoue la tête et continue à sucer ma bite, sans hâte et sans se préoccuper de ce qui ce passe à l’extérieur.

Nous entendons la porte des toilettes souvrir et se refermer et maman na jamais ralenti ce quelle me fait. Sa langue continue de danser autour de la couronne de mon gland, tourbillonnante, et le bout de sa langue taquine mon méat entrouvert.

Je nen peux plus !

— Maman, je vais venir

— Muuuuumm !

Et sa langue continue de soccuper de mon gland rougeâtre. Ensuite elle me suce furieusement et jai limpression que ma bite va éclater avant que de puissants jets de sperme inondent la bouche de ma mère.

Je sens ses lèvres se serrer autour de mon sexe pour bien le verrouiller en place et avaler toute ma semence. Ses ongles senfoncent dans mes fesses pendant quelle continue de sucer et davaler mon sperme au fur et à mesure de mes éjaculations qui nen finissent pas.

Lexpression de son visage sous cet amour incestueux est un vrai délice et une excitation complémentaire pour prolonger ma jouissance.

Longtemps après que je me sois entièrement vidé, maman continue de me sucer, et je vous assure qu’elle na pas perdu une seule goutte précieuse de mon sperme. Elle lèche tendrement ma bite pour me la rendre toute propre et en souriant elle me dit.

— Cnest pas normal ! Je réalise que tu viens de moffrir 2 cadeaux ce matin !

Et elle lèche ses lèvres avec sa langue enduite de mon sperme.

Je la soulève pour lembrasser et déguster ses lèvres luisantes de sperme.

— Qui sen plaint, maman. J’aime la façon dont tu me souhaite un joyeux Noël !

Nous savons tous deux que notre beau matin de Noël est terminé.

— Je t’aime tellement, maman. Merci pour ce merveilleux noël.

— Ce nest que le début, fils ! De belles années nous attendent pour saimer de toutes nos forces !

Mon cur est rempli d’une sorte de mélancolie lorsque maman disparaît derrière ma porte de chambre.

A ma grande surprise, quand je descends prendre mon petit déjeuner, maman porte le collier de perles. Maman a moulé son joli cul dans un jeans bleu marine et porte un pull très rouge avec une encolure échancrée qui attire l’attention sur son décolleté, vertigineux et voluptueux, rehaussé par son collier de perles.

Comme nous sommes seuls je fais un bisou dans le cou de maman qui la fait soupirer puis je lembrase sur la bouche en taquinant sa langue de la mienne. Résultat je bande de nouveau !

Quand maman me tend un verre de jus d’orange, je lui dis,

— Tu es belle, maman, mais

— Maisquoi ?

— Comment vas-tu expliquer çà !

Maman s’ébroue et clignote des yeux.

— Tu sais, bébé, je ne sais même pas si ton père ou tes frères vont même le remarquer. Maman se penche vers moi et membrasse avant dajouter.

— Et s’ils le remarque, je vais leur dire que cest un présent de mon merveilleux fils aîné.

Puis avec une expression déterminée.

— Ça ne me gênera pas du tout ! Je nai aucune honte ! Aucun dentre eux ne me respecte et je suis traitée tout juste comme une soubrette. Tu mas ramené à la vie mon cher fils et amant.

Je dois lavouer je suis aux anges. Si je ne me retenais pas, je lui ferais lamour, juste là, sur la table de cuisine. Mais jentends papa tousser et souffler dans lescalier.

Quand il entre dans la cuisine, maman lui sert une tasse de café et dit,

— Joyeux Noël, Frank.

Mon vieux marmonne quelque chose qui ressemble à « mouais », prend sa tasse et va dans la salle de séjour. Un instant plus tard, nous entendons le téléviseur. Maman bat des paupières en me regardant, lair de dire « tu vois ! » et elle m’embrasse. Notre baiser dure jusqu’à ce que nous entendions des pas venant du sous-sol.

Apres le petit déjeuner des jumeaux cest la traditionnelle remise des cadeaux, sans intérêt comme dhabitude.

Plus tard dans la journée, je suis dans la cuisine avec maman. Les jumeaux sont partis voir leurs potes et papa regarde le match de Football en coupe dEurope. Maman fini de ranger la cuisine et je laide.

Le dernier plat rangé, je coince maman contre l’évier et je lembrasse très tendrement. Autant j’aime avoir ma bite compressée par la chatte de maman, il ny a rien de tel que le plaisir doux et simple d’avoir les lèvres de sa mère pressées contre les vôtres, avec ou sans langue. J’ai une de mes jambes entre celle de maman et pendant que nous nous embrassons, elle frotte doucement son pubis contre ma cuisse. Même à travers son Jeans, je peux sentir la chaleur de maman, de ma chaude maman.

Je passe ensuite mon doigt sur ses lèvres humide et elle lembrasse et lenglobe de ses lèvres sensuelles avant de me le mordiller.

— Nous jouons un jeu dangereuxtu ne crois pas

Mais elle continue de sucer mon doigt, lentement, comme si c’était ma bite, ses yeux toujours fixés dans les miens. Elle me prend par le cou et ajoute.

— Mais quand tu es près de moije te veux contre moi

Elle membrasse en appuyant sa bouche avec acharnement sur la mienne, sa langue avide recherchant ma langue. Je la tire plus serrée contre moi, savourant la douceur et la chaleur de son corps. Nous sommes indéniablement faits pour être ensemble. Nos cur semblent battre comme un seul, conduisant le sang dans les veines de nos corps, qui senflamment rapidement et avive notre envie de posséder lautre.

Je suis toujours étonné de la vitesse de ce feu, allumé par notre passion incestueuse, qui se propage en nous. Sans réfléchir, sans dire un mot, maman et moi avons envie dassouvir immédiatement nos désirs charnels.

Les mains de maman quittent ma taille pour commencer à fouiller dans mon pantalon. Elle lâche ma bouche pour gémir.

— baise-moi, mon bel amant. Baise-moi maintenant, Dany !

Je lui tends la main, prêt à lemmener à létage. Maman secoue sa tête et comme un défi, déboutonne mon pantalon et libère ma queue.

— Je veux que tu me baise là ! Maintenant !

Puis elle dégrafe son Jeans et le descend pour libérer ses hanches en entraînant son slip.

Je sens lodeur épicée de sa chatte en chaleur et mes inquiétudes senvolent au loin. Dun coup de pied, elle envoie balader son Jeans et son slip et se retrouve nue, incroyablement érotique. Sa toison épaisse brille dhumidité et elle chuchote tranquillement.

— Prends-moi, Dany. Donne à ta mère ce quelle a envie pour Noel ! Une bonne baise !

Mon pantalon rejoint celui de maman et ma bite érigée et tremblante de désir a hâte de senfoncer dans la chaleur de maman. Ses bras autour de mon cou, elle se presse contre moi et je sens ses grandes lèvres intimes, humides et épanouies, envelopper ma queue. Mes mains accrochent ses seins lourds à travers son pull et je lui roule une pelle mémorable forçant ma langue dans sa bouche.

Je sens sa jambe gauche se soulever, sa cuisse frotter contre la mienne. Je laisse tomber mes mains sous ses fesses rebondies et je la soulève légèrement tout en pliant les genoux. Lautre jambe de maman se soulève et je la maintiens dune main. Ma bite coincée entre notre corps glisse sur son ventre, à travers les poils épais et crépus, puis elle sent la douce moiteur de sa chatte ouverte et mon sexe bien tendu reconnaît un chemin quil commence à bien connaître. Maman gémit dans ma bouche quand mon gland trouve l’ouverture à sa chatte torride et poursuit sa course au fond de sa chair veloutée et accueillante.

Utilisant l’évier derrière elle comme un soutien, maman enveloppe ses jambes autour de ma taille et fini elle-même de sempaler sur ma longue bite, arrêtant de membrasser pour mieux arquer son dos, pour que je plonge toujours plus profondément dans sa chatte jusqu’à ce que nos poils pubiens semmêlent ensemble et que je sente lhumidité de sa chatte baveuse contre mon aine.

On retrouve ce doux moment, ou notre désir de mère-fils se mêle avec le frisson d’être démasqué. Mon vieux, son mari, est assis à quelques mètres, inconscient de notre amour, comme il est tout aussi inconscient de la belle femme chaude et sexy qui va bientôt le quitter.

Bien planté sur mes pieds, je murmure des mots damour à mon amante, ma mère, et je commence doucement à aller venir dans cette grotte aux plaisirs infinis. Je la baise comme elle aime le dire !

Les seins de maman rebondissent sous son pull rouge et font sauter son collier de perles. Je lembrasse partout, sur son cou, sa poitrine, ma langue roule à travers la houle de ses seins exposés.

Les doigts de maman semmêlent dans mes cheveux et elle me maintient contre elle, frissonnante sous les coups plus rapides de mon pénis tout raide. Je sens ses lèvres embrasser mon oreille et de sa belle voix, haletant doucement, elle murmure.

— je t’aime, Dany, mon fils et doux amant. Je t’aime infiniment !

Maman serre ses jambes autour de moi, essayant de me faire aller le plus loin possible en elle et elle commence à masser ma bite avec sa chatte, dans une chaleur liquide et douillette.

On fait lamour, ou on baise, en ignorant le monde qui nous entoure. Il n’existe plus. Maman me regarde et je vois dans ses beaux yeux, ce lac damour qui est devenu le centre de mon existence alors que nos corps se cognent lun dans l’autre, encore et encore. Nous nous embrassons et au sein de ce baiser, nos langues font elles aussi lamour. Des gémissements sortent de la gorge de maman et ses cuisses se resserrent autour de moi comme pour mécraser quand sa chatte, secouée de violents spasmes, broient ma bite en la noyant dans un jus crémeux et chaud.

Au début de son orgasme, jessaye de tenir le coup, mais son plaisir et les massages de ma bite par ses muscles vaginaux me poussent à jouir au plus profond de son ventre. Jets après jets, je la remplis de mon sperme chaud et épais, incestueux.

Cet orgasme mutuel fusionne nos corps en un seul être, une seule conscience, presque capable de lire dans les pensées de lautre, pour partager nos plaisirs individuels et de créer quelque chose de grand et merveilleux, quelque chose d’éternel. Nos corps sont couverts de sueur, des larmes coulent sur notre visage, sous la puissance de nos ébats incestueux.

De longues minutes sécoulent avant que je trouve la force de retirer mon sexe de celui de maman et à bout de souffle je me suis assis en en lentraînant avec moi. Nous sommes dans la cuisine, les bras de maman autour de mon cou, sa tête contre ma poitrine, nous soutenant mutuellement pour nous retrouver de nouveau en simples mortels.

-Mon fils mon amour, je ne me lasserais jamais de toi. Tu sais comment baiser et faire lamour à une femme !

— Je sais baiser ma mère. Cest elle qui ma tout appris !

En riant comme de sales gamins dévergondés et pervers, nous ramassons nos affaires et le bas tout nu nous passons devant le salon où son mari, mon père, est assis, inconscient et ignorant de la passion, de l’amour et de la luxure qui a consumé nos corps à quelques mètres plus loin. Nous montons lescalier ensemble, ma main en ventouse sur le cul de maman, pour faire un brin de toilette.

Les vacances de Noël passent et secrètement ou ouvertement, nous cherchons toutes les possibilités de faire l’amour. Papa et les jumeaux vivent leur vie, ignorant Maman comme ils l’on toujours fait pendant des années, alors que moi je mefforce de ne pas perdre une seconde loin de maman, mon amour.

Heureusement, sous prétexte dun concert de Rock près de mon boulot, maman a pu me rejoindre pour le nouvel an et nous avons passé le réveillon du nouvel an ensemble. Mon souvenir le plus vivace, cest cette nuit ou, dans un club, en écoutant les paroles d’une de nos chansons préférées, maman cest surpassée, habillée comme une déesse, exposant sa sexualité débordante et son coté exhibitionniste.

Sa robe de soirée est scandaleusement sexy, rouge, courte et avec un bustier comme l’année dernière. Celle-ci a un décolleté en V plongeant qui met la moitié de ses seins magnifiques et 1/3 de ses aréoles à la vue de tous et elle est si courte quelle dévoile ses cuisses au moindre mouvement. Ses beaux cheveux noirs tombent en cascade de boucles sur ses épaules.

Elle est sublime, désirable, envoûtante.

Malgré le monde qui sagite autour de nous, nous sommes dans notre bulle damour, et nous dansons serrés lun contre lautre, heureux et assurés quà l’aube du premier jour du nouvel an, maman et moi on fera lamour, les jambes de maman écartées, ma bite dans sa chatte maternelle, sachant que c’est juste le début, le premier beau jour du reste de notre vie.

Une vie que nous passerons ensemble en tant que mère et fils, amants, et éventuellement, mari et femme.

Nous ne pouvions nous douter que le destin s’apprêtait à nous donner un coup de main pour transformer nos vies…

Fin du tome 1

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