Le majordome s’approcha, sans s’être aperçu apparemment des coupables distractions de son épouse, pour mettre les draps sur le canapé et sa femme le suivit. Nous étions debout à les regarder faire, les mecs bandant comme des ânes. Un seul ne regardait pas, c’était Sonkuva qui s’était agenouillé pour me manger la chatte, et cela me faisait le plus grand bien.
— Vous vous joignez à nous ? Demandai-je plaintivement.
— Madame est trop bonne, mais nous ne pouvons pas !
— Ben pourquoi ? Dit la soubrette.
— Parce que notre contrat nous l’interdit formellement. Nous ne devons pas avoir de relations sexuelles avec les clients. On ne nous paie pas pour cela. Je ne tiens pas à perdre ma place pour une histoire de fesses… fussent-elles les plus belles au Monde.
— Je ne vous plais pas !
— Oh ! Que Madame se rassure, elle a tout pour plaire, je viens d’ailleurs de le dire.
Mon mari s’approcha de la jeune femme. Très près.
— Allez, personne ne le saura.
— Désolé, Monsieur, mais c’est à mon grand regret que je dois dire non.
— Déconne pas, si on a bien compris en dehors du boulot tu n’es pas contre un plan à plusieurs ! Allez Clotaire, reprit mon mari, tu bandes comme un pur-sang, parole d’honneur, ce sera entre nous. N’est-ce pas que tu bandes ?
— C’est que la scène ferait triquer un mort Monsieur.
Mon homme posa alors une main sur le sein de la fille qui ferma les yeux en gémissant et en se projetant en avant pour bien être en contact.
— Ta femme en a envie et toi aussi !
Puis il se mit à l’embrasser goulûment en se dirigeant de telle sorte que sa bite rencontre la main de la fille qui la saisit immédiatement dès le toucher.
De mon côté, j’écartai mon bouffeur de moule et me plaquai contre le majordome. Je l’embrassai avec fougue tout en dézippant sa braguette gonflée par une forte protubérance.
Il était vaincu. Il mit ses grosses mains sur mon cul et me souffla :
— Je dois prévenir Madame que, sans prétention, j’ai une très grosse bite et que je vais lui éclater la chatte.
— Je la sens ta grosse bite… Hmmmm.
La femme, qui s’appelait Mélina, s’était déjà agenouillée et pompait mon mari. Je me baissai donc et tirai d’un coup le boxer vers le bas, libérant effectivement la plus grosse queue que j’ai jamais vue. Elle se détendit lentement en se balançant lourdement. Elle était tellement grosse qu’elle ne se relevait pas et bandait vers le bas.
Je me mis à la pomper. Elle entrait avec peine dans ma bouche. Puis je la coinçai entre mes seins.
Sonkuva voulut voir cette énorme matraque rentrer dans ma chatte. Il demanda au majordome de me prendre en levrette.
Mon mari et Clément étaient tous deux sur la petite blondinette pendant que son mâle m’éclatait le vagin. Sonkuva tendit sa queue devant ma bouche. Je m’interrompais parfois de le lécher pour exprimer mon contentement.
— N’avais-je pas dit à Madame qu’elle allait la sentir passer ?
— Ah si la vache, elle est bonne ta queue.
— Monsieur Téklaté veut la faveur d’une triple, intervint Tacha traduisant les désirs du chef de la délégation sexuelle nipponne.
— On fait comment ? Demandai-je.
— Il suggère que Clément se mette en dessous, lui au-dessus et Clotaire entre les deux.
Il fut assez difficile de se mettre en position. Je m’allongeai sur Clément qui en profita au passage pour me sucer les tétons et m’embrasser à bouche que veux-tu. Le Japonais me grimpa en bouledogue et enfonça sa tringle profondément dans mon cul, jusqu’aux couilles. Enfin le grand black essaya de se frayer un chemin dans mon vagin déjà bien occupé.
Sa petite femme, Mélina se prenait une double par mon mari et Itata. Elle suçait les deux autres bites à tour de rôle.
Dans mon cul, le japonais se démenait alors que le black coulissait plus lentement dans ma chatte. Clément était inactif mais gémissait de plaisir.
Je ne fus pas longue à jouir, sans discrétion. Cela eut pour effet d’exciter davantage encore le japonais qui me labourait la poitrine avec ses ongles ou se cramponnait à mes épaules pour me prendre comme dans un étau et s’enfoncer le plus possible. Clément ne résista pas non plus. Je sentis sa bite pulser et son sperme jaillir alors qu’il donnait des coups de bassin.
Sonkuva voulut alors que Mélina vînt me bouffer la chatte pendant que mon mari continuerait de la tirer.
La fille était experte. Sa langue était petite et habile. Elle me lécha délicieusement l’abricot pendant que, bien sûr je continuai de sucer l’inextinguible japonais.
Quand il estima que ma chatte était suffisamment propre, il nous invita à nous mettre toutes les deux côte à côte, à quatre pattes, cul tendu, en échangeant nos maris. Chacune, nous avions deux bites devant nous, très agréable à pomper. J’avais bien sûr le plus vieux et le plus jeune japonais.
Nos maris nous comblaient de plaisir et nous ne pûmes pas résister au désir spontané de nous rouler une pelle pendant qu’ils nous tronchaient en franche camaraderie se complimentant l’un l’autre sur leur félicité respective. Cela ne fut pas du goût de nos hôtes qui préféraient qu’on s’occupe de leurs queues.
— Casse-lui le cul, ordonna mon mari.
Comme s’il n’attendait que ça, le grand black commença à me forcer l’anus sans trop me ménager. Je la sentis passer et demandai du gel. Pour toute réponse, le gars fit sucer sa queue par sa femme, me cracha sur la rondelle et m’enfila à nouveau. Forcée de sucer la bite de Sonkuva par une pression phénoménale exercée sur ma tête, je ne pus protester davantage.
Progressivement le type accéléra. Et, quand Sonkuva vit que j’étais plus détendue, il relâcha sa pression. Le gars me labourait l’anus et me secouait tellement que j’avais du mal à sucer.
Sonkuva organisa alors une tournante.
Cul contre cul, Mélina et moi enchaînions les queues dans nos trous respectifs, un peu plus souvent dans le cul que dans le con.
Alors qu’il me limait encore le trou de balle presque à le déchirer, le majordome arriva au bord de la décharge. Il lui fut demandé de venir jouir sur mon visage. Il eut le temps de se positionner et je me mis à genoux en ayant ordre d’ouvrir la bouche. Sonkuva se colla contre moi, dans mon dos, la tête contre la mienne, pour bien voir le sperme jaillir sur mon visage, pendant qu’il m’écrasait les seins de ses petites mais puissantes mains.
Le grand black découilla abondamment en contrôlant bien son braquemart. La plupart des jets fusèrent vers ma bouche mais certains s’écrasèrent sur mon visage et même sur celui de Sonkuva, très proche du mien.
Je fus priée de recracher le sperme lentement pour qu’il ruisselle sur mon menton. Itata reçut l’injonction de venir se faire sucer et de rester là jusqu’à jouir à son tour.
Quant à mon mari, il répandit sa semence sur le visage de la petite blonde que Tachata continuait à bourrer.
Monsieur Sonkuva Téklaté, toujours collé à moi, regardait en gros plan la fellation dont profitait son compatriote. Les deux autres japonais se branlaient en cadence. Itata cependant donnait des signes non équivoques de libération. Sonkuva demanda alors à Itamitou de se reculer afin que l’autre éjacule en haut de ma poitrine. Puis les deux autres reçurent la même injonction qu’ils mirent plus ou moins longtemps à observer.
Tous les mâles s’étaient délestés les burnes. Clotaire était allongé sur le canapé, sa femme à côté de lui dans le creux de son épaule, regardant le japonais me finir, en tripotant le sexe flaccide et toujours imposant de son mari. Mon mari et Clément étaient assis à côté, matant sans vergogne et commentant sans retenue.
Tout à coup la queue de Tachata expulsa une grosse quantité de jute. Il réussit à se maîtriser pour qu’aucune goutte ne se perde et que je reçoive tout sur les seins. L’autre type qui se masturbait jouit peu après, mais en moindre quantité.
Le sperme coulait sur mes seins. Sonkuva me fit m’allonger sur le dos puis il ramena mes seins l’un vers l’autre et plongea la tête dans le creux ainsi formé, tête qu’il secoua longtemps sur mes chairs pleines de foutre à s’en barbouiller chaque pore du visage.
Quand il se redressa, son visage était luisant. Il le plongea entre mes cuisses et me bouffa la chatte. Puis il s’allongea en missionnaire pour me piner violemment, tendu à mort sur ses bras.
Il n’arrêtait pas de parler.
— Qu’est-ce qu’il dit ?
— Il dit que tu es une déesse sexuelle, qu’il adorerait t’épouser et te féconder tous les jours, qu’il te fera l’amour demain, que tes seins sont énormes et ton sexe profond et étroit, et j’en passe.
— Il est endurant le bonhomme, dit mon mari.
— Ta femme aussi, dit Clément.
— Si je peux me permettre, Madame est un très bon coup…
— Ta femme aussi, répliquèrent les deux copains en chur.
— Il est musclé l’engin, t’as vu.
— Oui, une bête de sexe…
Les propos continuèrent, plutôt salaces, jusqu’à ce qu’enfin Sonkuva approche de l’orgasme. Il s’assit sur le canapé, entre mon mari et Clément et m’invita, si je puis dire, à venir le pomper.
Sans enlever sa main de ma tête, je le sentis se raidir. Il se cambra et cria au moment où son sexe crachait en moi sa semence. Il me demanda de ne pas avaler et je fus obligée d’en recracher un peu pour lui obéir. Il maintint son sexe assez longtemps dans ma bouche où la salive s’accumulait et se mélangeait au sperme. Enfin, avant de me libérer, il me demanda de tout baver sur ses testicules, ce que je fis.
— On prend un verre ? Proposa Clément quand tout fut fini.
Nous poursuivîmes la soirée comme si de rien n’était, arrosant le contrat au Champagne. Clotaire et sa femme reprirent leur service mais, à la demande des Japonais, Clotaire était juste vêtu, si l’on peut dire, de son nud papillon et sa femme juste de son tablier.
Cela dura un moment, assez pour que Sonkuva se remette à bander. Je ne m’en aperçus que lorsqu’il s’approcha de moi par-derrière et me poussa vers le dossier du canapé, où je posai mes mains, pour me saillir par-derrière.
Personne d’autre ne rebandait. Mon mari vint s’asseoir en dessous de moi. Je me penchai vers lui pour que nous puissions nous m’embrasser.
— Tu aimes ?
— Il est doué. Il aime ça le salaud !
Les autres types firent cercle autour de nous jusqu’à ce que Sonkuva me transporte à nouveau dans l’orgasme et jouisse lui aussi. Contrairement à ce que je craignais, ce fut assez rapide et, cette fois, il éjacula dans mon vagin.
Il demanda ensuite s’il pouvait passer la nuit avec moi.
Il était tard, je refusai. Je voulais dormir et craignais qu’il ne passe la nuit à me lutiner. Mais je l’autorisai à venir me retrouver le lendemain matin s’il voulait.
Il voulut bien et le lendemain il était là, au garde-à-vous, dès potron-minet. Mon mari et lui me baisèrent longtemps avec complicité mais avec sauvagerie.
Nous quittâmes enfin la résidence après ablutions et petit-déjeuner.
Avant de partir, j’entendis mon mari glisser à l’oreille de Clotaire.
— Vous faites quoi le week-end prochain ?
— Nous travaillons Monsieur.
— Et celui d’après ?
— Rien encore.
— Voilà mon 06. Vous venez à la maison… histoire d’échanger… encore.
— Eh bien… Avec plaisir Monsieur.
— Parfait et sans chichi et plus de "Monsieur" ou de "Madame". A bientôt alors.
Nous prîmes ensuite la route de Roissy. Sonkuva insista pour que je monte dans sa limousine. Dès que nous fûmes installés, il ouvrit sa braguette. On aurait dit que ce mec bandait à volonté. Je le suçai jusqu’à l’aéroport et avalai son sperme en cadeau d’au revoir.
Nous attendîmes ensuite avec eux dans le salon VIP puis ils s’en allèrent en promettant de revenir et de nous inviter.
En repartant, Clément exprima sa satisfaction.
— L’entreprise est sauvée, grâce à vous… et j’ai passé une soirée extraordinaire. Franchement Jacques, ta femme est fabuleuse et toi Clélia, tu as un mari épatant.
— C’est vrai ? Nous sommes très heureux.
— Et… ça vous dirait qu’on s’occupe… tous les trois… des clients russes ?
Des éclats de rire, valant approbation, saluèrent cette proposition.
A suivre