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Sophie, agence immobilière… – Chapitre 3




Quelques minutes après le début du trajet je profite que Sophie ait les mains prises par le guidon et que ses sous vêtements aient été éparpillés dans les différents appartement déjà visités pour explorer son corps.

? arrête, on va finir par tomber ! ?

C’est vrai que, connaissant la violence de ses orgasmes, on a toutes les chances de se mettre au tas si elle jouit en roulant. Je décide donc de la soumettre à une agréable torture : Coïtus interrompus, mais pour une fois ce sera chez la femme !

Je me colle le plus possible dans son dos, je lui caresse d’abord les seins sous son chemisier, je joue un peu avec ses tétons qui durcissent rapidement, puis je les abandonnes d’un coup quand le plaisir commence à monter. Je recommence plusieurs fois ce jeu avec sa poitrine, puis je passe à son sexe : un bras autours de son ventre pour me tenir, une mais sous sa jupe retroussée, je laisse glisser mes doigts entre ses lèvres, pince délicatement son clitoris, commence à enfoncer un doigt, et puis j’arrête brusquement avant qu’elle ne prenne son pied.

? Oh, non, continue s’il te plait… ?

? C’est toi qui m’a dit qu’on allait tomber si… ?

? Salop ! c’est pas du jeux, c’est horrible ce que tu me fais… ?

Soudain elle prends un virage brusque, coupe la route à une voiture qui s’apprêtait à nous doubler et s’engage dans une ruelle terminée par une petite place entre des immeubles paisibles. Repérant des panneaux d’affichage électoral elle fonce se garer derrière, coupe le contact et m’implore

? Vas y, je t’en prie, fais moi jouir avec tes doigts… ?

Tout homme normalement constitué rêve d’entendre un jour ce genre de requête. Mais pour pousser la torture un peu plus loin je fais semblant de ne pas avoir entendu. Je descend du scooter, en jetant un coup d’oeil aux immeubles qui nous entourent en lui tournant le dos.

? c’est sympa ici comme quartier. Où est l’appartement qu’on va visiter ? ?

? Allez, salop, tu as très bien comprit, termine ce que tu as commencé… ?

Quand je me retourne elle avait ouvert son chemisier et complètement retroussé sa jupe. Elle avait à nouveau le regard de femme torride, presque animale. Une main sur un sein, l’autre sur son sexe, elle se mordait la lèvre en me regardant droit dans les yeux. Un filet de liquide commençait déjà à couler sur la selle du scooter.

? Ah, bravo, quel beau spectacle tu donne ! J’espère qu’il n’y a pas de gamins ici ! On dirait un casting pour une revue porno ! ?

Et sur ce je sort l’appareil photo que j’avais prévu pour photographier les appartements visités. Je commence à mitrailler Sophie qui se prête au jeu, de plus en plus excitée, prenant des poses d’abord langoureuses, sexy, puis carrément obscènes. Deux doigts dans la chatte, elle se masturbait furieusement assise sur la selle du scooter, puis les fesses écartées allongée à l’envers sur la selle, un doigt dans le cul, pour finir accroupie adossée sous la photo d’un candidat à je ne sais quelle élection.

Je m’approche alors d’elle, toujours en prenant des photos. Elle se jette littéralement sur ma braguette, extirpe mon sexe déjà bien bandé et l’avale pratiquement. Tout comme ce matin les mouvements de sa tête sont frénétiques, violents, si bien que je ne tarde pas à céder et j’éjacule dans sa bouche chaude.

Elle se relève toujours aussi excitée et me dit

? a toi maintenant, termine moi ?

Elle se retourne, plaque ses deux mains sur les panneaux électoraux et cambre ses reins pour m’offrir sa croupe. Je m’agenouille, agrippe ses anches et plonge mon visage dans cette croupe sui attirante pour lui rendre la pareille. Elle est tellement excitée que quelques coups de langue suffisent à la faire partir dans un énorme orgasme, ses jambes en tremblent tellement que je suis obligé de la rattraper pour éviter qu’elle ne tombe. Je l’embrasse tendrement. Encre une fois son visage a changé, et c’est à nouveau la douce et sage quadragénaire qui se rhabille devant moi.

? Bon, c’est pas tout mais ça m’a ouvert l’appétit tout ça. Je t’invite dans un bouchon avant de visiter le dernier appart, d’accord ? ?

Je dois avouer que j’étais moi aussi passablement épuisé par cette matinée éprouvante, j’acceptait avec plaisir.

Le trajet vers le resto a été particulièrement calme. Nous nous arrêtons devant un petit bouchon typiquement lyonnais.

? Tu vas voir, c’est très sympa ici, je viens souvent. ?

Nous nous installons à une table au fond du restaurant. Il n’y a pas grand monde, l’heure de pointé étant passée depuis longtemps. Le patron, un grand gaillard bedonnant, viens personnellement saluer Sophie, il lui tape même la bise. Nous commandons le menu du jour sans même savoir de quoi il s’agit.

? Tu es connue ici, tu y amène toutes tes conquêtes ? ?

Sophie rougie, elle triture sa serviette en évitant mon regard. Au bout de quelques longues secondes elle m’avoue

? Tu sais, en fait je ne suis pas comme ça d’habitude, enfin… Je ne sais pas ce qui m’a prit aujourd’hui…

… Pour être honnête ça fait même plusieurs moi que je suis célibataire… Je devais être vraiment en manque… ?

? Il faut croire que je suis arrivé au bon moment …?

Et elle éclate à nouveau de rire.

Changeant de conversation Sophie recommence à parler de tout et de rien avec un rythme fou, ne se rendant même pas compte que je ne participe pas du tout à la conversation. En fait je suis médusé par cette femme, par cette journée folle. Le menu du jour est accompagné d’une bouteille de rouge, et je remarque que les phrases de Sophie ne se terminent plus à chaque fois, voire même plus du tout, son visage prends de plus en plus de couleurs. Soudain je sent son pied remonter le long de mon tibia, puis venir me flatter l’entrejambe. J’accepte avec plaisir cette attention délicate, et je remarque que son regard a nouveau changé. J’ai vraiment l’impression de dîner avec Mademoiselle Jeckyll et Miss Hyde. Après avoir terminé son assiette et la bouteille elle me prends par la main et me dit

? Viens, il faut que je te montre quelque chose ?

Et elle m’entraîne vers un petit escalier. En bas deux portes, l’une avec la mention ? privé ?, l’autre ? Toilettes ?. Elle ouvre les toilettes, me pousse à l’intérieur et ferme la porte derrière nous.

? C’est ça que tu voulais me faire visiter ? Les toilettes ? ?

La pièce est particulièrement exiguë, le lavabo étant dans le couloir, je me demande même comment on peut tenir à deux !

? C’est un endroit particulier pour moi : je t’ai dit que j’y viens souvent, en fait j’y viens depuis que je suis gamine, j’ai grandie dans le quartier. Et c’est même ici, dans ces toilettes, que je me suis masturbée pour la première fois quand j’avais 12 ans, en lisant un magazine érotique qu’un client avait oublié par terre. J’ai fantasmé pendant des années sur cet homme que j’avais croisé dans le couloir en descendant aux toilettes pendant que mes parents m’attendaient à table. Depuis je ne viens jamais dans ce restaurant sans faire un détours par les toilettes. ?

? Oh, je vois, c’est comme un lieu de pèlerinage alors… ?

? Un peu, mais c’est la première fois que j’y viens accompagnée ?

? Très honoré ?

? Parle moins fort, je ne voudrai pas qu’on nous entende, il y a un bureau juste à côté ! ?

Et pour me faire taire elle m’embrasse goulûment. Sophie sort mon sexe de mon pantalon et commence à le branler tout en douceur. Un peu de tendresse me fais du bien, cela change un peu de la brutalité animale dont elle fait preuve d’habitude. C’est peut-être l’histoire du lieu qui veut ça. Je passe mes mains dans sa jupe pour lui caresser sensuellement les fesses, sachant qu’elle apprécie cette zone très érogène chez elle. Toujours en l’embrassant a pleine bouche je cherche ses autres lèvres de mes doigts, les flattes un moment, je pince son clitoris, je joue un peu avec avant d’introduire un doigt dans son sexe déjà trempé. Nous nous branlons mutuellement quelques minutes, doucement, en appréciant l’instant. J’ai remarqué que Sophie a un petit sursaut a chaque fois que mes doigts effleurent son anus, je décide donc de tenter le coup : je commence par passer dessus de plus en plus souvent en caressant ses fesses, puis je m’attarde plus précisément dessus, mon index en fait plusieurs fois le tour, appuie un peu dessus. La réaction est immédiate et violente : un tremblement parcoure tout son corps pour finir en un cri a peine étouffé par notre baiser. Sophie me jette un de ses regards qui en disent long, avec un sourire en coin. Elle se retourne, se débarrasse de sa jupe et plaque ses mais au mur derrière la cuvette, en cambrant ses reins. Le message est on ne peut plus clair !

Je présente mon membre plus raide que jamais devant son sexe et la pénètre d’un coup jusqu’à la garde. Mes mains agrippent ses anches et je commence à faire quelques va et viens pour bien me lubrifier. Vu dans quel état d’excitation elle est il ne me faut pas longtemps. Ma main titille son clitoris un instant, puis je caresse son sexe pour récupérer un peu de cyprine sur mes doigts. Je continue mes va et viens dans son sexe, en baissant un peu la cadence, et je commence à caresses son anus, j’appuie un peu dessus, puis mon pouce force le passage. Sophie gémie et se crispe. Pendant un instant je ne bouge plus, craignant de lui avoir fait mal, mais c’est elle qui recommence à bouger le long de mon sexe toujours en elle. Je recommence alors mon exploration avec mon pouce, tentant des mouvements de va et viens là aussi pour la préparer. Ce traitement qui n’est pour moi qu’un préliminaire à ma première expérience anale semble être pour elle extrêmement agréable, elle respire de plus en plus fort et finit par jouir en se mordant la lèvre inférieure pour ne pas crier.

Je laisse passer quelques secondes, pour faire retomber un peu la tension, puis je sort mon membre de son sexe pour le présenter devant l’autre entrée. Elle tourne la tête et me fait un petit signe, tout en murmurant

? doucement, c’est ma première fois là ?

J’agrippe sa anche d’une main et mon sexe de l’autre et je commence à avancer, mais je glisse et pénètre violemment son vagin. La surprise et l’excitation lui font pousser un cri ! Immédiatement elle se mat une main devant la bouche, les yeux écarquillés. Je tente un nouvel essai, plus lentement cette fois. Mon gland presse fortement sur son anus qui résiste encore un instant avant de se relâcher. Je la pénètre de quelques centimètres seulement avant de stopper. Elle retiens sa respiration pour ne pas crier, son visage est écarlate. Une fois un peu habituée elle me fait un petit signe de la tête pour m’encourager à continuer. Je l’attrape par les anches et pousse tout droit, lentement mais sûrement. Une fois planté jusqu’à la garde je stoppe à nouveau. Sophie grimace et souffle comme un boeuf, mais elle me fait signe de continuer. Je recule un peu, en prenant garde de ne pas sortir complètement pour ne pas que le sphincter se referme. Je récupère encore un peu de l’abondante cyprine qui coule le long de sa cuisse pour lubrifier mon sexe et je recommence ma poussée. Cette fois je ne m’arrête plus, je la pénètre lentement, profondément mais sans arrêt, égoïstement concentré sur mes propres sensations. Je ferme les yeux et j’accélère la cadence, je la lime maintenant violemment, j’entends ses cris étouffés par ses deux mains sur sa bouche, elle s’est appuyée sur la chasse d’eau avec ses coudes. Mon ventre cogne ses fesses musclées à chaque mouvement, je serre les dents pour ne pas crier moi aussi au moment où je sens arriver l’orgasme, puis je jouit au plus profond d’elle, le ventre collé à ses fesses. Nous restons immobiles de longues secondes, moi toujours fichée en elle, à la recherche de notre souffle. Quand son cul expulse mon sexe mou je me recule pour m’adosser à la porte, les jambes en coton, alors que Sophie se retourne et m’embrasse sans un mot, mais son visage radieux me fait comprendre qu’elle a apprécié autant que moi.

Après avoir repris nos esprits et remis de l’ordre dans nos vêtements j’entrouvre la porte pour vérifier si la voix est libre, et nous retournons en silence à notre table. Le patron arrive quelques minutes plus tard

? Désirez vous un dessert ? ?

? Non merci, c’est déjà fait ! Juste deux cafés et l’adition, merci, en plus on a encore une longue après midi devant nous. ?

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