Nous étions au mois de Novembre mon copain était loin pour ses études et nous nous parlions que par le biais dinternet, pas facile alors de satisfaire mes envies qui en son absence se faisaient de plus en plus forte, déjà 3 mois que je me retenais jétais prête à exploser, mais il fallait que jattende un moi avant de le revoir.
Je parlais en parallèle à un homme avec qui javais travaillé tout lété et sur qui javais remarqué, mon corps de jeune fille de 21 ans faisait vraiment de leffet. Il était de 15 ans mon ainé mais avait un physique assez athlétique, javoue avoir eu des envies lété en le voyant torse nu et jai mainte fois failli succomber, mais a part un massage il ny eut pas plus de contact entre nous. Il menvoyait cependant des sms brulant dans lesquels il me demandait de venir le voir et où il faisait des allusions plus ou moins discrètes sur le sort quil me réservait, mais par respect pour mon copain jai refusé a chaque fois Mais ce jour la je nétais pas dans mon état normal, après 3 mois de silence je lui envoyai donc un sms, et la conversation se mit en place le plus naturellement du monde, ces attentes envers moi semblaient être toujours les même mais ce coup ci jallais accepter tout de suite a sa plus grande joie.
Je fus fort honteuse part rapport a mon copain mais terriblement excitée en même temps, le désir lemporta.
Je devais le voir a la fin de la semaine, le dimanche, nous étions mardi, et mon esprit se plaisait a imaginer ce quil pourrait se passer, jimaginais comment il était membré je lespérait bien monté au moins comme mon copain qui avait des dimensions déjà très respectable (20 cm de long pour 5 cm de diamètre) sa queue mavais toujours faite jouir avec beaucoup de force je navais connu personne avant lui 5 ans de fidélités, et tout ça allait basculer dimanche, je ne serai plus exclusivement a mon copain et bien sur celui-ci nen saura jamais rien.
Le jour J arriva donc, je me préparais avec appréhension et excitation, je ne savais pas ce qui allait marriver. Je mépilai entièrement, jaime bien avoir mon sexe lisse et sans poils, je mis mes plus beaux dessous une petite robe des talons un brin de maquillage et jétais prête, habitant encore chez mes parents je prétextai un après midi avec une amie. Je pris ma voiture et fit les quelques kilomètres qui me séparaient de mon amant il habitait en pleine campagne dans une petite maison dans le domaine des gens pour lesquels il travail, cela marrivait aussi de travailler pour eux, je ne voulais pas quon me voit jarrivais donc de la plus discrète façon possible.
Entendant ma voiture il sorti maccueillir en le voyant je sentais que jétais en train de tremper ma culotte. Jétais toute tremblante impossible maintenant de faire marche arrière il faudra que jaille jusquau bout. Jétais rouge de honte en pensant a mon copain qui lui était tout seul dans sa chambre étudiante, si il savait ce que sa petite chérie quil pense si sage sapprêtait à faire
Il me fit donc masseoir sur le canapé et me proposa un café que jaccepte volontiers. Nous parlâmes de tout et de rien, de son boulot du mien mais cela nétait quun prétexte au rapprochement corporel tout en me parlant il commença a me caresser la jambe un frisson parcouru tout mon être, jamais je navais été touchée par une autre main que celle de mon copain. Nous continuâmes a discuter ses caresses se firent plus nombreuses, je me sentais bien, je navais plus dappréhension je posai ma main contre la sienne comme un signe de reddition, il approcha donc son visage du mien et je ne pu résister à la tentation de lembrasser, je me jetai sur ses lèvres comme une assoiffée lembrassant avec toute la fougue de mes 21 ans. Il passa sa main sous ma robe et commença a jouer avec ses doigts cela eu pour effet une vague de plaisir parcourant mon ventre, sans réfléchir je me mis a califourchon sur lui, pensant a toute les fois ou jétais dans cette position avec mon copain.
« Je te veux maintenant » lui murmurai-je entre deux baisers.
Il me souleva, chose facile au vu de mon petit gabarit moi je gardais mes jambes enlacées a son bassin et continuai a lembrasser, il me porta jusqu’à son lit, me posa délicatement dessus, remonta ma robe enleva ma petite culotte en dentelle et commença a me lécher le clitoris, cétait merveilleux mon copain ne mavait jamais lécher comme ça
Il me lécha en me mettant un doigt au début puis un deuxième et un troisième, il me rendait folle je pensais quil allait me faire venir comme ça mais il sarrêta avant jouissance complète.
« Prend moi !! » implorai je « Prend moi maintenant »
Il sourit et me fit comprendre quil fallait que je lui rende la pareil, me voici donc a quatre pattes devant lui, lui baissant son pantalon et memparant de son engin.
Il navait pas encore atteint sa taille maximale mais était déjà dune dimension impressionnante aussi long que celui de mon copain mais plus gros, je narrivais pas a en faire le tour avec mes doigts devant mon air subjugué il me demanda si cest la première fois que jen voyais un si grosse, je me contentai de dire oui avec la tête pensant avec appréhension au moment ou ce monstre sera au fond de mon ventre, je pensais toujours a mon copain pendant que je suçais mon amant tant bien que mal pendant une dizaine de minutes, je fis bien comme mon copain aime, je nhésitais pas a en prendre le plus possible dans la bouche, a lécher tout le long de sa verge et a titiller son gland du bout de ma langue Il semblait apprécier le travail, il gémissait et son membre avait pris encore en volume.
Il décida lui-même de passer a autre chose, il sallongea je me redressai et vint le chevaucher sans plus de réflexion, avec ma main droite je dirigeai son sexe a lintérieur du mien, je me laissai lentement glisser sur son engin sentant millimètre par millimétré la pénétration, jusqu’à ce que jarrive à tout engloutir en moi.
Nous restâmes un moment sans bouger, javais cette chose énorme en moi qui palpitait, je sentais que je pourrai jouir même sens bouger, je respirai avec difficulté et javais le cur qui battait la chamade, que penserai mon copain si il voyait sa petite chérie élargie par une si grosse queue.
Jembrassai mon amant pour me calmer et je commençai a aller et venir sur lui, de plus en plus vite.
Limage de mon copain seffaça peu a peu dans un brouillard, je ne pensais plus a rien qua mon plaisir et a mon amant qui me comblait si bien, je mouillais tellement qua présent je mempalais sur sa queue avec force et vigueur, lui jouait avec mes petits seins, les caressaient, les léchaient, attrapait parfois mes hanche pour aider au mouvement me faisant ainsi crier de plaisir.
Je me démenais comme une diablesse sur mon amant et je joui une première fois.
Sans cérémonie, sans me laisser reprendre mon souffle il mallongea sur le dos et il me rempli dun coup sec et puissant, une vague de plaisir me traversa de part en part, il me chahuta très longtemps jen perdis la tête, jétais amoureuse, et totalement soumise a sa volonté, je joui une deuxième fois peut être encore plus fort que la précédente.
Il me demanda de me retourner jobéis sans hésiter, il rentra en moi pour une dernière chevauché.
Il me défonçait littéralement, les coups de bites quil me mettait était dune telle puissance que je jouissais a chaque coup. Je nen pouvais plus, je mabandonnais entièrement a mon amant qui me baisait avec une vigueur redoutable, je ne me contentais que de crier ma jouissance, moi qui voulais être discrète cétait plutôt raté.
Il accéléra le rythme qui était déjà soutenu et je senti mon orgasme monter a vitesse grand V et il éclata au moment ou dun grand coup de rein il se ficha au fond de moi pour my déverser sa semence je sentie sa queue se contracter a 7 reprises, il était en train de me mettre une énorme quantité de sperme dans le ventre. Je restai immobile, vaincue, heureuse.
Il sallongea a coté de moi et continuait de me caresser, je me laissai faire, jétais toute a lui à présent.
Nous avons baisé pendant prés de 3 heures jamais on ne mavait fais jouir comme ça, je remis mes vêtements tant bien que mal, je sentais son sperme en moi ça me faisais bizarre, jamais je navais laissé mon copain jouir en moi, la culpabilité commençait a monter.
Il mavait tellement bien baisé que javais du mal a mettre un pied devant lautre, il me porta donc jusquau salon ou je mendormi sans men rendre compte et me réveilla une heure après.
Je devais partir, je lembrassai et je savais que jallais revenir le voir de temps à autre.
Et cest ce que je fis. Il me prit un grand nombre de fois, toujours avec la même vigueur, jétais totalement a lui je lui appartenais, et mon copain nexistait plus a partir du moment où jétais dans ses bras.
Jinsistai même auprès de ses employeurs pour quil me réengage pendant quelques temps et je me fis prendre a partir de ce moment tout les jours plusieurs fois pendant les pauses.
Je savais que mon copain rentrerait bientôt et quil verrait que je ne suis plus à lui.
Mais ceci est une autre histoire.