Amira venait de faire entrer le pénis d’un petit chien dans celui d’Orion, qui n’avait pas de mal à l’accueillir. La jeune fille avait fait cela sous le coup de l’excitation, par pure euphorie mêlée de sa curiosité habituelle. Maintenant, elle regardait avec émerveillement la bite du petit chien s’ancrer en grossissant dans celle d’Orion, et ce dernier avait l’air d’apprécier ce traitement.
— Oh mon Dieu! S’écria Joanne en s’approchant. Il aime vraiment ça on dirait!
Après sa double pénétration, son vagin dégoulinait de sperme faisait une longue coulée de ses cuisses à ses sandales. Et les chiens autour d’elle léchaient ce fluide avec excitation.
— Ouais. Fit Amira. Et je pense qu’on va beaucoup s’amuser.
— Tu m’aides à en mettre deux dans mon cul?
— Oui, mets-toi par terre.
Joanna se repositionna comme avant pendant qu’Amira faisait venir deux chiens. L’un des deux ayant déjà baisé, il était à sec, mais cela ne dérangeait pas Joanne.
Amira enfila les deux verges dans le petit anus de Joanna, et elles eurent la surprise de constater que le dernier chien, qui s’accouplait pour la première fois depuis son arrivée, possédait un gourdin de belle taille. Fiché dans la rondelle de la jeune fille, il y imposa un écartement extreme qui arracha de longs gémissements à la coquine haletante.
Il sembla que d’autres chiens s’étaient approchés de la cabane. Amira ouvrit la porte encore une fois, et compta dix nouveaux arrivants.
— Des renforts! S’écria-t-elle avec joie.
En voyant que Joanne était aux prises avec deux heureux élus, tous les chiens libres, une quinzaine en tout, se dirigèrent vers Amira et la firent reculer jusqu’à une fenêtre. Alors elle posa ses fesses sur le rebord et écarta les cuisses pour leur donner sa chatte. Ils commencèrent alors de se bousculer pour venir y goûter, dans un relai qui ne donna pas à la jeune fille beaucoup d’occasions de reprendre son souffle. Acculée contre la fenêtre, elle se mit à geindre, puis à crier de plaisir en observant les animaux surexcités qui se donnaient tout le mal du monde pour accéder à sa belle chatte qui sentait la chienne.
L’un des chiens, un doberman, attrapa une des jambes de la jeune fille et feignit de la sauter. Cela acheva de donner envie de baiser à Amira, et elle murmura:
— Toi tu m’excites. Tu viens de gagner un ticket mon joli. Mais avant, on va s’occuper d’Orion.
Le danois était toujours couché par terre, et petit chien qui avait baisé sa bite venait de s’en extraire. Amira fit alors approcher un autre chien pas très grand, et lui offrit aussi l’occasion de jouir dans l’urètre d’Orion. Elle décida de rester près de lui, et invita simplement le beau doberman à venir la prendre en levrette. Il l’enfila par le vagin et commença tout de suite à la défoncer. Sa verge n’était pas très longue, mais le noeud qui l’accompagnait était impressionnant. Amira se réjouissait d’avance à la perspective d’avoir cette pièce immense dans la chatte.
Pendant qu’elle se faisait baiser, elle embrassa longuement son chien, qui lui rendit jusqu’au dernier coup de langue. Elle fit venir un chien près d’eux et commença de lui tripoter la bite en vue de la sucer. Mais en se rendant compte que sa verge était très longue et fine, elle arrêta:
— Attends, toi tu baiseras Orion, mon mignon.
Le chien s’en alla à contrecoeur, et Amira commença d’en masturber un autre. Quand il banda, elle se mit à le sucer, et partagea avec Orion. Ensemble, ils prodiguèrent des caresses ininterrompues au chien qui leur donnait sa verge, et burent son sperme avec délice tout en continuant de s’embrasser.
À l’écart, Joanne en avait fini avec sa double anale, et un colley s’était approché pour s’occuper d’elle. Elle l’avait couché sur le dos et s’était mise en soixante-neuf sur lui. Tandis qu’il lui léchait les orifices en se délectant du sperme qui en sortait, elle avait décalotté sa bite et la suçait maintenant en la masturbant énergiquement. Peu après elle fit venir un autre chien et l’incita à s’asseoir sur le pénis du colley. Une fois enculé, l’autre chien ne bougea plus, et la jeune fille se présenta devant lui pour s’embrocher elle-aussi en gémissant.
Le deuxième chien était sorti de la verge d’Orion, et Amira s’en était approché pour enfiler le troisième chien dans son urètre. C’était celui qui avait une très longue tige, et la jeune fille ressentit une certaine délectation à enfiler la verge distendue de son chien comme une chaussette autour de ce long bâton tout dur. Quand le chien jouit, elle remarqua avec surprise qu’il avait un noeud de belle taille, ce qui étira considérablement le gland d’Orion. Le danois se mit à gémir de bonheur en sentant cette intrusion, et Amira lécha sa bite pendant cet accouplement.
Après quelques minutes de plus, le doberman ressortit du vagin d’Amira et alla se lécher les parties un peu plus loin.
C’est alors que la jeune fille remarqua que les couilles de son chien avaient doublé de volume, et elle comprit tout de suite: les autres chiens étaient en train de les lui remplir.
— Oh putain Orion! S’écria-t-elle. Ça te fait pas mal?
Le chien n’avait pas besoin de répondre: son extase se voyait même avec les yeux fermés.
Joanne en avait fini avec ses deux amants, et elle appela Amira pour l’aider à réaliser quelque chose d’encore plus fou qu’une double sodomie. Il semblait que plus le temps passait, plus elle devenait vicieuse. Amira l’aida à se mettre sur le dos et à mettre les chevilles derrière sa tête. Dans cette position, elle avait l’anus bien ouvert et dirigé vers le plafond. Amira amena un chien au-dessus de sa camarade, et la laissa s’en occuper. Elle fit venir deux autres animaux, et leur empoigna le pénis en les faisant reculer vers Joanne. Ensemble, elles firent entrer les trois chiens en même temps dans l’anus de la jeune fille, qui se mit à gémir profondément quand elle les sentit jouir. Ils s’ancrèrent tous les trois dans le cul de la pauvre Joanne, qui se mit à hurler de plaisir.
Laissant son amie prendre son pied, Amira alla retrouver Orion, qui avait été lâché par le chien à la longue bite. Patiemment, sa maîtresse le fit pénétrer par un autre chien encore, et elle se coucha tout près pour lécher les couilles de son ami qui se faisaient littéralement bourrer de sperme étranger.
Tandis que la jeune fille était couchée sur le sol, elle sentit qu’un chien entreprenant était venu pour essayer de la prendre. Elle décida que s’il arrivait à l’enfiler alors qu’elle avait la hanche par terre, elle se laisserait faire. l’animal dut chercher la solution pendant plusieurs minutes, mais il la trouva en empoignant la jeune fille par la taille afin de la soulever. C’état relativement inconfortable, mais il avait réussi. Pour le récompenser, et aussi pour prendre un maximum de plaisir, elle s’offrit à lui correctement, en levrette.
Ce chien sortit de la jeune fille en même temps qu’Orion était libéré. Alors Amira décida de s’occuper de son chien. Elle alla chercher son anneau en acier de cinq centimètres, et le glissa sur le sexe flasque de son chien. Immédiatement après, assise sur le sol, elle approcha son vagin du pénis canin, et elle les emboîta. Sous l’effet de l’anneau, le sexe d’Orion se développait déjà. Le noeud grandissait très vite, et il emprisonna le chien dans le ventre de sa maîtresse. Mais comme son pénis devait encore se développer, il allait forcer l’utérus de la jeune fille. Elle apprécia énormément cette profonde pénétration, et tomba sur le dos en criant de bonheur. Orion était à-moitié tombé dans les pommes: toute son énergie était dans sa verge immense, qui habitait maintenant la matrice de sa belle. Quand il fut entièrement développé, il commença d’éjaculer. Normalement il aurait dû être à-sec, mais il disposait des jus de tous les chiens qui lui avaient rempli les bourses de leur sperme. C’est comme si Amira se faisait remplir par tous ces chiens en même temps.
Vue la quantité se sperme à expulser, Orion employa pour cela une durée de trois quarts d’heure. Entre temps, Joanne était revenue de sa triple anale, et alors qu’elle se penchait sur Amira pour lui lécher le clitoris, un chien l’attaqua par le vagin.
Amira vivait un extase particulier: elle avait dans le ventre la plus grosse bite du monde, et celle-ci y déversait une quantité de sperme qui dépassait déjà le litre. Son ventre juvénile avait déjà atteint la taille de celui d’une femme enceinte et proche du terme, et sa peau se tendait de plus en plus.
L’accouplement dura presque deux heures. Dehors, l’aube commençait à se faire sentir. Tandis qu’elle sentait Orion diminuer, Amira appela Joanne pour lui amener un petit plug qu’elle avait préparé. Et quand Orion sortit, la jeune fille mit la main entière dans le vagin d’Amira, pour lui refermer le col de l’utérus avec son plug. Ainsi, le sperme contenu dans le ventre d’Amira allait y rester, et lui donner l’air d’une femme enceinte pendant des heures.
Les filles commençaient d’être fatiguées, et à-court d’idées. Elles décidèrent alors de mettre fin à leur soirée de perversions, et de rentrer chez elles.
Amira ne s’habilla même pas. Vêtue seulement de ses sandales, et avec sa nouvelle apparence de femme enceinte, elle suivit la route jusqu’à chez elle, attacha son chien à sa niche, et remonta dans sa chambre pour se coucher. Dans son lit, elle caressa son ventre magnifique, plein de sperme, en regrettant de ne pouvoir porter véritablement les chiot de son amant…