Un pâle soleil de mars perce la chambre, nu allongé au coté de ma soeur, le souvenir de la nuit aiguise mon esprit ou plutôt ma bitte qui n’a qu’une envie saillir encore une fois, l’ange qui dort à coté de moi.
Doucement, ma main part à la recherche de la grotte secréte, touche la toison, un doigt pervers tente de s’infiltrer entre les lèvres qui suintent encore.
« Pas touche, mon lapin, c’est moi qui décide, si tu as encore envie branle toi! »
La voix est autoritaire, ma main exécute un rapide repli stratégique accompagné d’un profond soupir. Inquiet je pense que la nuit portant conseil, Claire ne souhaite pas que cette coucherie incestueuse continue.
Mal à l’aise, je file sans répondre sous la douche, sur une chaise les habits de Claire sont secs et rangés. Seule sa petite culotte, soigneusement lavée, termine de sécher.
Je reste surpris, que ma frangine, alors que je dormais les couilles vidées, puisse aprés cette nuit de débauche prendre la peine et le temps de laver sa culotte souillée!
« Prépare le petit dej, nous avons juste le temps de faire quelques courses avant que maman arrive »
Encore une fois Claire se dérobe, quand assise devant son café, je tente de l’enlacer.
« Dépeche toi, je dois m’acheter des fringues, j’espère que ta carte bleu est garnie? »
Elle aurait pu choisir d’aller chez « Prisu, » mais non, c’est rue de Rivoli que Madame a décidé de faire ses emplettes.
« Attends moi ici, j’en ai pour dix minutes. »
Seul dans la voiture, j’oublie mon banquier et ma CB, je pense à cette nuit de rêve que même mes phantasmes les plus perverses, n’avaient su imaginer.
Une heure plus tard, nouvelle apparition, sous la stricte veste Chanel, un bustier vert au décolleté prometteur jailli de la jupe au « ras de la joie de vivre ». L’ensemble dévoile divinement les longues jambes fuselées, juchées sur des chaussures dorées aux talons interminables…
La main aux ongle manucurés écarte d’un geste gracieux les long cheveux blonds. Je ne vois que la bouche prometteuse et les immenses yeux verts de mon ange.
« Dépeche toi, on à juste le temps de filer, Gare de l’Est, chercher maman. »
Un parfum capiteux envahi la voiture. Hypnotisé par la naissance de la culotte de dentelle qu’on devine au haut des cuisses nues, la gorges nouée, le feu au ventre, je cale au premier feu rouge.
« Ne fais pas le collégien, nous sommes déjà en retard. Avance! »
« Regarde, Elle est la, elle nous attend »
Devant la gare, sur le trottoire, une autre superbe créature, nous fait signe.
« J’allais prendre un taxi, je vois que vous avez fait connaissance les enfants », dit maman en s’asseyant sur le siége arrière. »
Comme il n’est pas loin de midi, je propose d’aller au restaurant.
« Je préfèrerais avant que nous passions chez toi, après une nuit de train, je veux me rafraichir, je dois avoir une mine à faire peur »
« Oui, allons chez toi, nous avons bien le temps d’aller au restaurant et de visiter Paris, d’ailleurs c’est mieux le soir. Nous ferons la dinette et une petite sieste, pour nous aussi la nuit a été blanche »
« Vous auriez pu m’attendre pour sortir », dit sans malice Nathalie.
Personne ne répond, dans le rétrovieur je vois maman vicieuse qui me sourit en passant lentement sa main dans la fente de sa robe.
« Tu a raison ma chérie, je ferais bien une petite sieste »
Le sourire de Claire et l’érection dans mon pantalon me confirme que décidément ce week-end commence bien.
Sur le sofa , un verre à la main, je contemple Claire et Nathalie. Je pense aux paroles de Claire hier soir.
« Essaye de te retenir! Nous avons tout notre temps. Demain je veux te branler devant Maman… il faut me promettre de rester toujours trés sage et de ne jamais me décevoir…»
La situation est fort simple Claire veut être une rivale de maman, elle souhaite se révéler à Nathalie comme une petite salope ambitieuse et je dois tout faire pour qu’elle y parvienne.
Je passe à l’action.
« J’ai de la chance d’être accompagné ce week-end par de si jolies filles, vous êtes vraiment ravisantes »
« Oh tu sais, moi je suis déjà vieille » minaude maman.
« Mais non, tu es simplement plus femmes, tu passes facilement pour la soeur de Claire »
« Ne dis pas de bêtise, j’ai quitté depuis longtemps le 38 pour le 40, pas maquillée je suis affreuse »
Se tournant vers Claire qui décroise ses jambes laissant apparaître sa touffe sombre sous sa culotte de dentelles.
« Moi aussi j’avais de belle jambes, maintenant je les cache sous des collants ou sous le jean. »
« Tu es injuste, je sais que tu as les jambes les plus bandantes de la terre »
« Merci pour moi," lance Claire rieuse
Désolé, soeurette, mais je sais ce que je dis, tu vas voir regarde! »
Et je m’approche de maman, glissant en riant ma main entre ses jambes, je relève sa robe, non sans toucher au passage, la culotte de maman.
Maman, se préte facilement au jeu, elle reste délicieusement robe retroussée et jambe légérement ouvertes en attente.
« Que tu es belle maman, montre nous ta chatte » demande Claire, qui pour montrer l’exemple retrousse comme si c’était possible le bout de tissu qui lui sert de jupe. Une tache obcéne macule déja la fine étoffe, trahissant son émoi de salope.
Ma pine se cabre en de longues ondes incontrôlables, devant ses deux créatures innocentes et perverses à la fois.
Maman en soutien et en culotte ce met debout au centre de la pièce. Nous nous faisons face
J’ai en main la cléf de l’instant qui vient.
Je fais très lentement glisser la culotte de maman le long de ses cuisses pour la faire tomber à ses pieds. Comme par pudeur, mais est-ce de la pudeur? maman cache sa chatte avec sa main
Je pose fermement ma main sur sa main et force la caresse solitaire.
« Montre à Claire, fais la cochonne »
Sans un mot, ma mére commence à se caresser les côtes et les épaules. Elle s’enlace elle-même, encore un peu gênée.
Je lui parle sans pudeur à la limite de la vulgarité, je veux lui faire franchir le pas de l’inceste lesbien.
"Tu vois le corps de ta gamine ? Il est à toi si tu le veux. Tu veux l’embrasser sur la bouche ? Viens. Tu désires depuis toujours sans oser te l’avouer la toucher, la lécher, lui renifler sa chatte mouillée? Vas-y mon amour, te géne pas. Ta fille demande que tu la baises. Cette petite pute veut se faire sauter par sa mère . Elle ne souhaite qu’une chose se faire violer par tes doigts.
Vas la baiser, je t’en supplie car je n’en peux plus, je veux vous voir vous aimer… »
En peu de gestes, maman se pistonne et s’arrache un premier orgasme les yeux rivés dans ceux de Claire qui pour toute réponse a enlevé son bustier, dévoilant ses jumeaux bien juteux, offrant à la belle branleuse son ventre, ses seins ,sa culotte ou la tache humide grandit.
Ma mére et ma soeur s’enlacent par les épaules, s’emboitent les cuisses, se frottent ventre contre ventre. Le baiser sur la bouche est furieux, incontrôlable. Les 4 seins font connaissance dans une danse improvisée. Les mains passent sur les épaules, les dos, les fesses et reviennent entre les jambes ouvertes sans aucune pudeur.
Comme deux prostituées, consciente du spectacle qu ’elles offrent Claire demande.
"On le fait dans son lit ?"
"Oui on le fait dans le pieu de ton frère ma chérie".
La queue dréssée, je fais quelques pas vers la chambre et m’assied au bord du lit;
Nathalie pantelante se couche sur le corps brûlant de passion de sa fille et commence à mimer l’amour. Nouveaux baisers sur la bouche, le cou, le haut des seins qu’elle tete en faisant de longs cercles avec sa bouche et ses lèvres,
Elle descend vers le ventre tout lisse, caresse les fesses et niche la tête entre les cuisses, respirant la mouille qui suinte de la grotte interdite.
"Vas-y bouffe moi" implore sa fille qui devient folle, « je mouille à en crever »
La bouche de Nathalie trouve le clitoris en érection, s’acharne et aspire déclenchant un premier orgasme.
Partageuse, Claire veut rendre tout ce bonheur à sa mère, elle demande à Nathalie de se mettre contre le mur sur le lit, face à moi ouverte. Maman dolente s’exécute, ma soeur à genoux, lèche à rapides coups de langue le sexe maternel, Je dois retenir Nathalie qui chancelle et tremble sous la bouche de sa gamine qui la broute et les doigt déchainés qui fouillent son intimité déclenchants orgasme sur orgasme dans un couinnement de truie en chaleur.
Devant ces deux chiennes qui s’agacent et se tripotent, ivre du parfum intime de ses corps qui se cherchent, je sorts ma queue et la branle les aspergeant de mon foutre chaud.
Je plante mon nez à quelque centimetre de l’anus de Nathalie et caresse son petit trou du revers de l’ongle.
« Viole lui le cul, à cette salope » crie Claire
j’obeis et pousse mon index au fur et à mesure des soupires de Nathalie, le désir remonte entre mes jambes et j’encule sans ménagement maman, je coulisse de plus en plus vite dans son cul, excité par les doigts de Claire qui explorent l’autre coté de la fine cloison.
« Oui mes enfants baisez moi! » hurle maman quand je décharge tout mon ju dans ses intestins.
Lentement, les corps mélangés nous reprenons nos esprits.
Mes deux putes saisissent alors ma queue en berne et commencent à la nettoyer , les langues se touchent sur mon gland innerte.
Ma toilette faite nous nous endormons sans regret ni culpabilité ivre de ces caresses interdites dont nous savons que nous ne pourrons plus nous passer.
Mais c’est une autre histoire.
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