Mon meilleur ami, Christophe, est étudiant à Nantes. Le week-end dernier, il m’a invité chez lui pour faire la fête, histoire de décompresser avant les examens, et me présenter sa nouvelle copine, Leïla, étudiante dans le même TD que lui. Leïla est une superbe franco-marocaine, aux yeux verts, aux cheveux châtains bouclés, avec un petit cul ravageur. Christophe a fait fort sur ce coup là. Il en a eu des copines, toutes très jolies, mais là, elle est de loin la plus belle et la plus sexy. J’avoue que j’ai craqué.
On a commencé la soirée chez des amis en commun, puis vers 1heure du matin on a tous filé en boîte. Je n’avais d’yeux que pour Leïla. J’ai quand même fait la connaissance d’une demoiselle en boîte, Sophie, si je me souviens bien. Mais tout en l’embrassant, mes pensées allaient à Leïla. Plusieurs fois dans la soirée, mon regard s’est posé sur elle. Il faut dire qu’elle faisait de l’effet dans son mini short qui laissait la part belle à ses longues jambes et ses chaussures à talons. Plusieurs filles étaient vêtues de la même manière, mais Leïla avait ce petit plus: son cul qu’elle bougeait à merveille sur la piste de danse. On est rentré vers les 4 heures du matin. Christophe et Leïla sont allés dans la chambre, moi, je suis resté seul au salon, sur le clic-clac, avec la télé pour m’accompagner, ne trouvant pas le sommeil, tellement j’étais troublé par la copine de mon pote. Vers 5 heures, j’ai entendu la porte de la chambre s’ouvrir et celle de la salle de bain se fermer puis la douche se mettre à couler. Je n’y ai pas porté plus d’attention que ça et ai continué mon zapping nocturne. Un quart d’heure plus tard, Leïla est entrée dans le salon refermant la porte derrière elle. Elle était vêtue d’un peignoir de bain et d’une serviette sur la tête.
"- Je peux regarder la télé avec toi ou bien tu veux dormir?
— Non, viens. J’ai pas sommeil.
— Moi non plus. En revanche Christophe, dès qu’il a eu ce qu’il voulait, il s’endort et plus rien ne peut le réveiller. Ton pote est un cochon. Il m’a joui dessus et m’en a mis partout puis il s’est endormi, satisfait de son travail. Je n’avais plus qu’à prendre une douche pour me nettoyer.
J’étais étonné de ce que me racontait Leïla. On se connaissait à peine et elle se confiait à moi sur ses ébats sexuels. Ceci dit je reconnaissait bien là Christophe. Il aime éjaculer sur sa partenaire. Il me l’a souvent répété. On resta quelques minutes silencieux devant les chaînes que Leïla, assise à côté de moi, faisait défiler avec la télécommande. C’est alors qu’elle croisa les jambes, laissant apparaître celle du dessus. Mon regard se posa dessus, du coin de l’oeil.
"- Au lieu de mâter à t’en déboîter la rétine, mets ta main.
— Pardon? (Répondis-je interloqué)
— Tu crois que je t’ai pas vu. T’arrête pas de regarder ma jambe. D’ailleurs pendant la soirée j’ai vu que tu me mâtais souvent. T’as envie de moi Bastien?
— Tu me plais Leïla. Je sais que c’est pas bien, que tu es la copine de mon meilleur ami, mais j’ai craqué sur toi.
— Alors, pourquoi attendre, faisons-nous du bien. Baisons.
— Mais Christophe dort dans la pièce à côté…
— Je connais ton ami, c’est moi qui couche avec lui presque tous les soirs. Une fois qu’il s’est vidé les couilles, il dort et rien ne peut le réveiller. Là, il est parti jusqu’à midi, et t’auras beau aller lui parler, le tirer, rien n’y fera, Christophe dort. On a quelques heures pour nous. Toi aussi tu me plais bien."
Je me levais et filais vers la chambre, pour m’assurer que ce qu’avait dit Leïla était vrai. Mon ami dormait et ronflait sur son lit, à poil, et rien en effet ne semblait l’interrompre. Je revins au salon, me fixais debout devant Leïla et baissais mon bas de survêtement et mon caleçon. La belle ne se fit pas prier pour me prendre dans sa bouche. Je lui enlevais la serviette de la tête et passai ma main dans ses cheveux humides. Elle faisait jouer sa langue sur mon gland violacé, tout en me masturbant doucement. Sa bouche descendit sur mes bourses qu’elle lécha avant de remonter le long de ma tige et de l’engloutir une nouvelle fois. Je gloussais de plaisir et m’abandonnais à cette belle fille que j’avais désiré toute la soirée. Nous étions seuls alors que mon pote dormait à quelques mètres de là. Pas un bruit, sauf le son très bas de la télé dont la luminosité éclairait les murs de la pièce plongée dans le noir. Tout en me suçant, ma partenaire ôta son peignoir laissant apparaître ses seins bien ronds sans être trop gros. Elle leva son regard vers moi puis repartit de plus belle dans la fellation. Je m’assis auprès d’elle. Alors qu’elle continuait à me sucer, je commençais à caresser ses lèvres vaginales déjà bien humides. J’y introduisis mon index et mon majeur, ce qui lui fit de l’effet. Leïla poussa un gémissement la bouche pleine. On resta comme ça quelques instants puis Leïla se redressa m’offrant son sexe rasé à la dégustation. Ma bouche vint se poser sur son abricot. Je fis jouer ma langue entre ses lèvres tandis que mon index droit caressait son clitoris. Je sentais l’excitation monter chez elle qui appuyait sur ma tête pour que je continue mon travail de lèche.
Puis, Leïla se coucha sur le clic clac, jambes écartées. Je vins me coucher sur elle, introduisis mon sexe dur dans le sien. Nos bouches se rencontrèrent alors que je commençais le va et vient du bassin. Mes lèvres vinrent se poser sur ses tétons. Je me mis à la téter comme un bébé le fait avec sa mère, à la différence que je faisais jouer ma langue sur le bout de ses seins. La belle avait fermé les yeux et gémissait doucement, laissant échapper un "oui vas-y" de temps en temps. Ensuite, je la pris en levrette, sur la moquette. J’ai alors intensifié le mouvement, devenu plus rapide et plus bestial. Mes bourses venaient taper contre ses cuisses. Leïla avait plongé sa tête dans un coussin; Christophe a beau avoir le sommeil lourd comme elle avait dit, on est jamais trop prudent. Ses cris plus forts étaient ainsi modérés et étouffés par le carré de tissu. C’est alors que je sentis la jouissance monter en moi.
"- Je viens Leïla, je vais jouir!
— Branle-toi sur mon cul Bastien!"
Je sortis ma queue de son trou et me branlais énergiquement sur le fessier de la belle comme elle me l’avait demandé. Je giclais sur ses fesses et le bas de son dos. Leïla toute proche de l’orgasme, se caressait le clitoris tout en gémissant de plaisir avant de dire:
"- Mmmmmm, Oh oui! C’est bon! ta semence chaude sur mon cul j’aime ça."
Le silence revint. Elle s’essuya avec son peignoir avant de l’enfiler et de le refermer. On s’embrassa fougueusement comme deux amants que nous étions.
"- Je vais me coucher (dit-elle). A demain Bastien.
— Bonne nuit." (Dis-je un peu bêtement).
Elle disparut derrière la porte. Je me rhabillais et me couchais sur le clic clac avant de m’endormir pour de bon, heureux d’avoir pu profiter un peu de la belle Leïla.