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Les minettes du Val de Saône – Chapitre 7




Noémie a enfilé son éternel short en jean et son débardeur blanc, seuls vêtements qu’elle avait sur elle en arrivant chez moi la veille. Elle m’a demandé si elle devait remettre le collier, et j’ai envie de répondre oui, mais celui-ci était trop peu discret pour être porté en pleine rue, surtout dans un petit bled comme le nôtre, où tout le monde ou presque se connaît.

Lorsque l’on est sortis, il faisait encore plus lourd, et les nuages étaient vraiment menaçants. Le supermarché n’était pas très loin, à peine dix minutes à pieds. Mais ce n’est qu’au bout de cinq minutes qu’il s’est mis à pleuvoir. Des trombes d’eau. On a couru pour arriver au magasin aussi vite que possible, mais ce n’était pas suffisant, nous étions trempés. Et on sait tous l’effet d’une grosse averse sur un petit débardeur blanc en coton.

Merde, a lâché Noémie, on voit vraiment tout.

J’ai regardé, et effectivement, c’est comme si elle ne portait rien. J’ai souri, et discrètement, avant d’entrer dans les rayons, j’ai pincé ses tétons, les faisant pointer encore un peu plus à travers le tissu.

Autant y aller à fond, ai-je dit en riant.

J’ai pris un petit panier et me suis mis à déambuler dans les rayons, suivi de près par Noémie, qui tentait de se cacher derrière moi à chaque fois que nous croisions un homme. Et ils étaient nombreux à se retourner sur elle. Ça me rendait fier. Elle attirait les regards, mais elle était à moi, et les autres le savaient. Rendre les gens jaloux avait tendance à m’exciter.

Les courses ont été rapidement faites. Je n’ai jamais aimé traîner dans les magasins. Dehors, la pluie continuait de tomber, un peu moins violemment qu’à l’aller. Au bout de quelques mètres, le débardeur de Noémie, qui n’avait pas vraiment eu le temps de sécher, était à nouveau transparent. Nous marchions vite pour rentrer rapidement, elle me précédait et je n’arrivais plus à quitter mes yeux de son derrière qui bougeait merveilleusement bien dans ce petit short en jean. J’avais l’intention d’attendre d’être à la maison, mais au détour d’une ruelle, je l’ai prise par la main et l’ai amenée sous un porche.

Elle a eu l’air surprise, mais je n’en avais que faire, et lâchant les sacs de courses, je me suis empressé de défaire les deux boutons de son short et de glisser ma main sur son sexe.

On pourrait nous voir, a-t-elle chuchoté.

Mais ça ne m’a pas arrêté. J’avais trop envie de la toucher, de la sentir dégouliner sur mes doigts. Ce qui n’a pas tardé à arriver. J’ai rapidement trouvé son clitoris, que je me suis mis à titiller, agacer. Noémie s’est mise à gémir, de plus en plus fort. J’ai dû plaquer ma main sur sa bouche pour l’empêcher de rameuter tout le quartier. Puis ma main a glissé sur sa gorge, que j’ai commencé à serrer. Noémie s’est mise à gémir plus fort encore, tant pis pour les voisins.

Monsieur, m’a-t-elle dit en soufflant… S’il vous plaît, je… Je vais…

Jouis, vas-y, ai-je répondu avant qu’elle n’ait pu finir sa phrase.

Elle ne s’est pas fait prier plus longtemps, et j’ai senti son corps trembler, se contracter. Elle a mordu sa lèvre pour ne pas crier trop fort, et a rouvert les yeux une fois que l’orgasme était passé.

Merci Monsieur, a-t-elle dit en souriant, mordant sa lèvre inférieure.

Je lui ai souri en retour, et ai sorti mes doigts d’entre ses cuisses. Ils étaient poisseux, recouverts de son jus. J’ai forcé l’entrée de sa bouche, et glissé mes doigts contre sa langue, profondément, jusqu’à l’entrée de sa gorge. Noémie a toussé, s’est un peu étouffée, et je lui ai ordonné de sucer mes doigts pour les nettoyer. Puis j’ai repris les sacs de courses.

En route, ai-je dit. A quelle heure arrive Nadia ?

Vers quatorze heures normalement.

J’ai regardé ma montre, il n’était pas encore midi. C’était parfait.

Une fois à la maison, j’ai dit à Noémie de se remettre nue, ce qui n’était pas un problème vu que ses fringues étaient de toute façon trempées, et de remettre son collier. Puis nous avons préparé le repas ensemble. Une simple salade, mais alors qu’elle était penchée sur la table, affairée à couper des tomates, je n’ai pas pu m’empêcher d’attraper un préservatif, et de l’enfiler avant d’enfiler ma belle. Je me suis servi d’elle comme d’un défouloir, un simple objet voué à diminuer ma tension sexuelle. Cinq minutes plus tard, je sortais de son sexe, retirais la capote, et jouissais sur son cul. Chienne comme jamais, Noémie m’a remercié.

Il était presque quatorze heures quand on a sonné à la porte. Nous avions fini de manger, et je prenais le café que Noémie venait de me faire tandis qu’elle débarrassait la table.

Ça doit être Nadia, m’a-t-elle dit.

Va ouvrir.

Moins d’hésitation que le matin même, Noémie est allée ouvrir, tête baissée, un peu gênée. La porte s’est ouverte et j’ai seulement entendu un « Oh putain ! », ce qui m’a fait sourire, et Nadia est arrivée dans le salon. J’ai posé ma main sur sa hanche et l’ai embrassée sur la joue.

OK, il va falloir que vous me racontiez tout ! a-t-elle dit.

Et Noémie, assise sur mes genoux, lui a tout raconté. Notre soirée, le porno, la punition, la matinée qu’on avait passée ensemble, les gorges profondes et le pipi dans le jardin.

Pourquoi vous m’avez invitée ? a ensuite demandé Nadia. Si c’est juste pour m’exciter et me donner envie, c’est déjà réussi !

J’ai rigolé, puis dans un premier temps, ai proposé un rafraichissement. Une petite claque sur la cuisse de Noémie pour lui demander d’aller nous préparer des boissons, et je me suis retrouvé seul sur le canapé avec Nadia.

Je ne sais pas ce que tu penses de tout ça, ai-je dit. Si jamais ça te dérange, on ne t’imposera rien. Si jamais ça te va, par contre, tu es la bienvenue pour en profiter comme bon te semble.

Non non, ça me va très bien, a-t-elle répondu. Je sais bien que c’est son truc, à Noémie. Moi, c’est pas forcément mon kiff ultime, mais ça m’amuse. Alors ouais, pourquoi pas en profiter, hein…

Pourquoi pas, en effet. On a jusqu’au coucher du soleil. D’ici là, tâche de t’éclater comme bon te semble alors.

Noémie est revenue l’instant d’après avec un plateau sur lequel se trouvaient trois verres et une grande bouteille de citronnade bien fraiche. Après qu’elle nous ait servis et posé le plateau, Nadia a pris la main de son amie, l’invitant à venir s’asseoir à côté d’elle.

Tu sais, a-t-elle dit en posant sa main sur sa cuisse, ton prince charmant, là, m’a proposé de participer à votre petit jeu…

Noémie m’a jeté un regard, un mélange de surprise et d’excitation.

Il m’a dit que je pouvais jouer avec toi si je voulais, a continué Nadia.

Ma chérie, a répondu Noémie, tu sais que tu joues avec moi quand tu veux.

Oui, mais là, je vais être une vraie garce, et je vais te faire hurler.

La main de Nadia était remontée sur le ventre de Noémie, puis avait agrippé l’un de ses seins violemment, et le serrait de toutes ses forces. Nadia s’est ensuite tournée vers moi et m’a souri.

J’adore déjà ce jeu, m’a-t-elle dit.

Je lui ai alors dit de continuer, et elle a lâché le sein de Noémie pour attraper sa laisse. Elle a forcé son amie à venir s’agenouiller devant elle, et sans lâcher la laisse, a continué à torturer sa poitrine. Ses ongles s’enfonçaient dans la chair, elle tirait sur ses tétons, les tordait, puis les giflait. Puis elle s’est penchée vers elle, le visage à quelques centimètres de celui de Noémie.

Tu sais que je t’aime, ma chérie, a-t-elle dit.

Oui…

Alors elle l’a embrassée, chastement, un tendre baiser sur les lèvres, suivi de deux claques rapides sur ses joues. Moi-même, j’ai été surpris, mais Noémie l’a été encore plus. Elle a ouvert la bouche, la joue rouge, les yeux embués, prête à pleurer, mais Nadia est venue la réconforter en l’embrassant à nouveau, plongeant cette fois sa langue dans sa bouche. J’ai ensuite vu sa main partir entre ses jambes, et elle s’est mise à la caresser, puis la doigter, et Noémie s’est mise à gémir. Et quand elle s’est mise à trop gémir, Nadia a retiré ses doigts, et envoyé trois claques sèches sur la fente de sa copine. Bon sang, elle était encore plus perverse que je ne l’imaginais !

Tu n’aurais pas de quoi l’attacher ? m’a demandé Nadia.

Je me suis levé du canapé après avoir remis mon érection en place, et suis descendu à la cave. J’y ai trouvé un paquet de sangles emmêlées, que j’ai démêlées en remontant les escaliers.

A l’étage, Nadia avait fait s’asseoir Noémie dans un grand fauteuil en velours vert, que j’avais toujours vu dans l’ancien appartement de mes grands-parents avant que mes parents ne le récupèrent. En me voyant, Nadia m’a dit l’avoir installée pour que ce soit plus facile de l’attacher efficacement. On s’y est mis à deux. Les jambes de Noémie étaient ouvertes en grand, pendantes au-dessus des accoudoirs du fauteuil. Deux sangles sont venues attacher ses poignets à chaque accoudoir, puis deux autres ont fait de même avec ses cuisses. Deux autres ont attaché ses chevilles aux pieds du fauteuil. Une dernière, la plus grande que j’ai pu trouver, faisait le tour de son buste et du siège, l’empêchant complètement de bouger, et écrasant sa poitrine au passage.

Un pas en arrière, et nous pouvions admirer notre uvre. Noémie était totalement ouverte, totalement à notre merci, et tellement belle.

C’est beau à voir, ai-je dit à Nadia en souriant.

Oui… Passons aux choses sérieuses.

Et sans attendre plus, la petite brune s’est laissée glisser à mes pieds, et a plongé sa main dans mon short pour en sortir mon sexe.

Regarde-moi bien, a-t-elle dit à Noémie, regarde-moi bien pendant que je suce ton mec.

Nadia ne bluffait pas quand elle disait à sa pote qu’elle allait être garce. J’avais rarement vu une garce pareille. Mais la garce en question venait d’avaler mon sexe, alors comment lui en vouloir. Et elle prenait garde à faire ça du mieux qu’elle pouvait, enfonçant mon membre le plus loin possible dans sa gorge, se retirant uniquement pour aller lécher mes couilles. Et elle revenait, m’avalait, plantait mon sexe au fond de sa gorge, exagérant les bruits de déglutition, comme une vraie pro du porno, et elle fixait Noémie avec un air sadique.

Je mentirais si je disais que je ne prenais pas mon pied à regarder Nadia me sucer comme elle le faisait, mais moi aussi je fixais Noémie. J’étais un peu gêné par la situation. J’avais l’impression que Nadia profitait de moi pour humilier sa copine. Même si Noémie devait très sûrement adorer ça, ça me gênait, et je me suis juré intérieurement qu’une fois que tout ça sera terminé, je me ferais pardonner auprès de ma belle.

Nadia n’en avait cependant pas fini avec moi, et lorsqu’elle m’a dit de m’asseoir sur le canapé, face à Noémie, je lui ai obéi. Puis elle s’est assise sur mes genoux, face à sa copine également, et a ouvert outrageusement ses jambes. La robe qu’elle portait est remontée sur ses hanches. Nadia a pris ma main et l’a posée entre ses cuisses. J’ai pu sentir sous mes doigts le tissu humide de son sous-vêtement.

Touche-moi, s’il te plaît, m’a-t-elle dit dans un soupir.

Je ne me suis pas fait prier et ai baladé mes doigts sur sa culotte. Je la sentais s’inonder un peu plus à chaque mouvement de ma main. Je poussais le tissu entre ses lèvres, appuyais sur son clitoris, et Nadia gémissait, complètement trempée. Au moment où j’ai voulu écarter le tissu pour aller toucher son sexe en feu, elle a attrapé mon poignet pour m’arrêter, et s’est levée. Je l’ai vue lentement faire glisser sa culotte le long de ses jambes et la ramasser, puis s’avancer, toujours aussi lentement, vers Noémie.

Ouvre la bouche, lui a-t-elle dit.

Noémie s’est exécutée sans dire un mot, et Nadia a fourré son sous-vêtement trempé dans la bouche de sa copine. Je l’ai ensuite vue glisser sa main entre les cuisses de ma belle, la toucher, glisser deux doigts en elle. Noémie était trempée, et avait fait une belle tache sur le fauteuil en velours. Je me suis surpris à me demander comment on nettoyait du velours.

Maintenant, tu vas me regarder me faire enculer par ton mec, a dit Nadia en continuant de doigter Noémie.

Puis elle a sorti ses doigts trempés, les a glissés entre ses fesses pour lubrifier légèrement son anus, et est revenue vers moi en me disant de prendre une capote dans son sac, posé sur le canapé. Je me suis protégé, et Nadia est revenue s’asseoir sur moi, toujours face à notre esclave du jour. Les jambes bien écartées pour que Noémie voit tout, elle a saisi mon sexe d’une main, et s’est assise dessus, en grognant, et jusqu’à s’écraser contre mes testicules.

Oh putain, a dit Nadia, c’est tellement bon, si tu savais…

Elle a alors commencé à onduler sur mon membre, à grimper dessus, lentement, puis de plus en plus vite. J’ai finalement décidé de reprendre le contrôle, et après avoir posé une main sur sa hanche et l’autre sur son sexe, j’ai commencé à lui imposer des coups de reins de plus en plus violents, tout en branlant son clitoris. Les grognements de Nadia étaient devenus des cris, et j’ai remercié mes parents d’avoir choisi une maison plutôt qu’un appartement, sans quoi nous aurions déjà plusieurs plaintes de voisins.

L’action de mes doigts sur son bouton, combinée à cette situation extrêmement excitante, a mené Nadia à l’orgasme à une vitesse folle. Elle a explosé en quelques minutes seulement, et s’est mise à crier de plus belle. Je la sentais couler contre mes doigts comme un torrent. Puis j’ai lâché son sexe, maintenant fermement ses hanches des deux mains, et j’ai redoublé l’intensité de mes coups de reins dans son cul. Encore sous le coup de l’orgasme, Nadia continuait de crier. Je l’ai ainsi sodomisée, sauvagement, jusqu’à ce que je sente, moi aussi, l’orgasme arriver.

Je me suis retiré au dernier moment, balançant Nadia sur le canapé, et je me suis levé en vitesse. J’ai retiré la capote tout en m’approchant de Noémie et j’ai joui sur elle. Bruyamment, tout en puissance. Les giclées de sperme zébraient son corps. Les premières avaient atteint son visage, les autres coulaient sur ses seins, son ventre, son sexe. C’était une éjaculation pour le moins abondante. La culotte qui déformait sa bouche l’empêchait de sourire, mais pouvait le lire dans son regard. La situation était humiliante, mais elle adorait ça, et la tâche sur le velours s’était élargie encore un peu.

Nadia, ai-je dit, tu ne crois pas que la petite chienne mérite une récompense ?

Peut-être, a-t-elle répondu en me rejoignant.

Je crois qu’elle a besoin de sa meilleure amie. Non ?

Nadia m’avait compris, et s’est agenouillée entre les cuisses de Noémie. J’ai souri à celle-ci, lui envoyant un petit clin d’il, puis je l’ai entendue gémir doucement quand Nadia a commencé à s’activer. Je suis passé derrière le fauteuil, visualisant ainsi toute la scène, et j’ai commencé par retirer la sangle qui emprisonnait les seins de Noémie, lui laissant une jolie marque rouge. J’ai joué un moment avec sa poitrine, la griffant, la pinçant, la giflant. Et Noémie grognait de plus en plus à travers son bâillon improvisé, gesticulant comme elle pouvait sur son siège.

Ma main est ensuite descendue dans les cheveux de Nadia, et j’ai écrasé son visage entre les cuisses de Noémie. Je ne sais pas trop pourquoi, mais j’avais besoin de montrer que j’étais celui qui était aux commandes, que si j’acceptais que Nadia joue avec ma chienne du jour, je n’en étais pas moins le seul Maître. En y réfléchissant, je me rendais bien compte que ma réaction était un brin puérile. « Non c’est MA chienne. » Gamineries. Mais la bouche de Nadia ainsi écrasée contre le sexe de sa copine a fait son effet, et j’ai vu Noémie tourner la tête vers moi, et me supplier du regard.

Vas-y, ai-je dit, jouis.

J’ai lâché Nadia, et ai posé ma main sur la gorge de Noémie. Celle-ci s’est mise à jouir, bruyamment malgré la culotte dans sa bouche, son corps était parcouru de spasmes, et elle s’est mise à trembler de tout son être, bien que retenue au fauteuil par les sangles. Nadia s’est reculée une minute plus tard, montrant son visage maculé de mouille sur lequel elle arborait un large sourire.

Je vois que ça a plus à tout le monde, ai-je dit en riant.

J’ai enlevé la culotte de la bouche de Noémie, et me suis servi de ce bout de tissu souillé pour essuyer le sperme de son visage et de son corps, et la transpiration qui perlait sur son visage.

Hé ! a fait Nadia. C’est ma culotte, pas un torchon !

Tu comptais la remettre ?

Ma remarque l’a fait sourire, et elle a haussé les épaules, l’air de dire « Pourquoi pas ». J’ai ensuite détaché Noémie, qui, complètement ramollie par l’expérience, se laissait manipuler comme une poupée de chiffon. Nadia s’est relevée pour embrasser son amie, langoureusement, sensuellement.

Ça va ma chérie ? lui a-t-elle demandé. Tu ne m’en veux pas ?

Bien sûr que non ! Quel pied, bordel !

Et elles se sont embrassées à nouveau. Dehors, le soleil venait de faire son retour.

Les filles, vous voulez vous baigner ?

Merde, avec ce temps, j’ai pas pensé à prendre mon maillot, a dit Nadia.

Qui a besoin de maillot ? ai-je répondu avec un sourire.

J’ai alors ouvert la baie vitrée et suis allé dans le jardin, entièrement nu.

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