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Quel cul ! – Chapitre 6




Nous avions aimé cette promenade en forêt et nous décidâmes dy retourner. Nous arrivions en début daprès midi vers 14h. Il y avait toujours quelques voitures garées sur le parking qui longeait la forêt côté route. Nous partions à pied dans le grand chemin central et au bout dun moment nous nous apercevions que nous étions suivis. Si la personne nous paraissait « intéressante », nous quittions ce chemin pour en prendre un plus petit qui nous amenait vers des lieux plus discrets. Généralement nous nous arrêtions, nous commencions à nous embrasser et pendant ce temps là le voyeur approchait, en se cachant plus ou moins. Nous faisions ceux qui ignoraient sa présence. Petit à petit je remontais la jupe pour caresser les fesses, je baissais la culotte pour glisser ma main dans sa fente, le tout sous le regard du regardeur. Celui-ci ne restait généralement pas de marbre et un moment ou à un autre il sortait de derrière son arbre et approchait, encouragé aussi par mes signes discrets. A ce moment là je retournais Louise vers lui et lui montrait ses seins et sa chatte velue. Parfois lexhib se limitait à cela, sans toucher, mais parfois quand lhomme lui plaisait, elle le laissait caresser et elle le masturbait. Nous y fîmes de belles rencontres « intéressantes ». Elles se terminaient généralement dans le chemin ou nous avait emmené Fred.

Parfois personne dintéressant à la forêt. Alors nous partions seuls dans le chemin : il y avait aussi des « promeneurs » de temps à autre.

Il était très discret ce sentier. Eloigné de la route nous ne pouvions être vus et nous avions largement le temps de nous rhabiller si quelquun dindésirable venait jusquà nous. Un jour que nous nous y trouvions nous vîmes arriver une voiture avec deux personnes à bord. Elle sarrêta assez loin de nous, les deux occupants descendirent et partirent à pied dans le champ voisin. Nous crûmes que cétait des agriculteurs qui visitaient leurs cultures. Louise était pratiquement dévêtue, la jupe enroulée autour de la taille, le chemisier quelle avait remis lorsquelle avait aperçu la voiture grand ouvert sur ses seins généreux. Jétais moi-même le pantalon baissé, une jambe enlevée pour plus de facilités. Et soudain ils débouchèrent à une vingtaine de mètres. En deux temps trois mouvements ils étaient près de la voiture. Juste le temps de bloquer les portières et de remonter les vitres ! Louise se cacha comme elle put et moi de même. Ils nous saluèrent gentiment, en sexcusant de nous avoir fait peur. Cétaient deux frères de 30/35 ans qui fréquentaient souvent cet endroit, nous dirent-ils, à cause des couples qui sy rendaient. Certains de ces couples les laissaient regarder et parfois plus. Louise nétait pas ravie, plutôt inquiète. Ils lui demandèrent si elle voulait bien leur montrer son minou et que déjà la vue de ses seins, qui étaient sortis du chemisier, était un spectacle.

Javis conduis la voiture et la vitre côté chauffeur était un peu entrouverte maintenant. Je proposai à Louise de leur montrer comment elle suçait mais rien de plus.

« Daccord dit-elle, mais un à la fois », car la présence des deux en même temps ne la rassurait pas. Un des deux frères séloigna dune cinquantaine de mètres et alluma une cigarette. Lautre se plaça près de la vitre pour regarder Louise engloutir ma queue. Jen profitais pour la caresser, lui peloter les seins, découvrir ses fesses et écarter ses cuisses. Ce que voyant notre visiteur fit le tour de la voiture et vint se placer côté droit pour mieux jouir du spectacle que je lui offrais. Au bout dun certain temps, je dis à Louise quil faisait chaud dans la voiture et que nous devrions ouvrir la portière. Elle dit oui. Je fis signe à notre curieux et il ouvrit. Aussitôt ses mains se baladèrent sur ce corps offert qui ne lui résistait pas. Il la fit tourner légèrement sur le côté, saccroupit près de la voiture, lui écarta les cuisses, la tira un peu vers le bord du siège et entreprit de lui lécher labricot. Il la pelotait en même temps et visiblement cela ne déplaisait pas à ma petite salope. Elle éprouva rapidement du plaisir et soudain se dégagea. Lhomme se releva et partit vers lendroit ou se trouvait son frère, qui le voyant venir vers lui, se dirigea vers nous. Il avait vu son frangin accroupi et se douta de ce quil avait fait. Arrivé près de la voiture, il saccroupit lui aussi, releva la jambe droite de Louise quil glissa sur son épaule et entrepris un cunni. La chatte de Louise était trempée, pleine de cyprine (jy avais glissé un doigt pendant le temps de léchange de partenaire) et il devait se régaler. Louise aussi, qui balançait son bassin vers cette bouche avide.

Au bout dun moment je dis à Louise que je voulais la prendre. Je dis à lhomme toujours accroupi que jallais la baiser et que son frère pouvait venir aussi.

Je me glissai sur le siège de droite, Louise se poussant au fond du siège pour me laisser minstaller. Louise vint sempaler sur ma bite durcie. Je la laissai profiter de la pénétration en restant immobile. Les deux vicieux sétaient rapprochés, (lun deux était même monté place conducteur), et avaient sortis leurs queues. Celui de droite essayait de glisser sa bite dans la bouche de Louise qui ne voulait pas le sucer. Finalement je commençais à soulever et à descendre ma chérie sur ma bite tendue. Elle accompagnait mes mouvements faisant tressauter ses seins que des mains habiles trituraient. Elle se laissait faire et elle prit une queue dans chaque main et les masturba, faisant jaillir des jets de foutre sur elle. Je la limais comme je pouvais et bientôt lexcitation à son comble, je libérai moi aussi mon jus.

Quelques mouchoirs en papier plus tard, nettoyés, réajustés, nous avons discuté, accoudés à la voiture pendant de longues minutes en fumant une cigarette. Ils nous quittèrent en nous remerciant et nous rentrâmes dans notre ville.

A suivre

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