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LUCE – Chapitre 1




Avec Luce, la femme de lami de mon mari, nous allons dans un cabaret spectacle un peu au hasard. Nos époux nous ont donné « lautorisation » de sortir sans eux, occupés quils étaient dans la préparation dune sortie sportive. Nous sommes dabord étonnées de lorientation du spectacle. Nous aurions dû nous en douter : nous étions dans une boîte lesbienne. Bien sûr, les effeuillages sont toujours bien réussis pour celles qui aiment ça. Petit à petit, nous y prenons goût, trop sans doute, puisque jai envie de me branler. Je ne demande rien à personne ; entre deux gorgées de champagne, ma main va se nicher entre mes jambes, sous ma robe évasée. Luce, seule peut me voir. Je jette un coup dil sur elle : je vois quelle aussi se masturbe lentement. Nous arrivons à jouir, sans en parler, si ce nest en partant dans le taxi.

Cest de ma faute ; jai encore envie. Cette fois, sans me cacher ; je remonte ma robe, passe ma main dans mon string, le descends un peu pour recommencer. Je vais jusquau bout ; juste au moment de jouir, je pousse un petit cri. Je regarde Luce qui fait comme moi. Je crois même que le chauffeur nous regarde, ce qui augmente notre désir. Cest à ce moment que nous décidons de poursuivre notre masturbation le lendemain après 14 heures, chez moi.

Je nen parle pas du tout à mon mari ; jai envie de faire lamour avec Luc : ça ne le regarde pas. Dès le lendemain, je me réveille en pensant que je vais passer un excellant après-midi. Il me tarde quelle vienne. Ouf mon mari part au travail quand elle arrive.

Nous nous embrassons sur la joue ; quand le baiser dérape, nos lèvres se collent. Sa bouche est merveilleusement douce. Sa salive plaît à ma langue.

Chacune déshabille lautre. Nous sommes en petite tenue : un simple string qui montre plus quil ne cache. À part ça nous montrons nos corps, sauf le principal. Nos seins viennent vite sur ceux de lautre. Nouvelle sensation de sentir la douceur dun sein contre le mien.

Je mouille, me dit Luce.

Moi aussi.

Si tu veux, on pourrait samuser entièrement.

Sans attendre, je sens une main baladeuse qui passe sur mes fesses, sous le string que je suis obligée denlever. Je suis ainsi la première totalement nue. Elle caresse mes fesses ; comment sait-elle que jaime ce genre de caresse ? Je la laisse faire quand elle passe deux doigts dans la raie. Ce nest pas à proprement parler sexuel ; ça sen rapproche, surtout quand elle vient poser son doigt sur lanus. Jécarte bien les fesses pour quelle entre. Je ne demande rien, sinon quelle entre profondément le doigt. Elle doit lire dans mes pensées quand lentement, comme si elle menculait pour la première fois, son doigt entre en entier avant daller et venir.

Je ne peux retenir ma main qui trouve sa chatte. Je suis sûre dy être bien reçue ; après tout, cest bien pour ça quelle est là ! Elle écarte les jambes ; je trouve vite son bouton. Pour la première fois, mes doigts sont sur un clitoris qui mest totalement étranger. Mon majeur caresse le bouton qui bande. À son tour, elle est nue.

Nous allons dans la chambre pour nous « amuser ». Ce genre de jeu que font les femmes entre elles. Si nous sommes assises au bord du lit, nous avons les jambes bien écartées. Nos mains sont vite sur le con de lautre. Je garderai longtemps en mémoire la douceur de son sexe. Mes doigts glissent dessus sans problème, sinon les gémissements que je provoque.

Nous jouissons sans honte, au contraire. Mais deux femmes ne peuvent se contenter de masturbation. Cest Luce qui me demande de faire un 69. Jaurais pu y penser plus tôt ; elle est chez moi. Layant proposé, elle me couche sur le dos, comme si jétais mon mari. Sa bouche est rapidement sur ma chatte. Je sens sa langue qui lèche lentement. Elle menjambe pour me donner sa choupinette. Je sais tout des détails dun sexe féminin ; il y a une foule de choses dont je ne soupçonnais même pas lexistence. Je suis frappée par lodeur de femme en chaleur qui émane de son abricot. Je ne parle pas du goût, qui est comme le mien.

Plus rien nexiste maintenant. Nous donnons du plaisir à lautre, simplement pour le plaisir, justement. Nous devons jouir quatre ou cinq fois daffilée, plus quavec nos hommes. Nous en avons toujours envie. Elle se tourne pour que je sois dessus. Je suis sa maîtresse ; je lui mets deux doigts dans le cul. Je me régale de voir mes doigts entrer et sortir de son anus. Elle se venge en me faisant pareil.

Je décide aussi de la doigter avec deux doigts de lautre main. Elle gémit :

Oui, continue, baise-moi comme ça Je vais encore jouir !

Fais-moi aussi pareil.

Jai un gode dans le sac.

Jen ai aussi dans la table de nuit.

Nous cessons ce que nous faisons, et munies des godes nous changeons de façon. Cette fois, nous nous baisons normalement, sauf que cest une main de femme qui soccupe du con de lautre. Je ne sais pas pour moi, en tout cas elle sait bien me baiser, presque mieux que mon mari. Elle le surpasse en menculant. Entre la bite au cul et sa langue sur le con, je suis comblée.

Lheure a tourné ; nous cessons pour que mon mari ne nous surprenne pas. Nous devons nous revoir demain si tout va bien. Jai envie dessayer un fist, comme elle.

Même si son mari de me déplaît pas, je lui demande de ne pas lui en parler. Par contre, à la prochaine réunion des deux couples, elle va faire le nécessaire pour se faire baiser par mon mari, à condition que je baise le sien : promis.

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