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Rencontre insolite sur le port. – Chapitre 1




Sébastien (Vous savez ? Le stagiaire de mon travail) est parti à Toulouse pour continuer ses stages et son école d’aides-soignants. Cela fait environ trois semaines que nous nous échangeons quelques SMS, mais ils se font de plus en plus rares.

Je profite d’avoir une semaine de vacances pour aller passer deux ou trois jours à Port Leucate, près de Perpignan, avec une amie que je connais de longue date. Il nous arrive fréquemment d’y aller toutes les deux en célibataires pour nous ressourcer. Puis le calme d’un port est très ressourçant. Mon amie s’appelle Dorothée, elle a 30 ans, mariée, un enfant. Elle est jolie femme, 1 mètre 70, bien balancée avec une poitrine généreuse, un fessier qui ne doit pas laisser les hommes indifférents. Elle est châtain clair, de jolis yeux noisette. Elle est le contraire de moi, fidèle à son mari. Enfin, je le pense, après tout elle ne me dit peut-être pas. Elle n’est pas au courant de mes infidélités.

Mon mari et moi avons la chance de pouvoir être les heureux propriétaires d’un voilier, amarré à l’année dans le centre du port. Mon mari aime la mer et la voile, je ne suis que le moussaillon qui apprécie uniquement les sorties en mer avec de la chaleur et du soleil, ou rester à quai pour se reposer.

Pour aller au port, nous avons à peine cinq heures de route. Nous sommes arrivées à Port Leucate le lundi après-midi. Le temps d’ouvrir le bateau, d’y installer nos affaires, de prendre une douche, la soirée est rapidement arrivée.

Le soir nous partons toutes les deux dans un petit restaurant du port qui est très sympa, et le serveur nous connaît à force de nous voir. Notre repas achevé, nous décidons de rentrer. Nous avons environ 10 minutes de marche pour rejoindre le bateau.

En ce lundi soir, le temps est clément, vers 22h00, je propose à Dorothée d’aller faire une balade sur le port. Mais elle préfère rester à bord pour poursuivre la lecture de son livre au calme. Je pense qu’en plus de la fatigue de la route, elle a peut-être un petit peu peur d’être agressée. Pourtant, nous sommes en novembre, en cette période, il n’y a pratiquement personne sur le port.

Je reprends donc ma veste et lui dis que je vais aller marcher un peu. J’adore me balader le long des quais et regarder tous les bateaux alignés. Le bruit des cordes contre les mâts, l’eau qui tape légèrement contre les coques, la tranquillité absolue, le vent siffler au loin…

Je descends du voilier, et pars tranquillement sur le port.

Je marche et regarde davantage les voiliers que les bateaux à moteur qui ont beaucoup moins de charme à mon goût. Il fait frais, la nuit est tombée, je marche et j’aime ça.

Un Monsieur me croise avec son chien, me regarde, me sourit.

— Bonsoir Madame.

— Bonsoir Monsieur

Il a l’air étonné de voir une femme seule se promener sur le port. Surtout à la nuit tombée.

Je passe devant un banc, m’y assois pour fumer une cigarette et écouter le vent ? Je revois cet homme avec son chien passer.

Il se dirige vers moi, tranquillement. Je n’ai pas peur, je vois qu’il est gentil, je lui donne la soixantaine. Puis je sais me défendre grâce à mon mari qui pratique plusieurs sports de combat pour sa profession et m’apprends des techniques de self-défense.

Il s’approche de moi.

— Je peux vous tenir compagnie quelques instants ?

— Oui, avec plaisir

— Il ne fait pas froid ce soir, le vent est tombé, c’est agréable de se promener sur le port.

— Oui, c’est agréable, puis ce calme ! Que du bonheur !

— Je ne vous ai jamais vu sur le port. Je promène mon chien tous les soirs ici pourtant.

— Je ne suis pas du coin. Mon mari et moi avons un bateau ici, et nous venons suivant nos emplois du temps. Je viens de temps en temps avec une amie. On se ressource sans homme.

— Votre amie n’est pas avec vous ?

— Si, elle est venue avec moi, mais elle préfère rester à bord ce soir, au chaud à lire.

— Elle n’aime pas l’ambiance d’un port ?

— Oh si qu’elle aime ça. Nous sommes arrivées dans l’après-midi, et la première journée elle est toujours fatiguée. Je pense que c’est l’air iodé qui la fatigue. Après ça va mieux.

— Vous avez raison. Cela fait du bien d’être sans son homme. Puis peut-être que ça permet de faire des choses que vous ne pouvez pas faire en compagnie de votre mari. N’est-ce pas ?

— Heu… Pourquoi vous dites ça ? Vous croyez que je saute sur tout ce qui bouge parce que mon homme n’est pas avec moi ?

— Non, pas du tout. Je demande juste.

— Et vous, vous sautez sur la moindre occasion quand vous n’êtes pas avec votre femme ?

— Oh, vous savez, à mon âge, les femmes ne s’intéressent plus à moi.

— Quel âge avez-vous ?

— J’ai 65 ans. Et vous ?

— 28 ans

— Une jolie femme comme vous de cet âge, je comprends qu’elle s’intéresse aux jeunes et beaux garçons.

Je ne sais pas pourquoi, mais à cet instant, une envie de faire une petite bêtise me traverse l’esprit, celle de me faire caresser les seins. Est-ce le fait que je sois seule avec un homme dans un endroit propice aux coquineries ? Ou bien, au fond de moi, le manque de l’absence de Sébastien ? Je ne le sais pas, mais quoi qu’il en soit, un fort désir de me faire caresser les seins s’est emparé de moi. Je rallume une cigarette, et, je me tourne vers lui.

— Et si vous me caressiez les seins, ça vous ferait plaisir ?

— Vous plaisantez là ? ? ?

— Non. Pourquoi pas, je prends beaucoup de plaisir quand on me caresse la poitrine.

Sans attendre plus longtemps, je sens ses mains me toucher les seins au travers la veste et mon petit pull léger.

Je me laisse faire, en fumant ma cigarette et en regardant autour s’il y avait des gens. Mais non, rien. Personne.

De lui-même, il a laissé glisser une main sous mon pull et s’est mis à me caresser les seins au travers le soutien-gorge.

— C’est dommage que tu aies un soutien-gorge. "

— Il est facile de retirer un soutien-gorge même s’il y a un pull. Vous voulez que je le retire ?

— Oui, s’il te plaît. C’est mieux sans soutien-gorge. Puis tu auras plus de sensations.

Je me redresse, fais glisser une bretelle, puis l’autre, que j’ai fait passer jusqu’au niveau du coude, et hop ! Le soutien-gorge est parti du dessous du pull.

Aussitôt retiré, je le pose sur le banc, et ses mains s’activent de nouveau sur mes seins. J’avoue que c’est plus agréable pour lui aussi bien que pour moi. Il me pince doucement les tétons que j’en ai des frissons.

— Tu as une grosse poitrine, elle est très agréable à caresser.

— C’est aussi agréable pour moi de sentir vos caresses.

— Ça t’arrive souvent de faire faire peloter les nibards par un inconnu ?

— Honnêtement, non.

— Et pourquoi ce soir ?

— Parce que j’en ai envie tout simplement et que j’ai l’occasion de me faire peloter par un vieux pervers qui ne demande que ça.

Sans répondre, il dépose des baisers dans mon cou. Je le laisse faire car j’apprécie ses baisers fort agréables et peu à peu, il se dirige vers ma joue.

— Tu as une bonne paire de seins. Ils sont doux. J’aime les pétrir.

— J’avoue que je prends du plaisir. Vous le faites bien. Très bien. Ça aurait été dommage de ne pas en profiter. Non ?

— Ah oui ! J’ai bien fait de t’aborder ! Ce n’est pas tous les jours qu’une femme me propose de lui malaxer les seins au bout de quelques minutes de conversation !

— Vous m’avez cherché aussi

— Je n’ai pas eu grand mal à te trouver.

— Oui, vous êtes arrivé peut-être au bon moment.

Il tente de m’embrasser sur les lèvres, mais je refuse en prétextant que mes lèvres sont réservées à mon mari. (Chose fausse, car avec Sébastien, on s’embrassait sur la bouche,)

Il insiste, et, comme j’aime être embrassée, et qu’il est à l’air d’être doux, je décide de le laisser faire.

— D’accord, mais pas avec la langue.

— Promis.

Sans attendre plus longtemps, il m’embrasse sur les lèvres en déposant plusieurs baisers sur celles-ci, sans y mettre la langue.

A force de me pétrir les seins aussi bien, il arrive à m’exciter ! Puis me voir sur un banc sur un port désert à me faire peloter m’excite beaucoup. (Je me dis à cet instant précis que si ma copine me découvre dans cette posture, soit elle m’en veut beaucoup, ou bien elle fait un scandale, ou tout simplement, (chose que qui ne me déplairait pas), qu’elle s’assoit à côté de moi de façon à ce que je me retrouve entre eux deux, et qu’elle me pelote les seins avec cet homme.)

A force de sentir ses mains sur mes seins et de m’embrasser sur les lèvres, je ne peux pas rester insensible. Je sens une douce chaleur envahir mon entrejambe. Je pose ma main droite (Il est à ma droite), entre ses jambes pour voir s’il bande. J’ai la bonne surprise de sentir sous ma main une bosse dure !)

En sentant ma main sur sa bosse, il écarte un peu plus les jambes.

— Mais tu es une coquine toi ! Tu m’excites trop fort ! Tu veux lui faire quoi ?

— Tu as une idée ce que je peux lui faire ?

— Sûrement que j’ai une idée ! Attends, je vais la sortir, et tu vas voir ce que tu vas lui faire !

A peine dit ça, il lâche mes seins, sort sa queue, prend ma main pour la poser dessus.

— Vas-y, branle-moi.

— Vos ordres sont mes désirs (dun air ironique)

— Très bien, alors fais ta branleuse de garce

J’inflige de lents va-et-vient à ce sexe inconnu, qui, sans être d’un très gros gabarit, emplit bien la paume de ma main.

— Tu es une bonne branleuse. J’adore !

Je comprends bien que le fait de me peloter les seins et de se faire branler ne lui suffit plus. Mais moi, ça me suffit, je trouve cette situation très agréable et je ne souhaite pas aller plus loin que ce que je fais.

J’entends un bruit à quelques mètres de nous. J’ai un sursaut en même temps que lui. Son chien est devant nous, donc pas ce n’est pas lui. Un chat peut-être ? Un chien errant ? Un promeneur ? Bref, il range son sexe. Moi c’est simple, je baisse juste mon pull et réajuste ma veste.

Il doit être environ 23H00.

Je m’imagine des choses. Quelqu’un est en train de nous mater ? ? ? Si tel est le cas, il peut s’approcher, Je me sens tout à fait capable de le branler lui aussi. Après tout, j’ai deux mains. Donc une qui ne sert pas.

— Ce n’est rien. Je pense que c’est un chien ou un chat errant. En tous les cas, il n’y a personne, on l’apercevrait, il ne fait pas si noir que ça. Ce n’est rien.

Il recommence à me toucher.

Mais je ne suis pas bien rassurée, en plus il y a un lampadaire pas loin du banc où nous sommes qui éclaire quand même un peu, il est facile d’être vu.

— Arrête un peu. Je ne suis pas tranquille à cause de ce bruit. Et si c’est un promeneur hein ? Ou pire, ma copine qui a décidé de me faire la surprise de me retrouver ? Je ne pense pas que ce soit-elle, mais on ne sait jamais.

— Tu ne vas pas quand même me laisser dans ces états ? Hein ? Tu vas finir ta branlette. J’ai un mouchoir dans la poche.

— Je n’ai pas dit que je vais te laisser comme ça, je te demande juste d’attendre un peu pour être sûr qu’il n’y a personne.

— Mais ne t’inquiète pas. Tu as vu l’heure ? Tu connais le port, à cette heure-ci, il n’y a vraiment personne ici. Je m’y promène pratiquement tous les soirs ! Je te le dis, il n’y a personne.

Je réfléchis à ce que je peux faire, car, oui, comme de fait, je ne veux pas partir sans le finir, ça ne fait pas partie de moi. Mais je ne veux pas le finir sur ce banc éclairé par ce lampadaire à lumière jaune.

— Ecoute, je ne vais pas tarder à rentrer, sinon ma copine va se faire des films, alors je te propose qu’on aille un peu plus loin là-bas où c’est sombre, et je te branle avant de m’en aller. D’accord ?

— Voilà une bonne idée. D’accord. Tu es un amour. Un peu plus loin, il y a un endroit sombre, contre un mur d’une petite maison. Mais la maison n’est pas habitée à cette période. Tu veux bien le faire là-bas ?

— Oui, je préfère. Ici je ne suis pas rassurée.

Nous nous levons, marchons environ 300 mètres, et là ! Un endroit sombre ! Je préfère et cela me rassure. A peine arrivés, il ressort son sexe, devenu mou à cause de ce petit incident de bruit. Je me mets face à lui et je commence à le branler doucement pour qu’il reprenne de la vigueur. Il remet ses mains sur mes seins, mais cette fois-ci, j’ai ses deux mains qui me malaxent la poitrine puisqu’il est mieux positionné que tout à l’heure sur le banc, il est en face de moi debout. Il m’embrasse en même temps dans le cou et sur les lèvres.

Je sens sa queue redevenir raide, j’accélère mon mouvement, je la tiens bien, elle remplit bien ma main.

— Ton sexe est propre ? "

— Heu. Oui, jai pris ma douche avant de partir avec mon chien, comme tous les soirs. Pourquoi cette question ? Oui, elle est propre

— La main c’est bien, mais la bouche… C’est mieux non ?

— Je ne demande pas mieux ! Fais attention quand même, je suis très excité là !

— Tu veux voir si je suis une bonne suceuse ? Je te parie que tu ne vas pas résister longtemps à ma bouche.

— Ça t’arrive souvent de faire ce genre de chose ?

— Ça m’arrive des fois.

— J’ai bien fait de revenir vers toi ! C’est tellement rare que je rencontre des gens ici à cette période. Mais toi ! Alors ! Je ne suis pas près de t’oublier !

— Tu m’as dit que tu avais un mouchoir…

— Oui, dans ma poche.

— Alors tu sais quoi ? Je vais te faire une gâterie, et te faire jouir sur mes seins. Ensuite, tu m’essuies. D’accord ?

— Oh oui, et bien, tu n’as pas froid aux yeux toi !

Je m’accroupis, et du bout de ma langue je fais le tour de son gland, en entourant peu à peu son gland entre mes lèvres toujours en faisant tourner ma langue autour de son gland, et lentement j’enfonce sa queue dans ma bouche.

Je lui fais quelques douceurs avec ma langue et mes lèvres, ensuite je me mets à faire des va-et-vient avec une main qui branle sa queue au rythme de ma bouche, et l’autre main caressant ses testicules en même temps.

— Tu aimes ma façon de faire ?

— Oh oui, continus comme ça, ne change rien ! Ça se voit que tu n’en es pas à ta première bite toi ! Tu suces souvent dans ce genre de situation ?

— Je t’ai l’est dit, ça m’arrive de temps en temps.

— On n’en rencontre pas assez des petites salopes de ton genre quand même.

— J’aime sucer. Tu veux que je continue un peu ou tu veux jouir ?

— Non vas-y, fais-moi jouir s’il te plaît ? J’ai envie d’exploser sur tes gros seins.

— Quand tu sens que ça vient, tu me préviens, je te fais éjaculer sur les seins.

— D’accord

Je reprends sa queue dans ma bouche. Je pompe, ressors sa verge de ma bouche pour lécher le gland, et l’amener au point final,

— Je vais te montrer ce qu’est une jeune pompeuse.

— Ah oui, montre-moi ce que c’est une jeune pompeuse.

Je me mets à le pomper en le branlant en même temps.

— Je vais venir petite suceuse de bites ! ! !

A ce moment-là, je sors son sexe de ma bouche, lève rapidement mon pull, mets sa queue entre mes seins et le branle ainsi. Je reçois son liquide chaud sur ma poitrine, que j’étale dessus avec sa queue.

Je me relève, il sort son mouchoir, j’essuie ma poitrine puis son sexe, il se remet doucement de ses émotions, mais aussi en me félicitant de la manière de m’y prendre.

— Je te donne mon numéro de téléphone et si tu es dans les coins et que tu as envie de recommencer, appelle-moi.

-… (Je ne réponds pas. )

Il part d’un côté, moi de l’autre, en faisant attention à ce qu’il ne me suive pas pour qu’il ne sache pas où est l’emplacement de notre bateau.

Une fois arrivée au voilier, ma copine est toujours plongée dans son livre. Il est presque minuit ! ! Elle exprime son inquiétude de me voir arriver aussi tard.

Elle est allongée sur cette grande couchette en nuisette. Je n’ose jamais lui en parler, mais au lieu de lire son livre, ce serait bien qu’elle vienne avec moi se balader, et peut-être même participer à mes petites aventures.

Je vais me coucher. Mais avant de m’endormir, je me suis masturbée en silence dans ma cabine opposée de la sienne. Heureusement que nous avons trois cabines à bord, et que nous ne dormons pas ensemble, sinon, il me serait impossible de me donner du plaisir solitaire. Pendant ma masturbation, les images de me voir accroupie avec ma copine devant cet homme pour lui offrir nos deux bouches en même temps, de la regarder sucer un mec, et de faire en sorte de faire toucher ma langue à la sienne en suçant cet homme, ou de faire mine de ne pas faire exprès, l’embrasser sur les lèvres, m’ont fait jouir fort sous mes doigts.

Je me suis même imaginé qu’en lui taillant une pipe, au moment de son éjaculation, Dorothée et moi approchions nos têtes l’une contre l’autre pour recevoir toutes les deux le sperme sur nos visages, et que nous nous embrassions tendrement en nous partageant ce sperme de récompense.

Fin de ce chapitre.

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