Voici mon histoire.

Ça fait longtemps que je vous lis, et je n’ai jamais osé franchir le pas avant.

Il m’est arrivé une drôle d’histoire il y a de cela 16 ans, drôle d’histoire qui s’est transformée en scénario qui s’est répété à plusieurs reprises. Je savais ma mère ouverte et coquine mais là…

Je m’appelle Hugo, à l’époque j’avais 20 ans, je rentrais d’un voyage de deux ans passé à Londres. Période professionnelle assez rythmée et une vie perso plutôt agréable où je profitais pas mal des plaisirs de la vie. J’étais plutôt beau garçon, d’un naturel assez avenant et ouvert d’esprit.

Ma mère, Marie, avait la quarantaine. Divorcée, cadre avec trois enfants. Elle vivait à 100 à l’heure, on ne se voyait pas beaucoup et depuis le divorce avec mon père, on avait pu faire la rencontre de pas mal de ses conquêtes. Quand je dis faire la rencontre, je devrais plutôt dire « les » et parfois de manière assez inopinée ou au lieu de les rencontrer, on les entendait, on entendait ma mère se faire déglinguer sans retenue. A chaque fois ça me rendait dingue et du coup je ne pouvais pas me retenir de me branler comme une brute en pensant à elle. Il est vrai que c’était une femme élégante et plutôt sexy. Stricte, toujours apprêtée, des dessous toujours classe et excitants. Sans compter que je dois l’avouer aujourd’hui, il m’arrivait souvent de fouiller ses armoires et mater ses petites culottes ou de les sentir quand le soir elle se changeait et qu’elle montait prendre sa douche. Je la reluquais souvent et encore plus souvent depuis que j’étais rentré de Londres car je vivais à la maison, bien qu’elle me payait un petit studio mais je n’y étais pas souvent, sauf quand j’avais des soirées un peu spéciales avec les potes. On était que tous les deux car ma sur et mon frère étaient à l’étranger.

Bref, pour rentrer un peu plus dans le vif du sujet, un vendredi soir, fin de semaine, on avait décidé de s’accorder un peu de temps. Du temps pour papoter, être tous les deux. Elle voulait parler de Londres et de mes futurs projets. Je trouvais ça top que ma mère s’intéresse à moi et mes projets.

J’étais déjà à la maison quand ma mère venait de rentrer. Il était 18h, j’étais à la cool, en boxer et j’étais devant la télé avec un verre de vin. J’avais passé une bonne journée.

Ma mère me dit : Salut Hugo, ça va ? Tu bois quoi ? Sers-moi comme toi, je me change et j’arrive. Tu as réservé le resto ou on mange à la maison ?

Je lui répondis : ça va tranquille. Je te sers un sancerre ? Et pour le resto je ne sais pas trop, on prend l’apéro et on avise selon. Il est 18h, on a le temps.

Et là je n’ai pas tout compris, elle montait prendre une douche mais elle riait, elle riait de quoi ? Je n’en sais rien. Elle a toujours eu un grain de folie. Elle redescendit et on prit l’apéro.

La soirée passait, c’était agréable, on discutait de tout et de rien, on riait. Ça faisait longtemps qu’on n’avait pas passé un moment comme à deux. A un moment donné on a regardé l’heure et il était 22h. On n’avait rien mangé et on commençait clairement à être un peu chaud et nos discussions commençaient peu à peu à dévier, légèrement puis de manière assez dingue au fil de la soirée. La Sancerre commençait à faire son effet. On était face à face dans le canapé du salon, ma mère se trémoussait, je voyais bien qu’elle nétait pas à l’aise et elle se mise assise en tailleur face à moi et là, le chaos visuel, elle n’avait pas de culotte. Le choc mais à la fois le palpitant qui s’emballe. Tandis que nous parlions, discrètement je regardais son entrejambe, que ma mère ouvrait un peu plus au fil de nos échanges. Je ne savais pas à ce moment-là si elle se rendait compte de ce qui se passait mais tout ce que je voyais c’était sa petite chatte et une petite touffe brune, je voyais bien qu’elle était déjà humide, j’apercevais de là ou j’étais de légères coulées blanches et ses poils déjà trempés. Je dissimulais ses tétons déjà durcis par nos échanges. Je ne la voyais plus comme ma mère à ce moment précis de la soirée. La scène était surréaliste. Je ne savais pas quoi penser mais je me rendais bien compte que le comportement de ma mère changeait, sa posture, sa façon de parler, de me regarder et surtout son regard insistant sur la bosse que formait ma bite dans mon pantalon. Ca m’excitait mais je m’efforçais d’être discret et de cacher au mieux mon sexe en érection.

J’étais déstabilisé par la situation et terriblement excité par ce que j’étais en train de vivre. Une excitation de dingue que j’essayais de canaliser. Il s’agissait de ma mère putain ! Ca faisait longtemps que je sentais ma mère se rapprocher et me faire des allusions assez étranges, je sais qu’une fois elle avait dû me surprendre avec Clém, une amie de l’époque. En fin de soirée, on était rentré, on avait bu et excités comme pas deux, une fois dans ma chambre, Clém n’en pouvait plus et je l’ai déglingué comme une brute et sans ménagement. Clém était une jeune fille bourgeoise qui paraissait un peu coincée alors que c’était tout le contraire. Et le sexe, elle aimait çà, d’ailleurs pour la petite histoire, Clém ne jurait que par la sodomie… Ma mère était seule ce soir-là, et je l’avais entendu dans le couloir marcher, je savais qu’elle avait tout entendu et qu’elle était restée perchée derrière la porte de ma chambre une bonne partie nuit de la nuit. J’ai pu le constater le lendemain dans la panière de linge, sa petite culotte sentait fort et était encore humide, son chevet était ouvert avec son gode rangé à la va-vite. Oui il m’est arrivé de fouiller sa chambre parfois à la recherche de je ne sais quoi, plus par excitation qu’autre chose et un jour je me suis rendu qu’elle quelques godes, des menottes et des revues porno. Elle avait dû se toucher et se doigter comme une folle. Quelle garce quand j’y repense. On nen a jamais parlé et elle ne sen est jamais vantée. Après tout ça reste une femme et on a tous nos envies et notre part d’intimité.

J’interrompis notre échange et je lui dis :

Maman on va y aller, je pensais qu’on aurait pu aller manger un bout ?

Elle me répondit : Oui super idée, on peut aller dans ton petit studio comme çà je verrais si tout est nickel ! On commandera des pizzas, on va ramener une ou deux bouteilles de vin. Ca fait du bien d’être que tous les deux. Je suis vraiment contente que nous puissions être ensemble et nous parler comme on le fait ce soir.

Et là, je ressentis un tourbillon d’émotions à l’intérieur de moi. Je bandais déjà tellement dur que j’en avais mal. Ma bite était si raide que je n’osais pas me lever du canapé avant que ma mère le fasse et aille se changer. Rien de que de penser à l’idée d’aller su studio çà me rendait fou et ça me bloquait, j’aurais très largement préféré aller au resto que d’être seul avec elle et avec un coup dans le nez en plus.

On avait mis une petite heure à se préparer, on décida d’aller chez moi à pied. J’habitais le centre-ville, bras dessus bras dessous, on marchait en rigolant. Je n’arrêtais pas d’avoir des pensées dégueulasses envers elle, j’imaginais un tas de scénarios tous aussi dingues les uns que les autres. Mais je devais me raisonner et me calmer, je l’écoutais et on rigolait. On passait une bonne soirée mère-fils, point barre.

Nous étions devant l’immeuble, on entra et ma mère me précéda. Il ny avait pas d’ascenseur mais comme j’habite au deuxième étage ce nétait pas très compliqué. Je la suivais, je ne pouvais pas m’empêcher de regarder furtivement sous sa jupe, j’étais attiré par elle, comme un aimant. Je voyais son string rouge et noir, sexy à souhait. Devant la porte elle se retourna pour me demander la clé, rouge de honte j’étais, elle venait de me griller.

Ma mère : Tu regardes quoi ?

Moi : Rien, pourquoi ?

Ma mère : ok, donne-moi la clé de l’appart ; tu appelles et tu commandes les pizzas chéri.

Pfiou, je ne sais pas si sur le coup, elle a cru ce que je lui ai dit mais ça craint, si elle m’avait grillé, je ne sais pas comment la soirée se serait soldée mais j’ai eu chaud.

Le livreur de pizza arriva et repartit aussitôt.

Ma mère était aux toilettes depuis au moins cinq ou dix minutes. La porte était ouverte, string aux chevilles, je voyais mal ce qu’elle faisait, je découpais les pizzas tout en essayant de jeter un il furtivement. Elle se releva et je vis qu’elle enleva sa culotte et son soutif pour les mettre dans son sac à main.

Ma mère : ah super, les pizzas sont là, je nai pas mangé de la journée et nos échanges m’ont donné faim. J’étais dans mes pensées et en train de me rendre compte que tu as 20 ans et que je n’ai pas vu les années passées. Tu as grandi tellement vite et je dois dire que tu es plutôt bel homme.

Moi : C’est clair que le temps passe vite, après entre le boulot, les études, les voyages, on ne pouvait pas tout faire. Je nai pas à me plaindre tu sais.

Son sac à main était dans l’entrée, ouvert, je voyais son string. Je trouvais ça complètement ouf.

Ma mère s’assit sur le canapé, jambes croisées, elle était classe, très belle, et on reprenait nos échanges.

J’ouvris une deux bouteilles de rosé quand soudain ma mère fit chaviré son verre de vin parterre.

Elle se mise à quatre pattes pour le ramasser, leva légèrement sa jupe. Et le spectacle commençait. Je le sentais gros comme une maison que cette foutue soirée allait partir en couille et je crois qu’au fond de moi c’est ce que je voulais. Je sais c’est malsain et inapproprié mais éméché et excité, ça devenait intenable.

Une chatte complètement ouverte, des lèvres luisantes et humides, très peu poil, une touffe bien dessiné, on aurait dit une chatte d’une gamine de mon âge, un trou du cul bien dessiné et ouvert, on voyait clairement qu’il avait déjà servi, première fois de ma vie que j’en voyais un comme çà, aussi beau et aussi attirant, on pouvait y rentrer un doigt sans problème. J’étais bouche bée, je bandais, ma respiration était saccadée. J’étais là, planté comme un con devant ce spectacle, des millions de pensées et d’envies m’envahirent, rester à ma place de jeune premier et ne pas bouger, faire comme si je ne voyais rien ou au contraire céder à la tentation et y aller au risque de me faire envoyer chier. C’était ma mère putain !

Elle se retourna et me dit :

« Tu fais quoi ? Vas-y approche toi, ne parle pas, fais ce que je te dis, touche-moi, touche ma chatte, tu es con ou quoi ? Tu ne vois rien depuis le début de soirée.

Je suis à quatre pattes, tu me regardes comme un benêt et tu nas pas l’impression qu’il se passe quelque chose. On a bu, laissons-nous aller, j’ai envie de baiser, j’ai envie de me faire baiser. Baise-moi comme ta petite Clém que tu as baisé comme un dingue un soir que vous dormiez à la maison. Vas y vient, approche-moi mon petit chat, met toi à quatre pattes et lèche ma chatte, lèche là je te dis »

Elle était autoritaire et directive

Tandis que je m’exécutais, j’enlevais mon pantalon en même temps que je la dévorais, ma langue rentrait dans son intimité pendant que je me masturbais. Ma mère respirait de plus en plus vite et poussait des petits cris jouissifs, elle couinait alors que je ne lui faisais encore rien et je me disais intérieurement que quand j’allais la pénétrer, la pauvre, elle allait halluciner et que ça allait la changer de ces mecs de 50 balais. A quatre pattes, la tête par terre sur un coussin, ses deux mains écartaient largement ses fesses et sa petite chatte humide. Elle sentait légèrement et ça m’excitait terriblement. Elle faisait des mouvements de va-et-vient, d’avant en arrière, pour que ma langue la pénètre toujours un peu plus vite, un peu plus loin, son clito était rouge vif, son trou du cul s’élargissait peu à peu. La scène était OUFISSIME

Elle se retourna et me fixait du regard : Alors tu aimes ta maman comment désormais Hugo ? Ce soir je suis à toi et tu as intérêt à ne pas me décevoir. Montre-moi ta bite que je la regarde, que je la sente, que je la touche. Tu m’as regardé toute la soirée, je sais que tu sens mes culottes et que parfois tu m’as entendu à la maison quand je me faisais baiser. Nous sommes adultes et on a envie l’un de l’autre, je le sais, je le sens. Octroyons-nous cette pette soirée, elle restera dans notre jardin secret, entre toi et moi.

Elle se tut et il lui mit une fessée, puis deux, puis trois, si fortes qu’elle avait les fesses rouges

Elle me dit : Tu m’as entendu me faire baiser, tu me mates, tu rentres secrètement dans ma chambre, ce soir tu vas me baiser. Ne me ménage pas et tu vas me baiser comme l’une de tes petites copines.

Tandis que je me relevais, elle était déjà face à moi, la bouche sous mes couilles, elle les léchait et me masturbait si fort que j’en avais mal, elle se mise à me cracher dessus, sa bave dégoulinait sur ma bite, je n’osais pas parler ni entreprendre. Elle me fixait des yeux, comme si elle me défiait, me testait.

Ma mère était en train de me sucer comme une folle, elle prit tout ce qu’elle pouvait, ma bite, mes couilles, je bandais si dur qu’elle n’arrivait pas à tout avaler, elle me suçait encore et encore, délicatement et brutalement, elle me décalottait, aspirait mon gland, me crachait dessus, et elle suçait, elle suçait, elle suçait, elle n’arrêtait pas.

Je n’avais qu’une crainte c’était de tout lui lâcher en pleine gueule tellement l’excitation était à son comble. J’étais tétanisé et je sais comment je suis, je suis excessif et j’avais peur de trop me laisser aller et de la prendre comme une sale pute sans respect que j’aurais prise de toute part sans ménagement. Je me laissais faire.

Elle me dit : Tu aimes ? Je vais continuer bébé, tu me promets juste une chose, c’est de ne pas jouir, tu te retiens le plus longtemps possible, je veux ton jus sur le visage en fin de soirée, ok petit chat ?

Je lui répondis : Oui maman, tu peux y aller, vas-y suce moi, je vais me retenir et je vais tout te donner, au stade on est rendu, on ne va pas s’arrêter là et tu mérites clairement que je m’occupe bien de toi.

Je m’asseyais sur le canapé, elle se mit à rire et me pompa, elle suçait divinement bien. La lumière était tamisée, un peu de musique, nos verres de vin, ma mère était légèrement habillée avec sa jupe remontée, jambes écartées, je voyais tout dans le reflet du miroir. Elle me suçait et venait de se mettre un doigt dans le cul, elle gémissait, ça me rendait dingue et je buvais mon verre de vin.

Et là patatras, l’interphone sonna.

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