Après avoir repris mes esprits, je suis allé prendre une douche au rez-de-chaussée, je restais cependant très intrigué par ce que je venais de voir. Je me suis demandé si Marc était un voyeur et qu’il profitait de l’inattention des voyageurs dans sa petite maison pour les observer.
La douche me fit le plus grand bien après autant de route, la chaleur m’avait fait transpirer et l’eau froide sur ma peau me permettait de réguler la température de mon corps.
Lorsque je suis sorti, je remarquais qu’une nouvelle voiture était garée devant la maison, sans doute la femme de Marc qui venait d’arriver, je ne l’ai pas aperçu, peut-être était-elle arrivée pendant nos ébats et qu’elle nous observait également.
La soirée étant entamée, nous sommes allés au restaurant avec Johanna. La température était encore élevée mais un léger vent venait nous rafraîchir et permettait aux cheveux de Johanna de caresser son doux visage. On était aux anges, mon appétit était monstrueux après notre séance de sport à la maison.
Pendant le repas, Johanna me questionnait sur diverses choses, notamment sur mes envies au lit :
« – Penses-tu que ça serait une bonne idée de tenter de nouvelles choses pour continuer à s’éclater au lit ?
— Je ne sais pas, on est déjà bien actifs et tu ne me refuses rien donc je suis comblé.
— Je suis heureuse de te l’entendre dire, mais je pense qu’il est important qu’on tente de nouvelles expériences !
— Comment ça ? Tu dois avoir une idée derrière la tête toi !
— Peut-être bien oui, j’ai toujours quelques idées en tête quand il s’agit de m’envoyer en l’air avec toi.
— On est ici pendant cinq jours, je te propose de réaliser un fantasme ou quelque chose qu’on fait très rarement une fois par jour, ça te plaît comme idée ?
— Carrément oui ! Et c’est à moi de choisir les cinq ?
— Si tu es inspirée bien sûr, sinon j’ai quelques idées moi aussi.
— D’accord, alors pour aujourd’hui, je veux qu’on fasse des cochonneries dans les toilettes de ce restaurant !
— Ah oui tu attaques fort d’entrée de jeu !»
Je sentais l’excitation monter en moi, il faut dire que Johanna savait m’attirer dans des plans comme celui-ci à la perfection en me faisant du charme.
Afin de réaliser ce fantasme une idée me vint à l’esprit, nous sommes allés demander à un serveur où se situaient les toilettes prétextant que ma femme ne se sentait pas bien, sans doute à cause de la chaleur.
Une fois à l’intérieur, ma femme se mis à genoux en ne perdant pas une seule seconde et descendis pour pantalon et mon caleçon d’un seul coup. Ma verge était déjà bien droite après notre conversation quelques minutes plus tôt et Johanna me pris dans sa bouche et commença des mouvements et va-et-vient très agréables.
Tout le défi de cet acte était de rester silencieux, le fait que quelqu’un de l’autre côté de la porte pouvait se douter de quelque chose était très excitant. Johanna sortit de ma bouche pour me demander « Impose-moi ton rythme, ma bouche est à toi ! »
Ainsi, je plaçais mes mains derrière sa tête et respecta sa demande, j’avais envie d’accélérer le plus vite possible mais cela risquait d’entraîner des bruits de succion trop importants et les toilettes étaient proches de la caisse où les serveurs notaient les commandes des différentes tables. Au bout d’un moment je pris l’initiative de sortir presque complètement de sa bouche pour ensuite rentrer à nouveau très brutalement. Cela entraîna comme prévu un bruit qui interpela le serveur qui nous avait indiqué les toilettes, il frappa à la porte :
« – Tout va bien, vous avez besoin de quelque chose ?
— Peut être d’un verre d’eau quand on sortira mais je vous remercie.
— Très bien, n’hésitez pas, j’espère que votre femme ne va pas trop mal.
— Ne ne vous inquiétez pas, dans quelques minutes tout ira mieux je pense. »
Le pauvre serveur, il était gentil et ne se doutait pas de ce qu’il se passait réellement à l’intérieur de ces toilettes. Johanna avait continué de me sucer pendant tout ce temps, c’était très dur pour moi de garder mon sérieux. Le temps nous était compté et je voulais passer à l’étape supérieure. Par chance les toilettes étaient bien équipées et grandes puisqu’elles étaient adaptées pour les handicapés.
Je descendis à mon tour le short de Johanna et je fus surpris lorsque j’ai aperçu qu’elle n’avait pas remis de sous-vêtement en dessous. Pris dans un élan d’excitation je la retourne et la pousse de sorte qu’elle s’appuie contre le lavabo. Je plaçais mon sexe contre le sien et remarqua immédiatement à qu’elle point elle était excitée et mouillée à l’idée de réaliser un de ses fantasmes. Je rentrais d’un seul coup en elle jusqu’à la garde, elle se mordit la lèvre pour ne pas pousser un gémissement.
C’était difficile pour moi de me retenir de lui mettre une bonne fessée, j’ai décidé à la place de lui tirer les cheveux en arrière pour l’obliger à relever sa tête pour que je puisse apercevoir son visage sur le miroir en face de nous. Il fallait que je termine vite, j’accélère le rythme et je sens que la jouissance est de plus en plus difficile à cacher pour Johanna. Après un dernier grand coup de reins, je me vidais en elle, l’excitation était montée depuis de longues minutes, la libération était très jouissive. Il était temps de sortir avant que quelqu’un ne se doute vraiment de ce qu’on était en train de faire. On ramassa nos affaires et on se rhabilla le plus rapidement possible.
En sortant, Johanna se tenait à moi et fit mine d’être faible. Le serveur vint à notre rencontre lorsqu’on est retournés à notre table, il nous proposa un verre d’eau que ma femme accepta, elle le but avec délicatesse, sans doute avait-elle la gorge sèche après une telle fellation. Il était temps de demander l’adition à payer, à ce moment-là, notre petit jeu pour les 5 prochains jours me revint à l’esprit. J’ai demandé à Johanna son stylo et notais mon numéro de téléphone portable au dos du ticket de caisse en mettant un petit mot « Envie de s’amuser un peu ? ». Johanna me regardait à la fois perplexe mais semblait avoir compris mon intention et avait un grand sourire.
De retour à notre maison vers 22 heures, les propriétaires étaient encore dehors en train de profiter d’un petit verre sur leur terrasse. Ainsi, on aperçut pour la première fois la femme de Marc, lorsqu’elle se retourna vers nous je tombai des nues ! C’était une uvre d’art ! Effectivement, alors que Marc approchait la soixantaine, il aimait les belles et jeunes femmes puisqu’il s’agissait d’un jeune ne devant pas encore avoir trente ans, un peu plus petite que Johanna mais avec une poitrine défiant toute concurrence !
Elle se leva et se présenta à nous :
« Bonjour, je m’appelle Marie, ravie de faire votre connaissance
— Nous sommes ravis également, vous avez une très belle maison nous avons pu en profiter rapidement tout à l’heure pour nous reposer. »
Marc me regardait à cet instant avec le sourire, j’ai compris dans son regard quand il l’a posé sur Johanna ensuite qu’il nous avait bel et bien observé tout à l’heure ce pervers. Bizarrement, après notre décision au restaurant avec Johanna, cela me donna le sourire également. Après tout, il s’agissait de la semaine des nouvelles expériences