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Une super nuit de camping – Chapitre 1




Cette histoire se passe un soir d’été.

Étudiant depuis plusieurs années j’avais pour habitude de passer les vacances avec des jeunes en colonie de vacances pour financer mes études.

Cette année là, j’étais pour la troisième année consécutive dans une colo de Provence, et ayant mes habitudes et connaissant maintenant bien les lieux, l’adaptation et la bonne entente avec mes collègues se fit sans acro.

Voilà maintenant quinze jours que la colo avait commencé et ce week-end là nous étions partis camper pour la fête du village qui se trouvait à quelques 10km du lieux de la colo. La fête avait battu son plein et les jeunes étaient maintenant au lit dans leur duvet. L’heure était tardive et l’orage de chaleur qui avait grondé au loin toute la soirée, était maintenant sur nous. De grand flash de lumière inondaient la toile de la tente des animateurs. Celle ci était partagée en quatre parties, la première au centre était un espace commun et trois "chambres" étaient disposées de chaque côté de cet espace. Après quelques minutes que j’avais employé à essayer de dormir, malgré les vibrations qui faisaient trembler le sol, je reçu un SMS de ma collègue dans la chambre d’a côté me disant qu’une ado était en train de pleurer. Etant responsable de camping, je devais être informé des incidents pendant la nuit. Elle m’indiquait alors la tente en question. Prenant mon survêtement que j’enfilai rapidement, je me dirigeai vers la tente de cette jeune demoiselle terrorisée. Elle était blottie dans son sac de couchage et pleurait à chaudes larmes, inconsolable, malgré les tentatives de ses amies qui avaient tout tenté pour la calmer. 20min durant je m’employai à la réconforter mais rien n’y fit. Dernier recours, je la ramenai dans la tente des animateurs, et la confiai à une de mes collègues afin quelle puisse dormir. Cela fonctionna, les deux filles s’endormirent rapidement.

Un deuxième SMS arriva sur mon tél. C’était ma deuxième collègue qui se trouvait, elle, dans la dernière chambre. Elle me demanda si tout aller bien. Après avoir répondu par l’affirmative, elle me dit qu’elle aussi aurait besoin d’être rassurée! Pensant d’abord à une blague vaseuse il s’avéra en faite quelle était aussi apeurée que la gamine que j’avais essayé de consoler et que la place avec notre collègue étant prise, elle ne pouvait plus faire chambre ensembles. Je lui proposai alors de me rejoindre et en moins de trente secondes, elle était étendu à côté de mois, emmitouflée dans son sac de couchage. Elle tremblait comme une feuille à chaque coup de tonnerre et c’est sans arrière pensées que je la pris dans mes bras pour la rassurer. Elle sembla se détendre un peu mais était toujours crispée. Je me rendis compte que la fermeture éclair de son sac de couchage avait glissé et était dans son dos, contre moi. Je l’ouvrai entièrement et faisant de même avec la mienne, je pus me glisser contre elle. Pendant un instant elle sembla hésiter mais accepta finalement généreusement et vint se blottir contre moi. Je la sentis rapidement se détendre bien que la situation n’était pas anodine. Mon bras passa sous le sien et je vins glisser ma main contre son ventre à quelques centimètres sous ses seins. Elle avait un tshirt fin et je devinais sa peau douce sous le tissus. Elle avait un peu chaud car sa main, quelle avait posé sur la mienne, était légèrement moite. J’avais le délicat parfum de ses cheveux qui me chatouillait agréablement le nez et mon esprit se mît à vagabonder le temps qu’elle d’endorme. Lorsque sa respiration commença enfin à se clamer et que le sommeil la guettait je m’autorisai aussi à rejoindre les songes . Nous nous endormîmes ainsi l’un contre l’autre et je dois dire que ce fut une nuit particulièrement et étonnement agréable et reposante. Dans le jeune matin, lorsque le jour n’est pas encore levé et que la rosée vient juste de se déposer sur les toiles de tente, je sentis son corp se rapprocher du miens pour échapper au froid humide du matin en camping et ceci eut le don de me sortir des derniers brouillards de la nuit. En effet, ses fesses vinrent se coller contre mon attribut qui, comme tout les matins, n’était pas Au repos. Pire cela eut le don de réveiller en moi une envie de sexe tenace que je n’avais pas ressenti depuis longtemps. Étant obnubilé par cela je ne m’étais pas rendu compte que ma partenaire avait durant le nuit, coller ma main contre la base de son seins gauche et que celui ci sortait de son tshirt qui était remonté. Tout cela n’arrangea pas mon excitation et je ne savais pas comment me calmer. Ma queue était à l’étroit dans mon boxer et elle s’était caler entre ses fesses. Elle ne pouvait pas ne pas s’en être rendu compte. L’adrénaline commençait alors à saturer mon corps, et mon esprit ne fonctionnait plus comme il fallait. Mon initiative prenait le dessus sur ma raison et mes mains entrèrent en actions sans que je m’en rende vraiment compte. Ma main gauche quitta la base de son sein et le saisit à pleine main. Son téton pointait déjà et je le fis rouler entre mes doigts. Il pointait dur et le seins était tout gonflé. Bien ferme et lise au toucher il était très agréable à peloter. J’agaçais son mamelon pendant quelques instants avant de libérer celui ci pour me diriger vers son autre sein auquel je réservais le même traitement. Je jonglai entre l’un et l’autre. Heureux qu’elle ne m’ai pas repoussé. Sa respiration s’était accélérée et la pression de ses fesses contre mon intimité me sembla plus forte. Mes doigts descendirent enfin le long de son ventre et vinrent se faufiler sur ses cuisses douces que je m’employais à caresser tendrement. Mes doigts remontaient lentement entre ses jambes, là où la peau est si douce. J’avais chaud, et elle aussi! Mes doigts était dans une fournaise. J’étais arrivé à la commissure de son slip et une chaleur humide était très présente. Mes mains baladeuses l’avaient mise dans tous ses états. Je la caressai délicatement à travers le tissus de dentelle qui était trempé. Mes doigts passaient dans la fente de sa vulve, bien dessinée par le tissus qui était rentré dedans à force de caresses. Mes doigts crochetèrent enfin son dessous et vinrent découvrir les trésors de ce jardin secret. Il était véritablement inondé de cyprine. Tellement mouillé que mes doigts glissait sans résistance dans la totalité de ce coquillage. Ma torture ne dura pas et je me dirigeai rapidement vers ce petit point que les femmes aiment tant se faire caresser. Son clitoris était tout gonflé et sortait généreusement de son capuchon. Il était énorme! Je le branlais plus que je le caressais et ma belle poussa un gémissement étouffé. J’alternais entre caresses et pénétrations et en quelques petites minutes elle jouit très violemment. Secouée de spasmes incontrôlables, sa main était venue appuyer sur la mienne, de peur que je ne l’enlève! Elle avait mordu dans son oreiller, au vu du gémissement à moitié étouffé quelle poussait encore (pour ne pas réveiller le reste de la tente) il me sembla durer une éternité et quand enfin elle se détendît un peu, je sentais encore son vagin se contracter anarchiquement sur mes deux doigts bien enfoncés en elle, qui étaient restés prisonnier dans l’étau vaginale lors de sa jouissance.

Ses doigts glissèrent de ses fesses et crochetèrent le tissus de son tanga pour le faire glisser le long de ses jambes. Arrivée aux genoux, elle abandonna son dessous pour venir sans détour s’emparer de ma queue et la sortir de sa prison. Elle la branla quelques secondes pour juger de sa fermeté et de sa taille. Rien d’exceptionnel mais je m’en sert bien ;-) elle se cambra en avant et positionna son abricot devant cette barre de plaisir. Elle joua une poignée de secondes avec mon gland contre son clitoris toujours tout gonflé et finit par se l’enfiler jusqu’à la garde au fond de son brasier. Elle était véritablement trempée et je sentais que sa mouille avait coulé contre ses fesses. Ma queue nageait littéralement en elle dès que j’entamais mes va et vient tantôt rapide et tantôt lent, toujours bien au fond de son vagin, qui déclenchait régulièrement des contractions de se dernier. Mes doigts avaient repris du service et malaxaient ses tétons ou son bourgeon de plaisir. Un autre orgasme plus doux que le premier m’emprisonna une fois de plus en elle et je commençai à avoir du mal à me retenir. Mes va et vient devenaient de plus en plus rapides et lorsque je voulu me retirer car nous n’avions rien mis pour éviter une grossesse, je sentis sa main se contracter contre mes fesses, me refusant la retraite. N’en pouvant plus je me déversais en elle avec de grand jets libérateurs, je la sentis une dernière fois jouir, faisant durer quelques instants de plus mon orgasme grâce aux spasmes de son vagin. Ses ongles étaient enfoncés dans ma fesses gauche, résultant de la décharge de plaisir qui l’avait assaillît dans sa jouissance.

On resta là, paisiblement l’un dans l’autre. Jusqu’à ce que ma bitte ressorte, chassée de son antre, redevenue ce qu’elle est habituellement. Ma collègue avait attrapé ma main et se l’était collé sur le seins. Elle me tenait fermement, de peur que je l’enlève. Je vins lui déposer quelques légers baisers dans le cou. Elle se rapprocha de moi. Puis se mît sur le dos et remonta rapidement son tanga, afin d’éviter de souiller son sac de couchage avec ma liqueur. Elle me regarda dans les yeux, sincère. Je lui volai un baiser quelle me rendit aussitôt. Nos langues se lièrent et ses mains me prirent dans le dos pour me coller contre elle. Après quelques instants de calinage, elle disparu soudain sous le duvet et je sentis alors ma queue, redevenue molle, se faire happer par sa bouche. Elle me suça divinement bien et ne tarda pas à me remettre en forme. Passant sa langue de mes couilles à ma hampe. Elle titilla le frein et suça bien le gland. Je lui fit comprendre que la jouissance était proche mais cela se sembla pas l’arrêter pour autant. Elle redoubla même de vitesse et je ne pus le retenir davantage. J’explosai dans sa bouche, tenant sa tête pour lui donner le rythme. Elle remonta enfin le sourire aux lèvres et me fit comprendre quelle avait appréciée elle aussi.

Depuis lors, une des chambres de la tente resta vide chaque nuit. La mienne était pleine ;-)

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