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Marie-Hélène et les garçons – Chapitre 3




L’allusion d’Alain à Marie-Hélène, mon nom de scène si j’ose dire, est plus que claire.

Visiblement mes deux neveux doivent exercer quelques pratiques solitaires à l’aide d’Internet et l’un des deux a dû me reconnaître  à l’occasion de  mes ébats briochins… Du coup, je commence à entrevoir leur intérêt pour cette cité. Reste à savoir où ils veulent exactement en venir.

Je leur demande comment ils savent, mais c’est pour la forme car la réponse ne peut être autre que  celle que je viens d’élaborer. C’est tout à fait ça. Alex m’explique qu’en compulsant le site Jacquie & Michel, avide de nouvelles cougars en chaleur, il est tombé sur moi. Il a bien entendu partagé l’information, et même plus que cela, avec son jumeau.

Tout de go, un peu gêné par sa confidence il se met à me complimenter sur ma plastique. Alex en rajoute une couche. Je ne sais pas jusqu’où les deux vont aller mais ils ne tarissent pas d’éloges, empêtrés dans un vocabulaire qui ne leur appartient pas. Je traduis en gros que mes prestations les ont passablement excités.

Alain reprend la parole après une courte pause et m’interroge sur le tournage. Je ne vois aucune raison de cacher quoi que ce soit et explique tranquillement comment ça s’est passé. Je rajoute que c’était la première fois et sans doute aussi la dernière et que, même si l’expérience m’avait plu, je n’avais pas vocation à devenir actrice porno à plein temps.

Les détails du tournage les émoustille. Ils veulent connaître l’envers du décor après en avoir vu le résultat à l’écran. Finalement Alex, après avoir payé la note me demande si je pourrais leur montrer les lieux où les scènes ont été tournées. Son frère se déclare tout aussi intéressé. Franchement les lieux sont quelconques, principalement de banales rues à la périphérie de la ville, mais si cela peut leur faire plaisir, après tout, c’est leur anniversaire.

Nous partons donc à pied en goguette, par les rues de Saint Brieuc. C’est relativement désert vu l’heure tardive et plus nous nous écartons du centre moins nous croisons de passants. Je les emmène directement devant l’immeuble administratif où a commencé le tournage. Ils ont du visionner le film quelques fois car tout deux reconnaissent immédiatement le bâtiment.

Je continue ma progression, suivant fidèlement l’itinéraire que j’avais emprunté la dernière fois. Alex me fait remarquer que j’ai revêtu la même robe que la dernière fois. C’est ma foi vrai,  j’ai machinalement enfilé pour notre sortie ma robe très courte grise,  aux motifs complexes noir ou sombre. Comme quoi l’inconscient peut vous jouer de ces tours.

Nous arrivons à un carrefour et c’est à ce moment là qu’Alain soulève ma robe sur mes reins, laissant mes fesses à nu. C’est dans ma mémoire à cet endroit précis que Jimmy avait agi de même. Tout est maintenant clair pour moi, mes neveux ne se satisfont pas de visiter les lieux, ils veulent revivre le film. Tel est le cadeau qu’ils attendent de moi.

Je dois avouer que le fait de repasser par ces endroits ravivait  mon souvenir et m’émoustillait déjà. L’inventivité des deux garçons me surprend certes, mais surtout me trouble. Nous continuons à arpenter le pavé et je me retrouve dans la rue que j’avais reconnue tout à l’heure en allant au restaurant. Je sais ce qu’il me reste à faire.

Je soulève ma jupe et présente mon string noir. Lentement, je le fais descendre sur mes chevilles puis l’offre à qui veut. C’est Alex qui vient de se rendre maître du précieux trophée, que je ne reverrai plus. Je soulève ma jupe sur mes reins et m’avance cul nul dans la ruelle sombre, les deux gamins sur mes tallons. A ce moment passe un véhicule, je tourne instinctivement la tête. J’ai encore en mémoire l’air éberlué du bonhomme, éclairant mon fessier de ses phares.

Nous tournons à droite, passons devant une maison de maître. Un peu plus loin Alex m’arrête et me fait me retourner. Je me rends compte qu’il a sorti son sexe de sa braguette et me le présente fièrement. Je m’accroupis et sans plus attendre, je le prends vigoureusement en bouche, sous le regard épaté de son frère.

Je reste fidèle au scénario. Je le pompe goulûment, là sur le trottoir. J’apprécie cette bite assez longue mais fine, le gland légèrement épaté. A l’aide ma main droite je le branle légèrement tandis que mes joues se creusent sous la forte succion  que j’imprime à ce jeune membre. J’écarte mes cuisses afin qu’Alain puisse jouir pleinement de la vision de ma chatte épilée.

Alex me prend la nuque et me force à le pomper pleinement. Sa queue s’enfonce au plus profond de ma gorge. Je régurgite un peu de salive qui vient se mélanger aux humeurs que commence à produire son dard turgescent. Sans prévenir il se retire et lâche dans un râle profond de larges giclées de sperme sur mon visage. J’éponge de ma langue le reste de semence qui continue à jaillir de son gland.

Alain me relève et me fait plaquer les deux mains contre le granit du mur de la maison au pied de laquelle j’ai sucé son frère. Il a baissé son pantalon et passe sa main gauche dans mon entrejambe tandis qu’il masturbe de sa dextre un sexe beaucoup plus vigoureux que celui d’Alex. Mon fondement est suffisamment trempé pour qu’il me pénètre sans plus attendre. Sa queue rentre en moi d’un seul coup de rein. Il est gros le cochon! Malgré toute mon expérience il me faut quelques instants pour que ma chatte s’adapte à cette intromission plus que raisonnable.

Une chaleur intense s’installe dans mon intimité tandis qu’il me laboure le ventre. Je réponds à ses coups de reins par des mouvements du bassin, puis je recule mes fesses et me colle à son ventre.  Alex est passé sous moi et lèche mes mamelons. Il aspire mes tétons, les relâche, les mordille. Ça me rend folle. Alain décharge sa semence juste au moment où un violent orgasme me saisit. Ses soubresauts se mêlent aux tremblements irrépressibles qui agitent mon bas ventre et mes cuisses.

Nous restons ainsi, lui enfoncé dans ma chatte, moi dévorée de spasmes et Alex me triturant toujours les seins jusqu’à ce qu’une voiture se montre au bout de la rue. C’est la police municipale qui fait une ronde et nous faisons fissa pour retrouver une allure plus conforme aux bonnes murs. Le véhicule passe devant nous au ralenti, les pandores nous dévisagent, puis jugeant que nous ne devons pas représenter un grand danger, passent leur chemin.

J’ai toujours la figure engluée par le sperme d’Alex et j’avoue qu’un contrôle plus approfondi m’aurait mise dans un embarras certain.  Je me débarrasse rapidement de ce reliquat de foutre. Mes neveux m’embrassent à tour de rôle et me remercient pour leur cadeau d’anniversaire. Je leur réponds que tout le plaisir a été pour moi, même si je sais que c’est un peu exagéré.

Nous retrouvons la voiture et rentrons tranquillement à Saint Malo. Nous sommes passablement fatigués par cette journée fort dense et décidons à l’unisson d’aller nous coucher sans plus tarder. Alex qui a toujours le dernier mot annonce, anodin,  que nous devons reprendre des forces pour demain.

Avant de m’endormir  je me demande ce que les deux lascars insatiables ont encore en tête.  Bah, nous verrons bien!

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1 Commentaire

Revaz 2023-10-31 at 23h08

Bonne journée. J’ai 30 ans, corps sportif, peau marron, j’ai envie d’aller dans du porno, je suis défoncé à tout moment

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