Je suis dans mon bureau à m’occuper toujours des mêmes galères. La construction de la nouvelle caserne avance bien, et j’ai également d’autres projets en cours, mais il y a trop de choses à faire, et pas assez de moyens de les lancer en même temps. À côté de ça, je dois m’occuper des soucis quotidiens du château, et d’autres affaires plus ou moins importantes.

Je travaille sans pause depuis trop longtemps, je commence sérieusement à fatiguer. À cela s’ajoute la pression de ma maîtresse démone. Si ses « punitions » sont pour le moment légères, elles risquent d’être beaucoup plus sévères si je ne lui donne pas satisfaction très vite. Cachot, torture, ou carrément exécution, c’est le genre de choses qu’elle réserve à ceux qui la déçoivent. Je peux déjà m’estimer heureux d’être dans les privilégiés car je suis un beau garçon et qu’elle aime m’humilier, cela me laisse un peu de marge ; d’autres n’ont pas eu ma chance. Je me doutais que mon passé m’ouvrirait des portes un jour, mais ce n’était pas celles que je m’étais imaginées.

Eliana ! crié-je soudain.

Ma servante elfe a entendu mon appel et fait irruption dans la pièce. Elle est vêtue d’un tissu très mince qui laisse entrevoir ses minuscules tétons pointus.

Oui, maître ? fait-elle.

Je suis extrêmement stressé aujourd’hui, j’ai besoin que tu m’aides à me détendre.

Elle sait exactement ce que j’attends d’elle, ce n’est plus sa première fois. Enjouée par ma requête, elle se met à quatre pattes et passe sous le bureau. Je ne la vois pas, mais je la sens ouvrir mon pantalon et en sortir mon sexe pour me sucer. Il me faut un peu de temps avant de bander. Elle s’applique à la tâche avec beaucoup d’entrain. Un peu trop même lorsqu’elle se met à gémir :

En silence ! fais-je pour la réprimander. J’ai besoin de me concentrer !

Elle m’obéit.

Je me sens rapidement mieux, c’est exactement ce qu’il me fallait. Rien de tel qu’une bonne pipe pour oublier ses soucis. Je n’arrive pourtant pas à être plus efficace dans mon travail : elle s’y prend trop bien et cela me distrait. J’essaie d’oublier qu’elle est là, mais plus je l’ignore, plus elle redouble d’efforts pour me rappeler sa présence. Elle me pompe comme une chienne, elle joue avec sa langue sur mon gland tout en bavant beaucoup pour bien me lubrifier. J’ai beaucoup de patience, mais au bout de vingt minutes, mes limites sont atteintes.

Eliana ! me fâché-je contre elle.

Oui maître ?

Je t’ai demandé de me détendre !

Oui, et alors ? N’est-ce pas ce que je fais ?

Non ! Tu m’excites !

Et c’est mal ?

Oui. Je ne peux pas travailler dans ces conditions, j’ai besoin d’éjaculer maintenant. Dépêche-toi de me finir, que je retourne à mes affaires.

Très bien, maître.

Elle replonge sur ma bite.

La sale petite salope, elle le fait exprès. Elle ne peut pas se contenter de faire ce qu’on lui demande, non. Elle veut absolument que je lui accorde toute mon attention. Soit, elle a encore gagné, mais je trouverais bien un moyen de la punir. J’arrête tout pour profiter pleinement de sa fellation. Je la regarde, mon sexe entrant et sortant de sa bouche. Ses yeux me fixent, suppliant que je l’abreuve de sperme. Je place ma main sur sa tête pour la forcer à me faire des gorges profondes, non pas qu’elle ait besoin de beaucoup d’encouragements.

Continue, c’est bon, je ne vais pas tarder à venir.

Cela l’exhorte à redoubler de vigueur. Cela l’excite tellement qu’elle passe une main sous sa jupe pour se masturber en même temps. Je n’essaie pas de me retenir, au contraire. Je gémis de plus en plus fort jusqu’à en pousser un grognement lorsque je sens ma sève grimper. Mes couilles explosent. Je jouis et je lui envoie une giclée de sperme au fond de la gorge.

Avale ! Salope ! fais-je.

Elle déglutit avant que je lui en envoie une seconde, puis une autre, puis encore une autre. Un peu de mon jus s’échappe à la commissure de ses lèvres. Je la presse contre ma queue jusqu’à ce que je me sois entièrement vidé. Une fois pleinement satisfait, je la laisse respirer. Elle tousse à cause du manque d’air. Elle tourne son visage vers moi en me souriant de façon vicieuse, contente de l’effet qu’elle a eu sur moi.

Merci Eliana, tu peux te retirer.

Maître…

Quoi donc ?

J’ai la chatte toute trempée. Vous ne pouvez pas me laisser comme ça.

Et pourquoi donc ? Ce n’est pas mon problème. J’ai eu ce que je voulais, tu peux disposer. Le reste ne me regarde pas.

Maaaaaaitre, me supplie-t-elle avec des yeux de chatons. S’il vous plaaaaaait !

J’ai du travail, Eliana !

Déçue, elle abandonne avant de devenir insolente. Elle se relève et se dirige vers la sortie. La connaissant, la première chose qu’elle va faire, c’est aller se trouver une bite à chevaucher pour se satisfaire. Cela me donne idée. Je l’interpelle une dernière fois :

Eliana ?

Oui, maître ?

Une dernière chose : je t’interdis de coucher avec un autre homme que moi jusqu’à ce que je t’autorise le contraire, c’est compris ?

Mais… maître ! J’ai besoin de jouir !

Oui, et bien d’ailleurs, je t’interdis même de te masturber sans mon autorisation. Tu jouiras que lorsque je te l’ordonnerais.

Mais ce n’est pas juste !

C’est ta punition pour m’avoir distrait. Va maintenant.

Oui, maître.

Quelque chose me dit que cela va être très difficile pour elle.

Plusieurs jours plus tard, la construction de la nouvelle caserne s’achève enfin. Pour une fois, ma maîtresse était contente de moi. En guise de récompense, j’ai eu le droit l’obligation plutôt de lui lécher la chatte jusqu’à la faire jouir. Ses récompenses ressemblent bizarrement à la même chose que ses punitions… Je suis ressorti de mon entrevue frustré, avec une trique d’enfer. Au lieu de passer sur Eliana comme une brute en manque pour me soulager, je lui ai simplement demandé de me sucer. Elle m’a supplié de la prendre, mais je n’avais aucune envie de lui donner ce qu’elle voulait aussi tôt. Au dernier moment, je sors mon sexe de sa bouche pour lui éjaculer au visage. Je lui ai ensuite ordonné de disposer sans rien lui donner pour s’essuyer. Cette petite est d’autant plus belle lorsqu’elle est souillée de sperme.

Le soir même, Jezabel quitta le domaine à la tête d’une petite troupe d’orques. Lorsqu’elle revient après plusieurs jours, j’ai appris qu’elle était partie piller des villages non loin. Voilà, j’ai eu ce que je voulais, j’ai désormais de nouveaux fonds pour poursuivre mes plans de rénovation du château, j’aurais tout de même préféré acquérir cet argent autrement. M’enfin, c’était inévitable. Je ne me suis jamais fait d’illusion : ma maîtresse est une démone, et elle a pour but de conquérir le royaume d’Orandia. Ce genre de choses devait forcément arriver un jour où l’autre. Cela me fait simplement un peu bizarre de ne plus être dans la théorie et la planification, mais de voir les choses se produire pour de vrai. Ce n’est que le début, les choses vont s’empirer. Même si je n’ai pas tenu moi-même une arme ni tué qui que ce soit, j’ai indirectement participé à ça. Je ne sais pas trop ce que je ressens.

Humains ou créatures du chaos, les deux sont assez prompts à faire la guerre sans véritable raison. Est-ce que servir Jezabel est vraiment différent que de servir n’importe quel seigneur humain ?

Une semaine défile, et c’est au tour du bordel de fêter son inauguration. J’ai ordonné sa construction presque en même temps que la caserne. Avoir un tel établissement au sein de notre domaine me semblait être une des plus grandes priorités. Peu importe sa race, tout être vivant a les mêmes besoins naturels pour être heureux : manger, boire, dormir et baiser. Le dernier est loin d’être à négliger si on veut garantir un minimum d’ordre.

Pour trouver le personnel et gérer l’endroit, j’ai engagé Farah un mois plus tôt. C’est une beauté exotique du désert oriental, avec une peau naturellement bronzée et une poitrine qui semble prête à exploser dans ses décolletés de soie. Elle a de l’expérience dans le domaine, tant dans l’organisation que dans l’art du plaisir. Vu son passé, je lui ai demandé si elle était prête à reprendre du service, ou si elle préférait se contenter de superviser. Elle m’a répondu qu’elle n’avait aucun problème de s’occuper de la clientèle personnellement si elle pouvait choisir elle-même les heureux élus. Je n’y ai vu aucun inconvénient. Même ainsi, elle n’est pas donnée, mais à mon avis, elle les vaut largement.

Je passe la voir le soir même pour m’assurer que l’ouverture se passe bien. Elle a accommodé l’endroit au goût de son pays d’origine. Les couleurs sont chaudes, des tentures de soies pendent un peu partout, et la musique évoque les mers de sable. Les luxueux et confortable sofas sont presque déjà tous occupés par des clients. Le personnel, composé de filles et des garçons venus de tous les horizons, est également à leurs côtés pour s’occuper d’eux. Dans la pièce principale, on y boit, on y fume, on y danse, on y flirte, et parfois, si on est trop paresseux pour s’isoler jusque dans une chambre, on y baise à la vue de tous.

Je vais à la rencontre de la matrone des lieux et discute un peu avec elle. Maintenant que je suis là, je ne vois aucune raison de ne pas goûter aux services offerts par la maison, histoire de constater par moi-même que mon argent a bien été investi. Je lui demande conseil. Les personnes travaillant pour Farah ont toutes un point commun : ils aiment le sexe comme elle et ont fait le choix d’en faire leur métier. C’est ce qui me fait présager que cet endroit va vite devenir plus populaire que les plus grands bordels des plus grandes cités. On y trouve que de la compagnie de qualité, et non de vieilles putes ramassées sur le trottoir à moitié malade.

Je tente ma chance en lui avouant que cela me plairait beaucoup d’avoir la chance de goûter en premier aux talents de la fine fleur des sables. Elle me répond qu’elle préfère s’occuper de la gestion pour ce premier soir. Je me demande si elle est sincère où si c’est juste sa manière polie de me dire que je ne suis pas son genre. Dans tous les cas, je finis par commander deux succubes, et en tant que maître des lieux, elle m’annonce que la nuit me sera exceptionnellement gratuite. Elle m’introduit ainsi auprès de deux surs : Frin and Fran. Les succubes sont des démons, mais contrairement à certains qui en veulent à votre âme ou à votre vie, elles ne sont intéressées que par pousser les gens au vice de la luxure. Je n’ai jamais eu l’occasion de coucher avec l’une d’entre elles, mais j’ai assez hâte d’essayer.

Physiquement, elles ne sont pas si différentes des humains, hormis une paire de cornes à leur front, et une paire d’ailes sur le dos. Frin est un peu plus mince que sa sur, avec un peu moins de poitrine aussi, mais les deux restent néanmoins bien portantes, et surtout bien bandantes. Elles ont les yeux plissés comme les habitants d’Asie, et sont vêtues de corsets de cuir. Nous sommes seuls dans une chambre ayant un grand lit. Elles m’attendent dessus, assises en tailleur. Elles me sourient comme deux chattes prêtes à s’amuser avec une souris. Je suis volontaire pour être leur victime quand elles veulent.

Je viens les rejoindre et les embrasse à tour de rôle. Elles ont l’air tout aussi impatientes que moi de démarrer. Nous nous caressons, nous faisons monter la tension, quand elles se jettent subitement sur mes vêtements. Fran, la brune, me force à m’allonger tandis que Frin, la blonde, m’enlève mon pantalon. Mon chibre durci bondit ainsi hors de sa tanière sous le regard médusé des filles :

Regarde-moi cet énorme engin, surette, s’exclame Frin, nous sommes gâtées.

Hmm, si seulement tous nos amants étaient aussi bien montés que lui.

Elles agrippent toutes les deux ma queue pour jouer avec. Ça a l’air de manifestement beaucoup leur plaire. Elle me branle énergiquement pour bien sentir ma taille. Elles doivent mouiller d’anticipation.

Frin se met à me sucer. Le son de mes soupirs de bonheur est atténué par sa sur qui m’enfonce sa langue dans sa bouche. Je suis au paradis avec deux anges ailés qui s’occupent de moi.

Fran se redresse et enlève son corset. Elle a de gros seins magnifiques dont je ne peux me retenir de les presser sur-le-champ. Frin s’interrompt un instant pour l’imiter. Les siens ont l’air si petits en comparaison, ils sont pourtant d’une très belle taille.

Constatant mon intérêt pour sa poitrine, Fran prend ma tête et me fait faire la tétée comme à un bébé. Je mordille un de ses tétons tout en jouant avec son autre sein. Je bénis d’être stimulé aussi par en dessous où ce serait insupportable.

Elle finit par m’abandonner alors que je n’en avais pas encore eu assez pour me mettre à me pomper avec sa sur. C’est la première fois que je fais ça avec deux filles. Je les laisse faire tout ce qu’elles veulent, je suis leur prisonnier, j’adore ça. Elles me lèchent toutes les deux en même temps, puis m’avale chacune à leur tour. Elles se battent entre elles pour m’avoir en bouche :

Mais non ! Pas comme ça, attends, je vais te montrer comment on lui donne du plaisir ! fait l’une avant d’arracher ma queue de l’autre.

Hey ! Ça fait cinq cents ans que je suce des bites, ce n’est pas toi qui vas m’apprendre comment faire. Rends-là moi !

Non ! Je suis la plus âgée, c’est à moi qu’elle revient en premier !

Je t’ai laissée avaler tout le sperme la dernière fois, tu me dois bien ça.

Elles rivalisent à coup de gorges profondes et de caresses buccales grandioses. Je me retiens de ne pas éjaculer trop vite. Je perds la notion du temps quand la brune – soudain – déclare :

Je n’en peux plus, j’ai trop envie de le monter.

Fran me grimpe dessus et s’enfonce ma bite d’un trait dans le vagin sous le regard frustré de sa sur.

Ce n’est pas juste ! Il y en a toujours que pour toi !

Elle bondit sur moi comme une furie. Ses ailes se déploient dans toute leur splendeur sous l’effet du plaisir. Elle se pince les lèvres, les yeux à demi clos. Je place mes mains sur ses fesses pour l’accompagner tout en regardant ses nichons se balancer devant mon nez :

Oooh, frangine, fait-elle. Sa queue est tellement bonne, si tu savais !

Je ne peux pas savoir vu que tu me voles toujours mes jouets ! Vilaine !

Jalouse, Frin s’immisce dans notre étreinte torride en venant s’asseoir sur ma figure :

Lèche-moi, toi. Tu as intérêt à t’appliquer.

Je n’ai aucun contrôle sur ce qui se passe. J’ai plus l’impression d’être l’employé que le client. Je lui fais le cunni qu’elle désire tandis qu’elle gémit sous mes coups de langue. Elle mouille, j’en ai plein sur le menton. Je n’ai jamais rien goûté d’aussi délicieux, en plus, il est dit que c’est aphrodisiaque.

La blonde parvient à convaincre sa sur que c’est son tour. Elle me demande de la prendre en levrette. Après tout ce temps à être passif, je ne suis pas mécontent d’enfin pouvoir donner moi-même les coups de bassins. Je la prends sauvagement, elles m’ont beaucoup trop excité. Fran vient se tenir à mes côtés pour m’embrasser. Je la serre contre moi comme si elle était ma fiancée.

Alors, mon beau chevalier. Tu préfères ma chatte ou celle de ma sur ?

Les deux bien sûr.

Hmm, tu sais comment parler à des succubes, toi.

Et toi, ça texcite de me voir ramoner ta sur ?

C’est surtout l’entendre geindre qui me fait couler. Ecoute-moi cette chienne en chaleur.

Ne parle pas trop vite. Je vais te faire chanter pareil bientôt.

Hmm, j’attends de voir ça.

Elle me délaisse pour se placer en face de Frin. Elle s’assied et écarte les cuisses à quelques centimètres à peine de son visage.

Allez, petite sur, montre à cet humain comment on lèche une chatte de succube.

Elle s’exécute. Elles n’ont décidément aucune pudeur pour faire ça entre surs. Pourquoi n’en suis-je pas surpris ?

Oooh, ouiiii ! geint Fran, tu es la meilleure.

Ayant envie d’en voir plus, je ralentis la cadence pour lui faciliter la tâche. Sauf que plus je les regarde, plus j’ai envie de les défoncer. Je presse la gueule de la blonde sur sa sur pour aider cette dernière à atteindre l’orgasme, sauf que très vite, celle-ci semble se lasser de son cunni. Elle se place à quatre pattes au côté de Frin en remuant du cul comme pour me supplier de la prendre :

Allez, c’est mon tour, viens me la mettre, lâche-t-elle. J’en meurs d’envie.

Pourquoi ferais-je une chose pareille ? fais-je pour jouer avec elle. J’ai déjà un vagin dans lequel je m’amuse très bien.

Parce qu’avec moi, tu peux me la mettre dans le cul.

Hmm, voilà un argument de poids.

Hey ! Ce n’est pas juste ! se plaint Frin lorsque je me retire d’elle.

Je me mets derrière la brune et enfonce ma bite dans son anus. Hmm, je ne me souviens pas de quand est la dernière fois que j’ai eu la chance de faire ça. Je la maintiens par les hanches et l’encule violemment. Mon Dieu, ce que c’est divin, ces filles sont vraiment en train de me rendre dingue.

Mais moi aussi, tu peux me prendre par le cul. J’adore tout autant ça ! s’indigne la blonde.

En guise de protestation, elle grimpe sur sa sur les fesses bien relevées en ma direction pour m’exhorter à m’occuper d’elle. Ça commence à devenir vraiment trop.

Allez ! Viens m’élargir mon petit trou avec ton gros chibre !

Je craque, comment puis-je le lui refuser ? Je sors de Fran pour changer de partenaire. Celle-ci se met à se plaindre à son tour d’avoir les orifices trop vides. J’essaie d’être juste en alternant entre les deux régulièrement. Je n’ai jamais pris un pied aussi monstrueux. Je les fais jouir toutes les deux par leurs portes de derrière, elles m’en redemandent tant elles sont insatiables. J’aimerais beaucoup les satisfaire, mais je commence à atteindre mes limites. Cela fait un bail qu’on baise comme des animaux. Je n’en peux plus, je me lâche, je défonce le cul dans lequel je suis avec la ferme intention de me finir de dedans. Je suis tellement excité que cela vient très vite. Je beugle avant de me mettre à éjaculer au fond de Frin qui a un orgasme avec moi.

Oh oui ! s’exclame-t-elle. Jouis pour moi ! Remplis-moi de sperme !

Hey ! Et moi alors ? proteste sa sur.

C’est moi qu’il a choisi ! C’est moi qu’il préfère !

Putain de salopes ! crié-je.

J’ai l’impression de m’évanouir tant c’est intense, je pense que je n’ai jamais rien vécu d’aussi fort. Je m’écroule, complètement épuisé, mentalement et physiquement. Et dire qu’à l’origine, je venais juste visiter le bordel sans l’intention de consommer, j’aurais vraiment raté quelque chose.

Quoi, c’est tout ? dit l’une en me voyant me reposer.

Tu ne crois tout de même pas que tu vas t’en tirer comme ça ? fait l’autre. On en veut encore, nous.

Je suis désolé les filles, ce n’est pas que je ne veux pas vous faire plaisir, mais vous m’avez vidé.

Je me relève pour me préparer à me rhabiller quand Fran m’en empêche :

Si tu crois que c’est ça qui va te servir t’excuse pour te défiler, c’est mal nous connaître. Il n’est pas question que tu sortes d’ici tant que nous n’ayons pas eu ce que vous voulons.

Je pensais que c’était moi le client, fais-je en plaisantant.

On n’est pas là pour l’argent, on est là pour prendre notre pied.

Ce n’est pas comme si je pouvais y faire grand-chose, rétorquais-je.

Toi non, mais nous oui.

À ces mots, la blonde me jeta un sort qui me redonna de la vigueur. Je me remis à bander instantanément, avec une furieuse envie de baiser comme juste avant mon orgasme.

Putain de bordel de merde, qu’est-ce que vous m’avez fait ?!

C’était une question rhétorique. Dans mon état, je m’en fous, tout ce que à quoi je suis capable de penser, c’est de les sauter. C’est reparti pour un second round. Je pénètre la première qui passe et lui défonce la chatte. J’ai complètement perdu la tête. Je les prends toutes les deux dans toutes les positions. Je les fais jouir à tour de rôle. Je ne vois plus le temps passer. Quand je n’en peux plus, je finis par me lâcher dans le vagin de Fran.

Ah ! Oui ! Putain ! C’est encore meilleur que la première fois ! fais-je.

Je pensais qu’elles seraient satisfaites maintenant, mais non, elles en redemandent. Elles sont sérieuses ? Je commence à me demander si c’est seulement possible à un seul homme de combler une succube. Elles me lancent une nouvelle fois leur sort et je suis prêt à repartir au front. Cette fois-ci, elles me montent l’une après l’autre jusqu’à avoir un orgasme. C’est beau de voir leurs ailes qui frétillent lorsqu’elles sont en train d’atteindre le nirvana. Je craque et jute une nouvelle fois. Elles me forcent ainsi à les baiser toute la nuit. Ayant vite compris leur petit manège, je n’essaie même plus de me retenir. Quand j’ai envie d’éjaculer, j’éjacule, et lâche une bonne quantité de sperme à chaque fois. Je ne compte plus le nombre de fois que je l’ai fait. J’abuse de tous leurs trous. Elles ont les orifices débordant de sperme à force. Je commence à comprendre pourquoi on dit que les succubes sont des créatures dangereuses.

Je suis à bout de force, mais leur magie me donne tellement envie de sexe que je ne peux pas m’arrêter. Si elle continue, je vais mourir d’épuisement. Ce n’est pas si grave, sincèrement, ça serait une belle mort.

Elles me laissent me reposer un peu et s’occupent entre elles un moment. Elles se mettent en position de soixante-neuf et se lèchent le minou pour y récolter mon jus. C’est dingue, elles en raffolent réellement, elles ne font pas semblant, comme si c’était leur première source de nutriment. Je les observe, médusé par ce que je vois. Elles sucent leurs chattes et avalent mon sperme. Des filets gluants relient leurs antres à leurs langues. Elles ont l’air de partager un moment si intime que j’ai l’impression d’être un intrus qui dérange. Je me demande si je ne devrais pas m’éclipser jusqu’à ce que l’une d’entre elles me relance son sort :

Putain ! Les filles ! Vous allez me tuer là !

Rien qu’une dernière fois, c’est promis. Ne t’inquiète pas, on sait ce qu’on fait.

C’est donc reparti. Je m’enfonce dans le cul de la blonde au-dessus et demande à sa sur de me prendre en bouche de temps en temps. Quand je me lasse, je change de côté pour faire de même avec la brune. Malgré le nombre de fois, le plaisir est toujours aussi intense. Elles ne se battent plus désormais, par contre, je reçois des encouragements de l’autre à chaque fois que j’en prends une. Ce sont vraiment des perverses. Cela les excite de voir ma queue baiser leur sur en gros plan.

Elles jouissent toutes les deux encore une fois, autant par ma bite que par leurs bouches, quand j’estime qu’il est temps que ce soit mon tour. Je leur demande de l’aide pour m’aider à me finir en me suçant. Il ne leur faut guère longtemps pour me faire atteindre l’orgasme. Je crie en expulsant de nouvelles giclées de sperme en plein sur la figure. Je les souille de foutre pendant qu’elles gémissent de plaisir.

Oh oui, encore ! geint Fran.

C’est là qu’on voit à quel point elles ne sont pas humaines, on dirait que ça les met en transe.

Malheureusement pour elles, je suis rapidement à sec. Par chance, elles me laissent tranquille cette fois. Elles m’annoncent qu’elles ont enfin eu leur compte et qu’elles ne s’étaient pas autant amusées depuis longtemps. Quelque chose me dit que d’avoir pu satisfaire deux succubes en même temps est une prouesse dont je vais pouvoir me vanter. Je suis tellement épuisé que je n’ai plus la force de bouger. Comme j’ai commandé officiellement pour la nuit, elles me permettent de dormir avec elles. Elles s’installent de part et d’autre de moi, posant leurs têtes sur mon torse. Je les prends dans mes bras, comblé d’être si bien entouré. Nous nous endormons ainsi tous les trois, « reput » de plaisir.

Le « jour » se lève rapidement, à mon grand étonnement. Je savais que nous nous étions envoyés en l’air très longtemps, mais pas à ce point-là. Nous nous réveillons lentement de bonne humeur. Lorsque je fais mine de me rhabiller pour m’en aller, Fran me demande :

Alors, ça t’a plu ? Tu reviendras nous voir ?

Ah ça, vous avez été incroyable, les filles. Je suis votre plus grand fan. Vous pouvez compter sur moi pour devenir votre meilleur client.

Client, ce n’est pas vraiment le bon mot. Pour toi, ce sera toujours gratuit, mon mignon.

Elles ne devraient pas me dire ce genre de choses, je vais avoir envie de passer les voir tous les soirs. Pour me remercier de cette nuit, elles me proposent de tirer un dernier coup ensemble. Je ne peux pas refuser. Je les prends jusqu’à m’en faire jouir avant de les abandonner pour de bon.

Plusieurs jours plus tard, c’est au tour de la taverne d’être inaugurée. C’est un endroit où on peut boire et manger à sa guise, et où les voyageurs de passages peuvent trouver un endroit tranquille où dormir. Plus qu’un autre endroit de détente, c’est ainsi aussi notre porte sur le monde, un moyen pour recueillir des nouvelles du royaume et du monde entier. J’ai engagé Ana, une fille noire des îles du sud, pour s’en occuper. Je ne sais pas grand-chose d’elle hormis que c’est une femme du monde. Elle a énormément voyagé et ne manque jamais d’anecdotes à raconter sur ses innombrables périples. Après avoir mené une vie d’aventures, elle cherche désormais à s’installer tranquillement quelque part. Si elle a décidé de venir dans un domaine appartenant à une démone plutôt qu’ailleurs, c’est parce que les opportunités de se voir propulser directement à la tête d’un tout nouvel établissement sans avoir à dépenser le moindre sou de sa propre poche sont une offre qui ne court pas les rues.

Ce qui l’attire dans ce boulot, c’est de continuer à pouvoir rencontrer des gens venant d’ailleurs tout en ayant son propre foyer. J’avais d’autres candidats plus expérimentés en tête pour ce poste, mais je me suis dit que les contacts qu’elle a gardés un peu partout pourraient m’être utiles un jour.

Je viens la saluer pour voir un peu comment les choses se passent. Le lieu n’a rien de particulier. C’est une taverne banale comme n’importe quelle autre. C’est assez calme pour un premier soir. De toute façon, je ne m’attends pas à ce qu’ils se passent grand-chose ici en général, hormis peut-être quelques bagarres de soûlards. Je commande une bière, puis je retourne dans mes quartiers une fois vidé.

En me couchant, je fais le bilan de l’avancement de ces dernières semaines : une caserne, un bordel, une taverne, les choses progressent bien, mais c’est loin d’être terminé. Il nous faut encore une forge pour produire des armes et des armures, et une armurerie digne de ce nom pour les entreposer. À côté de ça, je dois nous ouvrir plus de lignes de commerce afin d’augmenter nos stocks de nourriture et de biens, agrandir nos réserves pour avoir de quoi soutenir une armée entière, m’occuper de la sécurité, de la logistique, et j’en passe… Lorsque j’aurais fini, le château deviendra une place forte imprenable abritant une véritable petite ville en son sein. Sauf qu’avant d’en arriver là, j’ai encore beaucoup de travail. Je n’ai pas le droit à l’erreur, où Jezabel aura ma tête, littéralement.

Related posts

Marylou, mon amour de nièce – Chapitre 3

historiesexe

Le récit de ma vie – Chapitre 2

historiesexe

Maman l'espace d'un instant – Chapitre 16

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .