Bonjour à tous, je mappelle Marc, 42 ans. Il mest récemment arrivé quelque chose dassez inattendu avec mon fils Quentin, 16 ans.

Quentin est très sportif et participe à de nombreux stages pendant les vacances scolaires. Le dernier avait suscité pas mal de discussions et de réticences, principalement de la part de sa maman (Odette, 40 ans) mais finalement, le fiston a eu gain de cause et a pu aller à ce fameux stage combiné descalade et de parapente.

Il faut apparemment se fier à linstinct maternel car Quentin a fait une chute assez grave et a dû se faire hospitaliser 4 jours avant de pouvoir rentrer à la maison, la jambe droite et lentièreté du bras gauche dans le plâtre, une côte fêlée ainsi que des ecchymoses et autres contusions un peu partout sur le corps.

Nous étions tous les deux tellement contents quil sen sorte avec uniquement de la « casse » que nous ne lui avons pas fait de grand discours et nous en sommes surtout occupés.

Et occupés, nous létions car il fallait laider à faire sa toilette chaque jour, vu son état. Sa maman, magnifique quarantenaire dont la maternité na pas altéré la beauté un peu méditerranéenne et sauvage, ne se sentait plus trop à laise pour ces tâches, vu que notre gamin, 16 ans bien sonnés, était devenu un petit homme Elle ne se voyait pas faire face à la nudité de son fils et ma donc demandé si je pouvais men occuper moi.

Je me suis mis à la tâche et laidais quotidiennement à se laver et shabiller le matin. Cétait devenu un petit rituel, assez comique, entre nous. Je remarquais bien parfois une petite réaction au niveau de son sexe dadolescent mais rien de bien alarmant pour un jeune dont la sexualité séveille. Javais aussi de temps en temps un coup dil pour cet objet que je connaissais finalement assez peu, si ce nest le mien mais bon, cest différent. Je trouvais celui de Quentin un peu plus petit mais lair beaucoup plus soyeux et doux.

Un jour, il avait de la fièvre et me demande de laider à prendre sa température. Je mapprête à lui passer le thermomètre familial pour quil le mette sous le bras, lorsque je le vis baisser son boxer et attendre. Je lui dis « Quentin, que fais-tu, on peut le mettre sous la langue et sous laisselle ». Il me dit « Papa, maman a toujours fait comme ça depuis que je suis petit, je nai pas envie de changer ». Je me rends compte à ce moment que cest toujours Odette qui sest occupé de lui quand il était malade. Je ne bronche donc pas par rapport à cette demande bizarre et prends donc lautre thermomètre, plus petit et le sors de son étui. Je lui demande « Je le glisse tel quel » ? Il me sourit et me dit « Oui, que veux-tu faire ? ». « Non, non, rien, je ne suis juste pas habitué ». Je prends donc le petit cylindre et lapproche des fesses de mon fils. Jentends la respiration de Quentin saccélérer et me demande alors si cette prise de température nest pas un rituel secret entre ma femme et mon fils je vérifierai plus tard. Bref, jintroduis le thermomètre et là, surprise, mon fiston commence à avoir une érection très impressionnante. Je le vois, de derrière, se tortiller et je vois son engin durcir et prendre du volume. Je suis un peu ennuyé mais ne dis rien. Je narrive pas à trouver cela choquant, malgré la situation. Je reprends le thermomètre, contrôle la température mais ne peux pas complètement détacher mon regard de sa tige, devenue longue et dure. Il est toujours sur le ventre, nos regards ne se croisent donc pas, ce qui est plus facile car la situation est assez inédite et déstabilisante. Et me voilà, hétéro confirmé, tendant doucement ma main vers les testicules de mon fils, toutes douces et chaudes. Je leffleure, le sens haleter et continue donc, en prenant son sexe en main, par derrière. Je glisse ma main sous son ventre, afin de pouvoir le caresser dans toute sa longueur, maintenant maximale. Et là, je ne sais ce qui ma pris, mais devant ce postérieur imberbe et finement ciselé, je me suis approché et ai léché doucement, de la base des testicules à lanus, tout en branlant son sexe soyeux. Il na pas été long à venir, son corps sest agité de soubresauts, ses cris étouffés dans loreiller.

Je nai pas attendu que la tension retombe, je me suis levé et lui ai dit, dun air faussement détaché « Bon, ben, je vais te laisser car jai limpression que tu nas plus de température, je vais aller rassurer ta mère »

On en resta là et nous nen avons plus parlé.

Enfin , jusquau jour où

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