Résumé chapitre précédent.
Le temps passait et j’étais devenu Eva quasiment à plein temps. Monsieur m’avait acheté une garde robe, certes imposante mais uniquement constituée d’articles à forte connotation sexuelle. Ce qui fait que je ne sortais jamais, de toute façon, jamais je n’aurai osé me promener habillé en femme dans les rues du centre ville.
Ivan n’invitait plus ses maîtresses à la maison et nous avions des relations sexuelles multiples et très chaudes.
Je commençais à apprécier ma condition d’objet sexuel, à disposition de son maître nuit et jour. J’adorais sa façon de me dominer et de me faire accepter tous ses désirs même les plus hard.
Je n’avais plus de tabous et j’acceptais cette situation, tant qu’elle restait dans un cadre secret.
Une fois par semaine, monsieur se rendait dans sa confrérie, c’était le mardi soir. Je ne sais pas ce qu’il y faisait mais à chaque fois il revenait fortement alcoolisé.
Avec l’alcool, ivan devenait violent et même si nos jeux sado maso étaient assez extrêmes, je redoutais ces moments là.
Ce mardi là, il est rentré vers une heure du matin, il parlait fort et je compris très vite qu’il n’était pas seul.
Je me réfugiais dans ma chambre ne voulant être vu en guêpière et porte jarretelles par un ou des inconnus.
Monsieur s’est mis à crier:
" Eva , ma salope , ramène ton cul je veux te présenter un ami !"
Ça commençait bien, j’essayais d’enfiler un peignoir ou une robe de chambre mais tout ce que j’avais était transparent ou trop explicite.
Monsieur se mit à hurler :
" Espèce de pute, viens ici ou c’est moi qui viens te chercher! "
Là il devenait agressif, je suis allé les rejoindre. En entrant dans la pièce j’ai reçu une gifle mémorable, de celles dont vous vous souvenez une vie entière .
"Je t’ai déjà dit que je voulais que tu obéisses au quart de tour ,regardes moi ça , de quoi j’ai l’air devant mon ami ? "
Il puait l’alcool et sa voix avait les intonations du poivrot typique .
"Je te présente Jacques , c’est comme un frère pour moi , je veux que tu lui obéisses comme si c’était moi , compris … ?? "
Jacques semblait plus vieux que Ivan ,la soixantaine passée , la même corpulence , des cheveux blancs coupés à la militaire et une petite moustache grise qui ornait un visage des plus communs .
En tout cas pas mon type et je n’avais pas envie de devenir la pute de monsieur .
Alors j’ai osé faire une chose que je n’avais pas faite depuis des mois , j’ai dit NON .
"NON ?? "
" Tu vas voire petite salope si tu vas pas obéir , à quatre pattes viens le sucer tout de suite ! "
" NON . "
Monsieur a dégainé sa ceinture et tout en me menaçant il a réitéré son ordre .
Voyant que je ne bougeais pas les coups commencèrent à pleuvoir .
Je me retrouvais rapidement recroquevillé sur moi même , chaque coup me faisait crier de douleur . Jacques contemplait la scène tel un spectateur trouvant cela tout à fait banal .
Puis il a arrêté le bras de monsieur ,il s’est approché de moi , m’a redressé , mon visage à hauteur de son ventre bedonnant , il a dit :
" Je crois qu’elle a compris , n’est ce pas ?"
Dit il en me regardant et le plus naturellement du monde il a fait glisser le zip de sa braguette et a sortit un sexe petit et flasque qui puait la pisse ."
Je le pris en bouche , résigné , je pleurais c’était la première fois qu’Ivan me faisait mal sans que le plaisir soit au rendez vous .
" Voila c’est une gentille fille bien obéissante , c’est très bien fillette continues suces moi bien ! "
Monsieur a voulut participer il s’est saisi de ma tête pour impliquer la cadence .
"Fais moi honneur , voila suces le bien à fond , montres lui combien ma suceuse de bittes est douée !"
" Avales , avales la bien , voila sors ta langue , lèches lui les couilles , regardes comme tu lui fais du bien ! "
Sa bitte était bien moins grosse que celle d’Ivan et je pouvais la garder en bouche tout en jouant avec ma langue a lui exciter les couilles .
Jacques semblait apprécier , je l’entendais grogner de plaisir, je sentis son sexe tressaillir, la jouissance n’était pas loin .
Dans un long râle je reçus une quantité impressionnante de sperme dans la bouche .
J’essayais de le recracher mais ce n’était pas du goût de monsieur qui après trois coups de ceinture me fit comprendre qu’il fallait tout avaler.
Je récoltais les amas de sperme à la base de sa verge, j’avais des hauts le cur.
Autant j’aime le sperme de monsieur autant là ça me dégoûtait.
Mais j’ai tout avalé et je lui ai même suçotait son gland pour le rendre tout propre .
Puis monsieur voulait sa gâterie aussi mais dans l’état ou il était et malgré mes efforts il ne pouvait avoir, ne serait ce qu’un début d’érection . Il s’énervait de plus en plus m’accusant de ne pas faire ce qu’il fallait et de nouveau je reçus des coups de ceintures.
Nouveau chapitre
Je le suçais du mieux que je pouvais et son sexe parut un court instant reprendre de la vigueur suffisamment pour qu’il arrête de me fouetter.
Je continuais, j’avais mal, j’étais blessé à l’extérieur comme à l’intérieur.
Puis je l’ai entendu ronfler, il s’était endormi.
Je me suis dégagé doucement pour ne pas le réveiller et j’ai été presque surpris par la présence de Jacques.
Je me suis dit , c’est vrai qu’il est encore là celui la.
J’ai fait comme ci je ne le voyais pas, espérant qu’il partirait. Je le voyais sourire et je pressentais qu’il ne voulait pas bouger.
Je me suis dirigé vers la salle de bain, en passant devant un miroir j’ai vu ma mine déconfite, échevelée, le maquillage avait coulé de toute part je ressemblais à ces actrices porno qui sortent d’un gang bang.
Je voulais me laver et me coucher mais Jacques m’avait suivi.
Il me dit que je devrai me refaire une beauté. Pour réponse je lui envoyais mon regard le plus noir.
Il s’est approché de moi et doucement m’a dit:
"Tu veux que je réveille Ivan pour qu’il te ré explique que tu dois m’ obéir?"
Il me tenait par les cheveux et devenait menaçant.
J’ai dit non et nous sommes entrés ensemble dans la salle de bain .
Je me suis démaquillé sous le regard de Jacques, regard intéressé quand je me suis remaquillé il a choisi lui même le rouge à lèvres, il passait derrière moi me caressait la croupe ou passait sa main dans mes cheveux.
Puis il a décidé de me passer de la crème sur les marques qui zébraient mon dos et mon cul.
Ce fut très agréable après ce moment de brutalité intense quelqu’un était doux avec moi. Puis ces caresses se concentrèrent exclusivement sur mon cul et plus particulièrement sur ma rosette.
Je l’ai senti se coller contre moi, sa main droite a entourée mon corps pour se saisir de mon sexe.
Il me masturbait divinement, il m’embrassait dans le cou.
J’ai senti son petit sexe s’introduire en moi, je n’ai pas résisté et je suis allé à sa rencontre.
Sans doute le fait qu’il me caresse a décuplé mon plaisir, jamais monsieur ne touchait mon sexe.
Jacques me limait avec ardeur c’était bon, c’était doux.
Après une bonne dizaine de minutes, il s’est retiré et d’une pression sur les épaules m’a fait comprendre qu’il fallait que je finisse le travail en bouche.
Sur les genoux j’ai pris son sexe en bouche, j’étais étonné parce qu’il avait repris sa taille au repos.
J’ai quand même pris son zizi tout mou en bouche c’était une drôle de sensation puis il m’a fait prendre ses couilles et sa verge en même temps .
J’avais le service trois pièces dans la bouche .
Au bout de quelques secondes tandis qu’il me branlait j’ai senti un liquide chaud qui n’était pas du sperme se déversait sur ma langue.
Il me pissait dans la bouche j’ai voulu me dégager mais il s’est saisi de mes couilles et en serrant très fort m’a dit:
" Avales ou je t’éclate les couilles ! "
Je me suis mis à avaler par petites gorgées tandis qu’il reprenait ses caresses sur mon sexe.
J’ai joui dans l’instant, avec de puissants jets de sperme .
C’était bon,tellement bon .
Le lendemain matin j’avais 40 de fièvre.