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Vacances en camping-car – Chapitre 12




— Je sais pas vous, mais moi j’ai chaud, dit Gaby.

Elle se débarrassa aussitôt de son maillot de bain une pièce qu’elle balança dans un coin de la chambre.

— Allez, à vous, les filles, dit-elle en se touchant les seins.

Aussitôt, Priscilla et Pauline l’imitèrent et, bientôt, je me retrouvai face à trois nanas nues des pieds à la tête. Gaby avait un sexe poilu, quelques jolies formes au niveau des hanches, et une grosse paire de seins avec de larges aréoles roses, Pauline était rasée de frais, avec des lèvres charnues et de jolis seins que j’avais hâte de prendre en bouche, et Priscilla avait une grosse poitrine et un sexe qui, aujourd’hui, était rasé, contrairement au jour de notre première fois. Bref, en les regardant toutes les trois, mon palpitant s’emballa à nouveau.

— On fait quoi maintenant ? Demanda Pauline.

— Il faut qu’on s’occupe de la petite, comme on s’est promis…

— Comment ça « comme vous vous êtes promis » ? Demandais-je.

— Depuis qu’on a couché ensemble toi et moi, répondit Priscilla, les filles meurent d’envie de faire des cochonneries avec toi…

— C’est pour ça qu’on est allées te chercher à la piscine, rajouta Pauline, pour pouvoir t’emmener ici et s’amuser avec toi.

— Donc vous allez me faire quoi ? Demanda Marion.

— On va bien s’occuper de toi, ma chérie, promis…

Aussitôt, Priscilla se dirigea vers moi, m’écarta les jambes en grimpant sur le lit puis, elle plongea sa tête dans entre elles, avant de me dévorer le sexe à grands coups de langue. Je me cambrai aussitôt de plaisir et, quand Gaby vint se mettre à côté de moi pour me lécher et me mordiller les seins, j’ai l’impression de ne plus rien contrôler tant mon corps est bouillant de plaisir.

Dès les premières secondes où je commence à laisser échapper des gémissements de plaisir, Pauline me fait taire en venant m’embrasser à pleine bouche, tout en me caressant le sexe pendant que Priscilla continuait de me le manger.

— Laisse-la-moi, elle sera à toi après, fit Priscilla après quelques secondes, en repoussant les doigts de la belle blonde.

— Comme tu veux, répond Pauline avant de me reprendre la bouche.

Les entendre se disputer mon corps de la sorte m’excite à nouveau au maximum, et j’aimerais leur rendre la pareille mais, comme je suis toujours ligotée, je ne peux pas faire grand-chose.

Comme si elle lisait dans mes pensées, Gaby se redressa, se mit debout au-dessus de moi puis, elle fléchit les jambes de façon à ce que son sexe arrive à hauteur de mon visage. En voyant sa toison pubienne légèrement poilue, j’aurais préféré que ça soit Pauline qui m’offre sa vulve de la sorte, mais je ne rechigne pas pour autant, et bientôt, ma langue se mit à lécher le sexe de la brunette. Quant à Pauline, elle récupéra la place que venait de libérer Gaby, et s’attaqua à mes seins qu’elle prit un malin plaisir à suçoter, mordiller et aspirer. Putain, que c’était bon !

— Mais tu fais ça bien ! S’exclama Gaby au fur et à mesure que je lui bouffais la chatte.

— Je te lavais dit, elle se débrouille bien, pour une débutante, répondit Priscilla qui était en train de me doigter l’entrejambe à toute vitesse.

Voyant son amie me fouiller le sexe, Pauline arrêta de jouer avec ma poitrine pour la sermonner gentiment.

— Évite de la faire jouir maintenant, ma puce, moi aussi j’ai envie de jouer avec elle.

— T’en fais pas, il y en aura pour tout le monde…

En guise de réponse, Pauline approcha son visage de celui de Priscilla, et elles s’embrassèrent langoureusement. À mon avis, elles avaient déjà dû bien s’amuser en mon absence, toutes les trois, c’était pour ça qu’elles étaient si à l’aise, et j’aurais donné cher pour pouvoir assister à une de leurs parties de jambes en l’air.

Je fus tirée de mes pensées en sentant Gaby se retirer de ma bouche puis elle alla rejoindre Priscilla entre mes jambes.

— A mon tour, dit-elle.

— OK, ma chérie…

La métisse laissa donc sa place à Gaby qui, aussitôt, me prit les jambes, les leva, et Priscilla qui s’était accroupie au-dessus de mon visage pour que je lui mange l’entrejambe les attrapa et les tira doucement vers elle avant de les maintenir fermement.

— Merci, ma jolie, dit Gaby à Priscilla.

— Je t’en prie…

Aussitôt, Gaby se redressa pour pouvoir être à hauteur de mon sexe et le lécha délicatement de haut en bas, avant d’écarter mes lèvres pour pouvoir titiller mon clito du bout de la langue. Une fois de plus, des décharges électriques me traversèrent tout le corps, mais je ne pus faire le moindre bruit puisque ma bouche était envahie par la minette suintante de Priscilla.

Bientôt, je sentis une deuxième langue s’insinuer dans mon antre chaud, et je compris aussitôt que Pauline avait rejoint Gaby. Elles étaient à présent deux à s’occuper de mon entrejambe, et je sentais régulièrement une langue déraper légèrement sur mon petit trou, ce qui ne me déplaisait pas.

Une fois de plus, j’eus l’impression qu’on venait de lire dans mes pensées car, tout d’un coup, je sentis deux mains m’écarter doucement les fesses et, pendant que l’une me bouffait la minette, l’autre me lapait délicatement la rondelle.

— Elle a l’air d’aimer ça, remarqua Gaby.

— Ça m’étonnerait pas qu’elle soit déjà habituée, répondit Priscilla qui avait la voix saccadée par mes coups de langue.

— J’ai une idée, dit Pauline.

Aussitôt, la langue qui s’occupait de mon sexe disparut, puis j’entendis un bruit de fermeture éclair quelque part dans la chambre, avant que la voix de Pauline résonne à nouveau entre mes jambes.

— Ah, très bonne idée ! S’exclama Gaby.

— Oui, j’en ai toujours un avec moi…

— Pousse-toi un peu, Priscilla, histoire qu’elle voit de quoi on parle !

Aussitôt, Priscilla se dégagea de ma bouche, et je vis alors Pauline à côté de moi qui, toute fière, me montrait un gode en forme de phallus d’une bonne vingtaine de centimètres, sur lequel elle était en train d’enfiler une capote.

— Ça te tente ? Me demanda-t-elle.

— Oui, mais… doucement !

— Promis, ma chérie…

Elle disparut à nouveau entre mes jambes et, avant que je n’aie le temps de faire quoi que ce soit, Priscilla se remit à califourchon sur moi pour que je reprenne là où je m’étais arrêté quelques secondes auparavant.

Rapidement, je sentis le gode Pauline s’insinuer doucement dans mon sexe puis, bientôt, elle commença un va-et-vient qui m’électrisa à nouveau de plaisir. Qu’est-ce que c’était bon ! Moi qui n’avais jamais essayé d’utiliser ce genre de jouet, je dois dire que, même si je préfère bien évidemment les coups de reins de mon frère, les sensations que procurait ce gode étaient également fabuleuses, et je me promis aussitôt de m’en offrir un dès que j’en aurais l’occasion.

En sentant ce morceau de plastique s’agiter entre mes jambes, sans compter Gaby qui continuait de me lécher le cul, j’eus beaucoup de mal à tenir en place tant j’étais frémissante de plaisir et d’excitation. J’avais l’impression que, plus ça allait, plus le gode s’enfonçait profondément en moi, et plus le plaisir qui m’envahissait décuplait.

— Laisse-moi faire, dit soudainement Gaby. Je suis sûre que cette petite salope peut encaisser beaucoup mieux que ça !

Aussitôt, je sentis que le gode changeait de main et, bientôt, les allers-retours dans mon sexe reprirent, mais à un rythme beaucoup plus effréné. Cette fois-ci, même si ma bouche était occupée à lécher la minette de Priscilla, j’eus beaucoup de mal à me retenir de gémir, et la jolie métisse le remarqua aussitôt.

— Eh ben, tu lui fais de l’effet ! Lança-t-elle à Gaby.

— Tant mieux…

Elle continua de me pilonner fougueusement avec le jouet en plastique et, quand Pauline se mêla à la danse en me léchant en même temps l’entrejambe, j’étais au bord de l’orgasme. Au bout de quelques secondes, je sentis mon sexe exploser d’un coup et, aussitôt, la voix de Gaby résonna.

— Putain, elle m’a giclé dessus !

Priscilla me lâcha aussitôt les jambes et, quand elles retombèrent sur le lit, je vis Gaby s’essuyer le visage d’un revers de la main, avant de se lécher les doigts. Quant à Pauline, elle passa sa langue chaude sur mes lèvres humides, remonta jusqu’à mon nombril, puis ma poitrine, et enfin, elle m’embrassa tendrement.

— Alors, ça t’a plu tout ça, ma jolie ? Demanda-t-elle.

— Oh que oui…

— T’en veux encore ?

— Pourquoi pas, tu proposes quoi ?

Aussitôt, Pauline s’allongea sur le lit, et m’invita du doigt à la rejoindre.

— Un petit soixante-neuf, ça te tente ?

En guise de réponse, je lui adressai un beau sourire, avant de me coucher tête-bêche sur elle pour lui manger l’entrejambe et, en la sentant en faire de même, des bouffées de chaleur envahirent aussitôt mon bas-ventre.

Après quelques secondes, je sentis deux mains m’agripper les hanches afin de me redresser la croupe puis, un doigt effleura doucement mon petit trou, avant de se glisser dedans.

— Ça va ? Me demanda Priscilla.

— Oui, mais doucement, sil te plaît…

Priscilla entama aussitôt un léger va-et-vient avec son index, tout en complétant de temps en temps ses caresses par quelques coups de langue pour humidifier mon conduit. Ça aussi, c’était bon et, moi qui n’étais pas encore complètement habituée à cette pratique, je trouvais quand même qu’elle faisait ça très bien.

— Occupe-toi de moi pendant que je m’occupe d’elle, dit tout d’un coup Gaby.

Priscilla retira immédiatement son doigt de mon cul, puis, quand je sentis quelque chose de dur et froid tenter de s’immiscer entre mes fesses, je cessai de manger la minette de Pauline pour regarder ce qui se passait derrière moi.

Je vis aussitôt que Gaby tentait de m’enfoncer doucement le gode entre les fesses pendant que Priscilla était couchée sous elle, en train de lui lécher la chatte et, quand elle me vit, la brunette me fit un sourire.

— C’est un peu serré par-là, non ? Me demanda Gaby.

— Ça m’étonne pas…

Je retournai aussitôt m’occuper du sexe de Pauline qui était dégoulinant de mouille, pendant que Gaby continuait de jouer avec mon petit trou. Quand je sentis le gode s’enfoncer de quelques centimètres, je ne pus m’empêcher de grimacer et de me crisper, ce que la blonde remarqua aussitôt.

— Ça va, ma chérie ? Me demanda Pauline.

— Oui, t’en fais pas…

Quand je sentis le gode aller et venir doucement dans mon petit trou, je me détendis aussitôt. La sensation était bizarre, certes, mais plus ça allait, plus ça me plaisait. Seulement, comme je m’étais promis que la première personne qui explorerait en profondeur cette partie de mon anatomie serait mon frère, je décidai de mettre fin à cette pratique.

— Finalement, arrête sil te plaît, Gaby.

— Déjà ?

— Oui, c’est… réservé !

— OK, dommage…

Je sentis aussitôt le gode se retirer de mes fesses puis, la langue de la brunette se mêla à celle de Pauline et, toutes les deux, elles continuèrent de me manger le minou dans tous les sens. Allais-je jouir une deuxième fois ? À mon avis, à ce rythme-là, cela n’allait pas tarder.

Quant à Priscilla qui était toujours coincée entre les jambes de Gaby, elle ramassa le gode que cette dernière venait de poser par terre puis, elle l’enfourna dans son antre chaud, ce à quoi Gaby réagit par un petit cri de surprise.

Nous continuons donc nos cochonneries pendant quelques minutes puis, Pauline se redressa et se laissa tomber sur le côté, haletante.

— C’était vraiment… wahou ! S’exclama-t-elle.

Aussitôt, Gaby et Priscilla cessèrent également leurs activités respectives, et la brunette en profita pour me détacher les bras.

— Ça va ? Me demanda-t-elle.

— Oh que oui, je m’attendais pas à ça…

— Tu peux aller prendre une douche, si tu veux, avant d’aller rejoindre tes parents, proposa Pauline.

— Volontiers, merci…

Ruisselante de mouille et de sueur, j’attrape rapidement mes quelques affaires qui traînaient dans la chambre, puis, après que Pauline m’ait indiqué où se trouvait la salle de bains, je m’y dirige et m’y enferme.

Quelques secondes après, je me retrouve sous la douche et, alors que l’eau ruisselle sur mon corps, je me remémore la partie de jambes en l’air que je viens de vivre avec ces trois délurées. C’était tellement bien et j’ai tellement de plaisir en y repensant que je n’entends pas la porte de la salle de bains s’ouvrir et se refermer doucement.

Quelques secondes après, je sursaute quand je sens deux mains m’agripper les seins, et une poitrine généreuse s’écraser contre mon dos.

— Ça va, ma chérie ?

Reconnaissant la voix de Priscilla, je me retourne aussitôt pour lui faire face et, quand je la vois ainsi, nue, dégoulinante d’eau et avec un sourire espiègle illuminant son beau minois, je ne peux m’empêcher de frémir à nouveau.

— Ça va très bien, je réponds, tout en posant mes mains sur ses hanches.

Nous nous embrassons ensuite langoureusement pendant quelques secondes puis, quand notre baiser s’arrête, les mains de Priscilla redescendent sur mes fesses qu’elle agrippe fermement.

— Tu regrettes pas de nous avoir suivis jusqu’ici ? Me demande-t-elle.

— Non, pas du tout…

— Tant mieux…

Sa bouche se colle à nouveau à la mienne et, alors que nos langues se mélangent à nouveau, j’ai une terrible envie de la faire jouir, comme pour la remercier pour le moment que nous venions de passer. Aussitôt, une main se glisse entre ses jambes, et j’enfourne son sexe de deux doigts, avant d’entamer un va-et-vient frénétique.

— T’en redemandes ? Me demande-t-elle.

— Non, j’ai eu ce quil fallait, mais pas toi, je pense…

Je la plaque aussitôt contre le mur et, tout en l’embrassant à nouveau, mes doigts continuent de lui fouiller la minette à toute vitesse, si bien que je la sens rapidement se cambrer.

— T’aimes ça quand je te branle ?

— Oui, je… j’adore… ça !

— Tu veux que je te fasse jouir ?

— Oui, s’il te plaît…

— Pas de problèmes.

J’accélère aussitôt la cadence de mes mouvements, tout en lui titillant le clitoris avec mon pouce et, après quelques secondes, Priscilla pousse un gémissement de me plaisir, avant de me repousser doucement.

— Tu m’as eu, me dit-elle, avant de m’embrasser à nouveau.

— Tant mieux…

J’attrape aussitôt un flacon de gel douche, en fait couler dans ma main puis, je me savonne le corps des pieds à la tête, avant d’en faire de même avec Priscilla. Nous passons ensuite les quelques minutes qui restent à nous frictionner mutuellement nos corps enduits de mousse et, une fois que nous avons terminé et que nous nous sommes rincés, nous nous embrassons tendrement une dernière fois avant de sortir de la douche.

— Tu repars quand ? Me demande Priscilla alors qu’elle se rhabille.

— Dans quelques jours…

— Dommage.

— Ouais, je sais…

— Et avec ton frère, vous en êtes où ?

— Comment ça, on en est où ?

— Vous allez continuer de niquer tous les deux ?

— Jusqu’à la fin de ces vacances, oui. Après, non.

— Vous saurez vous retenir ?

— Il faudra bien, oui, je réponds à contrecur.

— Je sais que, si moi j’avais une sur aussi belle et coquine que toi, j’aurais du mal à me retenir…

Je lui réponds par un énième baiser puis, une fois toutes les deux habillées, nous sortons de la salle de bains et retrouvons Gaby et Pauline, toujours nues, en train de boire un verre dans le salon du mobile-home.

— Alors, vous avez remis ça ? Nous demande Pauline.

— Non, c’est juste moi qui ai eu droit à un petit… remerciement ! Répondit Priscilla en souriant.

— La chance…

Je récupère ensuite mon sac à main, enroule le bas de mon corps dans ma serviette puis, je me tourne une dernière fois vers les trois nanas.

— Merci pour tout…

— De rien, ma chérie, on s’est bien amusé ! Me répond Pauline.

— C’est le moins qu’on puisse dire…

Je m’approche d’elle puis, je l’embrasse rapidement, tout en posant une main sur un de ses seins.

— Bonne fin de vacances, lui dis-je.

— Merci, et ravie d’avoir fait ta connaissance…

Je me tourne ensuite vers Gaby qui a la poitrine luisante de transpiration.

— Priscilla avait raison, tu te débrouilles bien, me dit-elle.

— Toi aussi, t’as l’air d’être une sacrée chaudasse !

— C’est vrai que j’aime le cul…

Je lui réponds par un sourire, puis, je l’embrasse tendrement avant de me tourner vers Priscilla.

— Tu resteras ma première fois avec une fille…

— Et vu comme tu te débrouilles, je suis sûre que ça sera pas la dernière !

— Pourquoi pas ? Faut jamais dire jamais…

Je l’embrasse une dernière fois langoureusement puis je leur adresse un rapide signe de la main avant de quitter le mobile-home. Décidément, la dernière heure que je venais de passer en compagnie de ces trois nanas aura été mémorable !

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— Wahou !

Après avoir lu ce chapitre écrit par Marion, j’étais sur le cul d’apprendre que ma sur avait batifolé dans mon dos, et surtout, avec trois nanas qui avaient l’air d’être chaudes comme la braise !

Pendant ma lecture, je m’étais retourné à plusieurs reprises pour regarder Marion et, en voyant qu’elle avait les jambes écartées, la culotte enlevée et qu’elle se caressait en m’écoutant narrer ses propres aventures, j’avais eu du mal à rester concentré jusqu’à la fin.

De plus, j’avais moi aussi une gaule d’enfer, mais je m’étais retenu de me soulager devant elle de peur que cela gâche tout, contrairement à elle qui n’avait eu aucun remords à jouer avec sa minette devant mes yeux ébahis et affamés.

— Alors ? Me demanda Marion, la chatte toujours à l’air libre.

— C’est bien écrit, je réponds.

— C’est tout ?

— Non, c’est pas tout, j’en reviens pas que tu aies fait tout ça !

— Quand j’y repense, moi non plus, tu sais…

— T’en as rajouté ?

— Non, tout ce que tu as lu s’est vraiment passé, il y a aucun rajout.

— Pourquoi tu ne m’en as jamais parlé ?

— Je voulais pas que tu sois jaloux, c’est tout…

Il y eut un silence de quelques secondes, puis elle reprit la parole.

— Ça t’a quand même plu ?

— A ton avis ?

Je me lève aussitôt de mon fauteuil pour lui montrer la bosse qui déforme mon entrejambe et, en la voyant, Marion ne peut s’empêcher de sourire.

— Effectivement, ça t’a fait de l’effet. Pourquoi tu t’es pas…

— Branlé ? Je sais pas, sans doute parce que j’aurais eu du mal à terminer la lecture, si j’avais fait ça…

— Je vois…

— Et toi, pourquoi tu t’es caressée en m’entendant lire tes propres aventures ?

— Parce que ça m’a terriblement excitée d’écrire ce chapitre, et ça m’a encore plus excitée de te voir le découvrir…

Je lui réponds par un hochement de tête puis mon visage se tourne vers l’ordinateur, et je parcours à nouveau l’histoire en diagonale.

— Il y a un truc que je comprends pas, finis-je par dire après quelques secondes.

— Quoi ?

— L’autre jour, quand t’as découvert que j’avais raconté nos aventures sur Xstory, tu mas fait une scène car j’avais mis nos vrais prénoms, n’est-ce pas ?

— C’est vrai, oui…

— Dans ce cas-là, pourquoi avoir décidé d’écrire ce chapitre ? Ça va pas arranger ta réputation, si quelqu’un te reconnaît…

— Parce que ça m’excitait, tout simplement. Le reste, je m’en fous !

Il y eut un nouveau silence et, cette fois-ci, c’est moi qui le rompis.

— T’es consciente que maintenant, à cause de toi…

— T’as enfin de faire des cochonneries, c’est ça ?

— Exactement…

— Dans ce cas-là, tu as qu’à te finir ici, si tu veux, je vais aller faire à manger, pendant ce temps-là, déclara Marion en remettant sa culotte.

— C’est pas ça que j’imaginais…

— Quentin !

En l’entendant hausser le ton, je sursaute.

— On avait dit qu’on ne recommencerait plus ! S’exclama Marion.

— Je sais, mais…

— Il y a pas de « mais » ! On a passé beaucoup de bons moments ensemble, je dirais jamais le contraire, mais on ne peut pas continuer, on est jumeaux, bordel !

— Tu viens de te branler devant moi, je te rappelle !

— Et alors ? Je suis dans ma chambre, je fais ce que je veux ! En plus, je te rappelle que j’ai un mec, maintenant, donc toi et moi, c’est terminé !

Sur ses dernières paroles, Marion se leva et quitta la chambre. Quant à moi, je restai quelques secondes sans rien dire, déçue que Marion ait refusé une nouvelle partie de jambes en l’air et, après avoir jeté un dernier regard sur le chapitre que je venais de lire, je fermai la page et quittai la chambre, tandis que la bosse entre mes jambes diminuait petit à petit.

Arrivé au rez-de-chaussée, Marion était déjà en train de s’affairer à nous préparer des croque-monsieur. Je la regardai faire pendant quelques secondes, sans rien dire, puis, j’allais la rejoindre afin de l’aider.

Quelques minutes après, nous mangeons devant la télé, devant une émission de télé-crochet dont nous étions tous les deux friands, et nous n’échangeons aucun mot, comme si un malaise s’était installé entre nous.

Une fois le repas terminé, je pose les assiettes et les couverts sur un plateau puis, je vais les ranger dans le lave-vaisselle avant de le mettre en marche. Lorsque je reviens sur le canapé et que je m’assois à nouveau près de Marion, je constate que celle-ci a les yeux embués de larmes, ce qui m’interpelle immédiatement.

— Ça va ?

— Oui, t’en fais pas, c’est cette chanson qui… me fait pleurer à chaque fois !

En entendant la chanson en question, « Someone like you » d’Adèle chantée par une candidate qui avait un timbre de voix très particulier, j’écoute le reste de sa prestation sans rien dire, tout en jetant de temps en temps un regard à Marion qui continue de pleurer. D’un geste plein de tendresse, je passe mon bras derrière elle pour l’attirer vers moi et, aussitôt, Marion pose sa tête sur mon épaule, sans lâcher la télé des yeux. Nous restons ainsi pendant quelques minutes puis, quand la chanson se termine, Marion se redressa avant de me regarder droit dans les yeux.

— Désolé, me dit-elle.

— C’est pas grave, ça arrive à tout le monde de chialer…

Ma main se posa sur sa joue pour essuyer une dernière larme qui coulait, et elle me la repoussa aussitôt gentiment, comme si elle avait peur que ce geste se transforme en caresse, puis en galipettes sur le canapé.

— Tu veux un dessert ? Me demanda-t-elle en se levant.

— Ça ira, merci…

Je la regardai ensuite se diriger vers la cuisine, et mes yeux ne purent se détacher de son joli fessier qui, simplement vêtu d’une culotte, dodelinait de droite à gauche. Qu’il était beau, qu’il était appétissant, qu’il était… Putain, qu’est-ce que j’en avais envie ! En plus, malgré ce que m’avait dit Marion quelques minutes plus tôt, elle s’était quand même caressé la minette juste à côté de moi, donc j’étais persuadé quelle aussi en mourait d’envie.

Quand elle revint s’asseoir à côté de moi quelques secondes après pour manger un yaourt, j’avais du mal à rester concentré devant la télé et, plus ça allait, plus je regardais du coin de l’il ses jolies jambes nues.

— Arrête…

En l’entendant me dire ça, je sursautai aussitôt et, en constatant qu’elle me regardait avec un rictus d’agacement sur le visage, je me sentis aussitôt gêné d’avoir été pris sur le fait de la sorte.

— Quoi ? Je demandai.

— Arrête de me bouffer des yeux ! Tu crois que je te vois pas faire ?

— Désolé, c’est plus fort que moi…

— J’avais cru remarquer, oui…

— En même temps, avec ta tenue, j’ai l’impression que tu fais tout pour m’aguicher !

— Tu veux que j’aille me changer ?

— Pas la peine, mais je peux pas te promettre que je recommencerai pas à te reluquer !

— T’es chiant…

Elle se replongea aussitôt dans le télé-crochet sans rien dire mais, tout d’un coup, sans savoir pourquoi, je me sentis l’âme d’un grand joueur. C’est ainsi que, doucement, je posai ma main sur son genou, mais sa réaction fut immédiate puisqu’elle me la repoussa aussitôt.

— Arrête, me dit-elle.

J’attendis quelques secondes puis, délicatement, je posai à nouveau ma main au même endroit.

— Mais arrête jai dit, putain ! S’exclama Marion en me la repoussant à nouveau.

Une nouvelle fois, j’attendis quelques secondes avant de recommencer le même geste, même cette fois-ci, en posant ma main sur le haut de sa cuisse.

— Putain, tu veux que je t’en colle une ou quoi ?

— Pourquoi tu te laisses pas faire ? T’en meurs d’envie !

— Oh que non !

— Tu rigoles ? Si c’était pas le cas, t’aurais pas rajouté ce chapitre à mon histoire, tu m’aurais pas balancé ta culotte l’autre jour, et tu te serais pas caressée devant moi tout à l’heure !

— Ça n’a rien à voir…

— Mais si, arrête de mentir !

Je repose une nouvelle fois ma main sur sa cuisse et, cette fois-ci, quand elle tente de me repousser, je l’en empêche.

— Laisse-toi faire, lui dis-je.

— Je peux pas…

— Mais si, tu peux !

— Mais j’ai un copain, je te rappelle, et…

Quand ma main remonta sa cuisse jusqu’à arriver sous son short, sa phrase resta en suspens, et ses yeux ne quittèrent pas les miens.

— Alors ?

— Tu me rends folle, me répond-elle.

Prenant cela comme une invitation à aller plus loin, ma main s’enfonça plus profondément sous son short avant de se poser sur le devant de sa culotte qui était humide, et je sentis aussitôt Marion réprimer un soubresaut, comme si ce simple effleurement l’avait troublée.

— C’est déjà un peu mouillé, dis-je en souriant.

— Ça t’étonne ?

— Non, ça m’excite…

Ma main se mit à faire des gestes circulaires sur le devant de sa culotte et, aussitôt, Marion ferma les yeux et pencha sa tête en arrière. Ça y est, elle se laissait enfin aller. Je continuai donc pendant quelques secondes supplémentaires puis je retirai ma main de son short afin de la passer délicatement sous son tee-shirt.

Une fois de plus, elle se laissa faire sans broncher et, quand je sentis sa poitrine nue sous mes doigts, ma deuxième main alla rejoindre la première, et je lui pelotai les seins. Sa peau était douce, et ses petits tétons étaient déjà tout durs, ce qui prouvait une fois de plus qu’elle réagissait positivement à mes caresses.

Je continuai donc de lui tripoter les seins pendant quelques secondes puis, alors qu’elle se tourna vers moi pour me regarder avec envie, mes lèvres se posèrent sur les siennes. Quand nos deux langues se mélangèrent, des décharges électriques envahirent tout mon corps, comme si c’était la première fois que nous nous embrassions et que nous étions en pleine découverte l’un de l’autre. Cette bouche, je la connaissais par cur, et pourtant, c’était à chaque fois un régal de m’en repaître.

Lorsque le baiser s’acheva, Marion se débarrassa de son tee-shirt d’un geste empressé avant de l’envoyer valdinguer à l’autre bout de la pièce et, sans qu’elle ait le temps de dire quoi que ce soit, je pris ses tétons en bouche avant de les suçoter l’un après l’autre.

Marion se cambra sous l’effet de mes coups de langue et, quand je lui écartai délicatement les jambes avant de plonger une main dans sa culotte, je la sentis aussitôt tortiller du bas-ventre.

Dès que mes doigts rentrèrent en contact avec son sexe, je sentis immédiatement que celui-ci étant bouillant et, lorsque je commençai à tripoter ses fines lèvres, j’eus l’impression que la température ambiante de son entrejambe grimpa encore de plusieurs dizaines de degrés.

— Putain… c’est… bon ! S’exclama Marion, haletante.

— Tu regrettes pas d’avoir cédé ?

— Pas… pour… l’instant !

— Tant mieux…

Je cessai aussitôt de lui manger les seins puis, j’attrapai son short et lui baissai jusqu’aux genoux. Une auréole se dessinait sur le devant de sa culotte et, lorsque je commençai à lui ôter, Marion m’interrompit.

— Tu veux pas que je m’occupe un peu de toi, d’abord ? Me propose-t-elle.

— Pourquoi pas…

— Enlève ton pantalon alors, mon mignon…

Je lui obéis aussitôt et, quelques secondes après, j’envoyai valser mon pantalon derrière le canapé. Sans se faire attendre, Marion se mit accroupie devant moi puis, elle baissa mon boxer, et mon sexe déjà au garde à vous depuis longtemps émergea aussitôt de sa prison de tissu, fièrement dressé et prêt à l’emploi.

— Salut toi, dis Marion avant d’empoigner mon chibre.

— Il t’avait manqué ?

— Un peu, oui, je dois bien le reconnaître.

Tout en m’astiquant le sexe d’une main, elle se mit à me lécher les testicules, tout en me regardant d’un air coquin, puis, sa langue remonta le long de ma bite, et elle l’enfourna dans sa bouche. Quand ses lèvres se posèrent sur mon gland, je me crus au paradis. Depuis nos aventures en Espagne, j’avais connu quelques aventures avec d’autres nanas, mais jamais l’une d’elles ne m’avait fait le même effet que ma sur, et j’espérais qu’elle avait le même ressenti me concernant.

Elle continua donc de me sucer avec application pendant quelques minutes, tout en continuant à me jeter des regards lourds de sens. Putain, qu’est-ce qu’elle m’excitait cette coquine, il s’en fallait de peu pour que je crache la purée, à mon avis, et, comme si elle lisait dans mes pensées, elle passa un dernier coup de langue sur mon gland avant de s’arrêter.

— Ça va ? Me demanda-t-elle.

— Oh que oui…

— Tant mieux…

Elle se mit ensuite à califourchon sur moi pour m’embrasser fougueusement et, quand sa poitrine s’écrasa sur la mienne et que ses tétons durs se frottèrent aux miens, j’eus à nouveau l’impression que le Paradis m’ouvrait ses portes. Sans rompre notre baiser, ma main retrouva le chemin de sa culotte, et deux doigts se glissèrent dans son sexe avant de le trifouiller à toute vitesse. Comme si elle était sur un manège à sensations fortes, les mains de Marion se cramponnèrent aussitôt à mes épaules, et elle posa sa tête sur mon torse pendant que je continuais de lui fouiller le sexe.

— J’ai envie de te baiser, finis-je par lui susurrer à l’oreille.

— Volontiers…

— T’as des capotes ?

— Non, mais t’en fais pas pour ça, j’ai ce quil faut.

— Tant mieux…

Je sortis aussitôt ma main trempée de sa culotte, la portai à sa bouche pour qu’elle me lèche les doigts puis, alors que je m’apprêtais à enfourner mon sexe dans le sien, Marion me stoppa gentiment.

— Pas ici, s’il te plaît, me dit-elle.

— Pourquoi ?

— Parce que j’ai pas envie que les parents nous surprennent, et en plus, ça me ferait bizarre de me faire baiser en plein milieu du salon familial…

— Donc tu proposes quoi ?

— Qu’on aille dans ma chambre…

— Comme tu veux…

Nous ramassons aussitôt nos vêtements que nous avions balancés aux quatre coins du salon puis nous nous dirigeons ensuite vers le couloir qui accédait aux chambres. Marion marchait devant moi, simplement vêtue de sa petite culotte et, en voyant ses petites fesses dodeliner et son dos nu, une pulsion m’envahit. Je lâchai aussitôt mes vêtements qui tombèrent en boule par terre puis, je plaquai Marion face contre le mur le plus proche avant de lui baisser furieusement sa culotte.

— Désolé ma chérie, mais je vais pas pouvoir attendre, lui dis-je, avant de lui mordiller le lobe de l’oreille.

— T’es chiant…

— J’y peux rien si tu m’excites !

Avant qu’elle n’ait le temps de répondre quoi que ce soit, mon sexe prit entièrement possession du sien, et je commençai aussitôt à la prendre en levrette. Comme d’habitude, j’y allai d’abord doucement puis, plus Marion gémissait bruyamment, plus j’accélérais le rythme, si bien que, pour finir, je lui défonçais copieusement l’entrejambe, tout ayant passé un bras autour de sa taille, et en lui tirant les cheveux de l’autre main. Qu’est-ce que c’était bon !

Après quelques minutes de baise intense, Marion me dégagea mon sexe d’une main fébrile puis, elle se mit dos au mur, et m’embrassa langoureusement avant d’empoigner à nouveau ma bite pour la présenter à l’entrée de sa minette. Je m’y enfonçai aussitôt et, alors que Marion passa ses bras autour de ma tête, je lui levai une jambe d’une main pour que les allers-retours dans son entrejambe soient plus pratiques.

— J’aime ça… quand tu… me défonces ! S’exclama-t-elle, haletante.

— Tant mieux…

En voyant ses beaux seins ballotter sous l’effet de mes coups de reins, j’en attrape un de ma main libre, et me mets à lui mordiller doucement le téton, ce qui n’a pas l’air de lui déplaire.

Soudain, une image arriva dans ma tête, celle de mes deux parents qui rentreraient plus tôt que prévu de leur dîner, et qui, en ouvrant la porte d’entrée, tomberaient nez à nez sur cette scène irréelle : Marion et moi, nus comme des vers, en train de baiser furieusement en plein milieu du salon familial dans lequel nous avions fait tous les deux nos premiers pas. En imaginant leur tête en nous voyant, je ne peux m’empêcher de sourire, et Marion n’a pas l’air d’y prêter attention puisqu’elle ne me fit aucun commentaire à ce sujet, trop accaparée par ce qui se passe entre ses jambes.

Je continue donc de lui pilonner l’intérieur pendant encore quelques minutes, puis alors que je m’arrête quelques secondes pour reprendre mon souffle, Marion me repousse doucement avant de m’attraper la main.

— On va dans ma chambre, dit-elle.

J’acquiesce d’un signe de tête et, quelques secondes après, nous arrivons dans sa chambre. Seulement, alors que je m’assois sur le lit pour continuer nos ébats, Marion m’interrompt.

— Je viens d’avoir une idée, me dit-elle.

— Quoi, comme idée ?

— Ça te dirait de pimenter un peu cette partie de jambes en l’air ?

— Tu sais bien que j’ai du mal à te dire non…

— Tant mieux. Va attendre dans le couloir, s’il te plaît.

— Tu rigoles ?

— Non, j’en ai pas pour longtemps, promis !

— T’es chiante…

— Je sais, mais tu seras pas déçue, je peux te l’assurer ! Me promet-elle avant de m’embrasser tendrement.

Je réponds par un grognement puis je me relève et, après lui avoir mis une claque sur ses jolies petites fesses nues, je sors de sa chambre et ferme la porte derrière moi. Pendant quelques minutes, j’attendis donc dans le couloir, nu comme un ver, la bite pourtant bien dressée, et j’entendais Marion s’affairer dans sa chambre. Il me sembla même l’entendre parler à voix basse, mais j’en étais pas sûr, quest-ce quelle me préparait ? Je l’ignorais mais, pour qu’elle me demande ça, je savais déjà que je n’étais pas au bout de mes surprises, et que cela allait me plaire. En plus, maintenant que je savais de quoi ma sur était capable, je pouvais m’attendre à tout.

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