La matinée se termina ensuite en faisant les magasins de vêtements. Ce fut l’occasion de multiples essayages pour elle : tailleurs, jupes, robes, escarpins, sandales … mais de manière beaucoup moins approfondie.
Nous décidâmes alors d’aller nous restaurer dans une petite brasserie voisine. En effet, nous avions bien besoin de reprendre des forces. Nous étions dans un coin au fond de celle-ci et elle put, à mon grand plaisir, laisser aller ses pieds pour le caresser les mollets, les cuisses et l’entrejambe.
Elle me dit alors discrètement.
— Merci pour ce matin, c’était délicieux
— Moi aussi j’ai beaucoup aimé. Tu me plais tellement Valérie, et si tu savais comme tu m’excites.
— Toi aussi, et tu me donnes envie de faire des choses folles, j’ai l’impression de revivre.
— Ça se passe si mal avec ton mari ?
— Je t’ai dit qu’il ne fait plus attention à moi. Au début, ça allait mais je pense que le tournant a été la maternité. Il ne s’en est pas remis.
— Toi, tu t’en es fort bien remise, tu es magnifique.
— Merci, c’est gentil. Tu sais, j’ai encore envie de toi.
— Moi aussi, mais je ne veux pas que tu penses que je souhaite uniquement ça avec toi Valérie.
— Arrête, je suis mariée
— Oui … et malheureuse aussi.
— Comme beaucoup d’autres.
— Oui mais ça, c’est leur problème, pas le tien si elles veulent rester comme ça.
— C’est compliqué tu sais et puis je crois qu’il a quelqu’un.
— Toi aussi, non ?
— Arrête ! Lu ça a l’air sérieux.
— Mais je suis très sérieux. Tu crois que je ne te connais pas ? Ça fait plus de 6 ans que je t’entends discuter avec les voisins, avec mes parents … Je connais ton caractère, tes gouts en musique, livre, cinéma, tes idées. Et tu es si belle et désirable !
— Tu décides ça comme ça ?
— Ça fait des années que je fantasme sur toi. Durant toute mon adolescence …
— Tu te masturbais en pensant à moi ?
— Oui, on dirait que tu ne t’es jamais regardée.
— Je suis bien trop vieille pour toi.
— À peine plus de 10 ans, c’est rien.
— Oui, mais …
Elle ne termina pas sa phrase et passa son pied le long de ma cuisse.
Après un café, nous sortîmes de la brasserie. Nous avions décidé de stopper les courses pour l’instant, mais ne savions que faire. Ou plutôt comment être tranquille.
Direction le cinéma. Après tout, c’était encore le début des soldes et il ne devrait pas y avoir grand monde. Après un petit tour rapide des films proposés, notre choix s’arrêta sur le film Inspecteur Gadget.
Après tout, il pourrait y avoir plein d’enfants … mais pas pour le film en VO sous-titré.
Nous étions bien en avance et attendions de voir si notre intuition était la bonne. Les minutes d’écoulaient et au début du film … toujours personnes. À part nous qui étions surexcités, d’une part de notre solitude mais également après tant d’attente.
Le film ne durait pas bien longtemps mais nous avions une heure vingt pour nous.
Avant même que ma main ne remonte le long de sa jambe nylonée, elle me caressait l’entrejambe.
"J’ai tellement envie que tu me prennes !" me dit-elle.
Elle se déshabilla et ne gardait que sa guêpière blanche, ses bas et ses escarpins. J’étais stupéfait. J’avais tellement rêvé de la toucher, de la caresser et là, elle s’offrait à moi. Elle était terriblement excitante et nous étions tous les deux, seuls au monde.
Je me mis à l’aise également et commença à lui caresser les hanches. Elle en profita puis se tourna, non sans difficulté, vu l’étroitesse entre deux rangées de sièges.
Je profitais d’une vision de rêve. J’avais ses fesses devant moi et l’écran de cinéma en arrière-plan. Les jeux de lumières et d’ombres sur son corps étaient somptueux.
Elle attrapa ma queue et la fit glisser aisément en elle.
— Tu vas me faire du bien mon amant. Prends-moi !
Elle commença ses va-et-vient doucement en prenant appui sur le siège de devant. Puis s’assied complètement sur moi, alternant les pauses et les ondulations. Elle appréciait vraiment le moment présent, tout comme moi. Je sentais ses fesses caresser mon ventre et mes cuisses.
Il n’y avait aucun bruit pour nous déranger, personne n’entre dans la salle pour nous surprendre. Elle était enfin à moi et j’étais à elle. Je commençai à caresser son clitoris tandis que ses mouvements se faisaient de plus en plus vifs.
— Oh oui, comme ça ! Continue ! Prends-moi bien.
— Tu aimes ma belle ?
— Oui, elle aime ça ta belle, continue, prends-moi fort.
— Je t’aime Valérie.
Après ces mots, je sentis son vagin se resserrer contre ma bite. Ces mots ne la laissaient pas insensible.
— Tu m’excites ma belle !
— Toi aussi tu m’excites, j’aime te sentir en moi !
Elle écarta légèrement les cuisses pour mieux se pencher en avant et se faire pénétrer plus profondément.
— Ta bite, met la moi bien, j’en veux encore.
Ses mouvements s’accéléraient et devenaient de plus en plus saccadés. Je la serrai par la taille et la faisait venir de plus en plus fort contre moi. Sa respiration se faisait de plus en plus forte.
— Je t’aime Valérie !
— Ouiiiii, c’est bon !! Ah ! Ah ! Ah !
Son vagin se contracta fort et je vins en elle, elle ne ralentit pas la cadence, avant que ma jouissance prenne fin.
Nous restâmes comme ça, l’un sur l’autre durant une dizaine de minutes, comblés par le moment que nous venions de vivre : ce lieu public, rien qu’à nous et le lieu de nos ébats indécents.
Nous n’avions pas vu le temps passer. Le film touchait à sa fin et il fut temps alors de sortir de la salle.
Notre journée également approchait de la fin et nous étions tous deux déçus que cela s’achève. Tandis que nous faisons de dernières courses, alimentaires celles-ci, je ne pouvais m’empêcher de regarder, ou plutôt d’admirer ma voisine. Si élégante, elle donnait l’impression de danser dans le magasin et de virevolter entre les rayons.
Elle était belle, sublime.
Je ne me privais pas de la prendre dans mes bras, de la caresser furtivement afin de ne pas nous faire surprendre. Aucun de nous ne souhaitait que la journée ne se termine.
En sortant du centre commercial en direction du parking : surprise ! Heureuse surprise ! Il avait neigé ! Et pas qu’un peu. De quoi bloquer la circulation pendant des heures.
"Je pense qu’on a encore du temps pour nous", me dit Valérie dans un sourire resplendissant.
Direction l’hôtel Ibis situé à une centaine de mètres du centre commercial. Le temps d’effectuer le paiement de la chambre et nous nous retrouvions sous la douche. Il n’était encore que 17h mais il faisait presque nuit et avions prévu de repartir vers 21h.
"Merci pour cette journée, et merci d’avoir été si disponible pour m’aider", me dit-elle en sortant de la douche.
— Mais tu pourras toujours compter sur moi ma belle.
— Tu me fais rougir quand tu dis ça, j’ai plus de 10 ans de plus que toi.
— Oui et tu es mon idéal féminin : une belle femme, pleine et charme, d’esprit, d’humour et d’assurance. Au top de sa féminité.
— Même si tu n’en penses que 10% ça me fait plaisir d’entendre ça.
— Je pense tout ce que je viens de dire.
Après avoir terminé cette phrase, je le pris dans mes bras le plus naturellement du monde et commença à l’embrasser, passant tendrement mes mains dans son dos encore légèrement humide."
Valérie se dirigea vers le lit. Elle s’allongea tout d’abord sur le ventre avant de s’appuyer sur les avant-bras et de remonter sensuellement ses hanches. Elle se mit ensuite à secouer ses fesses lentement de gauche à droite.
"Prends-moi bien qu’on finisse cette journée en beauté", m’ordonna-t-elle.
Sans me faire prier, je me postai derrière elle, caressant des fesses et ses hanches, la faisant aller et venir contre moi. Je voulais profiter de ces instants dont je ne savais pas, quand, et même si, ils se reproduiraient.
Lorsque je caressai ses lèvres avec mon pouce, elle eut un frémissement. Je portais ensuite mon pouce à ma bouche pour la gouter.
— Valérie, tu es bonne.
Je posai mon pouce contre son petit trou et commença à faire de petits cercles concentriques.
— Oui, par là.
Alors, doucement et tendrement, j’introduis mon index et le fis ressortir à plusieurs reprises. Son appréhension disparut après plusieurs allées et venues et quand elle fut bien dilatée, je collai mon sexe contre ses fesses.
— Vas-y, je suis prête.
Je la pénétrai lentement pour ne pas lui faire mal et pour ne pas interrompre ce moment.
Après quelques instants, je sentis qu’elle se détendait et son anus se relâcha.
Je commençai alors à aller et venir dans son petit trou. Peu à peu, elle apprécia ce traitement et son bassin commença à se mouvoir.
— Mmm, c’est bon, oui, continue, vas-y. Je suis à toi !
— Tu aimes quand je te prends comme ça ?
— Oui, continue, j’aime ça ! Je suis à toi, je suis ta cochonne.
— Je ne veux pas que tu sois ma cochonne, je veux que tu sois à moi Valérie. Pas juste comme ça.
— Prends-moi bien, c’est bon.
Je sentais que ce n’était pas le bon moment pour l’amener sur ce terrain. Je la voulais pour moi, uniquement pour moi. Qu’elle se débarrasse de ce mari qui devenait, à mes yeux du moins, plus qu’encombrant.
Je redoublais donc d’efforts pour accentuer son plaisir. J’avais sous mes yeux ses fesses sublimes qui allaient et venaient. Je voyais mon sexe entrer et sortir. C’était l’extase.
Sa respiration s’accélérait et ses gémissements allaient crescendo, tout comme ses ondulations.
— Oui … oui … oui … aaah … ça vient !!!! Viens toi aussi !!!
— Je viens ma belle, prends ça !!
— Oh oui, inonde-moi !! Aaaaah !!
— Ouiiii !!
Après avoir ralenti nos mouvements et une fois ma bite ressortie, Valérie s’effondra sur le ventre. J’en profitai pour lui embrasser ses superbes fesses.
Nous décidâmes alors de partir de l’hôtel, l’un de nous irait ensuite rendre la clé le lendemain matin l’air de rien et une fois arrivés, après un dernier tendre baiser, cette magnifique journée prit fin.