Mon oncle a toujours été un personnage curieux. Il faut dire que depuis qu’il a perdu sa femme il y a 3 ans il a eu tendance à s’isoler du reste de la famille. J’ai donc toujours eu du mal à me sentir à l’aise avec lui. Néanmoins me voyant grandir et voulant petit à petit reprendre contact avec le monde extérieur il m’invita à une partie de chasse, pensant me faire plaisir! Or j’ai depuis toujours détesté ce "sport"…
Néanmoins, poussé par mes parents, voulant faire bonne figure, j’y allais à reculons. Je dois avouer que le samedi matin lorsque je suis arrivé dans la maison de mon oncle, je n’étais pas très optimiste. Il maccueillit néanmoins à bras ouverts. On discute un moment de tout et de rien pour faire passer le temps, et me montre ma chambre. Je suis étonné, il est plus imposant et charismatique que je l’aurai imaginé. La matinée se passe et il prépare son matériel de chasse, je commence à lui faire part de mon dégoût pour cette pratique, il commence à s’énerver puis finit par se moquer de moi et me traiter de poule mouillée. Je me réfugie dans ma chambre, vexé, alors que j’entend la porte d’entrée se refermer derrière mon oncle, qui avait décidé de partir sans moi!
Trois heures plus tard j’entendis un brouhaha incroyable venir du salon. Mon oncle avec trois amis chasseurs sont rentrés à la maison, complètement saouls! Mon oncle me prend alors par les épaules et me présente à ses amis. "Alors c’est lui haha le gamin qui aime pas les chasseurs haha! C’est mon neveu! Tu dois être une tapette pour avoir peur d’un fusil!" Je suis choqué, je me sens pris au piège! "Ne me touche pas!" dis-je sèchement. Son collègue m’attrape alors brusquement et me dit "Mais c’est qu’il va falloir te dresser hein!" alors qu’il glisse sa main entre mes fesses dans mon pantalon.
Écrasé entre la honte et une soudaine curiosité je me débat avec moins de force. Mon oncle m’attrape par le cou et dit à ses collègues qu’ils vont avoir droit à de la chair fraîche pour le dîner. Je déglutie. A peine j’ai le temps de les regarder se déshabiller que mon oncle me roule une pelle comme jamais! Il s’assoit au milieu de ses amis qui commencent à enlever leurs chaussettes et me proposent leurs pieds fumants et transpirants de la marche. Je suis dégoûté et fasciné et je commence à les renifler alors qu’un d’entre eux gueule "décrasse nous tafiole!" acclamé par les autres qui lèvent leurs verres!
Je dois passer ma langue entre les orteils de leurs pieds odorants, pendant qu’ils sortent lentement leur queue! Ils sont tous bien montés, mais mon oncle a la plus grosse! Des bons chibres veineux et roses de la France profonde. Un régal. Je me jette sur celle de Bernard un amie à mon tonton alors que Dédé commence à me caler des doigts dans mon petit trou qu’il sniffe allègrement "Ca sent la chatte de pucelle ça!". Ils sont de plus en plus bourrés et excités. Je fais tourner leurs queues sales et mouillées dans ma bouche, léchant leurs bites des couilles au gland alors qu’ils me bifflent avec leurs manches.
"Laissez moi le je vais l’ouvrir!" annonce mon oncle. Alors que Gérard, le troisième larron me viole littéralement ma bouche avec son énorme gland, mon oncle commence lentement à m’enfoncer sa queue dans mon petit trou serré. J’ai mal mais l’excitation me détend la chatte. Il y va de plus en plus fort. A ce niveau je ne suis plus que le jouet de mon oncle et ses amis chasseurs et bedonnants. Deux bites dans la bouche deux bites dans le cul, des crachats, des pelles, de la transpi, je ne comprend plus rien, tout n’est qu’un tourbillon de baise hard et sale! Mais j’adore.
Tour à tour ils s’éjaculent tous sur mon visage et ma langue, faisant claquer leurs braquemarts sur ma face. Alors que les amis de mon oncle commençaient à récupérer leurs vêtements pour partir, en titubant, mon oncle racla avec sa main le sperme sur mon visage pour se lubrifier la queue et me l’enfiler par derrière. "Allez filez les gars on se voit lundi, je vais lui finir la rondelle à ce petit pédé!". Sa bite était énorme et il l’avait entièrement enfoncé en moi. Il me sera fort mais finalement finit par s’endormir, sa respiration chaude dans mon cou, alors que nous ne formions qu’un.
Le lendemain nous restions presque toute la journée imbriqué, il m’embrassait dans la nuque, me parlait, me caressait la queue. Je me sentais tellement proche de mon oncle. Il finit par se retirer, laissant couler un flot de sperme appartenant à pas moins de 4 hommes différents, que j’avais adoré satisfaire… Alors que je finis par me préparer mon père klaxonnait devant la maison, mon oncle me plaqua sur le mur et me roula une pelle incroyablement sensuelle "Dire que je te connaissais à peine et maintenant je t’adore…" dit-il. Je lui souris, je pris mon sac et lui fis un clin d’oeil. Bien décider à renouer les liens familiaux aussi profondément que je pourrais avec mon oncle et sa grosse queue délicieuse!