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Naissance d'un fantasme – Chapitre 4




(Je tiens à préciser que toutes ces histoires proviennent d’une base réelle qui ont été enjolivées, améliorées et exagérées pour le bien du récit)

Emma était assise sur le bord du lit, elle retournait l’intégralité de ses maillots de bains pour choisir lesquels elle emmènerait. Elle pris alors un maillot de bain une pièce blanc et après une légère hésitation, je la vis attraper rapidement le petit string blanc afin de le jeter dans son sac et rien d’autre, elle ne prit même pas la peine d’emmener le haut qui allait avec. J’étais complètement fou, j’imaginais déjà la scène sur la plage, tous les regards braqués sur elle en train de se pavaner seins nus et fesse à l’air, puis en réfléchissant je me dis qu’il devait y avoir une erreur, elle ne se baladerait jamais aussi dénudé devant tant de monde sur une plage, une partie de moi l’espérait, mais est-ce que cela allait se réaliser ? Seul l’avenir me le dirait. 

Nous prîmes donc la voiture en route pour le sud de la France, il faisait beau, le soleil chauffait l’atmosphère à 32°, un temps idéal pour aller à la plage. Nous nous amusions à chanter, à faire des jeux, à discuter, tout était parfait sur notre chemin. Emma portait une petite robe d’été noire très fine et dépourvu de soutien-gorge il était possible de voir à quel point la climatisation de la voiture faisait réagir ses tétons. En regardant sa poitrine je lui lançai donc en plaisantant :

— Tu veux que je baisse la clim ? Tu as l’air d’avoir froid

— Cela te fait rire, hein ? me dit-elle en souriant

— Personnellement je trouve ça plutôt drôle oui.

Elle tira alors le haut de sa robe dévoilant son 90C et les regarda. 

— C’est vrai que sur ce coup là, ils ont l’air de ne pas avoir chaud.

J’étais hypnotisé par son geste, je regardais sa poitrine avec ses tétons durcis par l’air frais de la climatisation, je me concentrais en même temps sur la route mais cela devenait difficile.

Elle remit sa robe en disant que je pouvais laisser la clim sans soucis.

J’avais adoré ce geste spontané, il aurait pu y avoir un autre conducteur à coté, je pense que son geste aurait été le même et cela avait le don de beaucoup m’exciter

Une fois arrivé et installé dans un magnifique appartement avec vue sur la mer que nous avions loué, nous visitâmes le logement de fond en comble afin de s’y familiariser. C’était un appartement immense, très moderne et tout équipé. Ce qui nous avait séduit lors de la réservation était bien sûr le balcon de notre chambre avec cette magnifique vue sur l’Atlantique. 

Emma passa devant moi, et se dirigea vers la chambre, je savais qu’elle allait voir à quoi ressemblait la vue, je décide donc de lui emboiter le pas. En rentrant dans la chambre, je déposai mon sac sur le lit pendant que Emma ouvrait la fenêtre. Je mis la main à la poche afin d’immortaliser cet instant avec mon téléphone lorsque qu’elle laissa échapper un petit bruit aiguë. Je lève la tête et la vois sourire en disant bonjour à quelqu’un que je ne voyais pas. 

C’est en sortant sur le balcon que je vis que nous avions des voisins qui étaient en train de boire un verre de vin sur leur balcon qui se trouvait à 2 mètres du nôtre séparé par le vide. Je dis alors bonjour à mon tour à ce couple très souriant d’une cinquantaine d’année qui s’excusait d’avoir fait peur à Emma. Ils entamèrent la discussion sur les vacances : 

— Je m’appelle Catherine et voici mon mari Martin

— Moi c’est Emma et voici mon ami Antoine. 

— Vous êtes la pour combien de temps alors Emma et Antoine, nous dit alors Martin toujours avec un grand sourire

— Deux semaines, repondis-je

— Comme nous ! Nous sommes arrivés ce matin, dit Catherine. 

Catherine était une très belle femme blonde qui avait de beaux yeux pétillants. Elle n’était pas très grande, pas loin d’1m60 il me semble. Il était très agréable de la regarder, d’autant plus que sa petite robe blanche légère offrait un très joli décolleté qui donnait envie de plonger dedans. 

Martin était bel homme, grand et fin. Il avait les cheveux grisonnant et une petite chemise bleu ciel décontracté. Visiblement Emma ne rendait pas insensible ce dernier qui ne la lâchait pas des yeux. 

— Et bien nous aurons l’occasion de se recroiser, dis-je au couple

— Avec grand plaisir, nous dirent-ils en levant leur verre de vin. 

Nous rentrâmes dans la chambre et Emma se mit à rire :

— Qu’est ce qu’il y a ? lui demandai-je  

— Non rien, ils m’on fait tellement peur, je ne m’attendait pas du tout à voir quelqu’un. 

— J’ai vu ça, je suis sur que ton petit cri aigue n’a pas rendu insensible Martin

— N’importe quoi, me lança-t-elle presque agacée. 

Je ne surenchéris donc pas de peur de la froisser plus encore.

Après avoir déballé et rangé nos affaires, il était venu le temps de dîner et nous prîmes la décision de sortir au restaurant.

Emma était dans la salle de bain en train de se préparer pendant que je l’attendais assis sur le canapé en cherchant les meilleurs établissement pour manger dans les environs. 

Quelques minutes plus tard, Emma sorti de la salle de bain en me disant : 

— C’est bien comme ça ? 

En me retournant je l’aperçus. Elle était magnifique, ses long cheveux bruns lâchés, une robe rouge que je n’avais jamais vu avec un décolleté vertigineux qui laissait voir qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. La robe était si courte que je me demandais comment était-il possible de marcher avec sans dévoiler ses fesses.

— Tu es magnifique

— Merci, j’ai commandé cette robe cette semaine mais il s’avère qu’elle est plus courte que prévu.

— Personnellement ça ne me pose pas de problème, tu es parfaite.

— Bon je la garde alors, on peut y aller. 

La robe était très classe mais à la limite de l’insolence. Je la trouvais parfaite. Je lui ouvris la porte de l’appartement et en la voyant marcher devant moi, j’eu le plaisir de pouvoir observer quelques millimètres du commencement de ses fesses Cette robe était diabolique. 

Nous croisions dans le couloir Martin qui sortait en même temps que nous, il nous regarda, nous fit signe et resta bloqué la main en l’air en regardant Emma, je souris discrètement, fis signe également et montra le chemin de l’ascenseur à Emma. 

Dans l’ascenseur je repensai à la réaction de Martin, celle-ci m’avait fait beaucoup rire. Arrivant en bas du bâtiment je l’imaginais encore bloqué comme nous l’avions laissé. Il devait mourir d’envie d’en voir plus. 

En arrivant au restaurant, bien sur tous les hommes présents jetais souvent des petits regards timides vers Emma qui ne voyait rien ou faisait semblant de ne rien voir. 

Après 2 apéritifs nous commencions à bien rire en se racontant des anecdotes de nos vies puis d’un seul coup, elle se figea, me regarda intensément et attrapa sa serviette en tissu qui était posé sur la table. Elle me regarda de plus belle, enroula la serviette et la lança sur moi. Je me mis a éclater de rire :

— Mais qu’est ce que tu fais ? 

— Je m’entraine au lancé de serviette, c’est une nouvelle discipline au J.O, je veux être la meilleure.

— N’importe quoi ! Il faut arrêter la mojito, lui dis-je mort de rire.

— Si on ne peut plus lancer sa serviette dans la tronche de son copain

En rigolant je me baisse pour ramasser la serviette qui était tombé sous la table et à ma stupéfaction, je vis que Emma ne portait pas de culotte et se tenait jambes écartées sous la table. 

Je fus tellement surpris que ma tête heurta violemment la table et prit Emma d’un fou rire très bruyant ! 

En sortant ma tête de sous la table je vis que tout le monde était en train de nous regarder, je commençai alors a exploser de rire également en tentant de garder mon calme et de rester le plus discret possible. 

Emma riait tellement que sa poitrine était à deux doigts de s’échapper de son décolleté. Après quelques secondes il était même possible de voir quelques millimètres de son aréole.

Nous reprîmes nos esprit et je lui dis : 

— Je crois qu’en ramassant ta serviette j’ai aperçu quelque chose

— Je ne vois pas de quoi tu veux parler jeune homme ! 

Elle me regarda une nouvelle fois et fit tomber sa fourchette à coté de la table. Elle se leva, me tourna la dos et se baissa jambes tendues pour ramasser la fourchette. Je vis alors apparaître sous mes yeux une bonne partie de ses fesses accompagnées de ses lèvres toutes lisses. Je devins fou, j’eu surement l’érection la plus rapide de ma vie. Elle me tendit la fourchette et me dit qu’elle allait se refaire une petite beauté aux toilettes.

Elle déambula dans le restaurant avec cette robe qui était si remontée que le bas de ses fesses était bien visible et son passage faisait des ravages à coté des tables où les gens dinaient. 

Quelques minutes plus tard elle revint, elle avait replacé sa poitrine et avait baissé sa robe à ma plus grande tristesse. 

La suite du repas se passa normalement jusqu’a ce qu’elle me dise :

— Je veux prendre mon dessert à la maison

— Oh Je pense que ceci est une excellente idée. 

Je payai l’addition pendant que ma magnifique créature attendait à la porte du restaurant en attirant tous les regards, y compris ceux de certaines femmes.

Emma m’avait tellement excité que je n’avais qu’une hâte c’était que nous nous retrouvions seul tous les deux afin de consommer cette excitation qui m’avait rongé tout au long de la journée. 

A 23h nous rejoignions l’ascenseur de l’appartement. Pendant que nous montions les étages Emma se mit à m’embrasser comme une folle, je ne la reconnaissais pas, je pense que l’alcool et la fatigue y faisait quelque chose mais cela ne me déplaisait absolument pas. Elle me plaqua contre le grand miroir qui était présent au fond de l’ascenseur et remonta le bas de sa robe jusqu’a ses hanches. Elle était cul nu et avait les lèvres à l’air dans un lieu publique et uniquement le fait de penser à ça me rendit fou, je la pris par les cuisses et la soulevai contre l’autre paroi. Nous nous embrassâmes intensément jusqu’à ce que je réalise que les portes allaient s’ouvrir dans les prochaines secondes. Je calmai le jeu mais Emma continua de m’embrasser avec la même fougue. L’ascenseur s’arrêta et la porte s’ouvrit. Par chance personne n’était présent. Emma tourna les talons et marcha dans le couloir en gardant le bas de sa robe remontée jusqu’aux hanches, elle se baladait avec sa petite chatte à l’air libre dans les couloirs ou nous pouvions croiser n’importe qui, comme Martin qui cette fois aurait surement fait à coup sûr une attaque cardiaque. 

Emma ouvrit la porte de l’appartement et fila dans la chambre tout en enlevant la robe qui ne cachait déjà plus grand chose de son anatomie. Je fermai alors la porte et la suivi dans la chambre. Il n’y avait personne. En tournant la tête j’aperçu qu’elle était penchée contre le balcon et qu’elle n’attendait plus que moi. Je regardais cette magnifique scène, Emma entièrement nue dans une position qui charmerait n’importe quel homme sur terre, le ciel étoilé ainsi que l’océan éclairé par la lueur de la lune. Je baissai mon pantalon, enlevai ma chemise et mis un pied sur le balcon. Je tournai la tête afin de voir si Martin et Catherine n’étaient pas la. Il n’y avait personne, nous avions le champs libre. Le vent qui caressait mon penis était une sensation que je n’avais jamais connu, c’était si agréable et excitant. J’attrapai les magnifiques fesses bien fermes d’Emma et glissai mon membre dans son vagin humide et brulant de désir. Après un certain temps de va-et-vient et de fessés engagées, Emma se tourna, se mit a genou et goba mon gland sans réfléchir. Je vivais quelque chose d’exceptionnel, une vue magnifique s’offrait à moi pendant que ma merveilleuse Emma me suçait intensément et comme il fallait pour enfin me faire jouir au bout d’une dizaine de minutes. Après avoir avalé mon liquide, elle se releva. Je la pris par les hanches et la poussai sur le lit. Je lui écartai les jambes et commençai à jouer avec son clitoris avec ma langue pour seul outil. 

Je jouais avec dans tous les sens, je sentais Emma se crisper de plus en plus, elle faisait de plus en plus de bruit et commençait à crier très fort. Après quelques minutes un tremblement parcouru sont corps durant une bonne minute, elle se tordait dans tous les sens et s’agrippait à tout ce qu’elle pouvait, mes cheveux, l’oreiller, le drap, puis plus rien Le silence était revenu, le calme avait repris le dessus pendant que je remontais vers elle afin de l’embrasser et de m’allonger à coté d’elle. Puis après quelques minutes à papoter nous nous endormions nus l’un à coté de l’autre

Le lendemain matin, en me réveillant j’aperçu que j’étais seul au lit. Dans les draps blanc et doux je sentais l’odeur du café émanant de la cuisine. J’entendais Emma au téléphone en train de discuter au loin dans l’appartement. J’étais si bien, je repensais à notre belle soirée d’hier, tout était parfait. Elle avait sortit le grand jeu pour me séduire et tout avait fonctionné parfaitement. 

Je somnolais à moitié allongé dans ce lit immense quand j’ouvris les yeux. En regardant le balcon je vis Emma ne portant rien d’autre qu’une culotte blanche qui était en train de préparer le petit déjeuner sur une petite table. Elle était sein nu sur le balcon, au téléphone mais sans téléphone ? SANS TÉLÉPHONE !? Puis j’entendis une voix lui répondre. Ni une ni deux je sautai du lit, mis un tee-shirt puis un short pour voir avec qui elle discutait habillée comme ça.

En sortant sur le balcon je vis alors Emma, avec sa petite culotte blanche et son 90C qui se baladait nu sous les yeux de notre voisin Martin. 

— Bonjour mon amour, me dit Emma

— Bonjour

J’avais encore du mal à réaliser ce qu’il se passait sous mes yeux, je venais à peine d’émerger et je vois ma magnifique copine à moitié nu en train de discuter avec le voisin.

— Bonjour Antoine, bien dormi ? Me dit alors Martin

— Oui oui très bien merci

— Tu devrais enlever ton tee-shirt mon amour, le soleil tape déjà fort, tu vas te retrouver avec des traces de bronzage du tee-shirt. 

Je restai planté sur le balcon sans rien dire pendant que Emma exhibait sa plastique parfaite aux yeux de cet homme. Ils discutaient des restaurants à visiter dans le coin car le couple de quinquagénaire connaissait visiblement bien le coin. 

Bizarrement Martin avait l’air moins choqué de voir Emma dans cette tenue actuelle que dans celle d’hier. Mais je pense que le petit malin faisait comme si de rien n’était afin de pouvoir rester et ne pas rater une miette de ce spectacle. 

Emma me dit alors de m’assoir, je m’exécutai lorsque à ce moment précis, Catherine la femme de Martin fit son apparition sur le balcon voisin

La suite au prochain chapitre

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