Histoires de non consentement Histoires de sexe noir Histoires érotiques

Mon frère l'amant de maman . – Chapitre 1




Depuis que papa a quitté maman, je l’entends souvent se plaindre la nuit. Je pense qu’elle souffre de cette séparation, j’ai mal pour elle. Comme à l’accoutumée, elle part chaque jour à son travail.

Ce matin, je me sens une âme bienfaitrice, je décide de faire sa chambre pour l’aider un peu.

Je refais le lit, frotte avec un chiffon les meubles puis passe l’aspirateur. Machinalement, j’ouvre le tiroir de la table de nuit, je découvre une cassette. Curieuse de nature, je la place dans le lecteur et appuie sur Play. Je tombe assise sur le lit à la vue des premières images, je nen crois pas mes yeux, maman est étendue sur le lit, les jambes largement écartées. Elle a un gode énorme planté en elle, elle le fait voyager en grognant.

Dans le miroir de l’armoire, je vois que c’est mon frère qui filme, il est nu, sa queue est tendue, j’en reste baba.

Vas-y plus fort, défonce-toi à fond, après, c’est moi qui vais m’occuper de toi, salope !

Qui lui dit en souriant.

Maman accélère le rythme de la bite de silicone qui s’enfonce profondément en elle, les va-et-vient la font gémir de plaisir.

Il s’approche d’elle et lui offre sa queue, maman le saisit d’une main et lèche le gland, sa langue en fait plusieurs fois le tour, elle titille le frein et lape les perles de rosée qui s’échappent du méat.

Enfin, elle gobe le gland violacé et le tète avidement en grognant. De sa main libre, elle fait faire de terribles va-et-vient au gode qui la fouille, elle agite son bassin à chaque fois que l’engin s’enfonce en elle. Soudain, le film cesse. Je reste coi et abasourdi, jamais je n’aurai pensé que maman faisait l’amour avec son propre fils.

Elle rentre de son travail, mon frère aussi, ils m’embrassent comme à l’accoutumée, je les vois d’un autre il maintenant que je sais comment ils prennent leur plaisir. Nous dînons, je les épie du coin de l’il. Pendant le repas, mon frère sourit à maman, de temps en temps, il lui caresse la main, maman, un peu gênée, la retire en me regardant. Je sens très bien qu’ils ont envie l’un de l’autre.

Le repas et terminé, je prends ma douche et pars me coucher, je ne parviens pas à trouver le sommeil, dans ma tête passe en boucle ce que j’ai vu sur la cassette. Il est très tard, j’entends à travers la paroi des gémissements, il ne fait aucun doute que les deux amants s’en donnent à cur joie. Je me lève, curieuse, je m’approche à pas furtifs de la chambre de maman, je colle mon oreille contre la porte et écoute le bruit des ébats. Maman pousse des cris de bête blessée, je tourne la poignée de la porte et l’entrouvre doucement, je passe la tête par l’ouverture. Les deux amants sont nus sur le lit.

Maman a dans sa chatte un gode de bonne taille que manuvre mon frère, le bougre lui donne le rythme qu’il veut. A chaque enfoncement, elle geint en grinçant des dents. Soudain, mon frère arrache le gode et plaque sa bouche sur la chatte trempée de maman qui pousse un :

Oui oui huum vas-y, bouffe-moi mon chéri !

Il écarte avec ses doigts les grandes lèvres, et sort de son écrin la perle d’amour, il la titille du bout de la langue avant de l’aspirer, maman sursaute sous l’effet terrible de l’aspiration.

Il tète le bouton, le suce à en faire hurler maman.

Sa chatte suinte comme un fruit trop mûr, maman geint comme un animal en rut, son bouton a doublé de volume qu’ il en devient même douloureux.

Moi, je suis entrée dans la chambre, trop occupés, les amants n’ont rien remarqué.

Excité comme jamais, j’ai une main dans ma culotte et frotte ma fente suintante de désir.

Je ne peux détacher mon regard des amants, maman agite son bassin, mon frère lui mordille le clito et le tète avidement.

Maman se cabre et explose, elle gicle dans la bouche de mon frère qui avale la cyprine jusqu’à la dernière goutte.

Il s’écarte et agite sa queue gorgée de sang sous le nez de maman et dit:

Regarde la bien, tu vas l’avoir bien à fond, dis que tu la veux dis-le salope !

Oui oui je la veux, bourre-moi comme une chienne, je suis ta pute, ta grosse salope, fais-moi mal !

Il place sa bite contre le temple noyé, donne un coup de reins et s’enfonce jusqu’aux couilles, maman pousse un :

Oui ! de bonheur.

Il la prend par les hanches, et commence un va-et-vient de plus en plus violent, la bite large et épaisse coulisse aisément dans la gaine de chair.

Maman râle de plus en plus fort, elle s’accroche à lui et jouit pour la seconde fois.

Il donne encore quelques coups de reins avant de se retirer.

Sa bite est luisante et est toujours bien tendue.

Il place un coussin sous les fesses de maman et lui demande de replier ses jambes sur son ventre.

Cette position dévoile ses deux orifices, l’accès a son petit trou est maintenant possible.

Il se penche et crache sur l’illet brun, il étend sa salive sur la rondelle et en fait pénétrer avec un doigt dans le conduit étroit.

Il tourne à l’intérieur, tente de dilater le rectum, il joint un second doigt pour l’assouplir, il triture longuement l’anus avant d’y présenter sa queue.

Oui, mon amour, encule ta salope de mère, fais la gueuler !

Il pose sa bite énorme contre la petite porte, saisit maman par les hanches et pousse fortement.

Maman grimace, elle fait la moue.

Mon frère pousse plus fort, maman pousse un cri de douleur, l’anneau cède et avale petit à petit le manche de chair.

Lentement, la bite s’enfonce jusqu’aux couilles, maman geint:

Arrête, arrête mon chéri, c’est trop atroce !

Mon frère ne fait plus aucun mouvement, maman souffle fortement, le pieu lui dilate le cul douloureusement, elle grimace. Avec un doigt, il lui frotte le clito pour atténuer la douleur, maman reprend ses gémissements. Il commence à faire de très lents va-et-vient, petit à petit, la douleur s’estompe. Maman agite doucement sa croupe, elle commence à prendre du plaisir, mon frère accélère légèrement la cadence.

Les coups de reins deviennent de plus en plus violents, maman râle de plaisir, encouragé par les :

Oui oui ! de maman, mon frère la démonte à grands coups de reins.

La vitesse augmente au fur et à mesure que maman gémit, il s’acharne dans le cul de maman, la pression est à son comble, maman se cabre et pousse un hurlement de jouissance, sa cyprine gicle sur le ventre et les couilles de mon frère

se déchaînent, il ressort entièrement sa bite du cul et la replonge brutalement à fond, il réitère le mouvement plusieurs fois, il donne un rythme rapide, ses coups de reins puissants font gueuler maman.

Oh oui, casse-moi le cul mon salaud, aaaaaaaaah, trop bon !

Sa tête bascule de gauche à droite, elle halète, sa respiration est rapide, son souffle court, ses yeux sont révulsés, un filet de bave s’échappe à la commissure de ses lèvres. Mon frère la pilonne comme un damné, maman pousse des grognements rauques, elle a orgasme sur orgasme, son corps est secoué de spasmes violents. Mon frère se bloque, et pousse un cri atroce en envoyant sa semence au plus profond des entrailles de maman. Avant de se retirer, il la ramone encore un bon moment.

Related posts

Ma petite soubrette – Chapitre 1

historiesexe

Séduction délicate de la soeur de ma mère – Chapitre 20

historiesexe

Mélanie, étudiante à Bordeaux – Chapitre 12

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .