Mamie Geneviève 4

Résumé : J’héberge mon petit fils David, un beau mâle avec qui j’ai fait l’amour. Je me rends compte que sa sur aime les femmes et que peut-être une de mes deux filles également.

Pour aguicher mon jeune amant, j’ai fait des achats de lingerie dont je ne me croyais pas capable. J’en suis même à porter une culotte transparente alors que je suis sexagénaire.

Je n’ai pas le temps de me changer que trois de ses copains viennent passer la soirée chez moi.

David accueille ses amis tandis que je réajuste ma robe et vérifie ma coiffure.

Le premier à me saluer, c’est Enzo, un boutonneux avec cheveux gras et mal coiffé qui amène les boissons. Le deuxième, Clément est plutôt grand et du genre « grande gueule » et arrive les mains vides. Le dernier, Bastien est un blondinet plutôt mignon que j’apprécie davantage, surtout parce qu’il m’offre un bouquet de roses.

Tandis que je dispose les fleurs dans un vase, David place ses amis sur le canapé et je sens des tas d’yeux dans mon dos où plutôt sur mes fesses. Mon petit fils a choisi une chaise et se tient un peu en retrait de ses amis. J’apporte les verres et quand je me penche pour servir, je sens que ma poitrine est l’objet de tous les regards. D’une main, je masque mon décolleté, mais je crois que tous se sont bien rincés l’il.

Il me reste le fauteuil face au canapé pour m’asseoir. Afin de me tenir bien droite, je m’assieds au bord. Nous trinquons, si eux préfèrent le soda, moi j’ai choisi un vin cuit comme apéritif. L’ambiance se détend, ils parlent de jeux vidéo, de musique, puis Clément se met à raconter des blagues.

Je ris de bon cur et m’esclaffe souvent, ce qui à tendance à remonter ma robe, que je rabaisse à chaque fois. A un moment, je suis attiré par le regard de David. Il me montre sa main et écarte son index et majeur en indiquant, discrètement, mes genoux. Il voudrait m’exposer aux regards indiscrets de ses amis, mais je ne suis pas prête à ça. Les vapeurs de l’apéritif me montent à la tête et, progressivement, je me laisse aller à baisser la garde.

A chaque fois que je me|penche pour prendre un biscuit apéritif, mon décolleté fait sensation.

Quand je décroise les jambes, Bastien, l’angelot blondinet, écarquille les yeux et cherche à voir ma culotte. David me refait son petit signe et c’est lors d’un éclat de rire que mes genoux s’écartent plus franchement. A chaque mouvement pour poser mon verre, prendre un biscuit, etc,  je me sens épiée. Seul Bastien pourrait voir mon intimité, même si tout le monde, à un moment ou un autre, a dû constater que je porte des jarretelles.

Le garçon semble fasciné. Il a le souffle court et a le visage bien rouge. Il cherche à en voir davantage. Aussi, très furtivement, je le satisfais en m’ouvrant un peu plus, mais très brièvement. Cette situation commence à m’émoustiller, je ne pensais pas pouvoir faire ça un jour et plus encore devant un jeune homme qui visiblement est excité pour moi.

C’est David qui interrompt le charme en demandant à Clément de passer la commande pour le repas. Peu après, Enzo et Clément s’absentent un petit quart d’heure pour aller au restaurant voisin qui fait des plats à emporter, tandis que je prépare une petite salade, j’entends David, sur un ton moqueur :

« Ca va Bastien ? »

« Euh, oui, oui, ça va »

« Aller, viens on va mettre la table. Je vais te montrer où sont les assiettes, tiens, c’est dans le placard à coté de mamie. Mamie, tu veux que j’aille te chercher du vin ? »

« Je suis un peu pompette, mais ce n’est pas tous les jours qu’il y a des invités,   alors d’accord »

Je reste seule avec Bastien et lui indique où sont les assiettes, dans le meuble bas qui est près de moi. Il n’est pas si timide que ça le Bastien, car si il s’accroupit pour ouvrir le placard, il en profite pour me caresser le mollet. Et moi, je ne lui dis rien !

Sa main remonte le long de mon bas  jusqu’au genou et je chevrote :

« Qu’est-ce que vous faites Bastien ? »

Il remonte encore sa main sur ma cuisse, mais je la repousse ce qui soulève un pan de ma robe. Il a pu voir furtivement mes dessous et surtout mes fesses. Même si je commence à mouiller terriblement de ses caresses, je lui intime d’arrêter. Au retour de David, Bastien s’empresse de prendre les assiettes et de dresser la table.

Mon petit fils me glisse à l’oreille :

« Tu es géniale, mamie ! Je t’adore !»

Nous sommes à cinq autour de cette petite table ronde et si j’ai David à ma gauche, Bastien est à ma droite. Tout le repas est monopolisé par les blablas de Clément, mais surtout sous la table, je sens à plusieurs reprises le contact du genou de Bastien sur le mien.

Il se fait de plus en plus pressant et par manque de place, je ne peux guère m’échapper. Lui prend certainement ça pour un assentiment de ma part et frotte carrément sa jambe contre la mienne.

Pour y échapper, je trouve un prétexte pour me lever et je sens à nouveau leurs regards sur ma croupe. Quand je reviens à table avec une carafe, je leur sers à boire de l’eau et je regrette que ma poitrine soit si découverte. En regagnant ma place, je me rapproche plus de David et, de fait, Bastien a plus de difficulté pour m’effleurer, mais, à force de se tortiller sur sa chaise, il y arrive quand même.

Soucieuse de ne pas faire d’esclandre, je le laisse faire. Surtout, qu’en fait, que ça ne me déplait pas tant que ça!

A la fin du repas, tandis que les autres restent à table, Bastien s’empresse de m’aider à desservir et se propose même de faire la vaisselle avec moi.

Je lave, il essuie, mais tout est prétexte à me frôler. Tantôt le bras, tantôt la hanche, tantôt une fesse, puis l’autre. Mon manque de réaction l’encourage. Il se place derrière moi et me caresse les épaules et y dépose de petites bises discrètes. Ses mains glissent sur mes hanches et il se colle à moi. A ce moment là, je devrais hurler, le gifler de son impudence, mais non, j’aime cette situation.

Au point où j’en suis, je peux vous le confier, j’ai souvent eu le fantasme de l’inconnu qui me fait l’amour. Celui que l’on ne voit pas et qui vous caresse ou vous pénètre par derrière sans que vous sachiez qui il est !

Ce secret, je suis en train de le vivre avec ce gamin. C’est quand il fait rouler son membre sur mon fessier que je réalise l’incongruité de la situation et le repousse doucement pour calmer ses ardeurs. Ce faisant, ma main effleure son sexe et, machinalement, je le presse entre mes doigts. Il a un sursaut de bonheur mais comprend qu’il faut s’arrêter là car les autres nous appellent. Nous terminons la vaisselle sagement et l’émotion retombe, même si je me sens terriblement humide entre les jambes.

Peu après, les garçons prennent congé. Clément me propose de faire la bise pour se dire au revoir. Il pose sa main sur mon bras, mais sa paume effleure mon sein gauche. Enzo, le silencieux de la soirée, me bise et son acné me répugne. Quant à Bastien, il en profite pour chercher à effleurer mes lèvres.

Je les laisse dans le vestibule, mais écoute leurs commentaires.

Clément : « Ouah ! Ta grand-mère quels nichons elle a ! J’aimerais bien la peloter ! »

Enzo : « Et tu as vu ? Elle a un sacré cul ! Elle doit être bonne à enculer ! »

David réplique :

« Oh les gars, c’est de ma grand-mère dont vous parlez ! Soyez correct ! »

Clément  en riant: « Ouais, ok, mais elle est quand même super baisable, ta mamie ! »

Bastien, quant à lui, demande très sagement à David si il peut venir demain, bosser leur devoir ensemble, et l’intéressé de répondre par l’affirmative, nullement surpris de cette question..

 

Une fois leur voiture partie, David me rejoint dans la cuisine, en souriant.

« Tu es super mamie ! Alors, ils te plaisent mes copains ? »

Je lui donne mon avis sur Enzo et Clément.

« Bon Enzo doit être pédé, Clément aime les filles à gros nichons comme toi, quant à Bastien il doit être puceau et il ne parle que de sa mère, il n’a que des photos d’elle dans son téléphone ! Au fait, qu’est ce que tu penses de lui, il est bien, pas vrai ?»

« Ben Lui s’est révélé très entreprenant ! »

Je lui narre ses premiers attouchements jusqu’à la séance de la vaisselle.

David se malaxe la braguette en m’écoutant, puis s’approche de moi pour me faire prendre la pose que j’avais avec son ami. Il se colle à moi et me demande :

« Il a fait comme ça ? »

J’approuve et lui pose les mains sur mes hanches et il reprend spontanément les mouvements de son ami.

« Va éteindre la lumière mon chéri. »

Je fais glisser ma robe et quand il revient à tâtons dans l’obscurité presque totale, il quitte son pantalon et je sens son membre dur glisser entre mes fesses. Sa main se pose sur ma vulve et il se rend compte que je suis déjà trempée.

« C’est Bastien qui t’a fait mouiller comme ça ? »

Je réponds un oui’ timide.

Il m’enlève mon soutien gorge, fait rouler ma culotte trempée au bas des pieds, me fait écarter les jambes, me pousse en avant délicatement.  Je prends appui sur le plan de travail.

Tandis qu’il me pétrit un sein, il joue avec son membre dans ma raie fessière, fait mine de forcer mon anus par petits coups, puis glisse son gland entre mes jambes ouvertes. Je suis à cheval sur son phallus et il est raide comme du bois.

Je glisse une main pour m’en saisir et accentuer la pression sur mon clitoris, mais il ne l’entend pas ainsi. Il s’échappe et reprend son manège.

Quand il butte à nouveau sur mon anus, il appuie plus fortement et j’échappe un petit cri.

Ce n’est pas par là que je le veux en moi !

Par un mouvement des hanches, je me cambre et, enfin, il pénètre dans mon vagin, lentement, très lentement, trop lentement. C’est un supplice de lenteur !

J’essaie de venir à sa rencontre, mais il me tient fermement maintenant et contrôle sa lente progression. Une fois au fond, il reste fiché plusieurs secondes avant de commencer à s’activer. Alors là, c’est un régal, c’est la première fois que je suis prise debout et mon fantasme de l’inconnu me revient en tête.

Ses mouvements s’accélèrent tandis que ses mains courent sur mon corps, la nuque, les tétons les fesses, les cuisses et surtout quand il s’arrête sur mon clitoris qu’il chatouille, là c’est l’extase qui monte, qui monte ! Je couine en tremblant sur mes jambes

Je ne peux retenir mon orgasme et mes cris accélèrent son plaisir, je le sens jouir en moi alors que je n’ai pas encore repris ma respiration. Il reste enfiché longtemps, puis me susurre :

« C’était génial, mamie ! Comme je suis content d’être avec toi !»

Je n’en pense pas moins et rétorque en me retournant vers lui :

« Embrasse moi mon chéri ! »

Je sens sa semence couler sur mes cuisses, mais qu’importe, je me transforme une nouvelle fois, en jouvencelle quand il m’enlace.

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