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Ah! les vacances… – Chapitre 1




Bonjour, Je vous présente ma première histoire. Celle-ci mélange phantasme et réalité. Je vous laisse à votre imagination et bonne lecture.

Ah les vacances !… "Y’a Du Soleil Et Des Nanas, Darla Dirladada "

J’avais beaucoup de chance pensais-je. Du soleil, la plage, ma femme. Tout ce qu’il fallait pour passer de bonnes vacances reposantes. La Martinique était le lieu idéal : paysages de carte postale, du soleil en veux-tu en voilà et un cheptel d’amis rencontrés au hasard de nos visites sur l’ile.

Nous y avions depuis quelques années nos petites habitudes. Nous résidions dans la même petite villa avec sa piscine où nous aimons nous prélasser. Nous savourions ces retrouvailles avec ces lieux et nos amis. Elles étaient chargées de souvenirs année après année.

Ah les vacances ! Ma femme était allongée sur une chaise longue complètement nue, Les bras le long du corps, une jambe allongée, l’autre recroquevillée. Je ne me lasserais jamais d’admirer son corpsLa lumière le modelait à merveille et il était une douce drogue à laquelle je m’abandonnais chaque jour.

Nous n’étions pas exhibitionnistes, mais nous gouttions au plaisir de vivre nus, et tant pis si l’on nous observait. Cela nous amusait et nous excitait parfoisSouvent !

 Lorsque nous faisions beaucoup de route, il nous arrivait de nous exciter mutuellement. Ma femme se déshabillait entièrement dans la voiture, installait ses jambes sur le tableau de bord, écartait les cuisses pour que je puisse la caresser jusqu’à la jouissance…

Il m’arrivait de pousser le jeu jusqu’à ralentir lors d’un dépassement de poids lourds pour que le chauffeur puisse regarder ma femme. Elle le fixait en se caressant pour le rendre dingue.

Ou cette anecdote rocambolesque qui se passa il y a trois jours et que l’on aimerait conter souvent tellement elle fût excitante

 En sortant de la plage ma femme se changeait régulièrement dans la voiture. Elle se déshabillait avant de s’apprêter plus convenablement. Tout cela pour le bonheur de mes yeux. En général, j’essayais d’en profiter mais je me faisais vite rabrouer. Sauf ce jour-là ou elle avait envie de stimuler mes phéromones…

Bien mal lui en avait pris car c’était sans compter sur l’élément perturbateur, Un jeune homme qui observait la scène, c’était rapproché de la voiture furtivement. Ma femme se caressait et me fixait avec ce regard maléfique qui disait " viens toucher et jouer avec mon corps ".

Mais notre jeune assidu spectateur demanda sans honte s’il pouvait l’aider. Et comme un enfant qui venait de se faire surprendre à faire une bêtise, un mélange de honte et de culpabilité la submergea. Prise au dépourvu, elle bredouilla un timide " heu oui"

Cela eu pour effet de donner toute latitude à notre jeune irrévérencieux. Une de ses mains malaxait déjà fermement les seins de ma femme sans autre forme de procès pendant que l’autre était intriguée par son joli sexe épilé.

Non sans combattre cette infamie par de légers gémissements, elle écartait les cuisses…prisonnière de ses sens. Avec malice, notre jeune ami s’engouffrait dans la brèche. Le sexe humide et bien ouvert de ma femme ne laissait aucun doute quant à ses intentions…

Elle avait envie de sentir ses doigts s’insinuer dans son antre…

 Et notre hôte devait lire dans ses pensées car il commençait à la pénétrer sans vergogne. Il était adroit de ses doigts et s’insinuait dans sa chatte avec volupté mais avec beaucoup de conviction. Les bruits de succion prouvaient que ma femme mouillait terriblement et qu’elle était excitée comme jamais.

Notre jeune ami la délaissa quelques instants afin de se mettre plus à l’aise…Son sexe était de bonne taille et déjà bien dure. Elle le regardait avec convoitise et ne demanda pas la permission pour commencer à le caresser. Ces gestes étaient délicats. Elle observait chaque parcelle de son anatomie pour en connaitre les moindres détails.

Cette belle queue allait finir dans sa bouche, alors autant bien faire connaissance !

Le moment était venu de la goûter. Elle ouvrait la bouche et commençait à le sucer Doucement Sa bouche allait et venait à un rythme lent.

Cette queue était docile.

Elle la caressait, la léchait sans que notre jeune ami n’esquisse le moindre geste. C’était devenu sa propriété. Ma femme imprimait un rythme plus soutenu. Ses caresses et sa bouche étaient plus enlevées.

Notre jeune ami était au bord du supplice.

Ma femme le compris et arrêta de le sucer. Son sexe était à quelques centimètres de son visage. Elle continuait de le caresser avec insistance.

Notre ami explosait de plaisir. Elle fût submergée par son foutre. Des jets de sperme s’engouffraient dans sa bouche et éclaboussaient son visage. Notre jeune ami n’était pas avare de sa semence. Ne pouvant tout avaler, le trop plein se déversait sur ses seins pour finir par se jeter sur sa chatte bien lisse. Elle était littéralement couverte de sperme cette vision m’excitait.

Notre jeune ami ne perdait pas de sa vigueur et ma femme continuait de le caresser et de le sucer. Cependant, le " j’ai envie de te baiser" eu pour effet de me sortir de ma léthargie.

Comme un chauffard peu scrupuleux, je passais la 1ère et m’enfuyais sans me retourner… Laissant dans le rétroviseur notre jeune impétueux, glaive à la main prêt à en découdre…  

La situation m’avait fait sourire. Avec tout de même un goût d’inachevé : j’aurais bien regardé ma femme se faire prendre. Elle semblait de son côté aussi déçu vu le regard noir qu’elle me jeta.

Depuis cet épisode, mon imagination foisonnait plus que je ne l’espérais. Mon esprit errait de fantasme en fantasme et je ne savais plus quoi faire. J’étais prisonnier de mes propres désirs sexuels. Quelle femme ! son corps, ses seins, sa chatte, quel délice tellement de souvenirs me submergeait dans ce lieu paradisiaque, elle était à ma disposition, son seul but était peut-être d’assouvir mes plaisirs ? Je la soupçonnais même de s’être offerte à cet inconnu dans le seul but de m’exciter.

Un autre événement vint corroborer mes doutes. J’étais partis un après-midi faire quelques courses. En rentrant, je trouvais ma femme bronzant sur la chaise longue. Rien d’exceptionnel ! Cependant, en m’approchant, je la trouvais couverte de sperme. Ses seins, son ventre, sa chatteJ’étais interloqué sans savoir quoi penser. Devançant mes questions, elle me dit :

— Jeff, celui qui nettoie les piscines est passé! Il m’a vu bronzer toute nue et a voulu me baiser. La seule chose que je lui ai autorisé, c’est de se caresser et de jouir sur moi. Je sais que tu aimes me voir couverte de sperme et que ça t’excite.

Je m’approchais d’elle sans mots dire et commençais à étaler le sperme sur ses seins, son sexe. Je ne pus que constater mon excitation et décidais de la faire jouir sous mes caresses

Ces derniers événements m’obligeaient à une certaine réflexion. Etait-elle soumise ou nymphomane ? J’avais besoin d’en avoir le cur net. Le seul moyen de le savoir ? La testerEt pour cela, je connaissais plusieurs amis qui étaient depuis bien longtemps attirés par ma femme et qui ne seraient pas contre une petite partie

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