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Le pouvoir de l'inceste – Chapitre 19




Damien continuait de la limer sans modération en lui touchant les seins avec avidité. Il était excité, avoir deux surs de vingt-cinq et vingt neuf ans à baiser en même temps et dont la plus jeune était sa prof. Il attrapa Claire par la nuque pour lui rouler une pelle, elle saccrocha à son cou des deux mains pour ne pas perdre léquilibre. Damien prit alors une main de Claire et lemmena vers un des seins de sa sur.

« -Caresse les nichons de ta frangine, ça mexcite. »

« -Oui maître. » Dit Claire en sexécutant. Toucher les seins de sa sur lélectrisa, ils étaient doux et fermes, cétait un pas de plus vers cette frontière, la plus interdite qui soit.

« -Ca te plaît de tripoter les nibards de ta sur ? »

« -Oui. »

« -Bien, fais lui goûter ta chatte maintenant. Assieds toi sur sa gueule. » Claire baissa les yeux pleine dembarras, Elle ne voulait surtout pas désobéir à Damien et une part de ce quil lui proposait lexcitait fortement. Elle savait depuis le début quil lemmènerait aux portes de cette frontière, quil lui demanderait de la franchir et elle navait rien fait pour sen détourner, bien au contraire. Mais là, au pied du mur elle hésitait, cétait sa sur tout de même, cétait de linceste. Pourtant linceste la stimulait, ce que Damien et sa mère faisait lexaltait terriblement. Lidée de le faire elle-même lavait rendue folle dexcitation, mais le réaliser cétait un sacré pas à franchir.

« -Allez fais-le, une fois que tu y auras goûté tu ne pourras plus ten passer. » Lui susurra Damien comme si il lisait dans ses pensées. Lentement elle se souleva et sapprocha de Damien. Son sexe était juste au-dessus du visage de sa sur. Sophie avait les mains libres depuis deux minutes mais elle était trop tétanisée et horrifiée pour empêcher ce quelle avait entendu.

« -Vas-y, fais lui goûter ta moule. » Claire baissa ses cuisses, incapable de résister à Damien, à ses pulsions, sa réticence était vaincue, elle sabandonna au vice. Sa fente était colée au visage de Sophie, lémotion que cela lui procura fut si intense quune vibration lui parcourut le corps et la fit jouir aussitôt. Après quelques secondes où elle se délecta de cette extase soudaine qui lui avait hérissé le derme de la peau, elle mua son bassin. Claire se mit à frotter sa chatte de plus en plus vite sur le visage de sa sur, lui badigeonnant de mouille et du sperme de Damien qui sen écoulait.

Sa sur se frottait avec une telle frénésie, en serrant si fort ses cuisses contre son visage que Sophie étouffait. Cela la fit sortir de sa torpeur, elle ouvrit la bouche pour inspirer de lair ce qui lui permit de regonfler ses poumons, mais en même temps le mélange des sucs sexuels pénétra dans sa bouche. Claire était la pire des salopes pour lui infliger cette agression, une sur indigne, démente et perverse. Elle lui faisait subir le pire des outrages, une profanation sans nom, oui mais alors pourquoi ressentait-elle un plaisir si puissant ?

Sans sen rendre compte elle sortit sa langue pour lécher la craquette de sa sur et récolter un peu plus des jus quelle répandait.

« -Oh, ça y est. Elle me lèche ! » Sétonna Claire.

Damien contemplait la chatte de Claire sastiquer sur le visage de sa sur et perçut le bout de chair rosé, il embrassa Claire avec fougue puis fut emporté par un violent orgasme. Il finissait déjaculer au fond du vagin de Sophie quand celle-ci fut prise de convulsions, révélatrices de son apogée coïtale. En constatant que sa sur prenait son pied, Claire jouit à son tour.

Damien se retira et Claire saffala sur le corps de Sophie. Le jeune garçon lui murmura un ordre à loreille, elle acquiesça lentement et commença à lécher la chatte baveuse et remplie de sperme de sa sur. Sophie frissonna en comprenant ce qui se passait. Malgré elle, elle gémit appréciant la langue chaude et suave de Claire. Claire lécha un bon moment procurant un nouvel orgasme à sa sur. Quand elle eut la bouche pleine de sperme elle se retourna et mit son visage au-dessus de celui de Sophie. Le foutre blanchâtre suintait de ses lèvres, Sophie avait un regard implorant, celui de ne pas aller plus loin mais sa sur navait nullement lintention de sarrêter. Elle appuya de son index sur le menton de Sophie lobligeant à ouvrir sa bouche puis elle laissa échapper le sperme pour ly déverser. Un filet de semence unissait leurs deux bouches, Claire sappliqua à le faire durer le plus longtemps possible. Quand la totalité se trouva dans la bouche de sa sur elle colla ses lèvres aux siennes et lembrassa avec la langue. Dabord inactive Sophie participa peu à peu à ce baiser souillé et incestueux. Claire cessa de lembrasser quand sa sur eut avalé toute la crème de Damien. Elle se releva et embrassa son amant qui sétait régalé du show. Ils laissèrent enfin Sophie qui se mit à sangloter.

Damien rentra ensuite chez lui et comme à son habitude fit un compte rendu détaillé à sa mère de toutes ses activités sexuelles. Bien que désormais ouverte à un large éventail de pratiques, Elisabeth fut offusquée que son fils viole une femme et en tant que mère le lui fit savoir. Damien argumenta que cétait un viol dans la pratique mais pas dans lesprit, quau fond delle-même Sophie désirait cela. Sa mère resta très dubitative et préoccupée par la dérive de son fils.

Le soir même Claire et sa sur passèrent chez eux. Elisabeth se réjouit de revoir Claire quelle appréciait beaucoup. Elle aimait discuter avec la jeune femme qui possédait une grande culture et un esprit ouvert. Elle la trouvait aussi à son goût physiquement et adorait avoir des rapports saphiques et dominateur avec elle. Elle trouva donc Sophie tout aussi charmante mais salarma de sa mine triste. A peine arrivée Damien dénuda ses femelles leurs laissant uniquement bas et porte-jarretelle comme il appréciait tant. Il leur passa aussi leurs colliers de chienne. Il accrocha une laisse à celui de Sophie et la promena dans la maison comme un toutou docile. Un peu plus tard il confia la laisse à sa mère pour quelle fasse connaissance avec sa nouvelle acquisition et entrepris de baiser Claire dans leur lit. Elisabeth se retrouva à tenir en laisse cette sublime jeune femme qui navait pratiquement pas ouvert la bouche depuis son arrivée et avait les yeux toujours baissés. Elle lentraina vers le salon et dégrafa la laisse.

« -Ecoutez mademoiselle, mon fils ma raconté ce quil vous a fait. Je suis heurtée par son attitude, il y a des limites que même lui ne doit pas franchir. Et celle dabuser dune femme en est une des pires. Je suis désolée, je vais vous aider à vous échapper. Attendez-moi ici, je vais récupérer vos vêtements puis je vous conduirais où vous voudrez. »

« -Attendez. »

« -Oui, Quoi ? »

« -Ils mont effectivement violée mais ils avaient raison. Jaime la soumission, comme vous, comme ma sur. En abusant de moi ils mont permis de comprendre ma nature de soumise et desclave. » Dit elle en se rapprochant dElisabeth.

« -Faites comme votre fils a dit. Traitez-moi comme votre chose, votre chienne. » Conclut-elle en rattachant elle-même la laisse à son cou.

« -Vous êtes sûre, vous semblez si affligée. »

« -Cest parce que je vous envie vous et ma sur dêtre si comblées. Vous avez compris et accepté votre nature comme je le fais maintenant. Mais en plus vous êtes amoureuse de Damien et moi il me manque juste ça. Peut être cela viendra til avec le temps, mais il est un peu jeune à mon goût. En fait je crois que jai un penchant pour les hommes beaucoup plus âgés. »

« -Comme létait votre beau-père. »

« -Oui, mon bonheur doit se trouver chez un homme de plus de soixante ans avec le charisme, la perversion et la dominance de votre fils et dont je serais amoureuse et en parfaite confiance comme avec ma sur. »

« -Une perle rare quoi. »

« -Effectivement, mais en attendant je serais ravie de vous servir vous et Damien comme une parfaite soumise. »

« -Dans ce cas suis moi chienne, jai en envie pressante. » Ordonna Elisabeth en tirant dun coup sec sur la laisse.

Alors quelle avait fait mettre la tête de Sophie au-dessus de la cuvette de WC et que dans une position acrobatique elle lui urinait sur le visage et dans la bouche. La belle brune ressentait du remord davoir eu de la défiance envers son fils. Elle se dit quelle devait faire totalement confiance en ses choix et décisions. Il avait de toute évidence un don pour déceler les penchants refoulés des femmes. Il était son maître, plus jamais elle ne le mettrait en doute.

Pour garder une partie de vie stable et une tranquillité avec le voisinage, il fut décidé que les deux surs vivraient la semaine dans lappartement de Claire et quelles viendraient à la maison dElisabeth à partir du vendredi soir.

Quelques jours plus tard Damien organisa un week-end de baise avec toutes ses femelles. Ce fut une orgie sexuelle sans nom, une débauche digne des bacchanales de Gomorrhe.

Le mercredi suivant, Damien Marlène et Béatrice se remémoraient ce fabuleux week-end. Toutes les femmes sétaient appréciées ce qui nétait pas si évident. Il y avait eu même de réelles affinités entre Béatrice et Sophie et entre Marlène et Claire. La jeune femme avait beaucoup apprécié de coucher avec une de ses profs préférées et avait adoré exercer son penchant dominateur sur elle. Cest sur ses remémorations enflammées que des infirmiers firent rentrer Francis Zeller dans son domicile pour quil y passe quelques jours, jusquau week-end.

Il navait vu Damien que deux fois et il ne lappréciait pas, dailleurs il nappréciait personne. Une fois les infirmiers disparus sous ses commentaires acerbes où il les traitait dincapable et de fainéants il sattaqua à sa famille. Il les traita de femmes indignes qui ne venaient jamais le voir et ne soccupaient pas de lui. Il injuria Damien et lui ordonna de foutre le camp de chez lui. Béatrice se tourna vers le jeune homme et lui indiqua quil était temps de remettre à sa place son abrutit de mari. Ils positionnèrent son fauteuil devant les canapés du salon, Damien sinstalla face à lui et Béatrice dégrafa sa braguette et sempressa de lui sucer la bite. Francis après un instant de sidération se mit à les insulter mais Damien le coupa aussitôt.

« -Ferme ta gueule pauvre merde à roulette. Je baise ta femme qui est une vraie chienne en chaleur. La pauvre elle était en manque dune vraie bite pour la satisfaire parce quavec toi, même au temps où ta misérable tuyauterie fonctionnait elle na jamais pris son pied. »

« -Petit salaud, tu »

« -Je tai déjà dit de fermer ton clapet à merde ducon. Bon, comme tu sais je baise aussi ta fille, en fait maintenant je baise les deux en même temps. Pas vrai Marlène, tu kiffes ça que ton mec tronche ta mère. »

« -Jai même tout fait pour que ça arrive mon bébé. » confirma Marlène en le rejoignant sur le sofa totalement nue.

« -Vous êtes que des dégénérés et toi Béatrice tu es la pire dentre eux. Une adulte qui sest laissée pervertir par ce morveux. »

« -Il ne ma pas pervertie, il ma montré ma vraie nature, celle dune chienne soumise. Cest un maître merveilleux et très puissant. Il révèle aux femmes soumises qui lignorent ce quelles sont. Et cest un amant extraordinaire qui procure des plaisirs hors normes. Regarde lengin dont il est doté rien à voir avec ta petite nouille. »

« -Salope, toi et ta fille vous nestes que des morues. Je vous renie, je ne veux plus jamais vous voir. »

« -Nous non plus on ne veut plus de toi ici papa. Alors ne reviens plus jamais. »

« -Tes femmes sont à moi maintenant, ce sont mes femelles que je vais baiser où et quand jen aurais envie. Je vais les baiser devant toi aujourdhui pour que tu gardes bien ça en tête. Quand on aura fini on rappellera lhôpital pour quils viennent te chercher puis on leur demandera de te placer dans une institution où tu resteras en permanence. » Et ce qui fut dit fut fait. Damien baisa mère et fille devant le père de famille atterré. Il vit sa femme et sa fille se gouiner et se faire royalement baiser par ce blanc-bec. Il fulminait mais ne pouvait rien faire, il savait que même si il racontait ce quil avait vu personne ne le croirait. Déjà il fallait trouver quelquun qui lécoute parce quil avait tellement insulté et méprisé ceux qui le côtoyait que plus personne ne lui adressait la parole, sauf si il nétait pas obligé de le faire. De toute façon il ne préférait plus rien avoir à faire avec sa désormais ex-famille.

Quand Francis fut définitivement parti les trois amants baisèrent encore pour fêter ça. Ils étaient épuisés et en sueur, Damien était au milieu du lit avec une femme à chacun de ses côtés, les bras sous leurs nuques. Cest dans un état oscillant entre leuphorie et lextase quil lâcha :

« -Béatrice jai envie de te voir te faire baiser par un chien. »

« -Quoi ? »

« -Jai envie que tu te fasses niquer par un clébard. Cette idée me fout la gaule depuis un moment, alors tu vas le faire. » Béatrice resta muette, sidérée par cette idée. Puis au bout dun moment elle demanda :

« -Mais cest contre nature. Ce nest pas permis. »

« -Pas plus que linceste ou de coucher avec des mineurs ma belle. »

« -Marlène tu ne dis rien ? Ne me dis pas que tu es daccord. »

« -Ca mas surpris quand il te la proposé mais plus jy pense »

« -Marlène ! »

« -Ben ouai, ça mexcite dimaginer ma mère se faire tringler par un clebs. »

« -Oh mon dieu, je Je ne sais pas, je navais jamais imaginé une chose pareille. »

« -Je te montrerais quelques films zoo, tu verras cest super. » Conclut Damien.

« -Bon, je je verrais. »

Quand Damien annonça quil cherchait un chien pour saillir Brigitte, Elisabeth fut stupéfaite, elle faillit discuter cette décision mais se rappela vite sa dernière erreur. Elle se proposa aussitôt de laider dans sa recherche. Elisabeth était émerveillée par la perversion de son fils et de la débauche didées dépravées dont il faisait preuve. Au bout de quelques heures ils trouvèrent sur un site très spécialisé une personne qui vendait un Beauceron éduqué depuis le plus jeune âge pour les pratiques quils désiraient. Trois jours plus tard cétait le week-end, Damien en profita pour autoriser ses deux blondes à rendre visite à leur père veuf qui sinquiétait de la situation de son ainée. Le samedi ils partirent de très bonne heure firent plus de deux cents kilomètres pour aller voir la bête. Bram leurs plut aussitôt, cétait un beaux mâle dans la puissance de lâge, très calme et affectueux. Un luisant pelage noir et feu, intelligent, un trait caractéristique de sa race annonça Géraldine sa propriétaire, une femme dune cinquantaine dannées très BCBG. Elle semblait vraiment affectée de sen séparer mais son mari prenant la retraite le mois suivant elle ne pouvait le garder aux vus de leurs fréquentes activités. Elle leur indiqua quil serait parfait pour une novice car extrêmement bien dressé et docile. Elle leurs expliqua comment sy prendre et les pourvut de précieux conseils. A dix heures laffaire était conclue et ils payèrent le prix demandé, au moment de partir elle sagenouilla devant lui et lembrassa sur la bouche, leurs langues se mêlèrent. Elle dit à Elisabeth quelle avait de la chance avant de les quitter les larmes aux yeux, la mère de Damien nosa pas lui dire que ce nétait pas pour elle.

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